Améliorer nos conditions
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Améliorer nos conditions
A votre avis les amis …
De quoi le Monde aurait-il besoin pour s’améliorer ???
Qu’est-ce qui manque pour que tout le monde vive mieux sur la Terre ?
Merci de votre participation !
De quoi le Monde aurait-il besoin pour s’améliorer ???
Qu’est-ce qui manque pour que tout le monde vive mieux sur la Terre ?
Merci de votre participation !
Re: Améliorer nos conditions
coucou,
ça serait un peu facile de répondre , que le monde aurait besoin d'amour mais comment amener les gens à cela ?
ça se fait tout seul quand le moment est venu !
si non ,pour être plus terre à terre, le monde aurait besoin d'une invasion de bons Extra-terrestres pour nous remettre du plomb dans la tête.
mais comme ils nous laissent notre libre arbitre, et bien faut compter sur ces moments forts en énergie pour éveiller les humains.
voili voilà
bisous
ça serait un peu facile de répondre , que le monde aurait besoin d'amour mais comment amener les gens à cela ?
ça se fait tout seul quand le moment est venu !
si non ,pour être plus terre à terre, le monde aurait besoin d'une invasion de bons Extra-terrestres pour nous remettre du plomb dans la tête.
mais comme ils nous laissent notre libre arbitre, et bien faut compter sur ces moments forts en énergie pour éveiller les humains.
voili voilà
bisous
Invité- Invité
Re: Améliorer nos conditions
Ah bizarre ma coco ! moi j’avais pensé à la compétition.
Dans un monde de compétition comme dans les JO par exemple que nous avons pu voir cet été, les forces sont divisées et montées les unes contre les autres. Alors que dans un monde de collaboration, les forces sont mises en commun, au profit d’un but unificateur. Je trouve personnellement la différence énorme. !!
Les JO ne sont qu’un exemple, car dans les entreprises ou autres, c'est pareil, la compétition dans lequel notre monde est plongé engendre sans cesse la volonté de dépasser l’autre, ce qui engendre la vitesse. Ces exigences de vitesse sont à leur tour la source d’un stress mondialisé immense, qui ouvre la porte à beaucoup de maladies et de disfonctionnements.
A bien y regarder, je crois bien que la compétition crée une grande souffrance morale, psychologique et physique des populations sur toute la planète.
Alors, j’aurais pensé qu’une saine collaboration pouvait mener notre monde à un meilleur fonctionnement…. Tiens, c’est comme si nos organes se mettaient eux-mêmes en compétition ; ce serait la mort assurée non ?
en doutez-vous ???
Dans un monde de compétition comme dans les JO par exemple que nous avons pu voir cet été, les forces sont divisées et montées les unes contre les autres. Alors que dans un monde de collaboration, les forces sont mises en commun, au profit d’un but unificateur. Je trouve personnellement la différence énorme. !!
Les JO ne sont qu’un exemple, car dans les entreprises ou autres, c'est pareil, la compétition dans lequel notre monde est plongé engendre sans cesse la volonté de dépasser l’autre, ce qui engendre la vitesse. Ces exigences de vitesse sont à leur tour la source d’un stress mondialisé immense, qui ouvre la porte à beaucoup de maladies et de disfonctionnements.
A bien y regarder, je crois bien que la compétition crée une grande souffrance morale, psychologique et physique des populations sur toute la planète.
Alors, j’aurais pensé qu’une saine collaboration pouvait mener notre monde à un meilleur fonctionnement…. Tiens, c’est comme si nos organes se mettaient eux-mêmes en compétition ; ce serait la mort assurée non ?
en doutez-vous ???
Re: Améliorer nos conditions
Coucou !
Je pense que monde a tellement besoin que tout le monde, tout chacun, homme, femme, jeune, vieux, français, étranger, tout sans aucune exception, apprenne à penser que le verre est à moitié plein et non plus à moitié vide, apprenne à voir/sentir la présence de l'amour qui est là en tout endroit, toute chose, en tout être vivant, humain, animal, végétal, minéral...Et Alors, naturellement la joie et la paix se fait à jour.
Mais comment encourager, motiver tout le monde à penser que le verre est à moitié plein, que l'amour est bel et bien là même quand ils ne croyaient plus du tout ?
