Reve de Chasuble
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Reve de Chasuble
Voilà un reve simple et efficace.
Ce n'est pas l'interprétation qui me pose problème, c'est juste que dans ce reve il y a une part de moi qui apparait et qui me parait difficile de l'accepter
Il me semble qu'il avait une première partie au rève qui concernait l'origine des chasubles, j'ai essayé d'aller vers l'origine mais ça bloque. La fin du reve, me fait dire que ça ne doit pas etre très important.
A savoir que hier, j'ai vécu une deception : mon manuscrit n'a pas été retenu, non pas sur le contenu, mais sur le non respect de consigne, alors que la première fois j'avais passé cette étape, là j'ai essayé de respecter parfaitement les consignes : résultat non retenu.
Ce n'est pas le fait que mon manuscrit ne soit pas lu qui me déçoit, mais plus que j'ai essayé de faire du mieux que je pouvais, et que cette fois ça a marché encore moins bien.
Du coup je n'essayerais plus de proposer mon manuscrit, quand ça veut pas, ça veut pas, je me suis fait à cette raison.
point positif, je n'ai pas perdu l'envie d'écrire, je continue l'écriture des émotions de la dame, et de l'illusion du roi, j'ai meme trouvé un nouveau point d'entrée. Désormais, j'écris uniquement pour moi.
le soir j'ai demandé un reve clair, sans symbole alambiqués, ou autre connerie (c'est le terme que j'ai utilisé), un truc que je peux comprendre et qui ne pars pas dans une globalité hors de ma portée, en gros un truc pour moi, et rien que pour moi.
Bon, j'ai eu ça, mon éclat de rire à eu lieu entre 5:15 et 5:40 (Un peu forcé(ouvre les yeux, nan, mais si, nan ça me saoule laisse moi dormir, j'ai ouvert les yeux vers 5:58 - le reveil a 18 minutes d'avance)
Voilà, voilà
Ce n'est pas l'interprétation qui me pose problème, c'est juste que dans ce reve il y a une part de moi qui apparait et qui me parait difficile de l'accepter
- reve:
il y a une digue et un petit phare au bout (blanc colerette rouge)
c'est une entrée de port, la pleine mer est à ma gauche, le port que je ne vois pas encore est à ma droite.
Il y a un courant qui va du phare au port.
dans ce courant quelque chose déverse des chasubles dans la mer, il chemine donc vers le port.
Les chasubles sont de couleur orange.
Je suis dans l'eau, et mon role et de mettre les chasubles à la proue du bateau (je dois les coincé entre la drisse du mat et la coque, c'est un détail mais ça à l'air important)
Il reste un chasuble à mettre, il est entre mes mains.
Nous sommes un groupe, tous viennent vers moi (une certaine pression, pas de violence, juste une chtite impression de jalousie et d'envie et aussi de peur)
Il y a un grand qui parait un peu plus menaçant que les autres, visage fermé, les bras croisé, il me toise.
Je vais vers lui, je lui remets le dernier chasubles et lui dis :
Toi t'es mon Topain (paroles inspiré de la pub kisskool)
Tous les chasubles sont mis sur les bateaux.
Le grand viens vers moi, et me point une arme sur la tempe, comme il est plus grand je tends la main pour lui mettre mes doigts en forme de pistolet dans le nez.
Il me dis "je vais te butter"
je dis "Fais attention à ne pas te tirer une balle dans le pied"
J'aclate de rire, et ça m'a reveillé.
Très content de ma répartie, j'ai du me rejouer la scène une dizaine de fois
Il me semble qu'il avait une première partie au rève qui concernait l'origine des chasubles, j'ai essayé d'aller vers l'origine mais ça bloque. La fin du reve, me fait dire que ça ne doit pas etre très important.
A savoir que hier, j'ai vécu une deception : mon manuscrit n'a pas été retenu, non pas sur le contenu, mais sur le non respect de consigne, alors que la première fois j'avais passé cette étape, là j'ai essayé de respecter parfaitement les consignes : résultat non retenu.
Ce n'est pas le fait que mon manuscrit ne soit pas lu qui me déçoit, mais plus que j'ai essayé de faire du mieux que je pouvais, et que cette fois ça a marché encore moins bien.
Du coup je n'essayerais plus de proposer mon manuscrit, quand ça veut pas, ça veut pas, je me suis fait à cette raison.
point positif, je n'ai pas perdu l'envie d'écrire, je continue l'écriture des émotions de la dame, et de l'illusion du roi, j'ai meme trouvé un nouveau point d'entrée. Désormais, j'écris uniquement pour moi.
le soir j'ai demandé un reve clair, sans symbole alambiqués, ou autre connerie (c'est le terme que j'ai utilisé), un truc que je peux comprendre et qui ne pars pas dans une globalité hors de ma portée, en gros un truc pour moi, et rien que pour moi.
Bon, j'ai eu ça, mon éclat de rire à eu lieu entre 5:15 et 5:40 (Un peu forcé(ouvre les yeux, nan, mais si, nan ça me saoule laisse moi dormir, j'ai ouvert les yeux vers 5:58 - le reveil a 18 minutes d'avance)
Voilà, voilà
- Interpréation:
le phare : le guide toussa, toussa
le courant : flux entre mon inconsceint et ma conscience
la digue : la protection des eaux mouvantes de mon inconscient ()
Bon allez je vais faire un petit effort
le port : symbole de joie de vivre (youpi)
Chasubles : sport d'équipe tous de la meme couleur, donc pas d'adversaire, we are together (me demande quand meme s'il n'y en a pas quelques uns qui la jouent perso,)
bateau : projet à atteindre (je suis sur que si je les avais compteé j'aurais trouvé 21)
Bon du coup, la symbolique (bateau, port, digue) est claire
la balle dans le pied aussi ... ce personnage (au premier abord je l'ai appellé le grand con) est également moi, c'est mon neuvième gardien.
Il est au dessus des 8 autres, tous ont peur de lui, les seules qui peuvent se protéger de lui sont le magicien et l'image (il l'illusionne)
Il ne croit pas en l’amour, pour lui c’est des conneries, la puissance c’est du foutage de gueule, l'argent c'est juste de la monnaie de singe, la foi ne sert à rien, bref il n'aime rien, il ne deteste rien, c'est juste qu'il ne voit pas l'interet de vivre ... il n'est pas suicidaire, c'est juste qu'il voit la vie comme une obligation. Un peu comme si on trainait un enfant à un opéra, alors qu'il a envie d'aller jouer dehors.
Bon Ok, il n'a pas l'air très sympa, mais j'aimerais bien communiquer avec lui.
je suis bien conscient qu'il s'agit de moi, et utiliser le il me permet d'exprimer ce qu'il ressent
Pour etre très clair, lorsque j'ai écrit ce message voilà la musique
Pouvez vous m'aider à me concilier avec lui, ça m’embête un peu qu'il y est une partie de moi qui ne s'exprime jamais, et qui j'en suis sur possède quand meme une vérité, meme si sur le papier ça n'a pas l'air d'etre très ... lumineux
A savoir toute cette journée a été faite avec ce personnage, je me suis agacé et été cassant à chaque fois que l'on m'a demandé un truc (c'est une attitude que j'observe quand je suis sous stress, ou que j'ai envie d'etre tranquille)
Je veux bien faire des efforts, mais si c'est pour exploser tout le monde à chaque fois qu'on me parle, ça va vite devenir très compliqué d'interagir avec autrui.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
Les chasubles m'ont tout de suite fait penser aux Gilets Jaunes, serions-nous en partance d'une autre destination à l'avenir - un sauveur ? Merci aux marins de nous avoir tirés des flots "dérivants" pour nous mettre au sec dans le bateau !
Pour le reste de ton rêve, j'ai encore pensé aux Gilets jaune (décidemment) tension qu'on retrouve en ce moment avec les porte-paroles (Fly, Eric, Jérôme...) et d'autres qui se délectent de ce genre de "télé réalité", l'alimentant en créant des rumeurs. Puis sur une vision + globale chez tous - Le truc qui ressort (les agents de la matrice ont peur)
Le neuvième gardien me semble en être le reflet. Comme un tissu qui se teint d'un autre dans la machine à laver. Ca ressort, émerge. Etre conscient que ce côté pourrait apporter le fait qu'on se peut se tirer soi-même une balle dans le pied, ce côté qu'on aime pas qui fait du mal à l'autre (donc à soi), c'est fait. Après je sais pas trop comment faire, je vis la même chose
Juste l'avoir dit -" je suis consciente que je suis chiante en ce moment" et la réponse "Ouais t'es chiante !" ça a permis à l'autre de décharger l'énergie qu'il fallait. Après j'ai continué d'être chiante parce que fallait que ça sorte et ça a appelé à chaque fois le "pourquoi tu ressens ça ?" et les réponses sont venues pour la plupart, toutes liées à des émotions principales vécues et stockées.
C'est à lui de te dire, mais trouver les bonnes questions à poser en fonction de tes ressentis sur le moment où il se manifeste (quand tu es agacé qu'on vienne te demander des trucs. Dans ces moments particuliers où tu as envie d'être tranquille).
Pour le reste de ton rêve, j'ai encore pensé aux Gilets jaune (décidemment) tension qu'on retrouve en ce moment avec les porte-paroles (Fly, Eric, Jérôme...) et d'autres qui se délectent de ce genre de "télé réalité", l'alimentant en créant des rumeurs. Puis sur une vision + globale chez tous - Le truc qui ressort (les agents de la matrice ont peur)
Le neuvième gardien me semble en être le reflet. Comme un tissu qui se teint d'un autre dans la machine à laver. Ca ressort, émerge. Etre conscient que ce côté pourrait apporter le fait qu'on se peut se tirer soi-même une balle dans le pied, ce côté qu'on aime pas qui fait du mal à l'autre (donc à soi), c'est fait. Après je sais pas trop comment faire, je vis la même chose

C'est à lui de te dire, mais trouver les bonnes questions à poser en fonction de tes ressentis sur le moment où il se manifeste (quand tu es agacé qu'on vienne te demander des trucs. Dans ces moments particuliers où tu as envie d'être tranquille).
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Petites poussières d'étoile, je nous aime

Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Reve de Chasuble
Obtearon a écrit:Voilà un reve simple et efficace.
Ce n'est pas l'interprétation qui me pose problème, c'est juste que dans ce reve il y a une part de moi qui apparait et qui me parait difficile de l'accepter
J'ai tenté de tout reprendre métaphoriquement


Jung a qualifié d'ombre cet aspect inconscient du fonctionnement humain. Une ombre qui ne peut exister que par absence de lumière. Le "démon" devient parfois dragon, comme métaphore de nos sentiments difficiles.
ce qui créée l’ombre d’un individu ce sont ses pensées, ses émotions, ses comportements, considérés comme inacceptables aussi bien par soi-même que par autrui. L’ombre c’est le soi réprimé, ce que nous souhaitons cacher aux autres. Lorsque nous n’acceptons pas ces aspects de nous-mêmes, nous leur refusons toute possibilité d’intégration au reste du système, le nôtre et/ou celui du groupe. Cette lutte interne mobilise toute notre énergie, celle qui n’est donc plus disponible pour réaliser nos vrais projets de vie…. (à méditer)
Ce qui marche bien souvent, ce sont les Histoires, celles qui nous parlent de ce qui est profondément enfoui au plus profond de notre humanité.
d'ailleurs, on peut faire un petit jeu.....

