J'ai peur de la mort

Eh bien oui ! cela me fait peur cette mort. Depuis surtout la disparation du frère qui pourtant n'était pas très proche.

Ce qui me fait le plus mal. C'est de l'avoir appris si brutalement. Se retrouver à faire face à toutes les démarches.

De récupérer toutes les affaires. D'apprendre le bien qu'il a créé auprès des autres. Mais de s'abandonner lui-même par sa santé. Et de laisser à charge ses frais de départ.

Donc il a fallu faire face afin de puiser dans nos propres ressources. Evidemment ! c'est douleureux la vie dans des circontances telles.

Ce qui me semble difficile à admettre, c'est qu"il avait beaucoup d'autorité, se sentait bien supérieur aux autres.

Célibataire, il ne pensait que pour lui. Il aurait fallu aller toujours dans sons sens. Hors ce n'était pas possible.

On s'est éloigné, sans pour cela être (fâché).

Mais sur l'autre face. Je me suis débrouillé. J'en suis fière aujourd'hui d'être ce que je suis.

En ce moment ! Je me donne le ''SAVOIR le VOULOIR et le POUVOIR" de me concentrer.

De me dire; avance coûte que coûte. Tu as encore des ressources suffisantes pour profiter de la VIE et apporter tes connaissances et de les transmettent aux générations futures."

Jo

ce qui est fait est fait on ne peut agir dessus, le fait que tu ais dû prendre en charge tous les frais ce n'est pas ce qui est important!!! pour toi la vie continue et tu avais sans doute cette expérience à vivre. Merci pour celà, qui te fera avancer un peu plus dans la voie qui est tracée pour toi
reste sans rancoeur pardonne
fais la paix avec ton frère et toi-même
nous avons tous des épreuves dans cette vie
pose toi .........la mort ce peut être terrible pour ceux qui reste
nous avons tellement à comprendre mais pour celà seule l'ouverture de coeur peut nous aider
tu peux chercher les bonhommes allumettes 1 et 2 de jacques martel sur youtube cela peut aider je pense avoir mis des trucs en ce sens ici mais sinon laisse ton mail en mp et je t'enverrai des pdf qui pourront t'aider
frédérik

D’un point de vue spirituel, la mort, comme la naissance d’ailleurs, possèdent un temps de gestation pour permettre à chaque être de préparer sa transition du monde matériel au monde immatériel.

Tout ce que tu ressens est difficile, je le ressens, car tout remonte à la surface, mais c’est tout de même un travail nécessaire, tu as besoin de repenser à tout cela afin de pouvoir t’en purifier.

Ton grand coeur à pardonné le comportement de ton frère vis-à-vis de toi, je le sais, je te connais, mais il te faut malgré tout revivre ces souffrances que tu as pu endurer dans ta jeunesse afin de t’en libérer, car tout cela est inscrit dans tes chairs. Et même si cela fait mal, c’est tout de même un mal pour un bien et tu le sais bien. Sauf que bien évidemment, seul le temps fait son œuvre….

Le plus difficile, c’est bien connu, c’est toujours pour ceux qui restent… les démarches administratives n’ont pas l’air d’être là pour nous aider à bien réagir, cependant je crois que malgré tout cela aide à prendre contact avec les premiers pas d’un deuil à faire.

La peur que tu as de la mort est bien naturelle je pense, car ne dit-on pas qu’on a toujours peur de ce que l’on ne connait pas. Cependant, en cherchant au très fond de toi-même je pense que tu peux arriver à l’apprivoiser…

je pense d’ailleurs que tu es sur le bon chemin car lorsque je regarde l’heure d’affichage de tes écrits, je vois le 11/11

Oui, ton message a été posté à 11 H 11
Nombre 11:11 est TOUJOURS la confirmation que nous sommes sur la bonne voie !

Courage mon JO, de tout cœur !

Joel2010 a écrit:Eh bien oui ! cela me fait peur cette mort. Depuis surtout la disparation du frère qui pourtant n'était pas très proche.

Ce qui me fait le plus mal. C'est de l'avoir appris si brutalement. Se retrouver à faire face à toutes les démarches.

De récupérer toutes les affaires. D'apprendre le bien qu'il a créé auprès des autres. Mais de s'abandonner lui-même par sa santé. Et de laisser à charge ses frais de départ.

Donc il a fallu faire face afin de puiser dans nos propres ressources. Evidemment ! c'est douleureux la vie dans des circontances telles.

Ce qui me semble difficile à admettre, c'est qu"il avait beaucoup d'autorité, se sentait bien supérieur aux autres.