Je me sens tellement impuissante pour cela, alors je me contente de travailler sur moi même, seule, en espérant que je serais un exemple pour d'autres personnes, et que d'autres personnes auront envie de voir le bien partout, d'extraire le bonheur qui est là partout...Mais même moi seule, ce n'est pas si simple que ça, il y a des jours où mon moral est à zéro !
Alors pourquoi chercher de trouver une réponse au comment rendre le monde meilleur si je n'arrive pas encore tout à fait à faire comment être simplement "toujours" heureuse ou du moins contente, satisfaite, apaisée en toutes circonstances ?...
Je pense que monde a tellement besoin que tout le monde, tout chacun, homme, femme, jeune, vieux, français, étranger, tout sans aucune exception, apprenne à penser que le verre est à moitié plein et non plus à moitié vide, apprenne à voir/sentir la présence de l'amour qui est là en tout endroit, toute chose, en tout être vivant, humain, animal, végétal, minéral...Et Alors, naturellement la joie et la paix se fait à jour.
Mais comment encourager, motiver tout le monde à penser que le verre est à moitié plein, que l'amour est bel et bien là même quand ils ne croyaient plus du tout ?
Je me sens tellement impuissante pour cela, alors je me contente de travailler sur moi même, seule, en espérant que je serais un exemple pour d'autres personnes, et que d'autres personnes auront envie de voir le bien partout, d'extraire le bonheur qui est là partout...Mais même moi seule, ce n'est pas si simple que ça, il y a des jours où mon moral est à zéro !
Alors pourquoi chercher de trouver une réponse au comment rendre le monde meilleur si je n'arrive pas encore tout à fait à faire comment être simplement "toujours" heureuse ou du moins contente, satisfaite, apaisée en toutes circonstances ?...
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« La création est un cri dans le silence.» (Patrick Burensteinas)
Mon mini blog sur ma toutounette : http://melieblanche.unblog.fr/
Melie- Messages : 386
Date d'inscription : 16/03/2012
De la sagesse et de l'amour
La crise que nous traversons est une crise identitaire sur l'humanité.
Quel est le sens du mot crise : rebond...
L'être humain a considérablement évolué dans ses conditions de vie, dans sa façon d'appréhender son environnement. Plus il fabrique son confort, plus il se met en situation de danger ! Il n'y a qu'à regarder la consommation d'énergie que représente un ordinateur, l'essence consommée dans des embouteillages...
Nous avons, depuis la fin de la 2e guerre mondiale, bâti un modèle de société basé sur la consommation, la croissance économique.
Il fallait reconstruire, oublier le traumatisme collectif d'une guerre avec ses violences. Collectivement, nous avons surmonté nos traumas individuels par l'enthousiasme de la prospérité.
Pour autant, avons nous gardé le sens de l'éthique ?
300 ans avant JC, Aristote (la Politique I) définit l'argent comme un média entre les hommes. Ces derniers traduisent la force de vie à travers ce média : c'est la production. Par contre, l'empilement de la richesse est néfaste. C'est par manque de conscience d'éthique que l'homme va passer de l'exploitation des ressources, source de bénéfices, à l'empilement des ressources, source de conflits avec l'environnement et les humains entre eux.
L'homme sans connaissance ne sait pas s'auto-réguler, mettre de la sagesse seul dans la gestion de sa force de vie. Pour Aristote, il faut un gouvernement sage et suffisamment fort pour réguler la croissance.
Ce modèle, nous l'avons eu jusqu'au XIXe siècle, sous différents régimes politiques.
Hannah Harrendt (La Crise de la Culture) parle d'une rupture avec la tradition, par la remise en cause des principes aristotéliciens, générés par Marx, Nietzche, et Hegel.
Ainsi, nous avons l'origine des conflits du XXe siècle qui ont vu ces 3 courants de pensées s'opposer. Mais voilà, le résultat est que soit le communisme, soit l'ultra libéralisme, aucun système n'est viable sur le long terme.
Mais voilà, plutôt que de revenir à des principes originels, le rôle des états se sont affaiblis, laissant place au secteur privé. Mais voilà, le secteur privé ayant pour objectif la maximisation des profits, nous sommes passés sur un régime de surconsommation.
Le système privé a ses limites : il suffit qu'il n'y ait plus de client pour que n'importe quel entreprise ferme très vite...
