la MLC Méthode de Libération des Cuirasses, ou, l'anti gym
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la MLC Méthode de Libération des Cuirasses, ou, l'anti gym
c'est une démarche psycho-corporelle que j'aime aussi beaucoup et que j'ai envie de vous faire partager.
http://www.marieliselabonte.com
en espérant vous avoir bien ajouté le lien, vous y trouverez aussi des exercices corporels ainsi que certaines explications.
La MLC Méthode de Libération des Cuirasses - est une approche globale du corps créée et développée par Marie Lise Labonté.
Cet outil d’exploration se propose de guider et d’accompagner chaque personne qui le désire dans une recherche d’autonomie en libérant le corps et la psyché de ses « cuirasses » et de ses images intérieures destructrices.
Cette approche se veut un accompagnement, un soutien, une prise de conscience corporelle mais en aucun cas un substitut d’un traitement médical.
Le corps ne ment pas : il porte en lui toute notre histoire mais aussi notre potentiel et notre énergie de vie.
Qu’est-ce qu’une cuirasse ?
Les cuirasses sont des protections qui se sont installées au cours de notre vie … qui nous ont servis mais qui, à la longue, entravent de façon consciente et/ou inconsciente notre vitalité.
Ce mécanisme de défense que le corps a mis en place face à des agressions extérieures ou intérieure est composé à la fois de tensions corporelles, d’émotions et de croyances ou pensées … Il touche donc aussi bien le niveau physique, émotionnel que mental.
Les différentes cuirasses se mettent en place à différents âges de la vie et se superposent les unes les autres telles les pelures d’un oignon.
Plus elles sont installées et rigidifiées, plus notre réel potentiel de vie est emprisonné en nous-même. C’est Wilhelm Reich², créateur de l’Orgonthérapie - une des premières psychanalyses corporelles - qui utilise le mot « cuirasse » le premier. Dans son livre sur l’Analyse caractérielle, il fait part de ses observations. Il découvre que les patients qu’il reçoit expriment leurs inhibitions psychiques dans le corps. Ces dernières s’y inscrivent sous forme de tensions ou cuirasses qui prennent place à différents âges (des premiers jours de la naissance jusqu’à l’âge de 5-6 ans) et se disposent comme des anneaux segmentaires qui suivent un axe le long de la colonne vertébrale. Elles sont au nombre de 7 et se situent horizontalement dans le corps.
Elles se nomment :
La cuirasse oculaire, la cuirasse orale, la cuirasse du cou, la cuirasse thoracique,
la cuirasse diaphragmatique, la cuirasse abdominale, la cuirasse pelvienne.
Marie Lise Labonté a identifié d’autres cuirasses : 4 cuirasses de base et 4 cuirasses d’identification qui se superposent sur les cuirasses de Reich. Son observation et sa lecture du corps tout au long de sa pratique lui ont montré qu’il existe des cuirasses qui se forment verticalement en partant de la colonne vertébrale qu’elle nomme le « cœur du corps » : siège de ce qui est le plus profond de notre être.
Ces cuirasses viennent enserrer le corps comme les couches d’un oignon enserre son cœur.
Les 4 cuirasses de base sont :
la cuirasse fondamentale qui se bâtit déjà dans la vie intra-utérine et dans les premiers instants de la vie extra-utérine. Elle porte notre pulsion de vie et notre pulsion de mort.
la cuirasse d’impuissance et de désespoir qui se bâtit de 1 à 3-4 ans. Elle se bâtit en réaction face à la pulsion de mort et face à l’impuissance que le jeune enfant vit par rapport à la vie et à ses propres besoins fondamentaux.
la cuirasse du mal-aimé qui se bâtit de 3 à 7 ans. Elle vient fixer les 2 premières et fait que l’enfant va s’adapter pour être-aimé à tout prix quitte à se compromettre et à limiter sa spontanéité naturelle. C’est la cuirasse de la victime.
la cuirasse de protection qui se bâtit de 5 ans à l’adolescence. Elle vient se placer pour protéger l’enfant face à ce mal d’amour qui lui est intolérable. L’enfant se rigidifie tant au niveau physique, émotionnel que mental. C’est la cuirasse du persécuteur.
Les 4 cuirasses d’identification sont :
la cuirasse parentale qui se bâtit dans la petite enfance sur le besoin qu’a l’enfant de s’identifier à ses parents. L’identification fait partie de la construction naturelle de la psyché de l’enfant mais devient enfermante quand elle se maintient à l’âge adulte, que ce soit sous la forme symbiotique ou de rejet.
la cuirasse d’appartenance qui est celle du besoin des adolescents de se distancer de l’image reçue de leurs parents en s’identifiant à un autre « groupe » ou « clan » pour en adopter les valeurs.
la cuirasse narcissique, qui se développe aux mêmes âges que la précédente, vient d’une perte d’identité. La personne recherche perpétuellement son image dans l’autre ou dans le miroir. Elle nourrit un processus d’autodestruction alimenté par cette séparation d’avec soi-même.
la cuirasse sociale qui est la dernière à s’installer. Elle est le seul moyen qu’a trouvé la personne pour exister. L’individu qui porte cette cuirasse s’identifie totalement à son statut ou rôle social, à sa profession en étant coupé de ses besoins.
