Les pouvoirs à notre portée
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Les pouvoirs à notre portée
Télépathie, sixième sens, hypnose révélations sur les super-pouvoir
Si nous étions capables de déplacer des objets par la simple volonté. Si nous avions la capacité de lire dans les pensées. Si notre cerveau avait des pouvoirs insoupçonnés qui ne demandent qu'a être utilisés. Télékinésie, télépathie, hypnose...
Quels sont les super-pouvoirs de notre cerveau ?
Depuis des expériences troublantes de télépathie avec des jumeaux issus des services secrets qui résolvent des enquêtes avec des médiums, enquête sur ces facultés si étranges qui prêtent souvent à la supercherie. Grâce à des témoignages étonnants et à de nombreuses expériences scientifiques, perçons les secrets cachés du cerveau.
Comment fonctionne cet organe qui génère toutes nos pensées grâce à ses milliards de neurones et aux centaines de milliards de connexions entre eux.
Les surdoués, les prodiges de la mémoire ou du calcul, ont-ils un cerveau différent ?
Et les médiums ?
Voyage au coeur du cerveau... car ces "pouvoirs" sont à la portée de tous !

Vidéo
Re: Les pouvoirs à notre portée
et vous les Amis ?
considérez-vous vous-même que vous êtes investis de certains pouvoirs ?
sinon, lesquels aimeriez-vous acquérir ?
Racontez-nous vos expériences ....
considérez-vous vous-même que vous êtes investis de certains pouvoirs ?
sinon, lesquels aimeriez-vous acquérir ?
Racontez-nous vos expériences ....

Re: Les pouvoirs à notre portée
ah la la ! le rêve de l'humain, avoir de supers pouvoirs !! et moi aussi lol
quand j'étais gamine et sans connaitre quoi que ce soit de tout cela , j'ai fait une expérience !
je devais avoir 8 ou 9 ans , pas beaucoup plus , je devais faire attention que des bidons de lait ne se renversent pas , dans l'estafette que mon père avait pour transporter le lait jusqu'à la laiteries.
Et bien, je m'amusais à faire que les bidons ne bougent par télépathie et j'avais l'impression que ça marchait ;
Donc, déjà toute petite , je savais que je pouvais faire des choses à distance , sans avoir lu quoi que ce soit et sans avoir quiconque autour de moi qui parle de cela .
Incroyable , et enfant on ne se pose pas autant de question , ça se fait naturellement
quand j'étais gamine et sans connaitre quoi que ce soit de tout cela , j'ai fait une expérience !
je devais avoir 8 ou 9 ans , pas beaucoup plus , je devais faire attention que des bidons de lait ne se renversent pas , dans l'estafette que mon père avait pour transporter le lait jusqu'à la laiteries.
Et bien, je m'amusais à faire que les bidons ne bougent par télépathie et j'avais l'impression que ça marchait ;
Donc, déjà toute petite , je savais que je pouvais faire des choses à distance , sans avoir lu quoi que ce soit et sans avoir quiconque autour de moi qui parle de cela .
Incroyable , et enfant on ne se pose pas autant de question , ça se fait naturellement
Invité- Invité
Re: Les pouvoirs à notre portée
Francesca a écrit:et vous les Amis ?
considérez-vous vous-même que vous êtes investis de certains pouvoirs ?
sinon, lesquels aimeriez-vous acquérir ?
Racontez-nous vos expériences ....
a ma connaissance non

sinon j"aimerait la télépathie
isa-jo- Messages : 21
Date d'inscription : 14/07/2013
Re: Les pouvoirs à notre portée
Sujet interessant.
Je vais répondre par la négative. Dans mon entourage, certains m'attribuent des pouvoirs, négatifs et positifs, et je n'y crois pas.
Il y a quelques temps, des amis m'ont fait remarquer que ceux qui m'avaient "fait du mal" (menti, volé, calomnié, etc...) étaient soit morts, soit dans une sale situation. Je me suis sentie mal, comme accusée ou coupable, pendant un bref instant. Mais j'ai compris qu'en fait ces gens étaient déjà, sans qu'on le sache, malades ou dans une dynamique déséquilibrée, ce qui les avait poussés à ces comportements inadaptés: il n'y avait là que l'ordre naturel de l'écoulement des choses, le karma implacable, et je n'étais pas responsable de leur destin funeste.
Je nous vois plutôt comme des agents de transmission, et lorsqu'il nous arrive de nous trouver au milieu d'un noeud évènementiel, par exemple soudain les nuages s'écartent, alors nous pouvons donner l'impression d'être la cause directe de phénomènes inexplicables, ou nous illusionner nous mêmes.