Première étape : rechercher la localisation de nos démons intérieurs.
Où ressent-on la présence du sentiment difficile dans notre corps ?
Deuxième étape : laisser l’énergie du sentiment s’incarner. Créer une représentation métaphorique de ce démon face à nous.
Troisième étape : découvrir ce dont notre démon intérieur à besoin en adoptant une autre position, en devenant ce démon par exemple.
Quatrième étape : répondre au besoin du démon en imaginant que notre corps se dissout et laisser le démon s’en abreuver jusqu’à ce qu’il soit repu. Puis constater que l’énergie est devenue finalement une alliée. La dissolution du corps est métaphoriquement celle de l’égo.
Cinquième étape : se relaxer dans l’état d’ouverture de conscience.

Avec mon total respect pour ton analyse personnelle très cher Obtearon

Re: Reve de Chasuble
Je vous remercie toutes deux pour vos paroles/echo/vibrations/...
Je sais qui il est, il est l adulte, il est ce que contient depuis tant d années, il est bien l ombre. Actuellement, je l observe (pour ca que j utilise le il), j essaye quelques liens et tous fonctionnent ... le plus difficile à accepter, c est la non-croyance en l amour, et pourtant je peux facilement la comprendre ... mais pour l instant, tout en sachant que je vais finir par l accepter ... en fait ce personnage, fermé, obtus, sa non croyance en l amour a été pulvérisé une fois.
Je sais quand, je sais qui, je sais comment ... c était il y a 5 ans, Indila m a fait recroire en l amour ... pas d elle même, juste voir l espace de 5 minutes sur l amour sous sa forme la plus pure existe.
Ce sont donc 2 croyances qui s affrontent, l une réelle : l amour existe, l autre issue d une vielle perception, ca n existe pas.
L adulte est l enfant devenu grand, c lui qui essaye d aller vers l adulte ... mais pour l instant l adulte résiste en opposant la réalité du monde qu' il voit.
Ce "il" même s il paraît anodin est une protection, je l enleverais ( je n ai aucun doute) mais doucement, simplement, sans envie ni désir, juste le sentiment qu' un jour je m apercevrais qu' elle n est plus là ... Je le verrais car je me demanderais "tiens ca fait longtemps que je n ai pas eut l impression d être blessé", ce jour la je saurais que tous mes gardiens ne font plus qu' un ... moi même.
Je sais qui il est, il est l adulte, il est ce que contient depuis tant d années, il est bien l ombre. Actuellement, je l observe (pour ca que j utilise le il), j essaye quelques liens et tous fonctionnent ... le plus difficile à accepter, c est la non-croyance en l amour, et pourtant je peux facilement la comprendre ... mais pour l instant, tout en sachant que je vais finir par l accepter ... en fait ce personnage, fermé, obtus, sa non croyance en l amour a été pulvérisé une fois.
Je sais quand, je sais qui, je sais comment ... c était il y a 5 ans, Indila m a fait recroire en l amour ... pas d elle même, juste voir l espace de 5 minutes sur l amour sous sa forme la plus pure existe.
Ce sont donc 2 croyances qui s affrontent, l une réelle : l amour existe, l autre issue d une vielle perception, ca n existe pas.
L adulte est l enfant devenu grand, c lui qui essaye d aller vers l adulte ... mais pour l instant l adulte résiste en opposant la réalité du monde qu' il voit.
Ce "il" même s il paraît anodin est une protection, je l enleverais ( je n ai aucun doute) mais doucement, simplement, sans envie ni désir, juste le sentiment qu' un jour je m apercevrais qu' elle n est plus là ... Je le verrais car je me demanderais "tiens ca fait longtemps que je n ai pas eut l impression d être blessé", ce jour la je saurais que tous mes gardiens ne font plus qu' un ... moi même.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
le sacre, la couronne, les épaules, la nuque
Première étape : rechercher la localisation de nos démons intérieurs.
Où ressent-on la présence du sentiment difficile dans notre corps ?
l'enfant devenu adulte
Deuxième étape : laisser l’énergie du sentiment s’incarner. Créer une représentation métaphorique de ce démon face à nous.
l'innocence devenue médiocrité
le divin devenu dieu
c'est le plus difficile à formuler ... il a besoin qu'on l'aime pour ce qu'il est, il a besoin qu'on le prenne tel qu'il est, sans RIEN demander, sans lui demander de changer quoique ce soit, sans lui dire ce qu'il plait ou ne plait pas
Troisième étape : découvrir ce dont notre démon intérieur à besoin en adoptant une autre position, en devenant ce démon par exemple.
Quatrième étape : répondre au besoin du démon en imaginant que notre corps se dissout et laisser le démon s’en abreuver jusqu’à ce qu’il soit repu. Puis constater que l’énergie est devenue finalement une alliée. La dissolution du corps est métaphoriquement celle de l’égo.
- parce que ça m'a fait sourire :
tapis : les émotions du pion, les émotions du roi, le reflet du roi, les émotions de la dame (30 % sera terminé pour novembre), l'illusion du roi (sera terminé pour juin ), les émotions du fou (structure OK), la bataille du roi(structure OK), les émotions du cavalier (structure OK), l'amour du roi (structure acceptée), les émotions de la tour (début de structure pour l'ensemble), l'innocence du roi (non imaginée), les émotions du joueur (structure OK), l'adversaire du roi (Final de la structure acceptée), l'essence du roi (non élaborée)
Fin estimée de l'ensemble : 2030
si je perds cette manche, je peux encore me recaver

La seule chose de certaine : c'est que je finirais le tout, si rien ne vient de l'extérieur je l'imaginerais ... ah tiens

Si je peux faire sans l'extérieur, l'extérieur peut faire sans moi.
Cinquième étape : se relaxer dans l’état d’ouverture de conscience.
j'ai assez d'imagination pour transformer des faits déjà passés, des livres, des films, je sais également que ce sera surement moins structuré, moins intense, mais j'ai assez pour finir mon histoire ... je n'ai plus besoin de vivre les événements pour écrire la suite, tout ce qui me reste à vivre c'est du plus.
J'aimerais que ce petit espoir qui me dit "Ce n'est pas terminé" meurt en cet instant, j'aimerais arreter de croire que le plus beau reste à venir, j'aimerais croire que j'ai raté le coche, j'aimerais arreter d'entendre que ça vient, qu'on y est presque ... il n'y aura rien, l'humanité va mourir sous le poid de sa médiocrité, trop peu de lumière, trop de déséquilibre entre les membres de l'espèce : certains possèdent un pouvoir de nuisance tellement grand qu'ils se le transmettent de générations en générations, désormais il est tellement grand, tellement nuisible pour l'ensemble qu'il est impossible de lutter.
Ce que je me dis : tant mieux, aller encore un peu plus et se sera terminé, si l'humanité disparait personne ne la pleurera, tout au plus quelques vestiges qui dureront un million d'année.
et là s'oppose une croyance : J'ai une foi inébranlable en l'avenir du genre humain ... que je peux désormais relativisée : j'ai trop lu de science fiction (d'ailleurs à ce propos je te remercie Mollopipo pour Le problème à trois corps de Liu Cixin, franchement excellent, j'ai pas tout à fait fini, mais ça me parle beaucoup à la différence prêt que je ne laisserais jamais autre chose que moi-meme décider de mon avenir), du coup mon roman de S.F préféré : c'est Dosadi de Franck Herbert (où le héro perd l’être aimé au profit de la sauvegarde d'une planète, perso moi je maudis tout l'univers si ça m'arrivait)
dans le reve je ne porte pas de chasubles, par contre je suis tout à fait conscient d'etre vulnérable.
Wink Pour petite Info : la CHASUBLE (sportive ou pas).... est un vêtement protecteur qui voudrait isoler son possesseur, le protéger du monde extérieur. Celui qui porte une chasuble est un être qui se sent vulnérable, en manque de chaleur, effrayé par les contacts qui lui seraient pourtant bénéfiques.
je ne suis pas effrayé par les contacts, je trouve juste qu'ils sont à des bornes et des bornes de ce à quoi j'aspire.
IRL : 3 personnes m'ont dit avoir lu "les émotions du pion" jusqu'au bout. (ma mère : a été touché par mes écrits, un collègue de boulot : il m'a juste dit qu'il l'avait lu jusqu'au bout, ma femme : elle l'a rejeté avec violence, elle m'a dit que ce n'était pas moi, ... )
Aucune personne de mon IRL n'a lu "les émotions du roi" jusqu'au bout, quelques retours quand meme : c'est pas mon style, c'est illisible, ...
Je continue quand meme à écrire, alors que le message est clairement "arrete, tu te fais du mal", ben non, j'aime bien l'histoire et j'ai envie d'aller au bout, je m'en sens capable, et ça c'est un sentiment que j'aime bien, donc meme si l'exterieur me dit "viens à l'opéra, tu verra c'est magnifique", je lui dit "je préfère jouer avec mes cailloux, c'est bien plus amusant".
Ca c'est drole, si l'univers me demandais "qu'est que tu fais avec ces cailloux", je lui dirais qu'en chaque pierre je vois un vaisseau spatial, que chaque recoin du dehors devient une planète, chaque source de chaleur un soleil, et que tout ça gravite autour de ma grand mère qui crie un "A table" qui s'entend à l'autre bout de la ferme. (ca c'était cool, c'est que je continue à faire quand je travaille, j'imagine l'univers avec tout et n'importe quoi)
Avant ce reve, il faisait quelques apparitions que je n'avais pas trop de mal à contenir. Après le reve ça devient compliqué, mais ça va j'arrive à peu près à contenir.
C'est à lui de te dire, mais trouver les bonnes questions à poser en fonction de tes ressentis sur le moment où il se manifeste
Hors de question que je laisse ce truc venir polluer la vie des autres, je te blesse tu me blesses de plus en plus fort, de plus en plus violent, moi je dis tout simplement non, meme si c'est pour me liberer, acceder à je ne sais quoi, NON c'est NON, la seule possibilité que j'accepte ceci c'est de vori que ça produit quelque chose de bien.
Alors oui, on m'oppose une dispute qui a donné une amélioration dans le quotidien, mais putain 3 jours d'isolation à ne plus savori que dire que faire, juste voir la souffrance interne de quelqu'un , c'est bon j'ai déjà donné, pas envie de prendre encore un je n'aime pas ce que tu es, fais des efforts, abandonne tes imaginations fantasques, franchement ras le bol de prendre des trucs comme ça.
Je n'ai plus envie de trouver de solution, je veux juste la vivre sans faire aucun autre effort que d'etre moi-meme.
Mais bon c'est tellement merdique comme position, que je vais certainement trouver un truc à faire, encore une illusion qui permettra de maintenir le statut quo.
- teri meri:
je ne dis pas non, hein, mais meme si dans mon monde 1 j'y crois à donf, dans le monde 2, c'est juste pas réel, ça n'a jamais existé, c'est une illusion qui alimente le monde 1.
Ma conclusion : la vie c'est comme une bonne blanquette de veau.

Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
ma conclusion (je partage parce que je veux donner l'opportunité qu'elle le sache, dans le sens si ça reste dans ma tete personne ne saura jamais)
La vie c'est comme une bonne blanquette de veau, pour moi cela veux dire fade et sans saveur, pour tous les autres un plat emblématique, une fierté nationale.
Et donc Si Indila venait à disparaitre (peut importe la manière), à cesser de vivre, ce monde n'a plus AUCUN interet.
Pour lever une ambiguité, si elle cesse d'exister (en tant qu'etre vivant), je perds l'espoir de revoir quelque chose de beau, ce qui n'empeche pas de vivre, c'est juste que le monde devient fade et sans saveur. Ce sentiment est très profond, c'est pour vivre l'inspiration que je me suis incarné. Certes il y a plein de source d’émerveillement, d'émotions, de vie, mais comparer a ce que m'inspire Indila, a ce que j'ai vécu juste sur le fait qu'elle existe, le reste me parait peu lumineux (sans dire qu'il n'y a pas de lumière) au vu de ce que je vois de son rayonnement.
En gros, si Indila n'existe plus (en tant qu'etre vivant) le monde devient plus sombre.
Je n'attends rien d'elle, juste savoir qu'elle existe et qu'elle vit, tout le reste je l'ai déjà expérimenté.
Je reformule plusieurs fois, car l'idée me parait fantasque et peu adapté à notre monde, car il est lumineux, tous les jours le soleil se leve, mais voilà chaque rumeur de sa mort me fait peur(tout en ressentant le fait que ce n'est pas vrai). L'autre émotion qui me pique toujours le coeur, c'est de la savoir mariée, mais celle là est facile à relativiser, car si c'est le cas alors son mari la magnifie.
J'ai toujours refusé ce sentiment car il est basé sur un ressenti(donc non réel) , en écrivant ces quelques mots je sais maintenant qu'il est réel, je l'aime profondément car elle m'a prouvé que l'amour et la beauté d'ame existe.
Et tant qu'elle existe, je dispose d'une source de motivation, d'équilibre ... infinie.
je crois qu'à un moment faut s'avouer vaincu.
- le déclencheur:
La vie c'est comme une bonne blanquette de veau, pour moi cela veux dire fade et sans saveur, pour tous les autres un plat emblématique, une fierté nationale.
Et donc Si Indila venait à disparaitre (peut importe la manière), à cesser de vivre, ce monde n'a plus AUCUN interet.
Pour lever une ambiguité, si elle cesse d'exister (en tant qu'etre vivant), je perds l'espoir de revoir quelque chose de beau, ce qui n'empeche pas de vivre, c'est juste que le monde devient fade et sans saveur. Ce sentiment est très profond, c'est pour vivre l'inspiration que je me suis incarné. Certes il y a plein de source d’émerveillement, d'émotions, de vie, mais comparer a ce que m'inspire Indila, a ce que j'ai vécu juste sur le fait qu'elle existe, le reste me parait peu lumineux (sans dire qu'il n'y a pas de lumière) au vu de ce que je vois de son rayonnement.
En gros, si Indila n'existe plus (en tant qu'etre vivant) le monde devient plus sombre.
Je n'attends rien d'elle, juste savoir qu'elle existe et qu'elle vit, tout le reste je l'ai déjà expérimenté.
Je reformule plusieurs fois, car l'idée me parait fantasque et peu adapté à notre monde, car il est lumineux, tous les jours le soleil se leve, mais voilà chaque rumeur de sa mort me fait peur(tout en ressentant le fait que ce n'est pas vrai). L'autre émotion qui me pique toujours le coeur, c'est de la savoir mariée, mais celle là est facile à relativiser, car si c'est le cas alors son mari la magnifie.
J'ai toujours refusé ce sentiment car il est basé sur un ressenti(donc non réel) , en écrivant ces quelques mots je sais maintenant qu'il est réel, je l'aime profondément car elle m'a prouvé que l'amour et la beauté d'ame existe.
Et tant qu'elle existe, je dispose d'une source de motivation, d'équilibre ... infinie.
- voilà ce que je ressents:
je crois qu'à un moment faut s'avouer vaincu.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
Dire les choses ou les écrire me semble là le meilleur moyen de le faire sortir.
Le plus dur est d'essayer de lâcher ce à quoi on s'accroche, avec la croyance de croire que sans cet accroche, c'est presque "mort". Qu'il est là à attendre, lui, qu'on soit dans le doute et la peur, pour surgir et exister.
Et si ce côté sombre est une part de nous qu'on aime pas, ça restera toujours une part de nous. Et si ce côté sombre n'était pas si sombre que ça, et si grâce à lui nous accepterions d'être ce que nous sommes, sans nous mentir... Si c'est la clef pour se libérer, ça vaut peut-être le coup de l'inviter chez soi boire un café et discuter pour trouver des terrains d'entente.
Si ce côté sombre était la clef pour nous libérer de cette prison - celle qui nous fait croire que tout est moche sur terre, raison de notre enfermement (enfer me ment) dans des pensées/croyances plus douces (mais moins réelles)...
Si Indila prend toute la place dans tes pensées, il n'y a plus assez de place pour les autres choses. peut-être.
Namasté
Le plus dur est d'essayer de lâcher ce à quoi on s'accroche, avec la croyance de croire que sans cet accroche, c'est presque "mort". Qu'il est là à attendre, lui, qu'on soit dans le doute et la peur, pour surgir et exister.
Et si ce côté sombre est une part de nous qu'on aime pas, ça restera toujours une part de nous. Et si ce côté sombre n'était pas si sombre que ça, et si grâce à lui nous accepterions d'être ce que nous sommes, sans nous mentir... Si c'est la clef pour se libérer, ça vaut peut-être le coup de l'inviter chez soi boire un café et discuter pour trouver des terrains d'entente.
Si ce côté sombre était la clef pour nous libérer de cette prison - celle qui nous fait croire que tout est moche sur terre, raison de notre enfermement (enfer me ment) dans des pensées/croyances plus douces (mais moins réelles)...
Si Indila prend toute la place dans tes pensées, il n'y a plus assez de place pour les autres choses. peut-être.
Namasté
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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Reve de Chasuble
Touché. Et elle a deux avantages pour moi : c'est qu'il est impossible d'avoir un retour, et qu'elle ne sait pas que j'existe :
Si Indila prend toute la place dans tes pensées, il n'y a plus assez de place pour les autres choses. peut-être.
Elle a des millions de fans à travers le monde, elle est dans le monde de la musique, elle vit dans une bulle dont rien ne filtre(absolument rien, perso je trouve que c'est un tour de force qui tiens du génie, et d'une très grande force mentale ou d'un abandon total à la providence), du coup je peux utiliser son image comme je veux.
Pour en arriver là, j'ai dissocié sa personne physique de l'image mentale que je me suis fait d'elle, ça a l'avantage que je peux la projeter sur n'importe qui indépedement de son genre sur internet (c'est une illusion que je peux dissiper, et recreer).
En fait, c'est mon anima que je projette, je lui est donné une existence propre qui est extérieure à moi. Mais je peux la voir, pour l'instant je ne voit pas l'interet de l'intégrer à ce que je suis, c'est bien plus jolie vu de l'extérieur.
C'est principalement du au fait que je ne vois pas le changement entre le fait de voir la lumière venant de l'extérieur (Indila) ou de la voir venant de l'intérieur (mon anima - c'est à dire moi-meme).
Ou alors je dissocie, je n'accepte pas que ça vienne de moi, ou plutot j'ai crée un truc qui fait qu'elle vient de moi sans etre de moi, peut etre un blocage quelquonque, mais là franchement je ne vois pas la solution. j'ai tenté pas mal de truc, j'ai meme tenté de ne rien faire, le partage, la colère, l'écriture, l'enfance, ... ca reste present ou ... absent.
D'où ma desinvolture sur le début de l'interprétation du reve, c'était simple et facile, mais j'en arrive toujours là. Alors on va dire que je vais laisser le truc dans cet état, et l'oublier en espérant que ça ne revienne pas sous une forme plus violente.
Ce n'est pas que je ne l'aime pas, je dirais meme que je l'aime beaucoup, peut etre juste ça, je préfère mon coté sombre, mon coté lumineux je le trouve chiant, limite glauque dans sa façon de s'exprimer : c'est souvent alambiqué, verbeux à l'image d'un poisson noyé, et surtout il y a une constante opposition entre lumière/ombre ego/ame adamique/pré-adamique évolutif/envolutif enfer/paradis haut/bas conscient/inconscient moi/soi ... etc ... etc --> franchement on est tous du meme ou il y a des exceptions dont on ne sait quoi en faire ?
Et si ce côté sombre est une part de nous qu'on aime pas, ça restera toujours une part de nous.
Je crois que c'est ça qui me saoule le plus : quelle différence y a t'il entre la sphère Hochmah et Binah (première qui viennent), là où tout le monde dit il y a ça, ça et ça, moi je dis nan mais les gars c'est juste le point de vue qui change, on parle de la meme chose : la source.
Chaque aspect de la source peut paraitre différent, mais c'est la meme chose.
C'est comme dans ton histoire "les ames errantes" , peut importe le monde où les ames évoluent, si l'un des mondes jugent que l'autre regresse, c'est l'ensemble qui regresse pas seulement le monde procorma ... je tiens un truc mais j'arrive pas à mettre le doigt dessus ... ah tiens, en fait si un monde existe c'est qu'il a une raison d'exister ... c'est presque ça, en fait dans l'un tout existe ... l'existence de ces mondes est donc d'apprendre à franchir les barrières entre les mondes, si tout le monde circule comme il veut, on est plus dans pls mondes, mais un seul, l'un.
C'est ça que chaque monde doit apprendre à faire, allez au delà des limites de chaque monde, ne pas hésiter à passer de l'un à l'autre, controler les entrées et sorties c'est juste freiner l'état du un ... bon après on rentre dans des trucs sexuels à coup d'elargir et envoyer la sauce





