On ne m’a jamais appris à m’aimer
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On ne m’a jamais appris à m’aimer
Francesca Ven 7 Mar 2014 - 14:20
Bonjour à vous ! 
Savez-vous les amis, qu’on ne m’a jamais appris à m’aimer…
Durant toute mon éducation en milieu catho, on nous a répété jusqu’à satiété qu’il fallait aimer les autres. Mais on ne nous apprenait pas à nous aimer nous-mêmes. J’ai passé mon enfance torturée en moi-même, me haïssant à mort parfois, exaspéré de voir que je ne pouvais attirer l’amour de mes parents, surtout de ma mère, et croyant que je ne faisais rien de bon, puisqu’à chaque action inéprouvée, je me faisais talocher, alors que les bons coups passaient inaperçus, comme volontairement ignorés, peut-être même redoutés.
Je me souviens qu’en jouant avec mon jeune frère, je me souviens que lorsque s’élevait en moi une puissante vague de bonheur, je m’entendais dire "C’est pas permis, c’est pas correct, quelque chose ne vas pas". J’en étais même venue à me sentir de trop.
Chaque fois que je réussissais en classe, ma mère me rappelait sévèrement, sans me féliciter qu’il ne fallait pas que cela me montre à la tête : "Attention à l’orgueil", répétait-elle comme un gong sinistre répercuté à travers mon adolescence ; Non, je n’ai pas appris m’aimer.
Par contre, je me faisais dire qu’il fallait être sans défaut, exemplaire, avec de l’idéal, être parfaite, sans faiblesse. Et surtout, qu’il ne fallait pas pécher, mais être humble et pur et travailler jusqu’à l’usure contre ses défauts qui nous rendaient si détestables…
Je ne dis pas que tout en cela était mauvais. Mais que la vision d’ensemble était faussée. On nous faisait répéter l’Acte de l’Humilité où on demandait à Dieu… "apprenez-moi à me mépriser moi-même". A cette époque, la grandeur de l’homme ne faisait pas partie de la vision du monde. On était pécheur, point. La vie devait être souffrance, corvée, labeur sans joie. L’homme était vu à travers ses manques, non ses possibilités. On passait sa vie à vouloir bien faire, sachant d’avance qu’on était voué à ne jamais réussir. Que la vie fut une joie, un plaisir, une fête, une danse, ne montait pas à la conscience de personne.
Il m’a fallu tout apprendre et tout réapprendre des valeurs humaines… mon Dieu comment ai-je fais… ! lorsque je regarde le chemin parcouru !
Ne pas s’aimer, c’est ne pas aimer la Divine Présence en nous. Et s’habituer à se voir négativement, c’est inviter des actes et événements négatifs. Se haïr, c’est haïr la vie qui nous a été donnée et haïr les Autres.
L’amour de soi ce n’est pas l’égoïsme, cette maladie du mental émotif. S’aimer veut dire ne pas se juger, ne pas s’en vouloir, laisser être ce qui est, s’accepter assez pour n’avoir plus à chercher admiration, confirmation, approbation. Cela veut dire que j’aime ce que j’ai été dans mon enfance, dans mon adolescence, cet être peureux qui ne savait que faire pour être aimée.
Se donner la permission d’être unique et différent. Pas de culpabilité, pas de honte, pas de masochisme, pas de complaisance dans la souffrance, pas d’auto-pitié. Tout cela c’est se haïr. Cela c’est l’égoïsme. S’aimer c’est s’être si bien accepté qu’on n’a plus à s’en occuper. Spontanément, on se tourne vers les autres.
(dis maman tu entends ce que j’ai écrit ??)
Savez-vous les amis, qu’on ne m’a jamais appris à m’aimer…
J'ai écrit ceci comme une lettre à ma maman
(paix ait son âme)
Durant toute mon éducation en milieu catho, on nous a répété jusqu’à satiété qu’il fallait aimer les autres. Mais on ne nous apprenait pas à nous aimer nous-mêmes. J’ai passé mon enfance torturée en moi-même, me haïssant à mort parfois, exaspéré de voir que je ne pouvais attirer l’amour de mes parents, surtout de ma mère, et croyant que je ne faisais rien de bon, puisqu’à chaque action inéprouvée, je me faisais talocher, alors que les bons coups passaient inaperçus, comme volontairement ignorés, peut-être même redoutés.
Je me souviens qu’en jouant avec mon jeune frère, je me souviens que lorsque s’élevait en moi une puissante vague de bonheur, je m’entendais dire "C’est pas permis, c’est pas correct, quelque chose ne vas pas". J’en étais même venue à me sentir de trop.