Je préfère penser de cette façon, sinon c'est se donner une importance trop improbable pour être vraie.
Je vais répondre par la négative. Dans mon entourage, certains m'attribuent des pouvoirs, négatifs et positifs, et je n'y crois pas.
Il y a quelques temps, des amis m'ont fait remarquer que ceux qui m'avaient "fait du mal" (menti, volé, calomnié, etc...) étaient soit morts, soit dans une sale situation. Je me suis sentie mal, comme accusée ou coupable, pendant un bref instant. Mais j'ai compris qu'en fait ces gens étaient déjà, sans qu'on le sache, malades ou dans une dynamique déséquilibrée, ce qui les avait poussés à ces comportements inadaptés: il n'y avait là que l'ordre naturel de l'écoulement des choses, le karma implacable, et je n'étais pas responsable de leur destin funeste.
Je nous vois plutôt comme des agents de transmission, et lorsqu'il nous arrive de nous trouver au milieu d'un noeud évènementiel, par exemple soudain les nuages s'écartent, alors nous pouvons donner l'impression d'être la cause directe de phénomènes inexplicables, ou nous illusionner nous mêmes.
Je préfère penser de cette façon, sinon c'est se donner une importance trop improbable pour être vraie.
shamallo- Messages : 954
Date d'inscription : 17/01/2013
Re: Les pouvoirs à notre portée
Je réalise avoir hier répondu un peu à côté du sujet, puisqu'il est question de télépathie et de pouvoirs du "cerveau".
Quiconque prête attention au flux de ses propres "pensées" -encore faudrait il détailler les différentes sortes de pensées: avec forme, en mots, en images, en énergie, sans forme cristallisée, etc...- peut constater que la télépathie est une donnée ordinaire de la vie, simplement, elle peut passer inaperçue.
Une remarque: Par observation, il vient d'être montré au public, que la mémoire n'a pas pour origine le cerveau.
"Visant à fabriquer de nouveaux organes pour remplacer ceux qui se révèlent défectueux, la médecine régénératrice est un domaine en pleine expansion. Un domaine qui pose aussi des questions inattendues lorsqu'il touche au cerveau : pour les personnes souffrant d'une maladie neurodégénérative comme la maladie d'Alzheimer, qu'arrivera-t-il aux souvenirs stockés depuis l'enfance lorsqu'on repeuplera le cerveau avec des neurones tout neufs issus de cellules souches ? Les informations seront-elles perdues comme des archives brûlées ou bien parviendront-elles à être conservées grâce à une sorte de mémoire dynamique en constant remodelage ?
La réponse à ces questions fascinantes pourrait bien venir de... vers. Plus précisément des planaires, des vers plats d'eau douce qu'affectionnent les biologistes pour plusieurs raisons. Tout d'abord parce que ces organismes, malgré leur aspect rudimentaire, ont avec nous plus de points communs qu'on pourrait l'imaginer : les planaires sont dotées d'un cerveau centralisé, avec une transmission synaptique et une gamme de neurotransmetteurs que l'on retrouve chez les vertébrés. Ensuite, elles peuvent percevoir assez finement leur environnement. Certes leurs yeux sont assez peu perfectionnés mais ces animaux sont également sensibles aux variations chimiques, aux vibrations, aux champs électrique et magnétique. Enfin – et c'est le point que les scientifiques préfèrent chez les planaires –, ces invertébrés sont capables, grâce à de formidables cellules souches, les néoblastes, de se régénérer entièrement, y compris à partir d'une toute petite portion de leur corps. Ainsi, quand leur tête a été amputée, elle repousse en quelques jours.
On commence à voir où les chercheurs veulent en venir car qui dit tête, dit cerveau et mémoire. Dans une étude publiée le 2 juillet par le Journal of Experimental Biology (JEB), une équipe de l'université Tufts (Massachusetts) a voulu tester de manière radicale la dynamique du souvenir : une fois que sa tête a repoussé, la planaire décapitée se rappelle-t-elle quelque chose de sa vie d'avant ? La question peut sembler insolite mais elle a déjà été posée il y a plus d'un demi-siècle, en 1959, par un chercheur nommé James McConnell, qui y avait répondu par l'affirmative. Sa découverte avait, on s'en doute, suscité beaucoup d'effervescence dans le monde de la biologie et, au cours des années 1960, de nombreuses équipes avaient travaillé sur le sujet, sans toujours parvenir à reproduire le résultat de McConnell. Faute d'un protocole suffisamment robuste, cette voie de recherche avait par la suite été abandonnée. Toute la difficulté tient dans le fait que l'on doit prouver que la planaire se souvient de ce qu'elle savait avant qu'on lui coupe la tête. La meilleure manière de s'en assurer consisterait à lui apprendre quelque chose. Mais autant il est aisé d'enseigner à des humains, autant cela devient compliqué avec un ver...