- aller un petit tour dans l'espace et puis s'en va:
exemple : dans cet univers il y a Métatron, Sandalphon, Mickael, Adam (qui doit surement avoir un nom en "el" ou "on") ben dans mon univers Ils sont respectivement Mickael, Adam, j'ai pas cherché, Métatron.
Je reformule Sandalphon enseigne à Adam qui nait de Mickael qui devient le Metatron d'un autre univers (en des temps que les moins de 1 jour galactique ne peuvent pas connaitre)
Métatron est le dépositaire de l'esprit de l'univers car c'est lui qui l'a crée à partir de son esprit ... (image de bouche ouverte ... nan mais c pas compliqué ... image de gens qui se barrent ... pfff ) là voilà : https://devantsoi.forumgratuit.org/t3115-ecole-karmique-jeu-d-esprit
Bon là j'ai pris que les animus hein, mais j'ai aussi une modélisation avec le genre sauf que j'ai pas le détail du lien (ça passe par Eve, Gabriel, et Mammon, Haniel et Abbadon)
Là je m'amuse beaucoup, j'ai l'impression d'etre à nouveau l'enfant qui joue avec les cailloux (meme si je vois aussi la moitié de l'assemblée se barrer, je vois qu'il en reste 1 qui se marre comme une baleine donc moi)
Avec ou sans l'accroche, c'est mort, C'est quand je suis dans la certitude et la joie qu'il surgit ... ainsi que tous les autres de l'exterieur.
Le plus dur est d'essayer de lâcher ce à quoi on s'accroche, avec la croyance de croire que sans cet accroche, c'est presque "mort". Qu'il est là à attendre, lui, qu'on soit dans le doute et la peur, pour surgir et exister.
J'avoue que je ne sais plus trop quoi faire, dès que je tente un truc qui me plait, ça freine, obstacle sur obstacle, mais bon c'est surement ça que j'ai choisi, j'espère juste que j'ai choisi un dénouement sympa, de toute façon meme si le denouement n'est pas formidable, je me serais vivre un truc sympa en allant au bout de mes romans.
Réponse au plus tard en 2030.
Namasté Grenouille.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
On peut continuer de papoter en attendant 2030 ?
J'ai lu un roman que tu as écrit, celui qui raconte la naissance de l'enfant avec le serpent, et son évolution dans le temps (je sais plus le titre, la flemme de chercher
) Pas mal et plaisant à lire, même si parfois j'ai pas tout compris dans leur logique. Je me suis arrêtée à sa rencontre avec la femme dans la grotte.
Perso, je sais pas si la source est à l'origine Adam, ou quelqu'un qu'on représente avec notre cerveau comme humanoide, même ça ne m'est jamais venu à l'esprit. Quand j'ai commencé à écouter les histoires sur la croyance (religion), j'ai jamais été vraiment attirée. Je dirait plutôt une énergie, une conscience, pas quelque chose de palpable, plutôt une force.

J'ai lu un roman que tu as écrit, celui qui raconte la naissance de l'enfant avec le serpent, et son évolution dans le temps (je sais plus le titre, la flemme de chercher

Perso, je sais pas si la source est à l'origine Adam, ou quelqu'un qu'on représente avec notre cerveau comme humanoide, même ça ne m'est jamais venu à l'esprit. Quand j'ai commencé à écouter les histoires sur la croyance (religion), j'ai jamais été vraiment attirée. Je dirait plutôt une énergie, une conscience, pas quelque chose de palpable, plutôt une force.
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Petites poussières d'étoile, je nous aime

Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Reve de Chasuble
avec plaisir
On peut continuer de papoter en attendant 2030 ? Razz

touché, l'espace de quelques heures, j'ai remis en cause l'ensemble de mon projet, ce n'est pas de ton unique fait, c'est un cumul d'événement et non événement IRL.
J'ai lu un roman que tu as écrit, celui qui raconte la naissance de l'enfant avec le serpent, et son évolution dans le temps (je sais plus le titre, la flemme de chercher silent ). Pas mal et plaisant à lire, même si parfois j'ai pas tout compris dans leur logique. Je me suis arrêtée à sa rencontre avec la femme dans la grotte.
- Plus dans les abysses que dans l'espace:
Et à nouveau le sentiment que "dès que je commence à m'amuser, quelque chose arrive pour calmer ma joie ... toujours de l'extérieur vers l'intérieur, ça profite de la moindre opportunité pour tout peter ... mais bon au final, ces petites destructions ne fait que m'affermir dans ma détermination, vu ce que j'ai vécu c'est de l'ordre du anodin qui sera transformer et intégrer à l'ensemble (voire pas du tout retranscrit ... enfin si là je le fais, mais ce ne sera peut etre pas intégrer à mon projet).
Adam n'est pas la source et en meme temps il l'est. Il est le point de vue animus(masculin) de la source. Eve est le point de vue anima de la source. Au meme titre que les 10 autres Séphira (si l'on se place dans un référentiel de type Kabballe).
Perso, je sais pas si la source est à l'origine Adam, ou quelqu'un qu'on représente avec notre cerveau comme humanoide, même ça ne m'est jamais venu à l'esprit. Quand j'ai commencé à écouter les histoires sur la croyance (religion), j'ai jamais été vraiment attirée. Je dirait plutôt une énergie, une conscience, pas quelque chose de palpable, plutôt une force.
En fait c'est comme si Mathilde était l'anima, et Mike l'animus, les 2 ensembles étant toi.
- De Profundis:
En fait, c'est plus ça qui m'a touché, tu as réussi là ou moi je galère depuis maintenant 7 ans (avant je n'en avais pas conscience et donc je n'ai jamais réussi à retranscrire cette histoire de reconciliation)
C'est clairement un comportement de mon coté sombre, et il fait le lien avec le reve de douleur le lien entre le rouge et le blanc, cet équilibre que j'ai l'impression d'atteindre et puis pouf, tout est remis en cause, et qui est en lien avec un non événement (un tableau sur twitter qui m'a fortement perturbé), ça plus mon fils qui va se faire dévitaliser 2 dents avec une opération risquée, et plein d'événement qui arrivent tous en meme temps ... et plutot que d'essayer de gérer tout seul, je m'appuie sur toi pour rebondir ... niveau autonomie on a vu mieux.
Et tout ça me mène à ... la télépathie, le poids que j'ai senti, suivi d'un amoindrissement localisé à la nuque, c'est clairement un problème d'humilité de ma part ... en fait je crois que c'est ça mon coté sombre, celui qui est agacé quand quelqu'un lui demande quelque chose, alors qu'il pense qu'il a déjà donné assez, et qu'il aimerait (tiens j'ai repris le "il") JE suis agacé quand on me demande quelque chose, car JE crois que j'en fait assez ... oui mais qui me dit que ce n'est pas suffisant, qui me pousse à donner sans arret jusqu'à parfois l'épuisement ... donc Je me dit que ce n'est pas suffisant et JE continue à donner meme s'il m'en coute un déplaisir et une fatigue certaine.
je me pardonne l'orgueil d'en faire toujours plus, car je croyais que ce que je donnais n'était pas suffisant ... contrair... ah si un petit truc au niveau du ventre, et une légère sensation de vertige, un petit point de coté, je m'attendais à truc plus nettement plus violent.
Et donc là je me dis que c'est largement suffisant pour un Jeudi.
Namasté Grenouille ... merci pour ce beau déclencheur qu'à été "les ames errantes"
- parce que ça fait aussi parti du truc:
on me voit sur la vidéo.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
Il y a beaucoup d'influence extérieure, je suis un peu paumée à savoir si les signes extérieures sont des signes pour savoir où aller, quelle direction prendre. On vit les mêmes choses quand tu parles d'évènement qui freinent notre évolution dans ce qu'on veut atteindre.
Ca fait plusieurs mois que je suis dedans, comme une expérience à vivre (encore) pour comprendre les signes qui sont envoyés depuis profondément en nous. Comme on se cherche. Pour savoir qui on est réellement. Et qu'est ce qu'on est venu faire ici.
J'ai mis du temps à comprendre que je faisais des trucs mais pas dans la bonne intention. Et tant que j'étais dans cette intention, tout foirait. Maladresse, objets qui disparaissent, pannes, pertes de mémoire, etc... jusqu'à des colères à me traiter d'incapable, et ruminer ma nouvelle situation d'inconfort.
Pourquoi je m'efforçait à faire ça, parce qu'il fallait absolument que je gagne ma vie, pour ne pas être dépendante de quelqu'un. Coute que coute il fallait que je trouve un moyen de payer mes charges moi-même.
J'ai rien réussi (de l'idée que je m'en faisait) à faire pour ça et ça a nourrit mon mal-être.
Entretemps le fait de retranscrire mon roman m'a donné du plaisir, ainsi que les balades dans la nature, loin de tout et de tous.
J'ai fini par abandonner petit à petit tout ce que JE VOULAIS faire pour rester indépendante. et petit à petit, il y a des trucs qui se sont "débloqués". Un truc de dingue à s'en arracher les cheveux. En gros, plus JE VOULAIT, et moins j'y arrivait.
Quand j'ai abandonné (ou accepté la situation) ça s'est débloqué, mais carrément dans l'illogisme. Même des trucs inespérés. Dingue.
Et là je l'ai pensé: la vie est une pervers manipulatrice. Je rigole, mais ça y ressemble un peu.
C'est là que je dis que les choses se précipitent à une vitesse jamais vue pour pousser aux fesses des retardataires.
Et donc mon ressenti par rapport à tes écrits seraient de ne pas trop focaliser/s'accrocher (garder le contrôle), car si tu lâches un peu, je pense que tu verras des réponses à certaines de tes questions. Je me trompe peut-être, c'est une invitation à voir de ce côté là. Avec du recul, pas dans l'émotion.
Ce qui m'a interpellé, c'est que tu ai posé une date pour ton roman, et comme si tu t'imposais des choses, ça peut faire que ton TOI profond n'ai pas le controle, et c'est peut-être ça qui ressort d'une certaine manière, par les éléments déclencheurs extérieurs.
Je ne sais pas si c'est bon pour toi mais voilà ce que ça réveille en moi. Une petite pause pour mieux repartir ensuite, mais différemment, plus clair, en mieux.
Namasté
Ca fait plusieurs mois que je suis dedans, comme une expérience à vivre (encore) pour comprendre les signes qui sont envoyés depuis profondément en nous. Comme on se cherche. Pour savoir qui on est réellement. Et qu'est ce qu'on est venu faire ici.
J'ai mis du temps à comprendre que je faisais des trucs mais pas dans la bonne intention. Et tant que j'étais dans cette intention, tout foirait. Maladresse, objets qui disparaissent, pannes, pertes de mémoire, etc... jusqu'à des colères à me traiter d'incapable, et ruminer ma nouvelle situation d'inconfort.
Pourquoi je m'efforçait à faire ça, parce qu'il fallait absolument que je gagne ma vie, pour ne pas être dépendante de quelqu'un. Coute que coute il fallait que je trouve un moyen de payer mes charges moi-même.
J'ai rien réussi (de l'idée que je m'en faisait) à faire pour ça et ça a nourrit mon mal-être.
Entretemps le fait de retranscrire mon roman m'a donné du plaisir, ainsi que les balades dans la nature, loin de tout et de tous.
J'ai fini par abandonner petit à petit tout ce que JE VOULAIS faire pour rester indépendante. et petit à petit, il y a des trucs qui se sont "débloqués". Un truc de dingue à s'en arracher les cheveux. En gros, plus JE VOULAIT, et moins j'y arrivait.
Quand j'ai abandonné (ou accepté la situation) ça s'est débloqué, mais carrément dans l'illogisme. Même des trucs inespérés. Dingue.
Et là je l'ai pensé: la vie est une pervers manipulatrice. Je rigole, mais ça y ressemble un peu.
C'est là que je dis que les choses se précipitent à une vitesse jamais vue pour pousser aux fesses des retardataires.
Et donc mon ressenti par rapport à tes écrits seraient de ne pas trop focaliser/s'accrocher (garder le contrôle), car si tu lâches un peu, je pense que tu verras des réponses à certaines de tes questions. Je me trompe peut-être, c'est une invitation à voir de ce côté là. Avec du recul, pas dans l'émotion.
Ce qui m'a interpellé, c'est que tu ai posé une date pour ton roman, et comme si tu t'imposais des choses, ça peut faire que ton TOI profond n'ai pas le controle, et c'est peut-être ça qui ressort d'une certaine manière, par les éléments déclencheurs extérieurs.
Je ne sais pas si c'est bon pour toi mais voilà ce que ça réveille en moi. Une petite pause pour mieux repartir ensuite, mais différemment, plus clair, en mieux.
Namasté