Célibataire, il ne pensait que pour lui. Il aurait fallu aller toujours dans sons sens. Hors ce n'était pas possible.

On s'est éloigné, sans pour cela être (fâché).

Mais sur l'autre face. Je me suis débrouillé. J'en suis fière aujourd'hui d'être ce que je suis.

En ce moment ! Je me donne le ''SAVOIR le VOULOIR et le POUVOIR" de me concentrer.

De me dire; avance coûte que coûte. Tu as encore des ressources suffisantes pour profiter de la VIE et apporter tes connaissances et de les transmettent aux générations futures."

Jo

Bonjour Joel


Je n'ai pas le plaisir de te connaître, mais...je suis tombé sur ton message, et celui-ci m'a interpellé.

Je vais répondre en deux étapes;
une première concernant ton frère, puis, une deuxième concernant ta peur de la mort (titre de ton sujet).

Il est vrai, qu'apprendre la mort de ton frère d'une façon brutale est un choc.
mais après un choc, vient la douleur ou (et) la souffrance.
Ces deux premières étapes ne doivent être que momentanée, le temps d'analyser, de comprendre, et d'accepter.

Tu sais très bien, que lorsqu'une personne décède, il y a des démarches administratives, suivie de tout ce qui doit être fait pour l'enterrement ou la crémation.
Ces démarches peuvent être pénible, je le conçois, mais obligatoires dans notre société.
et je pense que cela, tu le savais déjà., Il y a certainement eu d'autres personnes qui sont décédées donc, tu le savais.

La récupération de toutes ses affaires n'est pas une obligation, il existe des organismes qui peuvent s'en charger !
donc, il est possible, que la récupération de ses affaires a été une démarche que tu as voulu faire !
Donc, cela ne devait pas être un problème, puisque tu l'avais décidé.

Il y a des personnes qui savent qu'ils ne sont pas éternelles, et qui prévois les futures frais pur leur décès.
il y en a d'autres, à qui cette idée ne ce conçoit pas, et d'autres, qui n'ont pas les moyens pécuniaires pour cela.
c'est vrai, cela peut être dur point de vue finance, mais là encore, il peut y avoir des aides.

La vie, ce n'est pas douloureux, tout dépend comment toi, tu l'interprètes.
soit cette vie tu l'as vois merveilleuse en toute circonstance, soit tu l'as vois triste.
Encore une fois, c'est un choix que tu fais, que tu décides.
Les circonstances, n'amène pas la douleur, tu as toujours le libre arbitre du choix que tu feras.
Soit tu prends les circonstances comme une étape difficile, soit tu les acceptes comme un avancement.

Pour parler maintenant de ton frère...

tu as appris qu'il faisait du bien auprès des autres, qu'il s'oubliait lui-même dans cette tâche !
Ça, c'est une très belle chose ! Qui devrait te donner le sourire en y pensant !!!

C'est vrai, que nous avons tous nos défauts et nos qualités !
Si pour toi, la perte de ton frère est difficile, repense à toutes ses belles choses que tu as vécu avec lui !
il y en a eu certainement un grand nombre de belle chose ?

Il avait certainement un caractère différent du tient ?, mais...C'était le sien ! Et comme telle, il faut le respecter.

Ton frère t'a apporté des choses positives, cela t'a permis de te débrouiller, d'être fier de toi,
d'être dans le savoir, dans le vouloir et dans le pouvoir.

Parlons maintenant de ton sujet...La peur de la mort.

Toute vie sur terre et dans l'univers, à une naissance et une mort, c'est inévitable.

J'ai connu moi-même deux fois la mort, en faisant ce que l'on appelle, une NDE ou EMI.
La mort, n'est qu'une séparation du corps et de l'esprit.
Ton esprit, avant ta naissance, prend place dans un corps, afin d'expérimenter la matière.
afin de permettre à l'esprit d'être vue et entendu dans la matière.
Lorsque ton esprit trouve que ton corps ne peut plus lui servir d'hôte, il le quitte, pour passer dans un plan immatériel,
jusqu'à ce qu'il décide, dans un an, dans dix dans cent ans ou dans mille ans, de prendre de nouveau la place dans un autre corps,
et là, une nouvelle naissance dans la matière s'offre à lui.
Ainsi va l'évolution de l'esprit, un perpétuel renouveau.

Lorsque j'ai fait ma première EMI, la première sensation que j'ai eu lorsque je suis arrivé sur l'autre plan est:

Ahh enfin je suis chez moi !!