Porter ces cuirasses nous rigidifie autant physiquement que psychiquement. Se protéger devant un agresseur ou une agression est une chose, se maintenir en état d’alerte permanente est destructeur pour la personne. C’est la répétition des peurs, des doutes et des angoisses qui petit à petit nous barricade et nous conduit au mal-être et plus tard à la maladie. La vie ne peut circuler, elle ne peut ni entrer ni émaner de notre être.
j'ai été surprise de l'échange entre la conscience et le corps, l'écoute et la communion que nous pouvons vivre lorsque le corps dit les maux que nous ne pouvons dire.
http://www.marieliselabonte.com
en espérant vous avoir bien ajouté le lien, vous y trouverez aussi des exercices corporels ainsi que certaines explications.
La MLC Méthode de Libération des Cuirasses - est une approche globale du corps créée et développée par Marie Lise Labonté.
Cet outil d’exploration se propose de guider et d’accompagner chaque personne qui le désire dans une recherche d’autonomie en libérant le corps et la psyché de ses « cuirasses » et de ses images intérieures destructrices.
Cette approche se veut un accompagnement, un soutien, une prise de conscience corporelle mais en aucun cas un substitut d’un traitement médical.
Le corps ne ment pas : il porte en lui toute notre histoire mais aussi notre potentiel et notre énergie de vie.
Qu’est-ce qu’une cuirasse ?
Les cuirasses sont des protections qui se sont installées au cours de notre vie … qui nous ont servis mais qui, à la longue, entravent de façon consciente et/ou inconsciente notre vitalité.
Ce mécanisme de défense que le corps a mis en place face à des agressions extérieures ou intérieure est composé à la fois de tensions corporelles, d’émotions et de croyances ou pensées … Il touche donc aussi bien le niveau physique, émotionnel que mental.
Les différentes cuirasses se mettent en place à différents âges de la vie et se superposent les unes les autres telles les pelures d’un oignon.
Plus elles sont installées et rigidifiées, plus notre réel potentiel de vie est emprisonné en nous-même. C’est Wilhelm Reich², créateur de l’Orgonthérapie - une des premières psychanalyses corporelles - qui utilise le mot « cuirasse » le premier. Dans son livre sur l’Analyse caractérielle, il fait part de ses observations. Il découvre que les patients qu’il reçoit expriment leurs inhibitions psychiques dans le corps. Ces dernières s’y inscrivent sous forme de tensions ou cuirasses qui prennent place à différents âges (des premiers jours de la naissance jusqu’à l’âge de 5-6 ans) et se disposent comme des anneaux segmentaires qui suivent un axe le long de la colonne vertébrale. Elles sont au nombre de 7 et se situent horizontalement dans le corps.
Elles se nomment :
La cuirasse oculaire, la cuirasse orale, la cuirasse du cou, la cuirasse thoracique,
la cuirasse diaphragmatique, la cuirasse abdominale, la cuirasse pelvienne.
Marie Lise Labonté a identifié d’autres cuirasses : 4 cuirasses de base et 4 cuirasses d’identification qui se superposent sur les cuirasses de Reich. Son observation et sa lecture du corps tout au long de sa pratique lui ont montré qu’il existe des cuirasses qui se forment verticalement en partant de la colonne vertébrale qu’elle nomme le « cœur du corps » : siège de ce qui est le plus profond de notre être.
Ces cuirasses viennent enserrer le corps comme les couches d’un oignon enserre son cœur.
Les 4 cuirasses de base sont :
la cuirasse fondamentale qui se bâtit déjà dans la vie intra-utérine et dans les premiers instants de la vie extra-utérine. Elle porte notre pulsion de vie et notre pulsion de mort.
la cuirasse d’impuissance et de désespoir qui se bâtit de 1 à 3-4 ans. Elle se bâtit en réaction face à la pulsion de mort et face à l’impuissance que le jeune enfant vit par rapport à la vie et à ses propres besoins fondamentaux.
la cuirasse du mal-aimé qui se bâtit de 3 à 7 ans. Elle vient fixer les 2 premières et fait que l’enfant va s’adapter pour être-aimé à tout prix quitte à se compromettre et à limiter sa spontanéité naturelle. C’est la cuirasse de la victime.
la cuirasse de protection qui se bâtit de 5 ans à l’adolescence. Elle vient se placer pour protéger l’enfant face à ce mal d’amour qui lui est intolérable. L’enfant se rigidifie tant au niveau physique, émotionnel que mental. C’est la cuirasse du persécuteur.