Chaque fois que je réussissais en classe, ma mère me rappelait sévèrement, sans me féliciter qu’il ne fallait pas que cela me montre à la tête : "Attention à l’orgueil", répétait-elle comme un gong sinistre répercuté à travers mon adolescence ; Non, je n’ai pas appris m’aimer.
Par contre, je me faisais dire qu’il fallait être sans défaut, exemplaire, avec de l’idéal, être parfaite, sans faiblesse. Et surtout, qu’il ne fallait pas pécher, mais être humble et pur et travailler jusqu’à l’usure contre ses défauts qui nous rendaient si détestables…
Je ne dis pas que tout en cela était mauvais. Mais que la vision d’ensemble était faussée. On nous faisait répéter l’Acte de l’Humilité où on demandait à Dieu… "apprenez-moi à me mépriser moi-même". A cette époque, la grandeur de l’homme ne faisait pas partie de la vision du monde. On était pécheur, point. La vie devait être souffrance, corvée, labeur sans joie. L’homme était vu à travers ses manques, non ses possibilités. On passait sa vie à vouloir bien faire, sachant d’avance qu’on était voué à ne jamais réussir. Que la vie fut une joie, un plaisir, une fête, une danse, ne montait pas à la conscience de personne.
Il m’a fallu tout apprendre et tout réapprendre des valeurs humaines… mon Dieu comment ai-je fais… ! lorsque je regarde le chemin parcouru !
Ne pas s’aimer, c’est ne pas aimer la Divine Présence en nous. Et s’habituer à se voir négativement, c’est inviter des actes et événements négatifs. Se haïr, c’est haïr la vie qui nous a été donnée et haïr les Autres.
L’amour de soi ce n’est pas l’égoïsme, cette maladie du mental émotif. S’aimer veut dire ne pas se juger, ne pas s’en vouloir, laisser être ce qui est, s’accepter assez pour n’avoir plus à chercher admiration, confirmation, approbation. Cela veut dire que j’aime ce que j’ai été dans mon enfance, dans mon adolescence, cet être peureux qui ne savait que faire pour être aimée.
Se donner la permission d’être unique et différent. Pas de culpabilité, pas de honte, pas de masochisme, pas de complaisance dans la souffrance, pas d’auto-pitié. Tout cela c’est se haïr. Cela c’est l’égoïsme. S’aimer c’est s’être si bien accepté qu’on n’a plus à s’en occuper. Spontanément, on se tourne vers les autres.
(dis maman tu entends ce que j’ai écrit ??)
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Les choses qui vont sans dire vont mieux en les disant.
Francesca- Admin
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voyce- Messages : 181
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ON NE M'A JAMAIS APPRIS A M'AIMER
odile88 Ven 7 Mar 2014 - 21:20
Oui, voilà, Francesca,il nous fallait passer par cette expérience, par la forge, y être chauffées à blanc, en cette
descente aux infers afin que le Maître en nous émerge.
D'après ce que j'observe, parmi ceux qui sont tournés vers les autres il y a une majorité
d'humains qui, comme tu le décris, o nt été traités mal.
En nous libérant nous libérons ceux qui, eux-mêmes, avaient souffert des mêmes maux;
libérons-les !
Personnellement je remercie mes parents pour les injustices, les manques, car ils ont forgé mon âme.
Françoise, merci pour ce partage, comme un exorcisme, qui va être utile à plus d'Un.AMOUR-LUMIèRE, petite Soeur de Lumière !
odile88- Messages : 372
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ON NE M'A JAMAIS APPRIS A M'AIMER
odile88 Ven 7 Mar 2014 - 22:05
Comment s'appelait-elle, s'appelle-t-elle, ta compagne ?voyce a écrit:Tellement tellement.......
Chère Voyce ,
odile88- Messages : 372
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voyce- Messages : 181
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Re: On ne m’a jamais appris à m’aimer
lunea Sam 8 Mar 2014 - 16:22
J'ai lu hier ce que tu avais mis hier Francesca, sans réussir à répondre, il me fallait réfléchir à tes maux mots et à mon enfance et à l'enfance en général.
Pour nos parents, ceux nés dans les années 30, il n'y avait pas de psychologie... aucune, en tout cas c'est le cas dans nos campagnes et les gens issus de la terre.
Terre à terre, seul le réel, ce qui se voit existe... Les états de l'âme ??? Avec pour seul modèle le prêche du prêtre !!!