Avec le temps passant, et l'aide des esprits de l'autre plan, j'ai remarqué une chose.
Nous avons une naissance terrestre, et, lorsque nous pourrons, nous avons une deuxième naissance.

Je vais essayer d'être plus précise dans ma façon de penser en te donnant un exemple parlant.

Tu pars, 3 ou 4 semaines en vacance. Tu te sens bien loin de chez toi, c'est un dépaysement, une autre façon de vivre.
Au bout d'un certain temps, bien que tu sois bien, tu as envie de retourner chez toi. tes habitudes commence à te manquer, les odeurs, les objets, les personnes que tu côtoies.

Lorsque tu entre chez toi, les odeurs que tu connais te semble très agréable, pendant un instant, tu te dis :
"ça fait tout de même du bien d'être rentré chez soi !"

Et bien, c'est la même sensation, sur terre, c'est comme si tu passais des vacances, et une fois que tu meurs, c'est comme si tu rentrais chez toi.

Imagine, joel, qu'une personne que tu aimes le plus au monde, vienne te voir.
Il te dit;

"je désire t'emmener dans un endroit merveilleux, mais pour te faire une plus grande surprise, il faut que je te bande les yeux jusqu'à ce que nous soyons arrivé. et lorsque nous serons arrivés, tu découvriras l'immense surprise que je t'ai fait !!"

Comment réagirais-tu, avec confiance, sans aucune crainte, ou...aurais-tu peur ??

Et bien, il en est de même pour le passage sur l'autre plan, c'est un véritable bonheur, juste une question de confiance...

bonne après-midi Joel

h.é.

Le mot : MERCI ! Est-il assez fort pour vous remerciez de votre soutient ?

Lorsque vous perdez une sœur, alors que vous n'avez que 2 ans. Vous êtes marquer à vie.

Votre jeunesse se trouve déjà perturber. Vous avancez quand même, mais sans savoir où vous allez.

Ce qui m'a permis de m'exprimer aujourd'hui.
Comme je souffrais certes. Mais pour diminuer l'angoisse, je travaillais beaucoup à la maison. Pour chauffer notre nourriture, il nous fallait du bois. Donc ! Sans hésiter j'allais avec mes parents faire une taille dans la forêt: c'est à dire une surface à laisser nette. Enlever les mauvais éléments (brûler sur place) et récupérer le bon bois, gros morceaux et fagots etc...

Puis emmener tout cela à la maison. Je scie les branches et fends les gros morceaux avec une hache. (on disait ''attelles'' je comprends pas bien ce mot)

Je bêchais le jardin. Puis le temps passe. Dès 14 ans à peine les quelques études terminées. Je rencontre le monde du travail Et puis, à l'age de 18 ans Le décès accidentel de ma mère. J'étais seul face à cet événement.

Aider le frère plus jeune qui était au collège. Ce jeune frère décédé en 2007, après 3 semaines de coma. A peine 6 mois de retraite, âgé de 57 ans.

Mes deux frères reposent ensemble pour l'éternité.

Voir le bon côté !.... En fin d'année j'obtiens mon permis de conduire.

Ce besoin de ressentis actuel me donne une certaine force...

Bonne journée ! Quelques soit vos occupations de ce jour.
JO

Merci JO de nous confier ce que tu ressens

Ce que tu nous exprimes là mon JO, me fait renvoyer dans un passé bien lointain pour moi, mais qui cependant a fait de moi ce que je suis devenue aujourd’hui… Je vais tenter de raconter…

Lorsque je suis née au sein de ma famille terrestre, j’étais la seule et première petite fille d’une très longue génération de garçons, du côté paternel surtout. Ma mère elle, avait un frère, tous 2 de la DASS (à l’époque) … Donc, forcément j’ai été accueillie comme une princesse, et surtout par ma grand-mère paternelle qui avait eu 5 garçons… (mon grand-père lui n’était déjà plus de ce monde)

Sauf, que la vie a fait qu’elle m’a arrachée à cette seule grand-mère si précieuse pour moi, j’avais alors 12 ans. Première mort côtoyée dans la vie d’une enfant.

Plus tard, vers 14 ans je me suis fort attachée à mon parrain, le frère de ma mère, sauf que là aussi la vie ma séparée de lui ; je n’ai pu le côtoyer réellement que pendant 2 ans.

