Mes pensées du moment
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Mes pensées du moment
J'ai encore entendu un témoignage de NDE aujourd'hui et il y a encore ce truc qui me fait me poser cette question: pourquoi j'ai vu ma vie défiler à l'envers ?
Pourquoi dans mon NDE je suis partie du moment où j'ai quitté mon corps d'adolescente à mon statut de petite fille de un an et demi ?
En plus la personne du témoignage savait dès le départ qu'il s'agissait de sa vie, tandis que moi j'en ai pris conscience après la NDE. Pendant, je ne me suis pas reconnue.
Pas de réponses, silence total. Je ne sais pas si c'est parce que je me suis bloquée depuis, où si c'est parce qu'il faut que je le trouve toute seule. Si je dois aller plus en avant dans le mystère et donc aller plus loin dans les expériences, ou arrêter de me poser des questions et faire ma vie sans m'en préoccuper.
D'ailleurs, y a-til quelque chose à comprendre la dedans ?
Mais de toute façon, personne ne peut oublier ce genre d'expérience.
N'empêche que forcément ça pousse obligatoirement à la curiosité, au besoin de savoir pourquoi, comment, dans quel but, etc...
Chui presque jalouse de ceux qui réussissent à percer les mystères.
Mais en même temps j'ai les chocottes d'avoir des capacités qui sortent de l'ordinaire.
Je me demande aussi si c'est pas les dérèglements hormonaux qui font blocage.
De toute manière, c'est pas un cadeau que de redevenir "normale" si c'est pour se sentir à l'étroit dans ce corps et ne pas kiffer la vie à sa juste valeur.
C'est pour ça que je m'ennuie ici-bas. Et c'est peut-être pour ça qu'inconsciemment je me tue par le biais des anticorps. Ca me parait hyper logique de vouloir détruire le siège des émotions parce que ces émotions n'existent qu'en étant vivant dans ce corps.
Justement suite à cette théorie je me suis appuyé sur cette croyance: nous sommes ici-bas pour vivre les expériences, alors jouons.
Mais ça me fait pas rire parce que ce que j'y vois, c'est la souffrance des autres. Tout être compris. Et l'être le plus diabolique étant... tadaaaaaa ! l'humain. Bah j'ai pas vraiment envie de jouer, parce qu'en suivant mes propres lois "respect du vivant", je me fait écarter systématiquement de la meute.
Mais !
Comme j'ai réussi à trouver des âmes soeur (ou frère), alors la vie est moins dure.
Et là, je peux jouer à faire semblant pour encore avoir un pied dans la meute, sans être un loup. Sans être l'humain de base. Y en a qui disent l'humain "animal", je trouve ça juste.
Et de fil en aiguille, j'y trouve qui je suis et ce que je veux, ce qui me donne une raison de vivre. Un jeu à jouer. Un personnage à incarner. Tout en restant connectée avec ce que je suis réellement. Enfin ce que je découvre petit à petit en moi.
Avant de trouver ces ames soeur (ou frère, et ouais pourquoi pas) je me suis tapée des dépressions et des envies d'en finir à répétition. Je me disais "quoi ? c'est ça la vie ? C'est quoi ce bazar ? Chui pas d'accord du tout et on me laisse pas le choix ? Alors on nous apprend que le bonheur c'est ça ? Que de réussir c'est ça ? mais à quoi ça mène tout ça ?". Là je crois qu'on voit bien où ça mène.
Enfin bref, voilà, on est là, et c'est pas nouveau.
Alors j'ai entendu "sois le changement que tu voudrais voir dans le monde" et j'ai trouvé ça pas con du tout.
Quand on prend conscience qu'on est des milliards à attendre de l'autre, on comprend qu'il ne se passera rien. Parce que l'autre, c'est nous, et nous, c'est l'autre. Alors personne ne bouge.
Et quand j'ai commencé à bouger, j'ai eu l'impression de m'agiter dans de la mélasse et de me dépenser pour rien.
Il fallait qu'on bouge tous ensemble.
J'ai vu la théorie du centième singe ensuite et j'ai compris.
Il fallait donc qu'on soit un certain nombre à le faire pour que ça marche.
Combien ? J'ai jamais su. Pas facile à dire.
Il y a quelques années, j'étais desespérée, rien ne bougeait et je devenais malade.
J'ai abandonné, me suis repliée.
A cette période j'avais pas mal d'expériences paranormale involontaire et incontrôlée.
Dans ce repli je me suis tournée à l'intérieur. Bonne idée. C'est là que j'ai appris à mieux me connaître. Mais c'est là que j'ai appris que j'avais de vieux démons en moi. Enfin... que j'ai reconnu en avoir, et qu'ils ne venaient pas de l'extérieur.
Très bien. C'est eux qui me rongeaient de l'intérieur, qui noircissaient ma lumière. Il fallait passer par là pour y voir plus clair ensuite.
Je sais pas si c'est ça qu'on appelle la nuit noire, ce truc où on décide de faire face à nous-même, à notre côté obscur, et qu'on tombe dans une dualité sans pitié pour nous-même !
Je me demande si c'est ça qui m'a déclenché cette maladie ? Ca m'étonnerais pas. Pas grave.
Ca été dur.
Puis vient l'amour.
Pas l'amour affectif, sexuel ou possessif. Non.
L'amour qui ressemble à celui que j'ai senti lors de mon NDE.
Pas aussi fort, pas aussi puissant. Juste des bribes, comme des effluves subtiles qui passent sous le nez et qui repartent aussitôt.
Puis ensuite beaucoup d'émotions très vives, de la souffrance et de la joie multiplié par 1000. Et entre, des sensations de vide teintées d'apaisements et d'amour pur. "chui vidée, mais c'est pas grave, parce que c'est tellement beau, parfait".
Mais il y a un hic. Le mental. Ouais, lui, il revient toujours au galop avec ses 10 000 questions qui servent à rien finalement.
Alors comment on fait ?
Ecoute ton corps, écoute ton ame, ecoute tes émotions comme si elles ne t'appartenaient pas, mais considère les comme tes amies.
A un moment je me suis demandée si faire comme ça n'était pas dangereux, genre on se dissocie de nous-même et on devient dingue. Genre on provoque en nous des pathologies de type schyzophrénie ou autre trouble psychologique.
A une période j'ai cru devenir dingue à force d'essayer de modifier mes pensées et mes croyances.
Il y avait un truc qui me rendait particulièrement stressée, c'est de m'obliger à ne pas penser à un truc. Bah j'y pensais à l'obsession.
Comme quand quelqu'un nous dit "ne pense pas à un éléphant rose" bah si on y pense forcement à partir du moment où on nous le met dans la tête. Et ça devient des pensées obsessionnelles. "je ne dois pas penser à l'éléphant rose !".
C'est tout à fait le paradoxe des attaques de panique. Plus on veut les fuir, et plus elles augmentent en intensité puisqu'on y pense.
Et donc du coup, quand la bête est là, y a plus qu'à la faire entrer et faire ami-ami avec elle. "Allez, viens, je t'en veux pas, tu fais partie de moi, ta place est là".