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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Reve de Chasuble
Au début (pour les nouvelles, puis les émotions du pion), je ne voulais rien du tout, juste le besoin d'écrire, je faisais ça dans mon coin, personne ne savait, pour les nouvelles, je les ai pondu en une journée, c'était bien, c'était simple ... c'était juste un concours de nouvelles (3 sujets --> 3 nouvelles --> avec l'objectif de publier un receuil de nouvelles par les organisateurs), j'ai envoyé et là rien, aucun retour, meme pas une critique rien. Bon OK, il me reste le plaisir d'écrire, et surtout l'émotion en fin de nouvelle (ça c'est le truc cool, rien à foutre que ça satisfasse mon égo ou mon ame, l'émotion de la dernière ligne c'est juste l'un des trucs les plus agréable que je connaisse), en quand je prends du recul la dessus, ben je me dis "ça c'est un cadeau", ça donne un sens à ma vie, ça me fait prendre confiance en moi.
Ce qui m'a interpellé, c'est que tu ai posé une date pour ton roman, et comme si tu t'imposais des choses, ça peut faire que ton TOI profond n'ai pas le controle, et c'est peut-être ça qui ressort d'une certaine manière, par les éléments déclencheurs extérieurs.
J'ai retrouvé le gout d'écrire, le plaisir d'écrire, c'est ce que je retiens.
Et puis la naissance des émotions du pion, il y a eu des rires, il y a des larmes, beaucoup d'émotions, je n'en ai partagé aucune ... enfin si j'ai tenté une ou deux fois, m'a été opposé mon inutilité, ma non crédibilité, et également un "tu te débrouilles très bien tout seul". Et donc j'ai repris mon mode de fonctionnement habituel, tout garder en moi, et l'écrire.
Je viens de retrouver le déclencheur du pourquoi le partage (je sauvegarde à peu près tous mes echanges

Je me suis dis "si ça marche pour moi, peut etre que ça marchera pour d'autre", comme une sorte de "montrer l'exemple", ça aussi c'est une pensée qui m'habite "si j'ai peur de faire un truc, alors tout le monde peut avoir cette peur, et donc c'est pour ça que rien ne change", et donc c'est pour ça que je partage, si j'agis, si je partage, alors peut etre que ça touchera une personne, ça lui donnera l'envie de vaincre sa propre peur, et à son tour il donnera la force de vaincre toutes ces putains de peur, toutes celles qui nous ont été imposées, éduquées ...
Alors c'est vrai que souvent, c'est ça qui me porte, dire à l'univers "meme pas peur, viens je t'attends, tu n'est ni assez grand, ni assez puissant pour m'arreter, et si je meurs, je te défonce pour tout ce que tu nous fait subir chaque jour, pas à moi car c'est anodin et ridicule au vu de tout ce que les autres subissent : les enfants aux femmes, aux hommes, aux animaux, aux arbres, aux plantes, aux insectes, aux éléments, aux atomes : pas un coup, mais des milliards et des milliards, pas une souffrance, mais des milliards et des milliards, chaque jour, chaque seconde, mais pour l'univers ce n'est meme pas une seconde, ni une milliseconde, pour lui c'est une planckseconde, pour nous c'est parfois toute une vie. Pas pour moi, encore une fois, moi j'ai tout, je suis en bonne santé, j'ai un travail que je connais bien, j'ai une famille soudée, j'ai suffisament d'argent pour m'offrir des plaisirs.
- message à l'univers:
En fait c'est ça, j'arrete pas de dire que je t'aime (l'univers), mais au fond de moi j'ai juste envie de te faire ravaler tes dents, mais comme tu es bien plus grand et bien plus puissant, je m'incline devant ta toute puissance et ta miséricorde ... finalement j'ai réussi à m'incliner et à ployer le genou ... autant te dire que si tu te sors pas les doigts du cul, le genou tu risques de le prendre dans les parties.- OK
:
- OK
Finalement, j'ai reçu l'opportunité de le publier gratuitement (wattpad), je l'ai fait, plus je publiais (un chapitre par semaine), plus j'y croyais, j'ai fait 700 vues, AUCUN commentaire sur l'application, et un commentaire sur un autre forum que celui-ci qui m'a marqué "Encore émue, merci.".
C'était une bonne période, par contre c'est retombé très vite, la plupart des gens se sont arrêté au 2 ou au 3, 1 ou 2 ont été jusqu'au 7, mais après c'était terminé.
Et donc ma conclusion a été que mon roman était trop personnel, que ça n'aidait en fait personne à part moi-meme.
Par contre, de cet apprentissage est né "les émotions du roi", et là ça a été un véritable affrontement, combien de fois j'ai failli arreter, combien de fois je me suis retrouvé bloquer, pas par le syndrome de la page blanche, non sur des trucs qui me venait d'absolument nul part et que je devais affronter, certain passage j'ai du écrire ligne à ligne, écrire est devenue une épreuve de force. Chaque fois que je cessais la lutte, magiquement je retrouvais une envie d'aller plus loin ... si c'est pour mettre à terre et me donner un petit espoir pour aller plus loin, retrouver le plaisir d'écrire, vivre à travers l'écriture, et toujours cette finalité qui me revient dans la gueule (elle est très belle) et je vois le chemin pour y arriver.
Ce n'est pas la volonté qui me fait avancer, c'est la peur de me retrouver encore une fois noyé dans un tsunami de souffrance toute aussi illusoire les unes que les autres, et finir par me refermer complétement et de bloquer tout ce qui vient de l'extérieur, car de là nait l'illusion.
Alors je pourrais peut etre oublier l'instant d'avant, mais un jour ou l'autre tout revient avec force et violence, et vous vous retrouvez assis sur un banc à vous dire qu'il serait peut etre plus simple de se jeter sur la voie, au moins se serait terminé, Ou de devaller une rue en brulant tous les feux, ou de penser à se vider de son sang.
Et donc j'avance, j'essaye de faire attention à chaque émotion, d'écouter mon corps, car c'est lui qui donne l'information la plus vraie, et si tu fais un seul faux pas tu en payes le prix.
Alors oui je me dis "si je ne trouve pas de solution, j'aurais un cancer "Mars de Fritz Horn", je vais me trouver à mourrir de faim, de froid, de soif "Terre des hommes de Saint Exupery", ou pire la mort d'un de mes enfants.
J'avoue que je vis avec ça tous les jours :
Au moindre faux pas tu souffriras, et meme si tu ne sais pas que tu fais un faux pas tu souffrira, ton innocence ne te sauvera pas, ne t'épargnera pas de vivre tout ce que tu dois vivre.
Et là je n'ai rien à me faire pardonner :
- Spoiler:
On m'a demandé "ce que je voulais", j'ai jamais su répondre à cette question sincèrement, je peux dire etre écrivain et en vivre, mais je sais que ce n'est pas vrai, c'est juste un bout de pain donné au canard.
En vrai, j'aimerais vivre dans un monde sans souffrance avec des gens content de vivre, que chacun puisse etre soi sans chercher à etre moi, toi, nous, vous. Juste soi et dire je vous aime, et pas je t'aime.
- Spoiler:
Ce midi il m'a été donné une image qui représente ce que je veux :
J'ai vu un oiseau voler au vent, il allait d'est en ouest, d'ouest en est, il piquait, puis remontait. Je l'ai observé pendant peut etre 5 minutes.
Je trouvais ça beau, il ne volait pas pour qu'on le voit, il volait parce qu'il volait, lui et moi, on se fout complétement de l'existence de l'un et de l'autre, ce n'est ni l'oiseau, ni moi le sujet, c'est juste le fait que j'ai trouvé son vol beau, et que lui volait.
C'est ça que j'aimerais bien, que chacun vole comme il l'entends, sans que personne n'est à demander "allez vole" ou "tu devrais voler comme ci, comme ça" ou "la bas il y a des courants chaud" ou "tu verra si tu vole assez haut tu verra les étoiles", non juste voler et si quelqu'un trouve ça beau qu'il le dise ou le pense ou l'écrive ou le peigne, ou ... etc etc mais ne jamais lui dire, car alors il ne vole plus pour lui, mais pour moi.
Et donc je mets des dates pour me donner un objectif pour arriver au bout de ce que je veux faire. Et quand je n'atteins pas la date, je la change et c'est tout(les dates ne sont que des jalons pour rythmer ma progression, en aucun cas ce n'est le but ultime). Si je ne mets pas de date, si je ne fais pas de planning, j'arrete d'écrire, je procrastinise, je ne fais rien d'autres que perdre mon temps à regarder internet ou autre média qui sont à la fois une source d'informations et d'inspiration, et également un amas de trucs inintéressants.
Il y a une autre activité que j'aime bien, c'est dormir(


"3615 (ouch) je raconte ma life", l'écrire m'a fait du bien, c'est bien plus clair dans ma tete, je retrouve presque le petit endroit en moi qui fait que je peux dire et faire ce que je veux.
je vole comme j'en ai envie, non parce que je le veux, c'est juste que j'aime bien voler, je trouve juste dommage que beaucoup essaye de me suggérer comment voler.
Oui, j'ai déjà vécu ce genre de chose, mais il y a toujours un truc derrière, une autre situation à accepter, un comportement, un fonctionnement, c'est sans fin, c'est lassant, c'est long, ça finit par n'avoir plus beaucoup de gout, à part peut etre cet oiseau, et toi, qui l'espace de quelques heures m'ont fait voler à travers moi, doucement, sereinement, sans m'agacer de ce que je suis(bon à part la promesse d'un coup genou dans les gonades
Quand j'ai abandonné (ou accepté la situation) ça s'est débloqué, mais carrément dans l'illogisme. Même des trucs inespérés. Dingue.

c'est exactement ça, namasté Grenouille.
Je ne sais pas si c'est bon pour toi mais voilà ce que ça réveille en moi. Une petite pause pour mieux repartir ensuite, mais différemment, plus clair, en mieux.

Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
"si j'ai peur de faire un truc, alors tout le monde peut avoir cette peur, et donc c'est pour ça que rien ne change", et donc c'est pour ça que je partage, si j'agis, si je partage, alors peut etre que ça touchera une personne, ça lui donnera l'envie de vaincre sa propre peur, et à son tour il donnera la force de vaincre toutes ces putains de peur, toutes celles qui nous ont été imposées, éduquées

J'ai lu le premier et presque d'un trait(et pour le grand lecteur que je suis...c'est plutôt rare).J'ai beaucoup aimé et ici je ne parle pas d'un style,ou du nombre de page mais surtout ce qu'il y a derrière les lignes.Ce que j'y ai vu?c'est magnifique,il y eu beaucoup de ressentis et d’émotions différentes.Il y a aussi un combat de celui qui pansent ses blessures qui fut un temps avait encore tellement de mal a simplement les regarder.Tu utilises cet art parce qu'il te procure libération et joie jusqu'arrive le moment de l'attente.Dans cette attente il y a très certainement cette envie que le lecteur ressente les même choses que toi et le silence a arraché certain pansements.Arrive l'auto jugement et pouf la joie se barre sur son tapis volant.
Hey mec!!pour ce livre,pour nos échanges,pour qui tu es j'ai très souvent ressenti comme le besoin d’être a tes cotés pour une chose,non peut-etre deux.Offrir un grand sourire et te serrer si fort dans mes bras en te disant merci!D'ailleurs pour être franc j'avoue l'avoir déjà fait quelques fois,a ma façon mais oui je l'ai fait.
Que ce soit via l’écriture,le chant ou peu importe des lors ou nous sommes l'amour,la joie il n'y a pas de questions a se poser et encore moins d'attente a avoir.Nous sommes sur le bon chemin.
Vois peut-etre les critiques et autres pour tester cette joie qui peut déranger face a la morosité.Ainsi l'ombre en nous et qui nous entoure se dissout et cette lumière qui prend place donne de l’élan et ouvre les portes que nous avons soigneusement sceller afin de toujours avancer,grandir et s’entre-aider.Il y a un contact qui s’établit et ricoche partout.Un peu comme le verrou d'un placard qui n’étant qu'une illusion explose laissant le choix de pousser la porte ou non.Autorisons-nous a retrouver ce qui n'a jamais changé.
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Que règne la liberté.Car jamais le soleil ne s'est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.Nelson Mandela.
pac- Messages : 917
Date d'inscription : 30/03/2016
Re: Reve de Chasuble
Je te pique tes mots Pac
Derrière les lignes, du beau. C'est peut-être ce côté "personnel" mais si tu accepte de les partager Obtearon, ça ne l'est plus, et c'est un don de soi de ta part qui est grand et beau.
Quand j'ai commencé à écrire des histoires (ça remonte au collège pendant les cours, je m'ennuyait
) je le faisait pour moi, sans rien attendre des autres.
Quand j'ai commencé "les âmes errantes", c'est une amie qui m'a demandé si elle pouvait le lire. Quand elle m'a dit qu'elle écrivait elle aussi, j'ai bien voulu. J'ai lu son bouquin aussi. Elle m'a demandé ce que j'en pensait. Et là, Hic... on se rend compte que ce n'est pas facile de juger le "bébé" d'un auteur (c'est quand même un travail de plusieurs mois et même plusieurs années parfois).
Bon et c'est là que je voudrais te partager ça Obtéaron:
Quand j'ai commencé à écrire "Les âmes errantes", je l'ai fait pour m'évader, parce que ça me fait du bien d'écrire. Puis quand mon amie a commencé à le lire et à me dire ce qu'elle en pensait, ça a quelque part gaché mon plaisir, parce que quand j'ai continué à l'écrire, je me suis donné l'obligation de faire attention - les écrits seront lus par d'autre que moi et jugés (même si c'est de bons jugements) - et j'ai écrit le reste avec ce fardeau, c'est pour ça que j'ai dit que je l'avais baclé sur la fin.
Parce qu'entretemps, elle en a parlé à des personnes qu'on voyait dans le cercle et qui ont demandé à le lire aussi. J'ai promit, mais une fois qu'il serait fini.
Alors je l'ai vite fini (baclé) pour le leur donner à lire.
Je n'ai eu que de bonnes critiques, mais je restais sur cette fin qui n'étais pas à mon gout. Frustrée. "mais non, c'est bien, t'inquiete pas" qu'on me disais. Mais au fond, ce roman, je le voulais pour moi avant tout, et il avait fini à moitié pour les autres, et pas comme je le voulais. J'aurais du ne pas céder, le terminer en secret. Expérience vécue qui servira aux prochaines pour ne pas refaire les mêmes erreurs. Je me suis dit alors que la prochaine fois que j'en écrit un, je garde ça secret. Et une fois que j'ai fini, je donne.
Ensuite mes amis m'ont conseillé de le publier. Il y a aussi eu cette promesse de mon amie ecrivaine "si tu publie ton livre, je publie le mien." Sachant que c'était son souhait (de publier le sien), ça m'a convaincu. Pour elle, pour l'exemple, pour l'aider, pour la pousser dans son rêve.
Et je me suis prise au jeu petit à petit. Je l'ai relié en plusieurs exemplaire et envoyé à plusieurs maison d'édition....
L'attente a été longue. Les retours ont été principalement des trucs du genre "Bien mais pas à la mode de ce que nos lecteurs demandent actuellement, donc non, mais merci quand même".
Une réponse particulière assez traumatisante. La personne a carrement souligné des textes en crayon de bois et annoté des critiques en marge "n'importe quoi cette date !" "trop de fautes !" "inepties à tous va, cette nouvelle n'a aucun sens !" et... bien saquée quoi.
Et puis certaines maisons d'édition ne m'ont jamais fait de retour.
Me amis ont aimé. Mais je n'ai pas le niveau pour être publiée. Ont-il menti pour me faire plaisir, pour ne pas me vexer ?
C'est sur cette expérience que j'ai cessé d'ecrire sur les 20 années à venir. J'ai recommencé mais jamais fini, sans le partager. Tout finissait à la poubelle ou au feu.
Toutes ces années ont passé, puis nos échanges qui l'ont fait sortir du grenier. Je l'ai retranscrit sans attendre de retours. Bon je sais qu'ici c'est un peu le monde 1, je suis protégées du monde très critique du monde 2
Mais si je l'avais partagé sur une plate-forme publique, sûr que j'aurais eu des commentaires haineux, de personnes qui font passer leur égo personnel à travers ce qu'on leur donne.
Et du coup j'ai eu ce plaisir à le relire pour moi, sans penser à l'extérieur, et de pouvoir lire à travaers ce que j'essayais d'exprimer à l'époque. Aussi pour toi bien sûr
mais sereinement, sans avoir peur de mauvais retours. (si ça plait, tant mieux, et on est heureux de partager. Si ça plait pas, tant pis, on l'aura fait pour nous avant tout)
Ce que j'en ai appris de tout ça, c'est, d'abord faire pour soi. Ensuite partager, mais ne rien attendre en retour. Si retour, prendre avec du recul et ne perdant pas en tête que ce qui nous convient ne convient pas forcément à tout le monde.
Perso il y a des écrits que je n'arrive pas à suivre. Mon auteur attitré depuis quelques années est Maxime Chattam, avant c'était Stephen King. Les autres j'accroche pas. Ha si, Obtéaron. Mais il faut que je prenne le temps de lire. Tes écrits apportent de l'émotion et parfois c'est dur de rester dans la compréhension (fluidité, sans que le mental viennent poser des tas de question). Et ça ça vient de moi
Ce côté personnel renvoie à nous-même, comme un miroir.
Pour les tsunamis de souffrance qui bloquent et renferment, fait du mieux que tu peux pour les autres sans oublier (et tu l'a bien expliqué avec l'oiseau qui vole) que le plaisir que tu peux donner aux autres est celui d'être Toi quand tu évolue sans te préoccuper des autres - A trop donner on s'oublie soi-même, et on ne peut plus donner -
Encore une platrée de mots que je te laisse. Toujours un plaisir de te lire, Namasté Obtéaron

Quand j'ai commencé à écrire des histoires (ça remonte au collège pendant les cours, je m'ennuyait

Quand j'ai commencé "les âmes errantes", c'est une amie qui m'a demandé si elle pouvait le lire. Quand elle m'a dit qu'elle écrivait elle aussi, j'ai bien voulu. J'ai lu son bouquin aussi. Elle m'a demandé ce que j'en pensait. Et là, Hic... on se rend compte que ce n'est pas facile de juger le "bébé" d'un auteur (c'est quand même un travail de plusieurs mois et même plusieurs années parfois).
Bon et c'est là que je voudrais te partager ça Obtéaron:
Quand j'ai commencé à écrire "Les âmes errantes", je l'ai fait pour m'évader, parce que ça me fait du bien d'écrire. Puis quand mon amie a commencé à le lire et à me dire ce qu'elle en pensait, ça a quelque part gaché mon plaisir, parce que quand j'ai continué à l'écrire, je me suis donné l'obligation de faire attention - les écrits seront lus par d'autre que moi et jugés (même si c'est de bons jugements) - et j'ai écrit le reste avec ce fardeau, c'est pour ça que j'ai dit que je l'avais baclé sur la fin.
Parce qu'entretemps, elle en a parlé à des personnes qu'on voyait dans le cercle et qui ont demandé à le lire aussi. J'ai promit, mais une fois qu'il serait fini.
Alors je l'ai vite fini (baclé) pour le leur donner à lire.
Je n'ai eu que de bonnes critiques, mais je restais sur cette fin qui n'étais pas à mon gout. Frustrée. "mais non, c'est bien, t'inquiete pas" qu'on me disais. Mais au fond, ce roman, je le voulais pour moi avant tout, et il avait fini à moitié pour les autres, et pas comme je le voulais. J'aurais du ne pas céder, le terminer en secret. Expérience vécue qui servira aux prochaines pour ne pas refaire les mêmes erreurs. Je me suis dit alors que la prochaine fois que j'en écrit un, je garde ça secret. Et une fois que j'ai fini, je donne.
Ensuite mes amis m'ont conseillé de le publier. Il y a aussi eu cette promesse de mon amie ecrivaine "si tu publie ton livre, je publie le mien." Sachant que c'était son souhait (de publier le sien), ça m'a convaincu. Pour elle, pour l'exemple, pour l'aider, pour la pousser dans son rêve.
Et je me suis prise au jeu petit à petit. Je l'ai relié en plusieurs exemplaire et envoyé à plusieurs maison d'édition....
L'attente a été longue. Les retours ont été principalement des trucs du genre "Bien mais pas à la mode de ce que nos lecteurs demandent actuellement, donc non, mais merci quand même".
Une réponse particulière assez traumatisante. La personne a carrement souligné des textes en crayon de bois et annoté des critiques en marge "n'importe quoi cette date !" "trop de fautes !" "inepties à tous va, cette nouvelle n'a aucun sens !" et... bien saquée quoi.
Et puis certaines maisons d'édition ne m'ont jamais fait de retour.
Me amis ont aimé. Mais je n'ai pas le niveau pour être publiée. Ont-il menti pour me faire plaisir, pour ne pas me vexer ?
C'est sur cette expérience que j'ai cessé d'ecrire sur les 20 années à venir. J'ai recommencé mais jamais fini, sans le partager. Tout finissait à la poubelle ou au feu.
Toutes ces années ont passé, puis nos échanges qui l'ont fait sortir du grenier. Je l'ai retranscrit sans attendre de retours. Bon je sais qu'ici c'est un peu le monde 1, je suis protégées du monde très critique du monde 2