Plus tard encore, ce sont à mes oncles (frères de mon père) auxquels je me suis rattachée…. et devine… et oui !  la vie me les a également ôtés l’un après l’autre. Puis leurs épouses etc…

Mais enfin, à l’âge de mes 23 ans, ce fut au tour de mon frère de disparaître de mon horizon affectif. Nous étions très très proches, et soudés. Je l’ai très mal vécu, je suis tombée dans une très grave dépression durant 1 an.

Bon an mal an, ma vie s’est étirée vers ce dur apprentissage de la vie, et j’ai même crû qu’il ne fallait plus que je m’attache à quelqu’un d’autre ici-bas…. que je devais être maudite… car à chaque fois que j’aimais quelqu’un on me l’enlevait illico !

Mais un jour j’ai croisé un Monsieur, qui s’appelait Jacques, qui m’a mis entre les mains un livre de développement personnel, je ne connaissais pas à l’époque. Mais ce livre m’a sauvée. C’est là que j’ai découvert le mot "Spiritualité" et que j’ai entamé un long travail sur moi.

J’ai énormément lu dans ma vie… grâce à Jacques ! Mais un jour mon esprit s’est envolé sur la lecture d'un livre particulier, il s'intitulait "JE SUIS", et là, incident.... j’ai fait une O.B.E mais à jour j’ai compris…. La mort, la vie tout cela n’est que continuité.

Aujourd’hui bien évidemment la mort n’a plus du tout la même signification pour moi. J’ai compris que si toutes les personnes auxquelles je m’étais attachée sont parties rejoindre l’au-delà, c’était pour mieux pouvoir m’aider à évoluer. Car dorénavant elles sont toujours là pour me guider, m’aider, me porter, me conseiller, elles font partie de moi à jamais …

Est venu alors le jour du départ de mes propres parents, d’abord mon père en 2007, puis ma mère en 2008, sauf que là, je n’avais plus du tout le même regard sur ce qu’est la MORT… pour l’avoir approchée de près grâce à mon O.B.E…  et leur départ fut plutôt ressemblant à une Fête, je les ai accompagnés jusqu’à leur dernier souffle, nous nous sommes confiés, pardonnés, aimés jusqu’à leur départ. Une aventure extraordinaire, que je conseille à tous, dans la mesure de leurs capacités bien évidemment.

La mort pour moi est devenue aujourd’hui comme une formidable réjouissance ! Un magnifique retour à LA MAISON, qui me fait toujours déborder le cœur d’un immense bonheur pour ceux qui rejoignent l’au-delà !

Voilà  mon JO, je me suis livrée, j’espère que tu me comprendras !

- Le rapport à la mort tout d’abord : alors évidemment, pour ceux qui voient encore le cimetière comme un lieu sinistre, source d’attraction des natures morbides, c’est la première chose qui vient à l’esprit, et on a rapidement droit à tous les poncifs. Si ce type d’attirance peut exister chez quelques uns, elle n’a aucun sens pour la grande majorité des arpenteurs de nécropoles.

Les habitués des cimetières savent à quel point nous avons évacué la dimension purement funéraire, à tel point qu’il faille régulièrement redescendre sur terre pour se souvenir de la fonction première de l’endroit.

En premier lieu, je ne me sens pas particulièrement macabre. Je ne suis pas particulièrement « gothique » et si les crânes me plaisent pour leur esthétique, je ne les collectionne pas et ils ne me font pas vibrer. J’ai eu évidemment à affronter le deuil comme la plupart des gens, et cela ne m’a jamais enthousiasmé. Etudiant, j’ai même travaillé quelques temps dans une morgue sans en éprouver aucun plaisir.

Je fuis l’hôpital que je trouve vraiment sinistre... Bref, rien du nécrophile patent. La peur de la mort alors ? Sans doute, comme beaucoup là encore. Ce qui est vrai, c’est que dès mon plus jeune âge, la mort a fait partie de mon univers. Je ne l’ai jamais occulté d’un revers de la main. Encore que plus que la mort, c’est l’oubli qui m’effraie. Pas tant l’oubli de ma propre personne (étant athée et très cartésien dans ce domaine, après moi le déluge...) que l’oubli tout court, ce processus d’effacement progressif de l’ensemble des mémoires, à l’image d’une bougie en fin de parcours.

L’oubli ne m’effraie pas : il m’obsède, me panique... Il renvoie à l’insignifiance, au néant, à la vacuité de toute choses. On pourra me rétorquer que si les individus disparaissent, leur oeuvre ne disparaît pas avec eux. C’est un fait, mais j’ai là un profond respect de la notion de « paternité » :

c’est sans doute là l’une des premières vraies clés pour comprendre cette passion... Rendre à César... Ne jamais laissé un objet, une oeuvre, un concept, une entreprise, une chanson, un film, orphelins de celui ou celle qui en est l’auteur. Pourquoi cherchez toujours le créateur derrière la création ? Je n’en sais rien ! Pour le coup, il faudrait sans doute faire une psychanalyse, mais je n’ai pas le temps : j’ai un site à faire (c’est une psychanalyse comme les autres) !