Et là miracle, je sais pas ce qui se passe, une fusion peut-être ? L'éléphant rose n'est plus l'ennemi, il s'evapore tout doucement. L'attaque de panique disparait et laisse place à un soulagement très salutaire.
C'était Grenouille, en direct de l'ISS, fin du message.
Pourquoi dans mon NDE je suis partie du moment où j'ai quitté mon corps d'adolescente à mon statut de petite fille de un an et demi ?
En plus la personne du témoignage savait dès le départ qu'il s'agissait de sa vie, tandis que moi j'en ai pris conscience après la NDE. Pendant, je ne me suis pas reconnue.
Pas de réponses, silence total. Je ne sais pas si c'est parce que je me suis bloquée depuis, où si c'est parce qu'il faut que je le trouve toute seule. Si je dois aller plus en avant dans le mystère et donc aller plus loin dans les expériences, ou arrêter de me poser des questions et faire ma vie sans m'en préoccuper.
D'ailleurs, y a-til quelque chose à comprendre la dedans ?
Mais de toute façon, personne ne peut oublier ce genre d'expérience.
N'empêche que forcément ça pousse obligatoirement à la curiosité, au besoin de savoir pourquoi, comment, dans quel but, etc...
Chui presque jalouse de ceux qui réussissent à percer les mystères.
Mais en même temps j'ai les chocottes d'avoir des capacités qui sortent de l'ordinaire.
Je me demande aussi si c'est pas les dérèglements hormonaux qui font blocage.
De toute manière, c'est pas un cadeau que de redevenir "normale" si c'est pour se sentir à l'étroit dans ce corps et ne pas kiffer la vie à sa juste valeur.
C'est pour ça que je m'ennuie ici-bas. Et c'est peut-être pour ça qu'inconsciemment je me tue par le biais des anticorps. Ca me parait hyper logique de vouloir détruire le siège des émotions parce que ces émotions n'existent qu'en étant vivant dans ce corps.
Justement suite à cette théorie je me suis appuyé sur cette croyance: nous sommes ici-bas pour vivre les expériences, alors jouons.
Mais ça me fait pas rire parce que ce que j'y vois, c'est la souffrance des autres. Tout être compris. Et l'être le plus diabolique étant... tadaaaaaa ! l'humain. Bah j'ai pas vraiment envie de jouer, parce qu'en suivant mes propres lois "respect du vivant", je me fait écarter systématiquement de la meute.
Mais !
Comme j'ai réussi à trouver des âmes soeur (ou frère), alors la vie est moins dure.
Et là, je peux jouer à faire semblant pour encore avoir un pied dans la meute, sans être un loup. Sans être l'humain de base. Y en a qui disent l'humain "animal", je trouve ça juste.
Et de fil en aiguille, j'y trouve qui je suis et ce que je veux, ce qui me donne une raison de vivre. Un jeu à jouer. Un personnage à incarner. Tout en restant connectée avec ce que je suis réellement. Enfin ce que je découvre petit à petit en moi.
Avant de trouver ces ames soeur (ou frère, et ouais pourquoi pas) je me suis tapée des dépressions et des envies d'en finir à répétition. Je me disais "quoi ? c'est ça la vie ? C'est quoi ce bazar ? Chui pas d'accord du tout et on me laisse pas le choix ? Alors on nous apprend que le bonheur c'est ça ? Que de réussir c'est ça ? mais à quoi ça mène tout ça ?". Là je crois qu'on voit bien où ça mène.
Enfin bref, voilà, on est là, et c'est pas nouveau.
Alors j'ai entendu "sois le changement que tu voudrais voir dans le monde" et j'ai trouvé ça pas con du tout.
Quand on prend conscience qu'on est des milliards à attendre de l'autre, on comprend qu'il ne se passera rien. Parce que l'autre, c'est nous, et nous, c'est l'autre. Alors personne ne bouge.
Et quand j'ai commencé à bouger, j'ai eu l'impression de m'agiter dans de la mélasse et de me dépenser pour rien.
Il fallait qu'on bouge tous ensemble.
J'ai vu la théorie du centième singe ensuite et j'ai compris.
Il fallait donc qu'on soit un certain nombre à le faire pour que ça marche.
Combien ? J'ai jamais su. Pas facile à dire.
Il y a quelques années, j'étais desespérée, rien ne bougeait et je devenais malade.
J'ai abandonné, me suis repliée.
A cette période j'avais pas mal d'expériences paranormale involontaire et incontrôlée.
Dans ce repli je me suis tournée à l'intérieur. Bonne idée. C'est là que j'ai appris à mieux me connaître. Mais c'est là que j'ai appris que j'avais de vieux démons en moi. Enfin... que j'ai reconnu en avoir, et qu'ils ne venaient pas de l'extérieur.
Très bien. C'est eux qui me rongeaient de l'intérieur, qui noircissaient ma lumière. Il fallait passer par là pour y voir plus clair ensuite.
Je sais pas si c'est ça qu'on appelle la nuit noire, ce truc où on décide de faire face à nous-même, à notre côté obscur, et qu'on tombe dans une dualité sans pitié pour nous-même !
Je me demande si c'est ça qui m'a déclenché cette maladie ? Ca m'étonnerais pas. Pas grave.
Ca été dur.
Puis vient l'amour.
Pas l'amour affectif, sexuel ou possessif. Non.
L'amour qui ressemble à celui que j'ai senti lors de mon NDE.
Pas aussi fort, pas aussi puissant. Juste des bribes, comme des effluves subtiles qui passent sous le nez et qui repartent aussitôt.
Puis ensuite beaucoup d'émotions très vives, de la souffrance et de la joie multiplié par 1000. Et entre, des sensations de vide teintées d'apaisements et d'amour pur. "chui vidée, mais c'est pas grave, parce que c'est tellement beau, parfait".
Mais il y a un hic. Le mental. Ouais, lui, il revient toujours au galop avec ses 10 000 questions qui servent à rien finalement.
Alors comment on fait ?
Ecoute ton corps, écoute ton ame, ecoute tes émotions comme si elles ne t'appartenaient pas, mais considère les comme tes amies.
A un moment je me suis demandée si faire comme ça n'était pas dangereux, genre on se dissocie de nous-même et on devient dingue. Genre on provoque en nous des pathologies de type schyzophrénie ou autre trouble psychologique.
A une période j'ai cru devenir dingue à force d'essayer de modifier mes pensées et mes croyances.
Il y avait un truc qui me rendait particulièrement stressée, c'est de m'obliger à ne pas penser à un truc. Bah j'y pensais à l'obsession.
Comme quand quelqu'un nous dit "ne pense pas à un éléphant rose" bah si on y pense forcement à partir du moment où on nous le met dans la tête. Et ça devient des pensées obsessionnelles. "je ne dois pas penser à l'éléphant rose !".
C'est tout à fait le paradoxe des attaques de panique. Plus on veut les fuir, et plus elles augmentent en intensité puisqu'on y pense.
