SOUVENIRS

Qu'y a-t-il de plus affreux que le souvenir ?

Il n'y a pas que des souvenirs heureux.
On tente d'oublier mais notre mental en est imprégné.
Après des vies passées et cassées par les souvenirs, que devons-nous en faire ?

Quand bien même notre cerveau ressemble à un ordinateur avec ses différentes formes de mémoire : mémoire morte - mémoire vive, de temps en temps on peut y faire le ménage et supprimer quelques données, ça allège l'unité centrale mais que faire des autres données, celles qui sont installées pour que l'engin fonctionne.

Si on le met OUT il perd tout et nous voilà bien avancé.
On peut toujours réinstaller en espérant que cela fonctionne correctement mais on prend des risques que des données soient écrasées par d'autres éléments de lecture.

Notre cerveau superpose et organise les informations qui lui parviennent, il les coordonnent en fonction de leur intérêt à être stockées et au bon endroit tant qu'à faire.

Les neurones et les synapses sont des transmetteurs, de véritables échangeurs qui calibrent et dispersent, dirigent les éléments reçus au bon endroit. Mais parfois ça cafouille, l'ordinateur a des ratés. Il faut alors se creuser la tête pour rétablir.

Il y a des souvenirs généreux, heureux, mais ils sont comme les autres, ils passent. Pas moyen de les retenir. On regarde les photos, les vidéos pendant un Temps, on les range, les classe, les trie. On les ressort pour une occasion ou lorsqu'on a le bourdon, mais il n'y a pas de contenance concrète et puis, .... on oublie.

Mais les souvenirs, c'est autre chose.
Parfois, avec le Temps qui passe, les souvenirs sont las d'exister et prennent le large d'eux-mêmes, c'est plutôt pratique.

Ils en sont des coriaces qui ruinent une vie en laissant une plaie qui ne se referme jamais. Souvenirs brûlants suite aux épreuves qui laissent des cicatrices pas uniquement sur le corps, elles sont gravées à tout jamais - du moins pour cette vie - mais ceux qui accompagnent les blessures corporelles et y sont étroitement liées. Vivre avec ce poids. Quelle répercussion sur d'autres organes.

Les souvenirs, il faut les balayer. Ils font partie du Passé.
Il n'y a pas de souvenir dans le Présent immédiat ni pour le Futur trop lointain.
Regarder la vie avec un certain détachement afin de ne pas se sentir meurtri devant les coups durs de l'existence.

Les tourments deviennent comme les feuilles à l'automne, ils s'accrochent, se détachent, puis se décomposent sur le sol. Les feuilles sont foulées par les souliers puis elles disparaissent jusqu'aux prochaines qui continueront le cycle.

C'est beau l'automne, cette saison où l'on frissonne en regardant les nuages qui défilent dans le ciel, la fumée qui s'échappe des cheminées et change de direction selon le souffle du vent.

Le cerveau est sans cesse bombardé d'informations qui lui arrivent de toutes parts : Conversations, télévision, téléphone, livres, disques, bruits extérieurs divers produits par les humains et les animaux et par les éléments.
Certains ne font que passer et ne restent qu'en surface, ils passent, nous effleurent.

On ne les vit plus, on ne fait que se rappeler en visualisant le document, on le commente et puis, c'est tout. Ils n'ont plus la même saveur au fil du Temps.

On ne les voit plus à 20 ans de la même façon qu'à 40, 50 et plus. Vivre sans s'accrocher du superflu. Il y a bien d'autres choses à retenir.
Faire des choix judicieux sur des lectures, ce n'est qu'un exemple, il y en a évidemment beaucoup d'autres.

Faire ou ne pas faire revivre les souvenirs.

Nous construisent-ils ?

Ont-ils fait vraiment partie d'un moment de notre vie ? Certes OUI.

Mais quel embarras quand on veut avancer.

On n'est pas capable d'oubli, nous en avons la capacité.
Si nous avançons, nous écartons les branches, nous élaguons, nous épurons pour y voir plus clair. Nous débouchons sur une clairière. Nous nous posons, nous réfléchissons.
Qu'apparaît-il dans notre champ de vision :
- visible : La clairière, des cailloux, de petits rochers, des herbes, des bosquets, une odeur diffuse provenant d'un arbrisseau en fleurs ; les ombres et la lumière du moment de la journée,

- en invisible : nos pensées, nos réflexions, nos interrogations, nos espoirs, nos projets et tout ce qui est impalpable et que le mental émet.

Notre cerveau comment va-t-il s'y prendre, dans quel ordre va-t-il stocker nos pensées du moment ? Certaines seront volatiles et s'évaporeront, d'autres s'accrocheront car par nécessité de donner une suite qui se voudra cohérente.

C'est comme au bureau, un tiroir rempli de papiers disparates, d'armoire à linge non trié, ni organisé, étagères remplies de livres et de poussière.Vieux bibelots récupérés qui n'ont de valeur que celle que l'on veut bien leur donner.

Pourquoi ne pas trier ?

On s'empêtre le cerveau de bien d'inutilité alors qu'il est fait pour fonctionner sur d'autres sources de Savoir, de Connaissances.

C'est simple, mais on peut y réfléchir.

(pas de signature)

Le souvenir permet de comprendre une leçon qui se répète, tout le monde n est pas capable de comprendre du premier (ou dixième coup) la ou les lecon (s) d une vie, s il n y a rien à comprendre, juste à vivre, alors chaque écrit produit pour nous suggérer comment être devient juste une couche supplémentaire, le mental de l autre qui s exprime . Peut etre équilibré, peut etre clair, mais de soi rien de visible juste une couche supplémentaire.