Et du coup j'ai eu ce plaisir à le relire pour moi, sans penser à l'extérieur, et de pouvoir lire à travaers ce que j'essayais d'exprimer à l'époque. Aussi pour toi bien sûr

Ce que j'en ai appris de tout ça, c'est, d'abord faire pour soi. Ensuite partager, mais ne rien attendre en retour. Si retour, prendre avec du recul et ne perdant pas en tête que ce qui nous convient ne convient pas forcément à tout le monde.
Perso il y a des écrits que je n'arrive pas à suivre. Mon auteur attitré depuis quelques années est Maxime Chattam, avant c'était Stephen King. Les autres j'accroche pas. Ha si, Obtéaron. Mais il faut que je prenne le temps de lire. Tes écrits apportent de l'émotion et parfois c'est dur de rester dans la compréhension (fluidité, sans que le mental viennent poser des tas de question). Et ça ça vient de moi

Pour les tsunamis de souffrance qui bloquent et renferment, fait du mieux que tu peux pour les autres sans oublier (et tu l'a bien expliqué avec l'oiseau qui vole) que le plaisir que tu peux donner aux autres est celui d'être Toi quand tu évolue sans te préoccuper des autres - A trop donner on s'oublie soi-même, et on ne peut plus donner -
Encore une platrée de mots que je te laisse. Toujours un plaisir de te lire, Namasté Obtéaron

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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Reve de Chasuble
Je le fais peut etre sur le coup de l'émotion , mais de mon point de vue ce n'est pas très grave, en fait je le fais rapide de peur que mon mental vienne me dire tu n'as pas à juger de bla-bla bla
bon bref, ton histoire est géniale : tu m'as embarqué dedans, rapidement, par contre c'est vrai que c'est trop rapide : relation Mike/Mathilde, profondeur de la relation jawelio/Aniah, et puis tous les autres, ils arrivent vraiment comme un cheveux sur la soupe (la femme de chinawa, le couple de hef, ... , ils félicitent Mike, mais à part reserver les billets, il fait pas grand chose de sa vie quand meme, bon ok il accepte d'écouter Mathilde et il est un facilitateur (Jawelio lui confit son nom quand meme) , et puis il y a aussi les tatouages de Jawelio (désolé si j'écorche le nom) en rapport avec les dessins de Nazca ...
EN resumé ton histoire que tu as écrite en 1995, j'ai le sentiment que tu peux en faire un truc génial, un truc ou on se projette facilement, un truc comme le davicin code (mal écrit mais c'est l'idée de ce que je ressens de ton histoire) .
j'ai plus envie de te porter que d'entendre "c'est un don de soi de ta part qui est grand et beau", mais j'avoue que j'ai été touché (meme eut de l'eau dans les yeux, mais personne n'a vu
)
(mais en vrai c'est plus ça :
)
bon bref, ton histoire est géniale : tu m'as embarqué dedans, rapidement, par contre c'est vrai que c'est trop rapide : relation Mike/Mathilde, profondeur de la relation jawelio/Aniah, et puis tous les autres, ils arrivent vraiment comme un cheveux sur la soupe (la femme de chinawa, le couple de hef, ... , ils félicitent Mike, mais à part reserver les billets, il fait pas grand chose de sa vie quand meme, bon ok il accepte d'écouter Mathilde et il est un facilitateur (Jawelio lui confit son nom quand meme) , et puis il y a aussi les tatouages de Jawelio (désolé si j'écorche le nom) en rapport avec les dessins de Nazca ...
EN resumé ton histoire que tu as écrite en 1995, j'ai le sentiment que tu peux en faire un truc génial, un truc ou on se projette facilement, un truc comme le davicin code (mal écrit mais c'est l'idée de ce que je ressens de ton histoire) .
j'ai plus envie de te porter que d'entendre "c'est un don de soi de ta part qui est grand et beau", mais j'avoue que j'ai été touché (meme eut de l'eau dans les yeux, mais personne n'a vu

je les voyais, mais ça me paraissait tellement anodin et sans interet que je gardais ça pour moi.
.Il y a aussi un combat de celui qui pansent ses blessures qui fut un temps avait encore tellement de mal a simplement les regarder
smiley avec les yeux qui s'embuent mais que n'avouera jamais que ça me touche profondément.
Offrir un grand sourire et te serrer si fort dans mes bras en te disant merci!


Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
En fait, plus j'avance, plus je me rends compte que la seule différence avec avant, c'est que je parle/partage plus ce qui me plait/ce que je suis.
Carpe diem, fait comme si demain n'existait pas, comme si l'instant d'après n'existais pas ... en fait c'est ce que je fais, c'est quand il faut planifier, prévoir que je fais un effort ... c'est pas encore complétement clair, notamment sur cette question primordiale : l'autre veut voir clair, veut prévoir, projeter un rythme immuable car ainsi il n'y a plus la peur de l'après, si je le vois, je fais ça aussi.
Ce week-end, ma femme m'a fait la remarque que je me laissais vivre, ça ne m'a pas blessé, par contre elle m'a dit d'organiser un week-end, et là je me trouve en difficulté :
- je suis fatigué, j'ai déjà plein de truc dont j'ai la responsabilité et que je ne veux pas rater.
J'ai vraiment peur d'oublier et me retrouver dans cette situation très inconfortable qui est la sensation de trahison de soi, comme une sorte de prise de Judo où tu tombes très lourdement et que le prof n'a aucune considération sur les douleurs dont tu fais l'objet. Ce n'est pas une incompréhension de l'apprentissage, c'est juste que je ne savais que je faisais du judo, et en fait j'aime pas le judo, je vais au cours parce que l'on m'a inscrit (ce qui me rappelle un souvenir d'enfance) ... en fait c'est clairement ça, j'ai l'impression d'etre inscrit à un cours quelquonque, et que ça génère plus de désagréable que d'agréable.
mais en meme temps, comme il y a un coté agréable, je me dis que les moments désagréable c'est juste la contre partie obligatoire, rien n'est facile et agréable tout le temps, il y a toujours la nécessité de sacrifice et de souffrance, parce que la vie c'est ça, la vie se nourrit de la vie.
En fait, tout se travail, ces reves, n'a qu'un seul et unique but, prendre conscience de soi et cela à l'aide du vécu, de l'intérieur et des autres, de l'extérieur, pas que tout l'extérieur est une image de moi, c'est juste que dans l'extérieur j'ai l'occasion de me voir moi, si je vois l'ensemble comme étant moi, c'est un état de conscience bien plus évolué que ce que nécessite le moment.
En résumé : c'est ma signature.
marrant cette impression de comprendre à postériori ce que l'on a fait dans l'instant d'avant, c'est à la fois cool et aussi un peu

Carpe diem, fait comme si demain n'existait pas, comme si l'instant d'après n'existais pas ... en fait c'est ce que je fais, c'est quand il faut planifier, prévoir que je fais un effort ... c'est pas encore complétement clair, notamment sur cette question primordiale : l'autre veut voir clair, veut prévoir, projeter un rythme immuable car ainsi il n'y a plus la peur de l'après, si je le vois, je fais ça aussi.
Ce week-end, ma femme m'a fait la remarque que je me laissais vivre, ça ne m'a pas blessé, par contre elle m'a dit d'organiser un week-end, et là je me trouve en difficulté :
- je suis fatigué, j'ai déjà plein de truc dont j'ai la responsabilité et que je ne veux pas rater.
J'ai vraiment peur d'oublier et me retrouver dans cette situation très inconfortable qui est la sensation de trahison de soi, comme une sorte de prise de Judo où tu tombes très lourdement et que le prof n'a aucune considération sur les douleurs dont tu fais l'objet. Ce n'est pas une incompréhension de l'apprentissage, c'est juste que je ne savais que je faisais du judo, et en fait j'aime pas le judo, je vais au cours parce que l'on m'a inscrit (ce qui me rappelle un souvenir d'enfance) ... en fait c'est clairement ça, j'ai l'impression d'etre inscrit à un cours quelquonque, et que ça génère plus de désagréable que d'agréable.
mais en meme temps, comme il y a un coté agréable, je me dis que les moments désagréable c'est juste la contre partie obligatoire, rien n'est facile et agréable tout le temps, il y a toujours la nécessité de sacrifice et de souffrance, parce que la vie c'est ça, la vie se nourrit de la vie.
En fait, tout se travail, ces reves, n'a qu'un seul et unique but, prendre conscience de soi et cela à l'aide du vécu, de l'intérieur et des autres, de l'extérieur, pas que tout l'extérieur est une image de moi, c'est juste que dans l'extérieur j'ai l'occasion de me voir moi, si je vois l'ensemble comme étant moi, c'est un état de conscience bien plus évolué que ce que nécessite le moment.
En résumé : c'est ma signature.
marrant cette impression de comprendre à postériori ce que l'on a fait dans l'instant d'avant, c'est à la fois cool et aussi un peu