Et donc du coup, quand la bête est là, y a plus qu'à la faire entrer et faire ami-ami avec elle. "Allez, viens, je t'en veux pas, tu fais partie de moi, ta place est là".
Et là miracle, je sais pas ce qui se passe, une fusion peut-être ? L'éléphant rose n'est plus l'ennemi, il s'evapore tout doucement. L'attaque de panique disparait et laisse place à un soulagement très salutaire.
C'était Grenouille, en direct de l'ISS, fin du message.
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Mes pensées du moment
Chère Grenouille,
Comme d'habitude, je te lis avec beaucoup d'attention.
Il me semble qu'il pourrait y avoir une méthode qui te permettrait de remettre tout à plat en suivant un processus établi et te mettant en rapport avec plusieurs personnes qui seraient à même d'être une guidance et cela se trouve sur le forum. Il s'agit du jeu du TAO.
J'ai lu les règles et j'ai compris comment cela fonctionne. Cela pourrait être une démarche positive. Ces échanges peuvent être de durée plus ou moins longue. C'est la personne qui décide.
Ces échanges permettent d'une certaine façon de "recadrer" la personne pas à pas. Pas de jugement. Il y a une éthique à respecter.
Contacte Francesca si cela t'intéresse pour en faire partie.
Comme d'habitude, je te lis avec beaucoup d'attention.
Il me semble qu'il pourrait y avoir une méthode qui te permettrait de remettre tout à plat en suivant un processus établi et te mettant en rapport avec plusieurs personnes qui seraient à même d'être une guidance et cela se trouve sur le forum. Il s'agit du jeu du TAO.
J'ai lu les règles et j'ai compris comment cela fonctionne. Cela pourrait être une démarche positive. Ces échanges peuvent être de durée plus ou moins longue. C'est la personne qui décide.
Ces échanges permettent d'une certaine façon de "recadrer" la personne pas à pas. Pas de jugement. Il y a une éthique à respecter.
Contacte Francesca si cela t'intéresse pour en faire partie.
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A vouloir tout savoir, on finit par se perdre surtout si on n'est pas prêt à recevoir l'information et à en avoir la compréhension de son interprétation. Recevoir un Savoir et savoir le recevoir. Point de limite à l'esprit.
Plume- Messages : 964
Date d'inscription : 29/05/2019
Re: Mes pensées du moment
Je ne savais pas que les Grenouille se posaient autant de questions .....
La proposition de Plume me semble une bonne idée .
Une NDE...la nuit obscure...et comme dirait Jacques Chancel : " Et Dieu dans tout ça ?
Mollopipo
La proposition de Plume me semble une bonne idée .
Une NDE...la nuit obscure...et comme dirait Jacques Chancel : " Et Dieu dans tout ça ?
Mollopipo
mollopipo- Messages : 1855
Date d'inscription : 06/05/2014
Re: Mes pensées du moment
Salut Plume,
J'ai pas très bien compris les règles du Tao...
Mais pourquoi pas ?
J'ai pas très bien compris les règles du Tao...
Mais pourquoi pas ?
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Mes pensées du moment
.
Depuis quelques temps, le monde nage dans une grande confusion, et celle-ci n'est pas prête de diminuer, au contraire, ce qui engendrera au niveau individuel et collectif de plus en plus de dérapages comportementaux, parfois récupérés et orchestrés par des puissances nuisibles qui les amplifieront dans le but de servir des intérêts privés.
Mais là n'est peut-être pas vraisemblablement le but de ton questionnement chère Grenouille. Pour les personnes sensitives, perceptives aux énergies environnantes, force est de constater que nous subissons des vagues de plus en plus amples d'énergies colossales qui parviennent du cosmos, qui inondent notre planète (entre autres), et provoquent des déstabilisations plus ou moins conséquentes en fonction de chaque individu.
Les effets induits par ces vagues impactent considérablement les aspects subtils de notre être, aspect énergétique, émotionnel, biologique, psychologique, et perceptif.
Dans ce dernier cas, notre perception du monde, de nos relations, de notre vie peut se modifier assez sensiblement, créer des désagréments divers, des états d'âme perturbant, des révisions déchirantes, une déconnexion parfois marquée avec le réalité factuelle, qui nous entraîne vers des connexions surprenantes avec d'autres plans de réalité visibles ou invisibles.
Tout ceci peut s'avérer très déstabilisant si on ne comprend pas qu'un processus est en cours, celui d'un changement vibratoire profond, un changement prédit par d'anciennes traditions et prophéties, exprimées selon la culture et la conscience qui régnaient aux époques où elles ont été révélées.
Nous sommes en train d'effectuer un saut quantique, un changement de plan de conscience, qui nous amène à naviguer dans un chevauchement de réalités, celle que nous connaissions et celle qui se superpose à elle, due à une ouverture prodigieuse de la conscience humaine vers un palier supérieur.
Il y aurait beaucoup à dire à ce sujet, et je ne sais si mes propos seront clairs ou explicites pour tous, mais voilà où nous en sommes, que nous le désirions ou non.
Les temps à venir augmenteront cette confusion et le désordre que cela engendrera.
Pour certains, ce sera une période palpitante à vivre, car l'ancien s'estompera au profit du nouveau, dans une vision élargie de la vie.
Pour d'autres, accroché à leur mode de vie actuel, ce sera une période difficile à vivre sur de nombreux plans, parce qu'ils refuseront le changement et y résisteront, et comme le disait un vieux moine zen:
"là où il y a résistance il y a souffrance".
Depuis quelques temps, le monde nage dans une grande confusion, et celle-ci n'est pas prête de diminuer, au contraire, ce qui engendrera au niveau individuel et collectif de plus en plus de dérapages comportementaux, parfois récupérés et orchestrés par des puissances nuisibles qui les amplifieront dans le but de servir des intérêts privés.
Mais là n'est peut-être pas vraisemblablement le but de ton questionnement chère Grenouille. Pour les personnes sensitives, perceptives aux énergies environnantes, force est de constater que nous subissons des vagues de plus en plus amples d'énergies colossales qui parviennent du cosmos, qui inondent notre planète (entre autres), et provoquent des déstabilisations plus ou moins conséquentes en fonction de chaque individu.
Les effets induits par ces vagues impactent considérablement les aspects subtils de notre être, aspect énergétique, émotionnel, biologique, psychologique, et perceptif.
Dans ce dernier cas, notre perception du monde, de nos relations, de notre vie peut se modifier assez sensiblement, créer des désagréments divers, des états d'âme perturbant, des révisions déchirantes, une déconnexion parfois marquée avec le réalité factuelle, qui nous entraîne vers des connexions surprenantes avec d'autres plans de réalité visibles ou invisibles.
Tout ceci peut s'avérer très déstabilisant si on ne comprend pas qu'un processus est en cours, celui d'un changement vibratoire profond, un changement prédit par d'anciennes traditions et prophéties, exprimées selon la culture et la conscience qui régnaient aux époques où elles ont été révélées.
Nous sommes en train d'effectuer un saut quantique, un changement de plan de conscience, qui nous amène à naviguer dans un chevauchement de réalités, celle que nous connaissions et celle qui se superpose à elle, due à une ouverture prodigieuse de la conscience humaine vers un palier supérieur.