Alors évidemment, le cimetière est le réceptacle ultime de toutes les paternités. La plupart ayant été oubliées, il faut les retrouver. Pour combler le plus possible l’oubli. Et puis il y a aussi la reconnaissance, une manière de remercier ceux qui sont venus avant vous pour les idées géniales qu’ils ont pu avoir.

Et si, pour résumer les Mémoires d’entre-tombes de Beyern, l’ouvrage le plus subtil et le plus pénétrant qui existe sur cette passion coupable, plus que la peur de la mort, la fréquentation des cimetières ne dissimulait pas plutôt une peur de la vie ?

La peur de ne pas être entendu par la personne en face face de soi.
A qui tu lui dis sort avec moi ce jour. S'il s'agit du sexe opposé, hors montrer les beautés de la nature du sol des arbres, de animaux. Dès ces gens ont peut qu'on les agressent, ils ne savent pas pourquoi, ils disent non.

Il m'est arrivé dans jeunesse de sortir le dimanche avec les deux soeurs, à qui préalablement avant j'ai demandé à leur jeune frère de m'apporter un message si je pouvait les emmener. Dès ma réponse donnée, il repartait. Et puis voilà ! dans ce temps là on ne parlait pas de ces mauvaises idées que nous avons aujourd'hui.

Je vous laisse à votre réflexion....
Quant à nous trois nous arrivions sur les lieux fixés à l'avance. Chacun allait de son côté. Le soir on rentait gaiement et puis on se disait à la prochaine fois. Il n'y avait pas cette PEUR qui nous tiraillait?

Peur ! ne pas confondre la peur de la mort et la peur de ne pas réussir dans la VIe, parce là je trouve que la peur n'a pas le sens. Vaincre sa peur et ses émotions fait parie de la VIE. Si tu as PEUR d'avancer. Alors tu as PEUR de toi-même.

Je laisserai la PEUR maintenant pour me DIRE : VIVRE ! VIVRE ! par contre ! j'ai besoin de connaître le passé pour VIVRE le présent et de préparer l'avenir. Car depuis un certain nombre d'années j'ai parcouru la Vie de mes ancêtres décédés et ai beaucoup appris que leur vie à certaines était plus ou moins pire que la nôtre aujourd'hui.

Bon courage à tous ceux qui me liront.... ne retenir de la Vie que les meilleurs moments, vous réussirez j'en suis certain à vaincre votre PEUR et que vous VIVREZ très longtemps.

Joël un ami partage avec vous : vos peines, vos douleurs, vos joies, vos voyages et tous ce qui se passent dans la vie des humains.

En lisant ce topic, je ne suis pas sûr que l'expérience relatée par Joel soit la peur de la mort, mais plutôt la façon d'être désorienté par la mort d'un proche.......pas si proche que cela en fait.

Depuis peu, je suis convaincu que la mort fait partie de la vie.

Plus la douleur de la perte est puissante, plus la mesure de l'attachement à la personne concernée est forte.

Je ne permets en aucune façon de juger, mais il y a peu, je posais la question suivante à une assemblée:

"qu'est ce qui est le plus important? le corps? ou bien ce qui l'habite?"

Ce qui habite le corps et qui caractérise la dimension élevée de l'individu ne disparait pas bien au contraire, mais d'une certaine façon se libère d'un choix temporel d'incarnation, et retourne à son état naturel d'origine.

Evidemment, c'est un point de vue qui demande à changer sa vision de la vie, d'accepter une conception autre de celle-ci, et de comprendre que l'amour qui existe et qui a existé ne disparaît jamais, mais accompagne un changement d'état et de forme avec lequel nous ne sommes pas familier, et qui se télescope avec notre nature humaine et les sentiments, les émotions, les incompréhensions qui en font partie.

En vérité: qu'est ce que la vie? a quoi la résumons-nous?
.