C'est ce tour de force qui est décrit dans l'article du JEB. Ses auteurs ont mis au point des plateformes expérimentales pour entraîner les planaires et tester leur mémoire. Pendant que des groupes témoins vivaient leur vie dans de classiques boîtes de Petri, rondes et entièrement en plastique, plusieurs dizaines d'individus étaient placés dans de petites "arènes" dodécagonales, au sol rugueux et aux parois mélangeant le plastique et le métal. L'idée consistait à leur faire reconnaître cet environnement particulier et à leur apprendre à y trouver de la nourriture, sous forme de minuscules morceaux de foie de bœuf (les planaires sont carnivores). Alors que ces vers préfèrent d'ordinaire rester sur les parois des récipients et évitent la lumière, ils devaient apprendre à vaincre ces réticences pour manger car la nourriture était placée au milieu de la boîte et éclairée de manière assez vive par une diode électroluminescente. Avec un tel protocole, les chercheurs s'assuraient que le comportement de ces animaux résultait bien d'une décision prise par le cerveau et qu'il ne s'agissait pas d'un quelconque réflexe. Au bout d'une dizaine de jours d'entraînement, les planaires habituées aux "arènes" trouvaient beaucoup plus vite leur pitance que celles qui ne connaissaient pas cet environnement.
Ensuite les chercheurs ont laissé leurs bestioles tranquilles pendant deux semaines, puis les ont testées de nouveau, avec succès. Pourquoi deux semaines ? Parce que c'est le temps qu'il faut à la tête d'une planaire pour repousser. Si l'on veut tester sa mémoire après une décapitation, il faut en effet déjà être certain que l'animal est capable de garder un souvenir ! Comme c'était le cas, on est entré dans le vif du sujet. Les têtes ont été coupées de manière à ce que plus un milligramme de cerveau ne subsiste. Une fois que la repousse a été complète, les vers sont retournés dans l'"arène". Lors de la première séance, les résultats ont été "décevants" dans le sens où les planaires qui y avaient auparavant séjourné réussissaient le test à peine mieux que celles qui n'avaient jamais fréquenté cet environnement. Mais dès le test suivant, le niveau de leurs performances est remonté à celui qu'il était avant la décapitation. Une fois rafraîchie, la mémoire leur était revenue !
Le résultat est extraordinaire en ce sens qu'il défie le sens commun. Comment les souvenirs ont-ils pu être sauvegardés lors de la décapitation ? Ainsi que le résume Michael Levin, un des auteurs de cette étude, "nous n'avons pas la réponse à cette question. Ce dont nous apportons la preuve, c'est que, de manière remarquable, la mémoire semble être conservée en dehors du cerveau." L'article évoque l'idée que le savoir né de l'entraînement a réussi à "s'imprimer" dans les néoblastes, ces cellules souches à partir desquelles l'animal va recréer la partie amputée... et notamment les neurones du cerveau. Un peu comme si le cerveau tout neuf démarrait à partir d'un disque de sauvegarde."
Pierre Barthélémy, Le Monde du 7 juillet 2013. http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/07/11/la-tete-ver-repousse-memoire-maladies-neurodegeneratives/
Quiconque prête attention au flux de ses propres "pensées" -encore faudrait il détailler les différentes sortes de pensées: avec forme, en mots, en images, en énergie, sans forme cristallisée, etc...- peut constater que la télépathie est une donnée ordinaire de la vie, simplement, elle peut passer inaperçue.
Une remarque: Par observation, il vient d'être montré au public, que la mémoire n'a pas pour origine le cerveau.
"Visant à fabriquer de nouveaux organes pour remplacer ceux qui se révèlent défectueux, la médecine régénératrice est un domaine en pleine expansion. Un domaine qui pose aussi des questions inattendues lorsqu'il touche au cerveau : pour les personnes souffrant d'une maladie neurodégénérative comme la maladie d'Alzheimer, qu'arrivera-t-il aux souvenirs stockés depuis l'enfance lorsqu'on repeuplera le cerveau avec des neurones tout neufs issus de cellules souches ? Les informations seront-elles perdues comme des archives brûlées ou bien parviendront-elles à être conservées grâce à une sorte de mémoire dynamique en constant remodelage ?