Il y aurait beaucoup à dire à ce sujet, et je ne sais si mes propos seront clairs ou explicites pour tous, mais voilà où nous en sommes, que nous le désirions ou non.
Les temps à venir augmenteront cette confusion et le désordre que cela engendrera.
Pour certains, ce sera une période palpitante à vivre, car l'ancien s'estompera au profit du nouveau, dans une vision élargie de la vie.
Pour d'autres, accroché à leur mode de vie actuel, ce sera une période difficile à vivre sur de nombreux plans, parce qu'ils refuseront le changement et y résisteront, et comme le disait un vieux moine zen:
"là où il y a résistance il y a souffrance".
djéhouti- Messages : 189
Date d'inscription : 10/11/2016
Re: Mes pensées du moment
J'ai lu plusieurs fois ce sujet et il y a quelque chose de particulier,de fort et d'une beauté sans nom.Pour tout ça en un seul mot,Merci.
Apres chaque paragraphe de ton message,Grenouille,je discutais avec toi C'est des moments ou je peux rester bloqué devant l’écran facilement pendant plus d'une heure.Il y a plus rien,j'ai disparu
Puisse-t-on se le tatouer sur le cœur.
J'aurais pu souligner encore bien d'autres phrases de ton message.D'ailleurs je vais te faire une confidence,je vais le garder et le relire encore et encore.Ouais j'ai beaucoup aimé,merci.
Apres chaque paragraphe de ton message,Grenouille,je discutais avec toi C'est des moments ou je peux rester bloqué devant l’écran facilement pendant plus d'une heure.Il y a plus rien,j'ai disparu
sois le changement que tu voudrais voir dans le monde
Puisse-t-on se le tatouer sur le cœur.
J'aurais pu souligner encore bien d'autres phrases de ton message.D'ailleurs je vais te faire une confidence,je vais le garder et le relire encore et encore.Ouais j'ai beaucoup aimé,merci.
_________________
Que règne la liberté.Car jamais le soleil ne s'est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.Nelson Mandela.
pac- Messages : 951
Date d'inscription : 30/03/2016
Re: Mes pensées du moment
Cher Djéhouti, c'est tellement juste ce que tu dis. La confusion a encore monté d'un cran et c'est émotivement assez dur de garder son sang-froid. Prendre du recul devient difficile tellement ça s'accelère.
Qu'est ce qui te touche le plus dans ce message Pac ?
Qu'est ce qui te touche le plus dans ce message Pac ?
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Mes pensées du moment
Qu'est ce qui te touche le plus dans ce message Pac ?
C'est difficile a dire,l'ensemble du message me plait beaucoup.Je n'ai pas vécu de NDE c’était autre chose mais qui est en lien avec le principal.
L'amour qui ressemble à celui que j'ai senti lors de mon NDE
Puis il y a cette magnifique évolution!On se croise ici depuis quelques temps et je t'admire pour qui tu es.Il y a cette douceur,cet innocence qui même si traversé par quelques nuages parvient a maintenir le cap.Cette façon de partager avec ton cœur et pourtant d'une certaine manière si incomprise.
Ces moments de lecture comme ton message ou autre me font me sentir moins seul,il y a ce qui est appelé communément cette longueur d'onde ou tout parait si fluide.C'est ça,je crois qu'on a pas mal de points communs.
C'est pour ça que je m'ennuie ici-bas. Et c'est peut-être pour ça qu'inconsciemment je me tue par le biais des anticorps. Ca me parait hyper logique de vouloir détruire le siège des émotions parce que ces émotions n'existent qu'en étant vivant dans ce corps.
Il y a certainement cette sensibilité aigue qui joue sur l'intensité des émotions.Pour mettre ça dans des cases on parle d'hypersensibilité.C'est quelque chose de magnifique tout comme cela peut être éprouvant.Une qualité comme un défaut selon ce qui en est fait.Vouloir détruire ça je crois que c'est presque un crime contre l'humanité C'est une image,tu as beaucoup a offrir.D'ailleurs tu le fais très bien dans la suite de ton message.Quelle capacité peut être plus belle que ça?
Justement suite à cette théorie je me suis appuyé sur cette croyance: nous sommes ici-bas pour vivre les expériences, alors jouons.
Mais ça me fait pas rire parce que ce que j'y vois, c'est la souffrance des autres. Tout être compris. Et l'être le plus diabolique étant... tadaaaaaa ! l'humain. Bah j'ai pas vraiment envie de jouer, parce qu'en suivant mes propres lois "respect du vivant", je me fait écarter systématiquement de la meute.
Ouais il y a beaucoup de souffrance et il y en aura encore.Mais pas que,heureusement!J'aime bien essayer de remonter a la source et a chaque fois c'est la même,des blessures d'amour.J'ai beau retourner les choses dans tous les sens c'est toujours ça.Le truc bizarre c'est que c'est souvent plus difficile pour soi,en tout cas quand j'essais de le faire seul.Certes c'est pas impossible mais un chouia plus compliqué.On a besoin des autres,c'est surement l'un des meilleurs moyen de prendre conscience et d'avancer.Non pas que seul on recule hein mais disons que c'est limité.Ensuite pour ma part j'ai besoin de temps en temps d’être seul,mais vraiment.De toute façon durant ces moments je suis absent,en mode répondeur
Pour ce qui est d’être écarté de la meute,je l'ai connu aussi.Avec du recul j'ai pu remarquer que c’était lorsque je suis en mode renfermé sur moi-même puis dés lors ou je laisse cette étincelle s'exprimer fiou ça circule,c'est leger et agréable.Bien entendu on ne peut plaire a tout le monde et en même temps pas sur que ce soit le but.
Enfin bref, voilà, on est là, et c'est pas nouveau
Apres cette phrase il y a plus de lumière dans la vision.C'est comme si ton message était fait de deux parties complémentaires.Un joli partage,une belle ouverture
Ici se confirme encore une fois qu'on détient toutes les clés.Bon même si il est encore nécessaire de trouver les portes car d'une certaine manière il n'y a pas de fin en soi.
Alors comment on fait ?
Ecoute ton corps, écoute ton ame, ecoute tes émotions comme si elles ne t'appartenaient pas, mais considère les comme tes amies.
Au top,simple et percutant
Et pour finir:
Et donc du coup, quand la bête est là, y a plus qu'à la faire entrer et faire ami-ami avec elle. "Allez, viens, je t'en veux pas, tu fais partie de moi, ta place est là".
Et là miracle, je sais pas ce qui se passe, une fusion peut-être ? L'éléphant rose n'est plus l'ennemi, il s'evapore tout doucement. L'attaque de panique disparait et laisse place à un soulagement très salutaire.
Je suis sur que ton message fera du bien encore a d'autres.
_________________
Que règne la liberté.Car jamais le soleil ne s'est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.Nelson Mandela.
pac- Messages : 951
Date d'inscription : 30/03/2016
Re: Mes pensées du moment
Merci Pac pour ton retour, comment tu as personnellement perçu ce message, c'est un échange magnifique je trouve.