Les 4 cuirasses d’identification sont :
la cuirasse parentale qui se bâtit dans la petite enfance sur le besoin qu’a l’enfant de s’identifier à ses parents. L’identification fait partie de la construction naturelle de la psyché de l’enfant mais devient enfermante quand elle se maintient à l’âge adulte, que ce soit sous la forme symbiotique ou de rejet.
la cuirasse d’appartenance qui est celle du besoin des adolescents de se distancer de l’image reçue de leurs parents en s’identifiant à un autre « groupe » ou « clan » pour en adopter les valeurs.
la cuirasse narcissique, qui se développe aux mêmes âges que la précédente, vient d’une perte d’identité. La personne recherche perpétuellement son image dans l’autre ou dans le miroir. Elle nourrit un processus d’autodestruction alimenté par cette séparation d’avec soi-même.
la cuirasse sociale qui est la dernière à s’installer. Elle est le seul moyen qu’a trouvé la personne pour exister. L’individu qui porte cette cuirasse s’identifie totalement à son statut ou rôle social, à sa profession en étant coupé de ses besoins.
Porter ces cuirasses nous rigidifie autant physiquement que psychiquement. Se protéger devant un agresseur ou une agression est une chose, se maintenir en état d’alerte permanente est destructeur pour la personne. C’est la répétition des peurs, des doutes et des angoisses qui petit à petit nous barricade et nous conduit au mal-être et plus tard à la maladie. La vie ne peut circuler, elle ne peut ni entrer ni émaner de notre être.
j'ai été surprise de l'échange entre la conscience et le corps, l'écoute et la communion que nous pouvons vivre lorsque le corps dit les maux que nous ne pouvons dire.
féeclochette- Messages : 211
Date d'inscription : 14/10/2012
Re: la MLC Méthode de Libération des Cuirasses, ou, l'anti gym
merci d'avoir abord ce sujet sous cet angle Féeclochette ! Tout ceci est tellement juste !
D'ailleurs certains qui ont par exemple ressenti comme une inconsistance spirituelle par exemple, se sont mis à prendre du poids au niveau cellulaire pour pouvoir à la fois obtenir la protection de l’ancienne énergie et tenter de développer dans le giron d’une énergie qu’ils percevaient intuitivement comme leur essence propre, ils l’on dénommé l’action entreprise par les êtres humains qui accumulent les protections sur leur corps afin de parvenir à l’expansion du JE SUIS apparemment absent....
Les moyens que vous avez utilisés auparavant pour perdre du poids peuvent fonctionner aujourd’hui. Penchez vous aussi sur les nouvelles techniques plus intuitives, certaines ayant à voir avec l’eau. Vous n’avez plus besoin de diverses couches de protection, de vous entourer d’une cuirasse. Au cours des prochaines années, vous aurez enfin la permission de réduire votre poids selon votre désir afin d’être un être humain en parfaite santé. Ceci est nouveau et fait partie de la coopération existant entre les travailleurs de la lumière et la nouvelle énergie.
Ce que je pourrais dire aujourd'hui, c'est que Le "cuirassage" n’est plus nécessaire dans notre existence il ne favorise pas notre spiritualité et peut même écourter notre espérance de vie, afin de soutenir les propos de Féeclochette.
D'ailleurs certains qui ont par exemple ressenti comme une inconsistance spirituelle par exemple, se sont mis à prendre du poids au niveau cellulaire pour pouvoir à la fois obtenir la protection de l’ancienne énergie et tenter de développer dans le giron d’une énergie qu’ils percevaient intuitivement comme leur essence propre, ils l’on dénommé l’action entreprise par les êtres humains qui accumulent les protections sur leur corps afin de parvenir à l’expansion du JE SUIS apparemment absent....
Les moyens que vous avez utilisés auparavant pour perdre du poids peuvent fonctionner aujourd’hui. Penchez vous aussi sur les nouvelles techniques plus intuitives, certaines ayant à voir avec l’eau. Vous n’avez plus besoin de diverses couches de protection, de vous entourer d’une cuirasse. Au cours des prochaines années, vous aurez enfin la permission de réduire votre poids selon votre désir afin d’être un être humain en parfaite santé. Ceci est nouveau et fait partie de la coopération existant entre les travailleurs de la lumière et la nouvelle énergie.
Ce que je pourrais dire aujourd'hui, c'est que Le "cuirassage" n’est plus nécessaire dans notre existence il ne favorise pas notre spiritualité et peut même écourter notre espérance de vie, afin de soutenir les propos de Féeclochette.
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