La réponse à ces questions fascinantes pourrait bien venir de... vers. Plus précisément des planaires, des vers plats d'eau douce qu'affectionnent les biologistes pour plusieurs raisons. Tout d'abord parce que ces organismes, malgré leur aspect rudimentaire, ont avec nous plus de points communs qu'on pourrait l'imaginer : les planaires sont dotées d'un cerveau centralisé, avec une transmission synaptique et une gamme de neurotransmetteurs que l'on retrouve chez les vertébrés. Ensuite, elles peuvent percevoir assez finement leur environnement. Certes leurs yeux sont assez peu perfectionnés mais ces animaux sont également sensibles aux variations chimiques, aux vibrations, aux champs électrique et magnétique. Enfin – et c'est le point que les scientifiques préfèrent chez les planaires –, ces invertébrés sont capables, grâce à de formidables cellules souches, les néoblastes, de se régénérer entièrement, y compris à partir d'une toute petite portion de leur corps. Ainsi, quand leur tête a été amputée, elle repousse en quelques jours.
On commence à voir où les chercheurs veulent en venir car qui dit tête, dit cerveau et mémoire. Dans une étude publiée le 2 juillet par le Journal of Experimental Biology (JEB), une équipe de l'université Tufts (Massachusetts) a voulu tester de manière radicale la dynamique du souvenir : une fois que sa tête a repoussé, la planaire décapitée se rappelle-t-elle quelque chose de sa vie d'avant ? La question peut sembler insolite mais elle a déjà été posée il y a plus d'un demi-siècle, en 1959, par un chercheur nommé James McConnell, qui y avait répondu par l'affirmative. Sa découverte avait, on s'en doute, suscité beaucoup d'effervescence dans le monde de la biologie et, au cours des années 1960, de nombreuses équipes avaient travaillé sur le sujet, sans toujours parvenir à reproduire le résultat de McConnell. Faute d'un protocole suffisamment robuste, cette voie de recherche avait par la suite été abandonnée. Toute la difficulté tient dans le fait que l'on doit prouver que la planaire se souvient de ce qu'elle savait avant qu'on lui coupe la tête. La meilleure manière de s'en assurer consisterait à lui apprendre quelque chose. Mais autant il est aisé d'enseigner à des humains, autant cela devient compliqué avec un ver...
C'est ce tour de force qui est décrit dans l'article du JEB. Ses auteurs ont mis au point des plateformes expérimentales pour entraîner les planaires et tester leur mémoire. Pendant que des groupes témoins vivaient leur vie dans de classiques boîtes de Petri, rondes et entièrement en plastique, plusieurs dizaines d'individus étaient placés dans de petites "arènes" dodécagonales, au sol rugueux et aux parois mélangeant le plastique et le métal. L'idée consistait à leur faire reconnaître cet environnement particulier et à leur apprendre à y trouver de la nourriture, sous forme de minuscules morceaux de foie de bœuf (les planaires sont carnivores). Alors que ces vers préfèrent d'ordinaire rester sur les parois des récipients et évitent la lumière, ils devaient apprendre à vaincre ces réticences pour manger car la nourriture était placée au milieu de la boîte et éclairée de manière assez vive par une diode électroluminescente. Avec un tel protocole, les chercheurs s'assuraient que le comportement de ces animaux résultait bien d'une décision prise par le cerveau et qu'il ne s'agissait pas d'un quelconque réflexe. Au bout d'une dizaine de jours d'entraînement, les planaires habituées aux "arènes" trouvaient beaucoup plus vite leur pitance que celles qui ne connaissaient pas cet environnement.
Ensuite les chercheurs ont laissé leurs bestioles tranquilles pendant deux semaines, puis les ont testées de nouveau, avec succès. Pourquoi deux semaines ? Parce que c'est le temps qu'il faut à la tête d'une planaire pour repousser. Si l'on veut tester sa mémoire après une décapitation, il faut en effet déjà être certain que l'animal est capable de garder un souvenir ! Comme c'était le cas, on est entré dans le vif du sujet. Les têtes ont été coupées de manière à ce que plus un milligramme de cerveau ne subsiste. Une fois que la repousse a été complète, les vers sont retournés dans l'"arène". Lors de la première séance, les résultats ont été "décevants" dans le sens où les planaires qui y avaient auparavant séjourné réussissaient le test à peine mieux que celles qui n'avaient jamais fréquenté cet environnement. Mais dès le test suivant, le niveau de leurs performances est remonté à celui qu'il était avant la décapitation. Une fois rafraîchie, la mémoire leur était revenue !