Je ne sais pas trop quoi dire, c'est vrai qu'on porte cet espèce de solitude qu'on voudrait larguer parce qu'elle est teintée d'une émotion proche de celle de la tristesse et c'est pas forcément agréable.
Mais même si on arrive pas à être compris de tous, parce qu'on est tous différents avec des croyances diverses et des façons de fonctionner différentes, on tombera toujours sur une ou plusieurs personnes qui se rapprochera un peu plus de ce qu'on est et ça fait du bien.
J'avais envie de rajouter un truc hier, c'est qu'en acceptant ces états de solitude/tristesse/sensation de vide sans essayer de lutter contre ou de les fuir, ça se transforme en quelque chose de beau à la finale. Toute émotion confondue du premier post, c'est en quelque sorte le cheminement qui s'est fait.
Conclusion par la citation de Djéhouti "là où il y a résistance il y a souffrance".
Je ne sais pas trop quoi dire, c'est vrai qu'on porte cet espèce de solitude qu'on voudrait larguer parce qu'elle est teintée d'une émotion proche de celle de la tristesse et c'est pas forcément agréable.
Mais même si on arrive pas à être compris de tous, parce qu'on est tous différents avec des croyances diverses et des façons de fonctionner différentes, on tombera toujours sur une ou plusieurs personnes qui se rapprochera un peu plus de ce qu'on est et ça fait du bien.
J'avais envie de rajouter un truc hier, c'est qu'en acceptant ces états de solitude/tristesse/sensation de vide sans essayer de lutter contre ou de les fuir, ça se transforme en quelque chose de beau à la finale. Toute émotion confondue du premier post, c'est en quelque sorte le cheminement qui s'est fait.
Conclusion par la citation de Djéhouti "là où il y a résistance il y a souffrance".
_________________
Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Mes pensées du moment
J'ai envie de parler de ça, une erreur que j'ai faite pendant longtemps et qui m'a beaucoup bloqué ces dernières années.
Alors j'ai commencé à m'observer pour mieux me cerner il y a quelques années et du coup j'ai pris le pli de m'observer quasiment tout le temps (sauf quand je dors) et à me remettre en question tout le temps.
Ca été rude psychologiquement, mais je devais passer par là pour comprendre où je me gourais sur mon chemin de vie.
En fait j'ai fait ça pour, en quelque sorte, entrer en moi et me comprendre. Ca a eu beaucoup d'avantage dans le sens où j'ai pu voir certaines choses chez moi qui n'allaient pas, et pourquoi. Les blocages, les peurs, les tics qui sont des habitudes prises depuis longtemps et que je faisais sans m'en rendre compte.
Mais aussi de voir mon caractère et essayer de le calquer au mieux avec ce que je vis involontairement (maladie, société...)
Mais ça a eu des inconvenients à la longue car j'ai tellement pris l'habitude de tout remettre en question que j'ai eu une grosse grosse grosse période de doutes.
L'erreur ça a été de continuer à m'observer alors qu'il n'y avait pas lieu et de me bloquer dans l'autre sens.
Comment expliquer...
Par exemple, je n'arrivais plus à me lacher, car trop tournée à l'interieur, mon mental se posait toute sorte de questions sur moi, mon comportement, ce que je devrais dire, faire, quelle décision prendre, etc... et du coup je me suis souvent retrouvée démunie face à ça.
Parce que je ne m'écoutais plus finalement. Je n'écoutais que mon mental, qui lui, est comme un gamin qui questionne une partie supérieure qui n'est plus là.
Et j'ai finit par oublier qu'à force de chercher qui on est, on se perd.
J'utilisais trop mon mental et n'avancais plus. J'étais bloquée.
Et lui il se demandait pourquoi, alors qu'on avait tout fait pour avancer, on se retrouvait bloqué quelque part.
C'est un proche avec qui je discutait ces derniers temps qui m'a donné la clef. Pas sur le coup, j'ai cogité quelques jours ensuite.
Je me suis dit qu'il fallait que je m'exteriorise maintenant, mais comment ?
Hé bien en lachant le mental.
Lui qui dit "est ce que je suis bien ? est ce que je dis n'est pas déplacé ? Est ce que ce que je fais plait ? Et si je fais comme ça c'est mieux ? etc..."
C'est lui qui me bloque avec toutes ces questions.
Puis il y a cette autre partie de moi, divine, qui agit par ressenti, par intuition, mais qui ne pose jamais de questions.
Et qui dit "bah j'y vais. Le resultat on s'en fiche." Et même qui semble dire "Allez fonce, je te guide !"
C'est la même chose que "sois-toi même".
Bref, j'ai appliqué ça, assez facilement car il n'y a rien à faire. Juste faire ce que j'ai envie sur le moment. Et c'est ce qui me permet de sortir de cette dépression suite aux burn out qui m'ont enlevé ma vitalité.
Pour en revenir à "entrer en soi", c'est à faire bien sûr, mais pas tout le temps. Et c'était là mon erreur.
Mais aussi, important, savoir les peurs qu'on porte en nous et qui viennent de ce mental. Quand on est trop en soi, on les vit au quotidien et ça nourrit l'état de dépression. Et en contrepartie quand on s'exteriorise ça aide à les faire partir. Faut juste essayer de trouver le juste milieu.
Quand entrer en soi et quand en sortir, j'ai encore un peu de mal mais quand je fait appel à mon intuition (quand je lache prise), je sais quand le faire, comme un besoin à satisfaire.
Evidemment tant qu'il ne se passe rien c'est facile, mais les aléas de la vie font que parfois on se retrouve face à pleins de problèmes d'un coup qu'on arrive plus à gerer. Les émotions nous envahissent et on se retrouve prit dans le piège du mental.
J'aimerais bien avoir la clef qui ouvre toutes les portes pour aider tout ceux qui sont prit dans ce cercle infernal, mais chacun de nous a son propre travail personnel à faire pour avancer. C'est l'experience et la facon dont on la regarde ainsi que la manière dont on la prend qui fait qu'on avance ou on se bloque.
Chez les autres on peut prendre ici et là des clefs qui entrent dans nos portes ou pas, c'est à chacun de voir, d'essayer, d'experimenter, en allant au fond de soi, en apprenant à se connaitre, etc...
Les clefs de mes portes ne fonctionneront pas pour tout le monde, mais si ça peut aider à ouvrir les portes de ceux avec qui je partage ceci, j'en serais heureuse. Parce que c'est en écoutant les autres et en essayant sur moi-même que je réussis à avancer. Vous, vous êtes une partie de moi, et moi je suis une partie de vous. A nous tous de se retrouver dans l'individualité en cherchant les parties des autres qui s'emboitent avec nous même.
C'était Grenouille, en direct de la galaxie nénuphar.
Alors j'ai commencé à m'observer pour mieux me cerner il y a quelques années et du coup j'ai pris le pli de m'observer quasiment tout le temps (sauf quand je dors) et à me remettre en question tout le temps.
Ca été rude psychologiquement, mais je devais passer par là pour comprendre où je me gourais sur mon chemin de vie.