Cette mort habite chacun d'entre nous à un moment ou à un autre. Prendre conscience que notre passage sur la terre est parfois très court. Je me dis, après tout fait ce qu'il te plait. De toute façon, lorsqu'on est mort on est mort. Le plus dur ! reste pour ceux qui à côté de nous, nous regrette d'être parti si tôt. Vivons ! à rendre notre entourage heureux. Notre devoir ! transmettre le bien être. La Mort viendra assez vite. Pensons à ceux qui souffre après les événements tragiques de tous genres. Qui n'arrive pas à se consoler. Les morts reposent en paix, Malgré les difficultés de leur entourage. Ils sont libérés de toutes souffrances. Chacun de nous a, ou a eu des proches disparus au moment ou tout allait bien. J'en ais été un témoin. Mère tué d'un accident banal. Devant nos yeux terrible cauchemarsd qui a duré environ vingt ans.

Voila un sujet délicat...
Hier nous parlions avec mon mari de la mort. Il en a une peur bleue, moi non. Et il ne comprend pas.

Le sujet est revenu car un membre de notre famille a un cancer, nous venons de l'apprendre. Ce bilan n'est pas positif du tout. Evidemment nous avons le cœur brisé, la colère aussi est venue.
Mon mari a peur de la mort, dit-il, mais au fond, il a peur de ne plus vivre, c'est une nuance à prendre en compte.
Pour ma part, je n'ai pas peur de mourir, c'est un processus qui fait partie de la vie. Mais ce qui me rend triste c'est la douleur des autres. Car au final, la mort n'est triste que pour ceux qui restent. Enfin, je l'espère, je ne connais pas l'au-delà...

Hier nous avons dit à l'un de nos enfants que la maladie de sa grand-mère était importante, il s'est mis à pleurer car il ne veut pas qu'elle meurt. Il l'aime, nous l'aimons tous. Nous pleurons donc un futur que nous ne pourrons pas avoir avec elle, des projets qui ne pourront plus être. Au fond, c'est un peu égoïste non ?
Quand je repense à cela, je me dis qu'au final je suis triste pour la vie qu'elle ne pourra plus avoir, la vie qu'elle avait imaginée, je suis en colère des projets qu'elle avait, mais des " on verra plus tard..." à cause des autres, plus jeunes qui privilégiaient leur vie au détriment de la sienne en fin de compte. Car le "plus tard" ne sera plus.

La mort ne fait donc pas peur, c'est ne pas vivre qui nous marque le plus...

Hello Crapette

je me suis permise de fusionner ton article avec ceux dont nous avions déjà abordé le sujet antérieurement....

donc si tu veux bien lire ce qui a été écrit précédemment, peut-être que cela te donnera quelques pistes de réflexion.

bien sincèrement à toi

Merci   je vais lire tout cela.

Ce confinement m'a rendu plus vulnérable encore. Pris pour des vieux qui ne savent pas se tenir. Ou nous dit faites ceci, ne faites pas cela. Ceci m'a rendu très mal à l'aise.

Envie de mourir pour me débarrasser de cette vie qui devient très difficile.

Ce n'est pas de rester enfermer. Mais cette façon d'imposer aux personnes. On se demande si ce pouvoir ne veut pas faire disparaître cette tranche d'âge, afin de mieux commander cette jeunesse. Ne pas oublier, que tous nous vieillissons à un moment ou à un autre. Disparaître, débarrasser de tout, plus aucun soucis. En ce moment mon cerveau réagit de façon négative.

Ne réponds pas aux invitations pour parler. Plus envie de grand chose. Et pourtant, la vie, malgré cette pandémie, donne pourtant un envie de vivre près de sa famille. Parler ici sans crainte, personne de porte de jugement. Cette chaleur ne nous arrange pas. Le si peu de pluie tomber hier soir rafraîchit l'atmosphère.

Mais j"ai peu dormi, se lever écrire soulage ses pensées négatives. Essayons maintenant de voir plus positif, reprendre la marche doucement. Lire un peu plus. Se dire que je ne suis pas seul. Que mes proches tiennent à moi, je tiens à eux.

Merci à vous tous de m'avoir lu !

Coucou de JO !

Je comprends ce que tu ressens.

Voilà de nombreuses semaines que l'on nous rabat les oreilles avec les mesures de protection. On en entend tellement que l'on a envie de dire STOP. Le confinement a été très difficile à vivre pour une majorité de personnes. Devoir sortir avec une Attestation en bonne et du forme. Porter un masque, etc.....

Le déconfinement a eu lieu avec une période ensoleillée. Les gens en ont profité pour sortir plus "librement" enfin si l'on veut.

Respect des distances entre chaque personne, port du masque. Lors de mes promenades ou en faisant mes courses, j'ai pu constaté que beaucoup de personnes ne respectaient pas les consignes. Ras-le-bol. Je suis restée prudente.