Donc comment auraient-ils pu nous apprendre à nous aimer alors qu'ils ne savaient déjà pas forcément s'aimer eux-mêmes !
Est-ce une excuse non sans doute.
Pour nos parents, ceux nés dans les années 30, il n'y avait pas de psychologie... aucune, en tout cas c'est le cas dans nos campagnes et les gens issus de la terre.
Terre à terre, seul le réel, ce qui se voit existe... Les états de l'âme ??? Avec pour seul modèle le prêche du prêtre !!!
Donc comment auraient-ils pu nous apprendre à nous aimer alors qu'ils ne savaient déjà pas forcément s'aimer eux-mêmes !
Est-ce une excuse non sans doute.
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« La liberté ignore les serrures du temps et de l'espace.
Pour traverser les murs,il suffit d'ouvrir les portes, ouvrir les ailes, ouvrir les rêves. »
Jacques Savoie
lunea- Messages : 850
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ON NE M'A JAMAIS APPRIS A M'AIMER
odile88 Sam 8 Mar 2014 - 17:06
voyce a écrit:Ma compagne ?
N'était-elle et n'est-elle pas encore ta compagne, ta gentille Arabe ?
Je n'ai peut-être pas compris ...
C'est VOYCE ?
odile88- Messages : 372
Date d'inscription : 31/12/2013
Re: On ne m’a jamais appris à m’aimer
Francesca Sam 8 Mar 2014 - 18:55
Tout à fait juste lunea !lunea a écrit:Pour nos parents, ceux nés dans les années 30, il n'y avait pas de psychologie... aucune, en tout cas c'est le cas dans nos campagnes et les gens issus de la terre.
Terre à terre, seul le réel, ce qui se voit existe... Les états de l'âme ??? Avec pour seul modèle le prêche du prêtre !!!
Donc comment auraient-ils pu nous apprendre à nous aimer alors qu'ils ne savaient déjà pas forcément s'aimer eux-mêmes !
Est-ce une excuse non sans doute.
On ne peut leur reprocher... Mais pourquoi ne voyaient-ils pas avec les yeux du coeur ?
Certains s'apercevaient qu'on pouvait faire différemment, je me souviens d'une de mes tantes chez qui j'allais en vacances ; ma mère ne comprenait pas pourquoi je ne voulais jamais revenir à la maison lorsque j'étais chez elle
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Francesca- Admin
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Re: On ne m’a jamais appris à m’aimer
lunea Sam 8 Mar 2014 - 23:34
Je crois que les personnes qui voyaient avec leur étaient assez rares à l'époque...
Enfin c'est l'idée que je m'en fais à écouter les récits des uns et des autres...
Il y avait une dureté dans la vie, ou peut-être les guerres qui avaient endurcies les coeurs, ou le travail difficile : travailler dur, manger et dormir et retravailler pour pouvoir manger... et même chez les gens plus instruits et cultivés... j'aime regarder la parenthèse inattendue de Frédéric Lopez, ainsi Yann Quéffélec racontait un jour son enfance, ben c'était vraiment pas drôle et il a vécu dans la crainte du père jusqu'à ces dernières années et dans le besoin de la reconnaissance du père...
Alors pourquoi d'autres en étaient capables ??? étaient-ils plus "dégrossis" ? laissaient ils parler leur instinct ? en même temps une tante pour quelques jours n'a pas la même obligation éduca-curative qu'une mère !!! comme les mamies sont souvent plus souples avec leurs petits enfants qu'elles ne l'étaient avec leur propre progéniture...
étaient assez rares à l'époque... Enfin c'est l'idée que je m'en fais à écouter les récits des uns et des autres...
Il y avait une dureté dans la vie, ou peut-être les guerres qui avaient endurcies les coeurs, ou le travail difficile : travailler dur, manger et dormir et retravailler pour pouvoir manger... et même chez les gens plus instruits et cultivés... j'aime regarder la parenthèse inattendue de Frédéric Lopez, ainsi Yann Quéffélec racontait un jour son enfance, ben c'était vraiment pas drôle et il a vécu dans la crainte du père jusqu'à ces dernières années et dans le besoin de la reconnaissance du père...
Alors pourquoi d'autres en étaient capables ??? étaient-ils plus "dégrossis" ? laissaient ils parler leur instinct ? en même temps une tante pour quelques jours n'a pas la même obligation éduca-curative qu'une mère !!! comme les mamies sont souvent plus souples avec leurs petits enfants qu'elles ne l'étaient avec leur propre progéniture...