En fait j'ai fait ça pour, en quelque sorte, entrer en moi et me comprendre. Ca a eu beaucoup d'avantage dans le sens où j'ai pu voir certaines choses chez moi qui n'allaient pas, et pourquoi. Les blocages, les peurs, les tics qui sont des habitudes prises depuis longtemps et que je faisais sans m'en rendre compte.
Mais aussi de voir mon caractère et essayer de le calquer au mieux avec ce que je vis involontairement (maladie, société...)
Mais ça a eu des inconvenients à la longue car j'ai tellement pris l'habitude de tout remettre en question que j'ai eu une grosse grosse grosse période de doutes.
L'erreur ça a été de continuer à m'observer alors qu'il n'y avait pas lieu et de me bloquer dans l'autre sens.
Comment expliquer...
Par exemple, je n'arrivais plus à me lacher, car trop tournée à l'interieur, mon mental se posait toute sorte de questions sur moi, mon comportement, ce que je devrais dire, faire, quelle décision prendre, etc... et du coup je me suis souvent retrouvée démunie face à ça.
Parce que je ne m'écoutais plus finalement. Je n'écoutais que mon mental, qui lui, est comme un gamin qui questionne une partie supérieure qui n'est plus là.
Et j'ai finit par oublier qu'à force de chercher qui on est, on se perd.
J'utilisais trop mon mental et n'avancais plus. J'étais bloquée.
Et lui il se demandait pourquoi, alors qu'on avait tout fait pour avancer, on se retrouvait bloqué quelque part.
C'est un proche avec qui je discutait ces derniers temps qui m'a donné la clef. Pas sur le coup, j'ai cogité quelques jours ensuite.
Je me suis dit qu'il fallait que je m'exteriorise maintenant, mais comment ?
Hé bien en lachant le mental.
Lui qui dit "est ce que je suis bien ? est ce que je dis n'est pas déplacé ? Est ce que ce que je fais plait ? Et si je fais comme ça c'est mieux ? etc..."
C'est lui qui me bloque avec toutes ces questions.
Puis il y a cette autre partie de moi, divine, qui agit par ressenti, par intuition, mais qui ne pose jamais de questions.
Et qui dit "bah j'y vais. Le resultat on s'en fiche." Et même qui semble dire "Allez fonce, je te guide !"
C'est la même chose que "sois-toi même".
Bref, j'ai appliqué ça, assez facilement car il n'y a rien à faire. Juste faire ce que j'ai envie sur le moment. Et c'est ce qui me permet de sortir de cette dépression suite aux burn out qui m'ont enlevé ma vitalité.
Pour en revenir à "entrer en soi", c'est à faire bien sûr, mais pas tout le temps. Et c'était là mon erreur.
Mais aussi, important, savoir les peurs qu'on porte en nous et qui viennent de ce mental. Quand on est trop en soi, on les vit au quotidien et ça nourrit l'état de dépression. Et en contrepartie quand on s'exteriorise ça aide à les faire partir. Faut juste essayer de trouver le juste milieu.
Quand entrer en soi et quand en sortir, j'ai encore un peu de mal mais quand je fait appel à mon intuition (quand je lache prise), je sais quand le faire, comme un besoin à satisfaire.
Evidemment tant qu'il ne se passe rien c'est facile, mais les aléas de la vie font que parfois on se retrouve face à pleins de problèmes d'un coup qu'on arrive plus à gerer. Les émotions nous envahissent et on se retrouve prit dans le piège du mental.
J'aimerais bien avoir la clef qui ouvre toutes les portes pour aider tout ceux qui sont prit dans ce cercle infernal, mais chacun de nous a son propre travail personnel à faire pour avancer. C'est l'experience et la facon dont on la regarde ainsi que la manière dont on la prend qui fait qu'on avance ou on se bloque.
Chez les autres on peut prendre ici et là des clefs qui entrent dans nos portes ou pas, c'est à chacun de voir, d'essayer, d'experimenter, en allant au fond de soi, en apprenant à se connaitre, etc...
Les clefs de mes portes ne fonctionneront pas pour tout le monde, mais si ça peut aider à ouvrir les portes de ceux avec qui je partage ceci, j'en serais heureuse. Parce que c'est en écoutant les autres et en essayant sur moi-même que je réussis à avancer. Vous, vous êtes une partie de moi, et moi je suis une partie de vous. A nous tous de se retrouver dans l'individualité en cherchant les parties des autres qui s'emboitent avec nous même.
C'était Grenouille, en direct de la galaxie nénuphar.
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
pac et Plume aiment ce message
Re: Mes pensées du moment
Bonjour Grenouille,
En lisant le paragraphe qui parle de clés, cela me fait penser à un songe que j'ai fait il y a maintenant quelques années.
Il est un fait que chacun possède ses propres clés.
Voici le songe :
"Je me trouvais dans mon jardin et dans le ciel à une certaine hauteur se trouvait deux jeunes hommes. L'un d'eux se trouvait un peu plus bas que l'autre et détenait dans sa main mon trousseau de clés. Il a levé la tête vers celui se trouvant un peu plus haut et il lui a demandé s'il devait me rendre mon trousseau. Il lui a répondu NON. Ils m'ont fait comprendre que je devais ouvrir d'autres portes pour acquérir de nouvelles connaissances et que je trouverai la guidance nécessaire pour me diriger vers des lectures me permettant de nouvelles découvertes. " Ce qui fut fait. "
Mais également de trouver un forum ésotérique me permettant d'acquérir et de partager sur des sujets très variés. J'ai beaucoup appris.
Sur ce, je te souhaite une bonne journée.
En lisant le paragraphe qui parle de clés, cela me fait penser à un songe que j'ai fait il y a maintenant quelques années.
Il est un fait que chacun possède ses propres clés.
Voici le songe :
"Je me trouvais dans mon jardin et dans le ciel à une certaine hauteur se trouvait deux jeunes hommes. L'un d'eux se trouvait un peu plus bas que l'autre et détenait dans sa main mon trousseau de clés. Il a levé la tête vers celui se trouvant un peu plus haut et il lui a demandé s'il devait me rendre mon trousseau. Il lui a répondu NON. Ils m'ont fait comprendre que je devais ouvrir d'autres portes pour acquérir de nouvelles connaissances et que je trouverai la guidance nécessaire pour me diriger vers des lectures me permettant de nouvelles découvertes. " Ce qui fut fait. "
Mais également de trouver un forum ésotérique me permettant d'acquérir et de partager sur des sujets très variés. J'ai beaucoup appris.
Sur ce, je te souhaite une bonne journée.
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A vouloir tout savoir, on finit par se perdre surtout si on n'est pas prêt à recevoir l'information et à en avoir la compréhension de son interprétation. Recevoir un Savoir et savoir le recevoir. Point de limite à l'esprit.
Plume- Messages : 964
Date d'inscription : 29/05/2019
Grenouille aime ce message
Re: Mes pensées du moment
C'était en 1999, j'apprends que ma mère a disparu.