- Franchement on a pas le meme humour:
franchement
Bon OK un peu le meme- Spoiler:
ni des trucs de l'espace (quoique)
ni la première (bon ok pas loin)
la première vers qui j'ai souhaité aller
la première vers qui j'ai souhaité revenir
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
Je suis restée rivée sur le mec blasé sous la pluie dans le GIF, c'est hynoptisant
Pour les demandes dans le but de se rassurer pour que l'événement qu'on craint ne se matérialise dans le futur, je comprend, je suis tombée longtemps dans ce piège, un cercle vicieux que, si on fait pas gaffe, on peut tomber dans l'esclavagisme de soi-même. Tout anticiper pour être rassuré... sur des peurs qui n'existent pas vraiment. Et que ça empiète sur l'entourage et les emprisonne eux aussi. Apprendre à faire du judo, même si on aime pas aller en cours, j'adore l'image
En ce moment je suis en cours "d'impatience" où j'apprends à écouter un corps qui trépigne sur place à cause de pensées récalcitrantes. "Il faut faire quelque chose", qui viennent d'anciens cours du monde 2 où j'ai appris "Ne rien faire c'est perdre son temps". Là j'ai la lecture du nouveau cours "Ne rien faire c'est primordial".
Et pour rejoindre le sujet d'avant, j'ai eu une énième leçon pratique où j'ai trépigné mentalement avant que mon conjoint ne parte travailler ce soir. Honnêtement, il n'y a pas un jour sans que je ne lui fasse de remarques. La peur de perdre notre couple. La peur, encore elle.
Dans la nouvelle version de mes nouveaux cours, il est dit " Avant de juger l'autre, juge-toi". C'est fait, et je m'observe de cette manière. L'effet miroir, où ce que l'autre nous renvoie à nous-même est immédiat. La conclusion est moins joyeuse car en laissant libre et en ne contrôlant rien, on peut deviner vers où ça va et là, on le vit seul.
Mais je crois que le pire, c'est quand le mal est fait et que la personne à qui on a laissé les renes dit "t'aurais du me le dire !". Dans ce cas, on se prend un mur pour rien avec l'autre, et on en a le reproche
. Peut-être que tout est dans l'art de la communication, de dire à l'autre ce qu'on ressent et ce qu'on souhaiterait pour atténuer des peurs.
Pour ce qui est des trucs qu'on a pas envie de faire mais qu'on se sent obligés de faire, parce qu'on nous le demande, ou parce que c'est nécessaire au confort qu'on désire, j'y suis très touchée car je suis tombée depuis ces derniers mois dans l'inconfort car étant dans l'incapacité de gérer ce que je pouvais gérer avant, c'est justement cette situation forcée qu'il y a expérience.
Ca fait un peu comme si un Géant maintenait ma tête dans une direction pour que je regarde, mais "nan je veux pas voir" et ferme les yeux très fort. Quand j'ai commencé à les rouvrir par étape, au début ça piquait, j'ai pleuré souvent, puis quand les larmes sèchent et que je vois, je me dit "c'est pas si moche que ça". Des fois je les referme parce que j'aimais bien avant, c'était plus facile et plus chaud, plus doux, moins terrifiant, plus prévisible. C'est pas si moche que ça, et je commence à aimer, à condition de ne pas laisser revenir le trépignement mental.
J'essaie aussi comme toi de voir si par les rêves j'en apprendrais + sur moi-même. Là je vais attendre un peu car ils sont assez chaotiques et perturbant, sans doute le contre-coup de ce que je viens de vivre. Je vais laisser un peu couler.
J'ai l'esquisse d'une idée de roman que je vais peut-être commencer ici sur le forum. Merci de m'avoir guidé, gros bisou

Pour les demandes dans le but de se rassurer pour que l'événement qu'on craint ne se matérialise dans le futur, je comprend, je suis tombée longtemps dans ce piège, un cercle vicieux que, si on fait pas gaffe, on peut tomber dans l'esclavagisme de soi-même. Tout anticiper pour être rassuré... sur des peurs qui n'existent pas vraiment. Et que ça empiète sur l'entourage et les emprisonne eux aussi. Apprendre à faire du judo, même si on aime pas aller en cours, j'adore l'image

Et pour rejoindre le sujet d'avant, j'ai eu une énième leçon pratique où j'ai trépigné mentalement avant que mon conjoint ne parte travailler ce soir. Honnêtement, il n'y a pas un jour sans que je ne lui fasse de remarques. La peur de perdre notre couple. La peur, encore elle.
Dans la nouvelle version de mes nouveaux cours, il est dit " Avant de juger l'autre, juge-toi". C'est fait, et je m'observe de cette manière. L'effet miroir, où ce que l'autre nous renvoie à nous-même est immédiat. La conclusion est moins joyeuse car en laissant libre et en ne contrôlant rien, on peut deviner vers où ça va et là, on le vit seul.
Mais je crois que le pire, c'est quand le mal est fait et que la personne à qui on a laissé les renes dit "t'aurais du me le dire !". Dans ce cas, on se prend un mur pour rien avec l'autre, et on en a le reproche

Pour ce qui est des trucs qu'on a pas envie de faire mais qu'on se sent obligés de faire, parce qu'on nous le demande, ou parce que c'est nécessaire au confort qu'on désire, j'y suis très touchée car je suis tombée depuis ces derniers mois dans l'inconfort car étant dans l'incapacité de gérer ce que je pouvais gérer avant, c'est justement cette situation forcée qu'il y a expérience.
Ca fait un peu comme si un Géant maintenait ma tête dans une direction pour que je regarde, mais "nan je veux pas voir" et ferme les yeux très fort. Quand j'ai commencé à les rouvrir par étape, au début ça piquait, j'ai pleuré souvent, puis quand les larmes sèchent et que je vois, je me dit "c'est pas si moche que ça". Des fois je les referme parce que j'aimais bien avant, c'était plus facile et plus chaud, plus doux, moins terrifiant, plus prévisible. C'est pas si moche que ça, et je commence à aimer, à condition de ne pas laisser revenir le trépignement mental.
J'essaie aussi comme toi de voir si par les rêves j'en apprendrais + sur moi-même. Là je vais attendre un peu car ils sont assez chaotiques et perturbant, sans doute le contre-coup de ce que je viens de vivre. Je vais laisser un peu couler.
J'ai l'esquisse d'une idée de roman que je vais peut-être commencer ici sur le forum. Merci de m'avoir guidé, gros bisou

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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Reve de Chasuble
J'adore ce gif
Je suis restée rivée sur le mec blasé sous la pluie dans le GIF, c'est hynoptisant

La colère : parce que je le vois dire : encore un truc comme ça et je t'en mets une
La peur : je viens de passer par un truc j'ai pas envie que ça recommence
La tristesse : c'était si simple, pourquoi je ne l'ai pas vu avant, que de temps perdu
La joie : j'ai réussi à me maitriser, la pluie ne me gène pas, je t'aime
En fait ce gif, c'est l'expression parfaite de l'après, laquelle va t'il exprimer ? et comme c'est un gif, ça boucle à l'infini, et il exprime tout et rien, c'est à celui qui la voit de choisir.
Pour moi, il va pleurer, puis exploser de rire, d'un rire dément, d'un rire qui libère toutes les tensions, d'un rire presque génant pour ceux qui le voit.
Alors le rire cessera. Une main tendue pour le relever avec un "sans rancune"
Et lui se levera avec le sourire "bande d'enfoirés ... si je tenais l'entité qui a conçu le plan, je lui ferais bouffer ces feuilles ... ... ... nan mais je sais que c'est moi, hein! c juste que tout écrire à l'encre invisible

c'est tout à fait ça, tout est dans le jugement "moins joyeuse" parce que je l'ai déjà expérimenté, il en a résulté "le meilleur anniversaire de mon fils", mais aussi un certain nombre de reproches, de critiques, de mal-etres, de peurs d'autrui.
La conclusion est moins joyeuse car en laissant libre et en ne contrôlant rien, on peut deviner vers où ça va et là, on le vit seul.
Alors oui les retours sont pas top, mais je sais que mon fils en a été heureux, ça m'aide à accepter ce moment comme étant essentiel, ça m'aide à accepter cette perte de controle de l'instant d'après, de l'instant du maintenant, ça m'aide à maitriser ma pensée, à la ramener à l'instant du moment sans appréhender l'après. Ramener l'après à une seconde, et l'instant d'après deveint l'instant du moment à une vitesse naturelle extrémement rapide, je n'ai pas le temps de réflechir à cette seconde d'après, ou si je le fais elle est déjà passée, donc ça ne sert à rien d'y penser.
ma méthode est un peu différente, je regarde, je vois, c'est très beau parce que je regarde loin, aussi loin que je peux, et je vois le bout du chemin. C'est quand je regarde plus pret, que parfois je me dis que c'est médiocre, et je fais un pas, je me rapproche du lointain, je regarde à nouveau au loin, c'est très beau, ... etc, ... etc, ...
Ca fait un peu comme si un Géant maintenait ma tête dans une direction pour que je regarde, mais "nan je veux pas voir" et ferme les yeux très fort.
Ca me rapelle une image que Pac avait utilisé, celle du spectateur de sa propre vie, aujourd'hui j'ai l'impression de comprendre l'image, dans un spectacle, il y a parfois des lenteurs, des lourdeurs, mais à la fin du spectacle il reste le sentiment que c'était un bon spectacle, avec quelques moments particuliers qui nous ont fait ressentir une émotion, souvent émerveillement, quelques fois la tristesse ou la colère, rarement la peur.
On s'est guidé nous meme par miroir de l'autre, et je pense qu'il est temps de se poser, et d'observer ce que nos échanges ont produit sur nous-meme.
J'ai l'esquisse d'une idée de roman que je vais peut-être commencer ici sur le forum. Merci de m'avoir guidé, gros bisou

Namasté Grenouille

Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Reve de Chasuble
Yes !On s'est guidé nous meme par miroir de l'autre, et je pense qu'il est temps de se poser, et d'observer ce que nos échanges ont produit sur nous-meme.
Si je peux t'apporter autre chose, j'y manquerais pas

Le délire sur le Gif j'adore



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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Reve de Chasuble
Obtéaron, un petit coucou pour te dire je t'oublie pas
J'ai pensé à toi ces derniers temps en faisant la liaison avec le travail que je fait en moi, avec la femme en rouge, celle en blanc, enfin "rose" si on fait le mélange des deux couleurs, rose comme ton avatar.
J'espere que tu vas bien, prends soin de toi et à bientôt p'tete

J'espere que tu vas bien, prends soin de toi et à bientôt p'tete

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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Reve de Chasuble
Je ne t'oublie pas non plus
, sache que le roi essaye quelques incursions dans le monde réel et que pour l'instant ça va, il n'est pas le gros connard que j'avais imaginé
En ce moment, je fais une petite pause sur l'écriture, je suis en stand by sur mes points d'entrée (j'ai écrits 5 chapitres en très peu de temps, et entamé 2 chapitres).
Je suis sur la fin d'une période de consolidation, encore quelques petits trucs à régler (dans le sens équilibrer) et ça devrait revenir.
Prends soin de toi également


En ce moment, je fais une petite pause sur l'écriture, je suis en stand by sur mes points d'entrée (j'ai écrits 5 chapitres en très peu de temps, et entamé 2 chapitres).
Je suis sur la fin d'une période de consolidation, encore quelques petits trucs à régler (dans le sens équilibrer) et ça devrait revenir.
Prends soin de toi également

Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
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