Après des millinaires, nous ne savons plus ce que nous sommes, peut être divin, peut être érotique, sûrement humain, mais de pensée clair et limpide qui vient uniquement de soi, très peu y arrive.

Au moins le souvenir nous permet de nous dire, qu' il y a quelquechose qui est soi, une pépite d or dans une riviere mille fois écumée.

Bonsoir Plume,

J'aimerais te demander si ce texte est de toi ou d'un ou une inconnu, puisqu'il n'y a pas de signature.

Peu importe, après tout, puisqu'il est inspirant et parfois poétique.

Ils en sont des coriaces qui ruinent une vie en laissant une plaie qui ne se referme jamais. Souvenirs brûlants suite aux épreuves qui laissent des cicatrices pas uniquement sur le corps, elles sont gravées à tout jamais

Le souvenir, il est vrai, est l'histoire du vécu, avec ses expériences parfois douloureuses qui laissent dans le corps physique et dans l'âme des mémoires encombrantes.

Ces mémoires, nous devons apprendre à les éradiquer, à les faire disparaître, mais ce n'est pas toujours simple. Il existe cependant des techniques pour cela...

Faire ou ne pas faire revivre les souvenirs.

Nous construisent-ils ?

Nos expériences passées nous ont construit, bien sûr, mais il est inutile de les faire revivre.

Vivre l'instant présent et ne pas s'accrocher au passé fait certainement partie de la Sagesse.

On s'empêtre le cerveau de bien d'inutilité alors qu'il est fait pour fonctionner sur d'autres sources de Savoir, de Connaissances.

Oui, Plume, il nous faut rechercher les sources du savoir et les connaissances qui font partie de notre chemin de vie, celui qui doit nous conduire au plein épanouissement de l'être.

Bien amicalement.

Claude Delarose.

Bonjour Claude,

Il est un fait que tout le monde est concerné. Chacun, chacune s'y retrouve.

Il vient d'une entité masculine autant que j'ai pu le percevoir.

Ces entités qui viennent vers moi je les appelle les esprits voyageurs. Ils ou elles éprouvent l'envie de communiquer. Je reste ouverte à ce genre de communications qui, jusqu'à présent, sont toujours porteuses de quelque chose d'intéressant.

Dans ces cas là, j'entends et je vois et je ne pose pas de questions comme certains sujets que tu as sans doute pu voir.

Cela est pour moi enrichissant. Parfois, je capte sans rien demander. Cela a été le cas avec l'ours polaire, le berger ou cette femme. Mais il y a un message que j'ai reçu et que je vais mettre venant d'un esprit voyageur concernant le coma et l'après coma qu'il a vécu. Cela se passe ainsi : j'entends les trois ou quatre premiers mots qui se répètent jusqu'à ce que je prenne de quoi écrire sinon ça ne me lâche pas. Pour la femme, j'ai regretté de ne pas avoir pris son message plus tôt ; cela m'aurait permis de mieux l'accompagner dans ses derniers instants de vie. Mais, après les premiers mots que j'entends, je ne connais jamais la suite jusqu'à ce que je me décide à écrire.

Quand je pose des questions, il en est tout autrement. Préparation mentale, prière différente en fonction des Plans célestes qui peuvent la percevoir et l'intérêt qu'ils y portent. Puis protection de l'Archange Michael. Je repose ensuite les questions qui sont accompagnées par les formes pensées afin qu'elles soient bien comprises. Pas de souci dans les interprétations. Ils me disent que je m'exprime clairement.

Merci, Plume, pour ta réponse qui me permet de mieux comprendre l'origine des messages que tu reçois et, donc, leur contenu.

Ce que tu vis devrait s'étendre à beaucoup de personnes dans les prochains mois ou les années à venir.

En effet, l'élévation des fréquences (prouvé scientifiquement par une importante augmentation du pouls de Schumann) devrait ouvrir les canaux télépathiques de beaucoup de personnes.

Nous entrons prochainement dans un cycle favorable au développement de cette faculté.

J'invite à lire ce message reçu par Monique Mathieu :

https://ducielalaterre.org/20-juillet-entree-dans-un-nouveau-cycle/fr/

Le développement de la télépathie est la base du fonctionnement des consciences qui permet de fusionner d'une unité individuelle en une unité plus grande.

Sans rien perdre de notre individualité, il nous est alors possible de fonctionner en synchronie avec d'autres et de partager nos connaissances.

Dans "HUMANITÉ en DEVENIR", Ramatan explique qu'ils vivaient, voici 320 000 ans, en 3ème dimension, comme nous aujourd'hui, et qu'ils parvinrent à former une première unité de 24 personnes qui réussirent à se synchroniser. Après une période d'apprentissage des lois gouvernants ce mode de fonctionnement, ils parvinrent à convaincre le peuple à faire de même. Tous migrèrent alors vers la cinquième dimension.

Nous vivons aujourd'hui, la même expérience que nos Frères et Sœurs intraterrestres.

Au travers de leur expérience, il est possible de comprendre l'importance de s'unir pour mieux effectuer le saut quantique qui attend celles et ceux qui ont choisi de passer dans des fréquences plus agréables afin d'y construire l'âge d'or, un NOUVEAU MONDE...

Au travers de cette expérience, il est aussi possible de comprendre les propositions de nos trois pilotes, Georges, Jean et Nicolas.

Bien amicalement.

Claude Delarose.

NB : lien vers l'ouvrage : http://claudedelarose.e-monsite.com/medias/files/brochure-humanite-en-devenir-10-10-2011.pdf