En allant chez mon beau-père (son mari), je constate qu'elle est absente et lui demande où elle est, il me répond "je ne sais pas, ça fait une semaine que je ne l'ai pas vue".
Evidemment je lui pose pleins de questions, et au fur et à mesure de ses réponses je vois bien que rien n'est clair, qu'il s'est passé quelque chose entre eux.
Moi je m'en fichait, c'était leur vie. Mais de ne pas savoir où elle se trouvait ça m'inquietais beaucoup.
C'était pas son genre de disparaitre comme ça, sans rien dire.
La semaine suivant mon beau-père m'a demandé de remplacer ma mère à son cabinet médical. Il ne s'en sortait plus et la paperasse s'entassait.
J'avais jamais fait ça. Alors j'ai appris. J'ai jamais su les codes des actes pour la cpam, alors je lui demandais dès que je pouvais et faisait la navette entre le cabinet et la cpam. Je prenais aussi les rendez-vous.
Deux semaines plus tard j'ai eu des nouvelles de ma mère, discrétement, pour ne rien dire à mon beau-père. Elle avait trouvé un amant et était parti vivre avec lui.
Je continuais de travailler avec ce secret dans le cabinet de mon beau-père.
Pas longtemps, car comme il avait augmenté sa consommation d'alcool et que la promiscuité et le temps, je pense, le faisais pencher pour plus de familiarité avec moi, et qui lui faisait oublier que je lui rendait service. Quand j'y pense maintenant, comme j'étais la fille, peut-être qu'il s'en est pris à moi verbalement pour soulager ses frustrations, aidé par l'alcool.
En même temps je filais déjà un mauvais coton avec mon mari de l'époque, et lui aussi s'en prenait à moi parce qu'il ne trouvait pas normal que je remplace ma mère.
Mais perso, je ne pouvais pas laisser mon beau-père dans la mouise, surtout qu'il avait un bon diabète et un cancer du pancréas. En plus de problème psychologiques.
En effet, il ne s'est jamais remis de son enfance, violé par des jesuites. Et à cette dure période de 1999 où ma mère l'avait largué, il tombait dans une sévère dépression en plus de l'addiction à l'alcool. Il tenait grace à son travail.
Alors ok j'ai su plus tard qu'il avait fait le con avec ma mère. Je savais avant qu'il avait pointé une arme sur sa tete dans une crise de démence alcoolique, qu'il l'obligeait à faire certaines choses à caractère sexuel que je nommerais pas ici, et qu'il l'avait trompé ouvertement avec une amie commune. Bon sang. pfffiou.
Voilà les raisons de son départ. Y en a d'autres mais je pense que c'est pas mal.
Un soir on s'est prit la tête. Moi, impulsive, j'ai pris mon sac à main et je suis partie. Sur la route la nuit. J'ai fait du stop.
Et c'est là que j'ai été jeté dans le fossé par l'inconnu qui a dechiqueté mes vetements. Il n'a pas réussi à me violer et s'est enfui avec mon sac. Je suis allée à la gendarmerie, nous sommes allés sur les lieux de l'agression pour constater et mon sac a été retrouvé dans les bois. Le chequier de mon beau-pere avait disparu, evidemment.
Les gendarmes m'ont accusé d'avoir inventé l'histoire pour voler moi-même les sous de mon beau-père. Quand j'y pense j'ai encore le coeur qui fait des bonds. Injustice. Le chequier je l'avais toujours dans mon sac puisque que je remplacait ma mere au secretariat mais aussi pour faire des courses. Et quand je suis partie, colere, j'ai pas pensé à lui rendre le chequier.
Quand ils ont vu que je mentait pas, parce que je leur ai dit ce que j'avais crié au moment de l'agression, c'est a dire "non ! plus jamais !" un gendarme m'a demandé "vous avez deja été violé ?" j'ai dit "oui, plusieurs fois". "Qui ?" m'a-t-il demandé. Donc j'ai dit le nom de tous mes violeurs, dont mon père et mon cousin. Pour eux j'avais la possibilité de porter plainte. Au début j'ai pas voulu pour ne pas faire de vague dans la famille, puis ils m'ont convaincue.
La plainte a été rejetée car 10 ans apres la majorité, à l'époque, il y avait prescription. J'ai toujours la haine pour ça.
Suite à ça je ne suis pas retournée aider mon beau-père.
J'allais le voir avec mon fils, ça lui faisais plaisir, car il l'avait elevé pendant deux ans avec ma mère.
Mais mon mari de l'époque n'était pas très chaud, et à la finale m'a interdit de le voir d'une certaine manière.
J'y suis quand même allée le voir et mon mari m'a fait une scène, alors on est pas resté longtemps.
Mon beau-père est mort quelques jours plus tard. Il avait arreté de faire ses piqures d'insuline.
C'était mon père spirituel, celui qui m'avait donné des repères et un semblant d'amour.
Ensuite j'ai fait la connaissance de l'amant de ma mère, un motard artisan. Je l'ai apprecié car quand j'ai revu ma mère, elle avait retrouvé son poids normal et semblait épanouie. On avait encore des relations froides toutes les deux mais encore à cette époque j'étais à la recherche de son amour et aurait tout fait pour l'avoir.
Peut-être que c'est moi qui avait bloqué quand mon père est venu m'agresser sexuellement quand j'avais sept ans, et que comme les evenements se sont precipités ensuite et que j'ai eu, je dirais, quelque chose en moi qui a cassé, je me suis refermée. Comme m'a mère a pété une grave depression l'année d'apres et qu'elle a crié le nom de mon frère, que j'étais dans un état second, paniquée, perdue, avec personne pour me rassurer, me sentant en danger permanent avec mon père et ce mec qui me tapait dessus à l'école, je pense que c'est là qu'il y a eu déclenchement d'un truc qui fait qu'un enfant ne grandira plus normalement.
Avec ma soeur ça allait plus encore une fois. Elle se servait de moi et mon mari de l'époque esssayait de me proteger contre elle. Mais je voulais être aimée et je continuais de ceder aux caprices de ma soeur. Mon mari le prenait très mal car il me voulait à lui tout seul. Si j'allais plus vers l'un c'est l'autre qui me le faisais payer, et inversement.
Des fois je faisais des sejours en hopital psychiatrique, j'etais diagnostiquée bi polaire à l'époque. Et si au départ j'ai eu la visite de ma famille et celle de mon mari, sur la fin j'étais completement délaissée. J'en ai encore la haine. J'aurais du à cette époque m'occuper de MOI en priorité au lieu de me donner aux autres. Ce que j'ai fais en 2008 des années plus tard.
Le conte de fée de ma mère s'est arreté en 2005 quand son amant est mort brutalement dans un accident de moto. L'enterrement a été dur, bien sur, pour ma mere, mais aussi pour moi car ce jour là elle m'a rejeté très froidement. Avec les mots et le regard. Pourquoi ? Je l'ai su quatre ans plus tard. Encore pour cette connerie de me plier en quatre pour les autres.
En 1992 on m'a retiré la garde de mon fils a cause d'une grosse depression. Mon mari etait parti toute la semaine et je n'ai pas pu m'occuper correctement de mon fils etant HS.