Mon fils m'a fait la même remarque concernant la tranche d'âge en question. Mais les gens âgés participent eux aussi à l'économie d'un pays.

Quand j'entends le mot "personne fragile" cela me met en colère. Qui est fragile et qui ne l'est pas ???!!!

On peut être fragile à n'importe quel âge et avoir bon pied, bon oeil également.

Cette façon de viser une certaine partie de la population, cela a un effet négatif pour bon nombre.

Prendre un réel recul face à tout ce qui ce dit. C'est comme un poison que les médias diffusent avec l'aide des différents intervenants touchant à la médecine. Provoquer la crainte et la peur.

L'application qui est "suggérée" de mettre sur son téléphone est une façon d'être surveillée - vu par moi et par d'autres - .

Reprendre le cours de sa vie et retrouver ses proches et ses amis.

L'écriture est un moyen de pouvoir libérer ses pensées. Tu as raison.

Essaies d'être ZEN dans ta tête.

Bonjour Plume,
Je te remercie de ton soutient, tu as raison sur la fragilité. Toute personne est vulnérable. Pourquoi cette différence ? On nous prends vraiment pour des moins que rien. J'avance quand même, mais plus doucement.
Restez ZEN, très facile à dire, mais pas si facile à appliquer dans la vie d'aujourd'hui.
Essayer de penser positif. Se dire voilà : moment difficile, cela va passer j'en suit certain.
Le soleil vient de rentre en moi. Il commence à apporter un peu de bonheur.
Je me remet à écrire et à lire.
Bonne journée à toi. Que soleil rayonne en toi et qu'il se propage tout autour.
JO

Depuis pas mal de jours je vis également une période d'agitation mentale.C'est plutôt balaise du genre a avoir du mal,voir beaucoup de mal,a se concentrer,a se vider et donc se calmer.Quand je ferme les yeux ça fuse de tous les côtés et c'est pas forcement toujours très agréable.Cela fait surgir des émotions lourdes et si je me laisse aspirer dans ce mouvement je deviens aveugle,muet et sourd.C'est un processus que je connais bien,la finalité est le renfermement sur soi.Le paysage semble gris même lorsque le soleil bat son plein.

Avec le temps j'ai pu constater que ce fonctionnement est induit par un trop plein de chose pas toujours très positives.Quel que soit la capacité du coffre a accueillir tout ça,tôt ou tard il se trouve plein et nécessite d’être vidangé et dans ce coffre se trouve pas mal de jugements personnels dit plus couramment "des erreurs commises"

Pour cela il existe beaucoup de moyen plus ou moins efficace en fonction des personnes.Pour ma part,il me faut commencer par "ralentir le temps" puis accepter que cette souffrance est mon propre fruit.Je l'ai autorisé,je l'ai généré.A ce stade,se pardonner.Ici et maintenant,en regardant le contenu du coffre,il n'y a que du passé.Peu importe la nature de ce passé,remercier le fait qu'il m'ait beaucoup appris.Souffler,respirer profondément plusieurs fois,autant de fois que cela fera du bien.Dans chaque insufflation une pensée désagréable est évacuée pour prendre du frai,du neuf dans l'inspiration.Ainsi je ralentis le temps.Je me connecte a la chaleur de la nature,aux immenses arbres verts,aux cascades d'eau,aux oiseaux dansant dans le ciel bleu,a la liberté et j'inspire ce tout.

Et la je crois que je viens de retrouver le calme   Reste a continuer,a écrire mon histoire au présent.

Est vulnérable seulement celui ou celle qui veut l’être.

La mort n'est qu'un passage dans l'au delà, ma mere avait eu une Nde du a une crise cardiaque, durant le temps de sa transition temporaire, elle a revu dans l'astral tous ses amis decedés avant de revenir sur terre.

Le corps n'est qu'un vetement, et ne represente pas le soi, ce n'est pas la fin definitive, rassure toi.