Donc, le pouvoir s'est transféré sur le consommateur : l'homme individuel.
Il ne faut pas s'étonner que nous ayons perdu le fil des ressources, puisque nous avons vu d'une part que sans conscience, l'homme va chercher l'empilement, et que d'autre part, plus rien ne peut l'arrêter pisque l'Etat est corrompu dans le privé qui peut basculer à tout moment !
Voilà donc l'origine de la crise...
Maintenant, coté solutions : revenir à un système monétaire avec des valeurs éthiques. Ne pas empiler, apprendre à consommer différemment, de façon responsable, avec sagesse : moins de déplacements, plus de proximité, respect de soi et de l'environnement.
Enfin, modérer la compétition en favorisant l'échange sous d'autres formes que l'argent, à l'instar des SEL... La terre a suffisamment de ressources pour nous faire vivre tous, mais de façon plus réfléchie, plus de responsabilité dans nos actes. C'est le plus beau geste d'amour que l'humanité pourrait s'offrir, je crois...
Quel est le sens du mot crise : rebond...
L'être humain a considérablement évolué dans ses conditions de vie, dans sa façon d'appréhender son environnement. Plus il fabrique son confort, plus il se met en situation de danger ! Il n'y a qu'à regarder la consommation d'énergie que représente un ordinateur, l'essence consommée dans des embouteillages...
Nous avons, depuis la fin de la 2e guerre mondiale, bâti un modèle de société basé sur la consommation, la croissance économique.
Il fallait reconstruire, oublier le traumatisme collectif d'une guerre avec ses violences. Collectivement, nous avons surmonté nos traumas individuels par l'enthousiasme de la prospérité.
Pour autant, avons nous gardé le sens de l'éthique ?
300 ans avant JC, Aristote (la Politique I) définit l'argent comme un média entre les hommes. Ces derniers traduisent la force de vie à travers ce média : c'est la production. Par contre, l'empilement de la richesse est néfaste. C'est par manque de conscience d'éthique que l'homme va passer de l'exploitation des ressources, source de bénéfices, à l'empilement des ressources, source de conflits avec l'environnement et les humains entre eux.
L'homme sans connaissance ne sait pas s'auto-réguler, mettre de la sagesse seul dans la gestion de sa force de vie. Pour Aristote, il faut un gouvernement sage et suffisamment fort pour réguler la croissance.
Ce modèle, nous l'avons eu jusqu'au XIXe siècle, sous différents régimes politiques.
Hannah Harrendt (La Crise de la Culture) parle d'une rupture avec la tradition, par la remise en cause des principes aristotéliciens, générés par Marx, Nietzche, et Hegel.
Ainsi, nous avons l'origine des conflits du XXe siècle qui ont vu ces 3 courants de pensées s'opposer. Mais voilà, le résultat est que soit le communisme, soit l'ultra libéralisme, aucun système n'est viable sur le long terme.
Mais voilà, plutôt que de revenir à des principes originels, le rôle des états se sont affaiblis, laissant place au secteur privé. Mais voilà, le secteur privé ayant pour objectif la maximisation des profits, nous sommes passés sur un régime de surconsommation.
Le système privé a ses limites : il suffit qu'il n'y ait plus de client pour que n'importe quel entreprise ferme très vite...
Donc, le pouvoir s'est transféré sur le consommateur : l'homme individuel.
Il ne faut pas s'étonner que nous ayons perdu le fil des ressources, puisque nous avons vu d'une part que sans conscience, l'homme va chercher l'empilement, et que d'autre part, plus rien ne peut l'arrêter pisque l'Etat est corrompu dans le privé qui peut basculer à tout moment !
Voilà donc l'origine de la crise...
Maintenant, coté solutions : revenir à un système monétaire avec des valeurs éthiques. Ne pas empiler, apprendre à consommer différemment, de façon responsable, avec sagesse : moins de déplacements, plus de proximité, respect de soi et de l'environnement.
Enfin, modérer la compétition en favorisant l'échange sous d'autres formes que l'argent, à l'instar des SEL... La terre a suffisamment de ressources pour nous faire vivre tous, mais de façon plus réfléchie, plus de responsabilité dans nos actes. C'est le plus beau geste d'amour que l'humanité pourrait s'offrir, je crois...
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