Il a été placé chez ma mere et mon beau-pere en attendant que j'aille mieux et que mon mari rentre.
Mais les medicaments ne me faisaient rien, parce que le probleme venait de la thyroide, et que le diagnostique de la bipolarité etait faux. Je suis restée quelques années bourrées de médocs et comme une loque, les medecins augmentant les doses au fur et à mesure pensant que ça allait finir par agir.
Mon mari et son pere pensaient que je simulais parce qu'ils ne croyaient pas en la depression (harrrrg j'ai la haine !) donc du coup ils me soignaient à coup de claques psychologiques, mais ça me renfonçait.
Entretemps mon mari m'a trompé avec des amis communs, je le sentait et il me mentait. Je vous jure que j'étais mal mal mal !
Je crois que c'est une des periodes de ma vie qu'il faut que j'exorcise parce qu'elle revient toujours dans mes pensées, mes rêves, et ça me bouffe de l'intérieur. Encore. Moins souvent mais ça revient par période.
Et donc voila-t-y pas que les deux familles se crepent le chignon pour avoir la garde de mon fils. Moi je pouvais rien faire j'etais HS. Dans cet état de faiblesse mon mari m'a convaincu que notre fils etait en danger dans ma famille et qu'il fallait l'enlever et le donner à ses parents. Passage chez les juges, paf, et hop. On retire mon fils de chez ma mere.
Voilà pourquoi elle m'en a voulu.
Elle m'en a parlé un jour quand j'avais quitté mon ex. Elle pleurait, j'ai pleuré. Bon sang mais qui pense à moi un jour ??? S'etait-elle demandé ce que je vivais ? Alors je lui ai dit, un peu en colere, qu'on me l'avait enlevé à moi aussi et que j'en ai souffert. On s'est prise dans les bras et on a pleuré.
Ca faisait du bien qu'on se le dise. Je trouve ça super qu'elle ai pu en parler. Les abces il faut les crever.
Il faut dire que quand j'ai quitté mon ex, j'ai fait une virevolt à 360 degré. Quatre ans de divorce difficile avec un ex menteur et procedurier qui a monté la tete de notre fils qui avait 15 ans à l'epoque, plus de travail en pleine crise financiere (hé oui 2008 c'etait la deche au niveau travail) et arret total des medocs: effexor, levothyrox, deroxat, anxiolitiques et tégrétol.
J'ai tenu par la colere. Petits boulots de m... sorties en boite, defonces, recherche d'appartement... j'ai perdu 25 kilogs.
Et me voila avec ma truffe. Un boulot, une maison, et une vie tranquiiiiiiiiiile !!!!
Bon bah on a perdu notre petit bébé Wallis, et j'ai repris un traitement anti-depresseur pendant trois ans, et ensuite j'ai tout arreté.
C'est là que je me dit qu'à chaque fois qu'on relève la tête, on gagne en résilience. Il y a encore les démons du passé qui refont surface à des périodes déclencheurs, mais quand on sait comment on fonctionne et qu'on sait que jamais rien n'est perdu, sauf si on le décide, alors on y arrive.
A chaque fois depuis le déclic en 2008, quand j'ai eu cette volonté d'essayer de me sortir de ce petrin quoiqu'il en coute, je sais au fond de moi quand ça va le faire ou pas.
C'est comme un témoin de batterie. Parfois la charge est vide, alors dans ce cas, je me met en stand bye et m'isole, car je suis ultra vulnérable en cette periode. Puis je sens qu'elle remonte et là je cumule petit à petit. Puis quand elle est assez pleine, je fonce. J'applique les projets que j'avais planifié dans ma tête.
L'energie a tendance à se dépenser très vite, mais j'apprends à économiser pour aller plus loin.
J'essaie de ne pas laisser aller mon mental trop loin dans les questionnements par rapport au passé.
Si les souvenirs reviennent, c'est qu'il faut que je me pose quelques questions, et parfois j'ai des prises de conscience sur tel ou tel évènement. C'est émotivement éprouvant, mais ces prises de conscience sont pratiquement toujours positive dans le sens où je déculpabilise. Ce qui fait que telle ou telle chose se regle et n'a plus lieu de revenir. Et avec le temps, je me sens plus sereine par rapport à tout ces trucs qui me hantent et pour d'autres qui m'ont hanté, mais qui ne semblent plus revenir.
Voilà cette autre confession de mes pensées, pensées du moment, celles qui me sont venues ce soir me hanter. Et comment je les ai appréhendées.
C'était Grenouille, en direct du studio Yaquelesmauvaiseschosesquifoutentlecampetc'esttresbien.
_________________
Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
admin et pac aiment ce message
Re: Mes pensées du moment
Chère Grenouille , je ne sais pas quoi répondre....tant de malheurs....mais je me dis que vous souhaitez peut-être au moins une réponse et si possible plusieurs , par solidarité humaine . Vous dites que vous êtes d'humeur jouasse....après tout ça....alors chapeau , chère Grenouille . Sachez que l'avantage de votre témoignage c'est que si nous avions envie de nous plaindre pour tel ou tel petit problème et bien on en reparlera un autre jour , voir jamais. Bon courage , et comme il semblerait que ayez mangé votre pain noir...ce serait bien d'attaquer le pain blanc ou les bonnes biscottes . Mollopipo
mollopipo- Messages : 1855
Date d'inscription : 06/05/2014
Re: Mes pensées du moment
Bravo! bravo et merci Merci de nous offrir cette ouverture de cœur,cette preuve d'amour et de confiance
Je ne sais pas s'il existe les mots justes car,seuls,ils ne seraient pas suffisant.Alors je ferme les yeux,permets moi de glisser ma main dans la tienne,de l'embrasser puis de te serrer fort contre moi et enfin,en toute sincérité,te chuchoter que tu es admirable et tellement magnifique avec tes qualités et tes défauts.
Je ne sais pas s'il existe les mots justes car,seuls,ils ne seraient pas suffisant.Alors je ferme les yeux,permets moi de glisser ma main dans la tienne,de l'embrasser puis de te serrer fort contre moi et enfin,en toute sincérité,te chuchoter que tu es admirable et tellement magnifique avec tes qualités et tes défauts.
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Que règne la liberté.Car jamais le soleil ne s'est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.Nelson Mandela.
pac- Messages : 951
Date d'inscription : 30/03/2016
Re: Mes pensées du moment
Cher Mollopipo et Pac, je n'attendais pas spécialement de réponses car ce sont juste mes pensées du moment que je mets noir sur blanc, mais vos réponses m'ont tout de même émue, alors merci à vous deux, je suis sensible à cette solidarité
Oui Mollopipo je suis toujours jouasse malgré tout, c'est ma façon d'être
Puisse ces textes montrer la force qu'on a en chacun de nous qui nous permet de toujours se relever.
Oui Mollopipo je suis toujours jouasse malgré tout, c'est ma façon d'être
Puisse ces textes montrer la force qu'on a en chacun de nous qui nous permet de toujours se relever.
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
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