Le résultat est extraordinaire en ce sens qu'il défie le sens commun. Comment les souvenirs ont-ils pu être sauvegardés lors de la décapitation ? Ainsi que le résume Michael Levin, un des auteurs de cette étude, "nous n'avons pas la réponse à cette question. Ce dont nous apportons la preuve, c'est que, de manière remarquable, la mémoire semble être conservée en dehors du cerveau." L'article évoque l'idée que le savoir né de l'entraînement a réussi à "s'imprimer" dans les néoblastes, ces cellules souches à partir desquelles l'animal va recréer la partie amputée... et notamment les neurones du cerveau. Un peu comme si le cerveau tout neuf démarrait à partir d'un disque de sauvegarde."
Pierre Barthélémy, Le Monde du 7 juillet 2013. http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/07/11/la-tete-ver-repousse-memoire-maladies-neurodegeneratives/
shamallo- Messages : 954
Date d'inscription : 17/01/2013
Re: Les pouvoirs à notre portée
Merci Shamallo
ces explications approfondissent réellement le sujet qui nous occupe. Super !!
Il y aurait tant de choses à dire à ce sujet effectivement, dommage que personne n'y appose sa petite papatte

ces explications approfondissent réellement le sujet qui nous occupe. Super !!

Il y aurait tant de choses à dire à ce sujet effectivement, dommage que personne n'y appose sa petite papatte

Nous sommes tous en chaîne magnétique, et il faut comprendre que tous les cerveaux qui sont sur Terre en ce moment reçoivent les malheurs des autres et comme ils n’arrivent pas à repositiver cette force, tout se met à se détériorer dans tous les coins de l’univers, dans tous les domaines, tant dans la matière que sous forme de malaise psychologique pour certains.
Quand il y a des catastrophes et que tous les médias nous montrent une actualité des plus pessimistes, il ne faut pas être triste, ressasser, s’apeurer, mais au contraire toujours redresser la barre, réagir par une dynamique positive qui contrebalancerait ces mauvais effets, sinon on ajoute des négativités à des éléments déjà difficiles. Il est capital de comprendre que nous rajoutons des négativités à cause de nos états intérieurs.
C’est le mécanisme de la pomme d’arrosoir : l’image de la pomme d’arrosoir symbolise le processus par lequel chaque cerveau est régi par d’autres cerveaux et régit lui-même d’autres cerveaux.
La pomme d’arrosoir est immensément perfectionnée : ce sont des milliers de petits orifices qui ont des dimensions différentes et vont programmer des nuances variées dans le cerveau des autres.

Re: Les pouvoirs à notre portée
Oui je le pense, La télépathie c'est certain, et pour les autres pouvoirs je pense que oui, même si nous n'en avons pas connaissance ou ne sommes pas encore capable de l'expérimenter réellement.
Après il faut se poser des vrais questions : En-ai je vraiment envie ? Suis-je capable d'assumer les changements qui en découleront ? Ai-je le courage de travailler d'arrache-pied sans relâche pour y arriver ?...
Mais ce n'est que mon avis !
Après il faut se poser des vrais questions : En-ai je vraiment envie ? Suis-je capable d'assumer les changements qui en découleront ? Ai-je le courage de travailler d'arrache-pied sans relâche pour y arriver ?...
Mais ce n'est que mon avis !
_________________
« La liberté ignore les serrures du temps et de l'espace.
Pour traverser les murs,il suffit d'ouvrir les portes, ouvrir les ailes, ouvrir les rêves. »
Jacques Savoie
Re: Les pouvoirs à notre portée
Bonjour,
Pour répondre un peu tardivement à ce sujet, les aborigènes d'australie ont ce dont naturellement, donc c'est aussi valable pour l'humanité entière, sauf que, eux n'ont pas oublié leur origine extraterrestre, ils savent parfaitement d'où ils viennent, d'où la raison qui a fait, que lorsque les blancs sont arrivés et l'ont su, ils les poursuivaient inlassablement, et lorsqu'ils en attrapaient un, ils lui fracassaient le crâne pour connaitre leur secret.
La télépathie est dû à la glande pituitaire en bon état.
Femmesauvage
Pour répondre un peu tardivement à ce sujet, les aborigènes d'australie ont ce dont naturellement, donc c'est aussi valable pour l'humanité entière, sauf que, eux n'ont pas oublié leur origine extraterrestre, ils savent parfaitement d'où ils viennent, d'où la raison qui a fait, que lorsque les blancs sont arrivés et l'ont su, ils les poursuivaient inlassablement, et lorsqu'ils en attrapaient un, ils lui fracassaient le crâne pour connaitre leur secret.
La télépathie est dû à la glande pituitaire en bon état.
Femmesauvage
femmesauvage- Messages : 7
Date d'inscription : 04/01/2016

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