Me voici de nouveau pour partager ces bons et mauvais moments. Le but d'écrire ici donne une satisfaction pleine et entière. Aucun jugement, pas de critiques, tout simplement s'exprimer. Tous avons besoin de réconfort.
Je vous assure que ce fameux confinement ne me facile pas la tâche.
Ressent cette fin de vie arriver à grand pas : Pourquoi ?
Et-ce de voir partir toute ces qui n'ont rien demander à personne?
Ce qui me fait mal, c'est de voir enfermer des personnes d'un certain âge.
On se demande : si on ne veut pas les faire disparaître.
Trop de monde sur terre. Ce qui nous manque : des logements pour ces personnes à partir du moment de cette fin d'activité. Personnes valides ayant besoin d'être autonome, mais parler avec d'autre personnes. Mais aussi avoir besoin d'air ! Simplement un peu de verdure avec petit jardin commun.
L'isolement est négatif.
L'humain ne peut pas vivre trop seul, il perd la mémoire du temps. Il s'enfonce et ne réalise plus qui il est.
Je vis un cela en ce moment. Mes forces m'abandonnent ! ma mémoire flanche !
Mon envie de vivre ne me dit plus rien ! Que tout personne se rassure la vie est certes pas facile, mais un tout petit peu d'air frais, ravive notre pouvoir d'agir vers le haut.
Pour terminer : Que tous ! nous agissons au mieux de nos possibilités.
Surtout agissons pour se sentir bien.
Que cette journée vous apporte beaucoup de joie et de bonheur intense.
Votre JO

Joel2010 a écrit:
Ce qui me fait mal, c'est de voir enfermer des personnes d'un certain âge.
On se demande : si on ne veut pas les faire disparaître.
Trop de monde sur terre. Ce qui nous manque : des logements pour ces personnes à partir du moment de cette fin d'activité. Personnes valides ayant besoin d'être autonome, mais parler avec d'autre personnes. Mais aussi avoir besoin d'air ! Simplement un peu de verdure avec petit jardin commun.
L'isolement est négatif.

Hello mon JO
Je ne pense pas que tout ceci soit réservé seulement à une certaine catégorie de personnes ("vieux") mais plutôt à tous !

Tout ce que nous vivons actuellement n’est qu’un changement de vibration… changement que beaucoup d’entre-nous d’ailleurs réclament depuis longtemps. Mais comme de bien entendu, nous ne savions pas sous quelle forme tout cela pourrait se concrétiser. Mais la TERRE a fait son choix pour nous, elle monte en vibration et nous devons désormais nous y adapter.

L’époque que nous traversons est très anxiogène il faut bien le reconnaître, puisque c’est une Première fois… et c’est à nous de nous accrocher à notre entière FOI en nous-mêmes et les Uns aux Autres ; mais ne surtout pas faire le choix d'une peur quelconque. Car même si nous ne savons pas de quoi demain sera fait. Beaucoup de possibles se dessinent, tant d’un point de vue personnel que général, sans qu’il soit possible de savoir lequel se développera.

Quelques conseils peuvent nous aider à surmonter notre stress, nos peurs, voire nos angoisses ; celles dans lesquelles nous ne devons surtout pas tomber :

• N’écoutez qu’un minimum les informations qui sont diffusées par les médias. Se tenir au courant de la situation est bien, voire indispensable. Mais il faut éviter d’écouter les nouvelles en boucle. Car cela devient vite du bourrage de crâne.

• Ne gambergez pas sur l’avenir. Car vous allez tout de suite imaginer les pires scénarios qui ne verront probablement jamais le jour. Sachez que l’être humain est le seul « animal » qui est capable de se stresser lui-même grâce à sa capacité d’anticipation. Il n’est pas possible de contrôler le futur pourtant nous nous usons à tenter de le faire. Demain sera un autre jour. Vous avez en vous les capacités de faire face à ce qui surviendra, quoi qu’il arrive. Demeurez confiant. (paroles de Luc Bodin)


• Restez dans le moment présent. Profiter de la liberté que nous a offert le déconfinement. Profitez de nos proches et de la vie…. Profitez de ces moments pour réaliser des activités qui nous ont plu afin de nous distraire et d’orienter nos pensées vers des objectifs sympathiques durant cette période et les poursuivre désormais.

Bref, il est conseillé d’élever nos vibrations au plus haut point que nous en sommes capables !

Gros bisous JO et courage

Que ces réponses apportent à tous ! les moyens de voir la VIE dans le sens POSITIF.
Se concentrer vers des PROJETS rester dans le fond de notre valise et de les réaliser.
Je ressent bien en ce moment même, cet esprit de Vie autrement plus favorable et de gagner notre CONFIANCE en soi, tout est là en Nous.
Ressortir que les bonnes choses.
Je vois bien qu'au fond de moi le SOLEIL caché remonte doucement vers le grand jour.
Profiter du bien être, de la nature, repartir avec du courage, car on en a, mais ne nous savons pas obligatoirement l'utiliser.
Bonne journée à tous ! Sous un Soleil radieux du fond du Coeur.
Votre JO