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Jacques Savoie
lunea- Messages : 850
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Re: On ne m’a jamais appris à m’aimer
voyce Dim 9 Mar 2014 - 0:49
Ahh ma jument Odile lol Elle s'appellait bien « Voyce » Son vrai nom était «cunca la voce » mais je préférais Voyce lol
Son vrai nom était «cunca la voce » mais je préférais Voyce lol
voyce- Messages : 181
Date d'inscription : 24/02/2014
ON NE M'A JAMAIS APPRIS A M'AIMER
odile88 Dim 9 Mar 2014 - 12:12
Petite Soeur, Voyce,Son nom même était un SIGNE. De par son nom tu étais et tu es encore en lien avec l'âme-groupe des chevaux. Les communications de Catherine LEROUX avec différents peuples du règne animal doivent t'intéresser.
Il m'est arrivé des signes du peuple des Chiens via un Epagneul du Tibet (Chien sacré du Tibet), "VISHNOU", qui m'a accompagnée 18 ans, qui -m'avait-il dit- reviendrait. Effectivement, 2 ans plus tard m'est arrivé un Samoyède né au Domaine de Merlin, dont le nom m'a été dicté : "BALTHAZAR" et qu'une médium m'a dit être le Courant de Vie VISHNOU revenu en plus imposant "pour mieux servir le Plan". J'en ai plusieurs signes me le confirmant. C'est un Etre exceptionnel, comme VISHNOU, que j'ai à coeur de faire évoluer, l'Ame Groupe en bénéficiant...
AMOUR-LUMIèRE, Voyce,
Odile88
odile88- Messages : 372
Date d'inscription : 31/12/2013
Re: On ne m’a jamais appris à m’aimer
voyce Dim 9 Mar 2014 - 17:51
Oufff lol Odile, C'est Catherine qui est venu rencontrer Voyce et m'a parlé d'elle au sens large....lol Vous la connaissez? J'ai beaucoup apprécié Catherine ! 
Je sais qu'on s'écarte du sujet premier mais c'est très intéressant ce que vous partagez au sujet de votre chien. Souvent , quand j'adopte un animal, je tente de ressentir si il a déjà fait partie de ma vie par le passé . Je ne parviens pas toujours à le découvrir, mais je garde l'esprit ouvert aux signes.....
Y a-t-il sur ce forum, un endroit ou il est question de «l'âme groupe des animaux» ?
Merci Odile, merci beaucoup.
Je sais qu'on s'écarte du sujet premier mais c'est très intéressant ce que vous partagez au sujet de votre chien. Souvent , quand j'adopte un animal, je tente de ressentir si il a déjà fait partie de ma vie par le passé . Je ne parviens pas toujours à le découvrir, mais je garde l'esprit ouvert aux signes.....
Y a-t-il sur ce forum, un endroit ou il est question de «l'âme groupe des animaux» ?
Merci Odile, merci beaucoup.
voyce- Messages : 181
Date d'inscription : 24/02/2014
on ne m4a jamais appris à m'aimer
odile88 Dim 9 Mar 2014 - 21:53
Oui, Voyce, tu cliques s/ Groupes dans les ronds bleus ci-dessus, tu arrives à la page "sélectionner u n forum" et tu trouves l'option CONTACTS AVEC LES ANIMAUX;
Je n'y suis pas allée encore..
Sur DES NOUVELLES DE NOTRE BELLE PLANETE tu trouveras
les canalisations de C.Leroux à "Animaux et Nouvelle Terre (13)
Sens-toi AIMéE, Voyce !
Odile88
odile88- Messages : 372
Date d'inscription : 31/12/2013
Re: On ne m’a jamais appris à m’aimer
voyce Dim 9 Mar 2014 - 22:08
Merci Odile, je vais y jeter un œil ! Je me suis trompé de nom, ici c'est « Caroline Leroux» qui est passée, je ne sais pas si nous parlions de la même dame! 
voyce- Messages : 181
Date d'inscription : 24/02/2014
ON NE M'A JAMAIS APPRIS A M'AIMER
odile88 Dim 9 Mar 2014 - 23:29
Oui, Voyce, c'est bien de Caroline Leroux que je parle (mais je pense avoirdit Catherine, quelque part..)
C'est bien de Caroline qu'il s'agit. C'est beau, ça, qu'elle soit passée chez toi ....
Odile88
odile88- Messages : 372
Date d'inscription : 31/12/2013
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