Verser des larmes
Page 1 sur 1
Verser des larmes
Aliséa Lun 13 Aoû 2012 - 14:15
oui mes amies, laisser faire couler les larmes est sain moi ça me libère !
Un tit poème ?
Larme
Une larme qui scintille au bord de tes yeux,
Telle une étoile accrochée dans les branchages
D'un bel arbre agité par le vent vaporeux.
Larme de tristesse quand ton cœur amoureux
N'en peut plus de se battre contre ces nuages
Qui s'amoncèlent et cachent la clarté des cieux.
Une larme qui s'arrache à ton âme profonde,
Échappée de ton coffre de chagrin refoulé,
Où tes rêves, tes doutes, tes peurs se confondent.
Larme de désespoir refusant que répondent
Et ne suivent d'autres pleurs vite étouffés,
Restant enfermés où ta souffrance gronde.
Une larme se détache et roule sur ta joue
Comme une perle suivrait une pente descendante;
Brillante, étincelante comme un précieux bijou.
Larme qui te fait te courber, plier les genoux,
Tomber à terre dans la poussière suffocante
Comme sous la violence de terribles coups.
Une larme essuyée d'une caresse de la main,
Discrètement, pour ne pas être découvert;
N'avoir que tes yeux comme uniques témoins.
Larme qui n'éloigne pas les craintes de demain,
N'allège pas les peines de ton cœur solitaire,
Et pèse dans la paume comme un lourd butin
je vous aime les filles
Un tit poème ?
Larme
Une larme qui scintille au bord de tes yeux,
Telle une étoile accrochée dans les branchages
D'un bel arbre agité par le vent vaporeux.
Larme de tristesse quand ton cœur amoureux
N'en peut plus de se battre contre ces nuages
Qui s'amoncèlent et cachent la clarté des cieux.
Une larme qui s'arrache à ton âme profonde,
Échappée de ton coffre de chagrin refoulé,
Où tes rêves, tes doutes, tes peurs se confondent.
Larme de désespoir refusant que répondent
Et ne suivent d'autres pleurs vite étouffés,
Restant enfermés où ta souffrance gronde.
Une larme se détache et roule sur ta joue
Comme une perle suivrait une pente descendante;
Brillante, étincelante comme un précieux bijou.
Larme qui te fait te courber, plier les genoux,
Tomber à terre dans la poussière suffocante
Comme sous la violence de terribles coups.
Une larme essuyée d'une caresse de la main,
Discrètement, pour ne pas être découvert;
N'avoir que tes yeux comme uniques témoins.
Larme qui n'éloigne pas les craintes de demain,
N'allège pas les peines de ton cœur solitaire,
Et pèse dans la paume comme un lourd butin
je vous aime les filles
Aliséa- Messages : 158
Date d'inscription : 16/03/2012
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
