La peur de la maladie
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La peur de la maladie
Bonjour à tous
Des êtres parmi nous, parfois bien qu’éclairés, ressassent les mêmes idées, ils disent : « Vous savez, elle (la maladie) se promène en ville, et elle va m’attraper ! J’ai un ami qu’elle a eu, elle va m’avoir aussi ! »
Ce n’est pas ainsi que les choses se passent. Non je ne le crois pas un seul instant ! Non Je ne le crois plus du tout !
Peu importent nos prédispositions génétiques à une maladie. Quoi que nous ayons entendu dire à ce sujet selon l’ancienne énergie, on ne nous a pas exposé le plan d’ensemble ! Finissons-en avec les vieilles explications biologiques et accueillons la nouvelle manière d’expliquer le fonctionnement des choses !
Car, par la conscience humaine, nous pouvons nous adresser à notre structure cellulaire, la renouveler, l’améliorer, l’éveiller, la guérir, la purifier. Nous pouvons même parler directement à la maladie.
Plutôt étudions la question suivante : « Sur le plan biologique, de quoi êtes-vous faits ? » D’eau.
ET de quoi est constituée la maladie ? D’eau.
Puis on nous a montré comment la conscience humaine pouvait profondément modifier l’eau (dans cet article par exemple https://devantsoi.forumgratuit.org/t239-transformer-son-eau-du-robinet-en-eau-diamant?highlight=transformer+son+eau ).
En avez-vous tiré des conclusions ?
La conscience apte à transformer les structures cristallines dans une jarre remplie d’eau peut aussi considérablement transformer l’eau contenue dans un être humain, dans sa structure cellulaire. Peu importe ce qu’on nous a appris, telle est la vérité aujourd’hui.
Si certains ont envie de vivre dans la peur, ils le peuvent, chacun est libre. Mais, SI nous préférons faire le contraire et célébrer la situation, le cheminement et les événements susceptibles de survenir, cela créera de la lumière. Alors, ensemble nous nous mettrons à rire de notre peur en réalisant quelle blague cela a pu être.
Béni soi l’être humain qui comprend que l’influence qu’il peut exercer sur sa structure cellulaire est sans limite !
Voilà le nouvel ordre des choses ; chamans et yogis des temps anciens nous l’avaient prédis, et c’est maintenant à nous de jouer !
Voilà qui est dit pour ma part !
Merci de m’avoir lue …
Des êtres parmi nous, parfois bien qu’éclairés, ressassent les mêmes idées, ils disent : « Vous savez, elle (la maladie) se promène en ville, et elle va m’attraper ! J’ai un ami qu’elle a eu, elle va m’avoir aussi ! »
Ce n’est pas ainsi que les choses se passent. Non je ne le crois pas un seul instant ! Non Je ne le crois plus du tout !
Peu importent nos prédispositions génétiques à une maladie. Quoi que nous ayons entendu dire à ce sujet selon l’ancienne énergie, on ne nous a pas exposé le plan d’ensemble ! Finissons-en avec les vieilles explications biologiques et accueillons la nouvelle manière d’expliquer le fonctionnement des choses !
Car, par la conscience humaine, nous pouvons nous adresser à notre structure cellulaire, la renouveler, l’améliorer, l’éveiller, la guérir, la purifier. Nous pouvons même parler directement à la maladie.
Plutôt étudions la question suivante : « Sur le plan biologique, de quoi êtes-vous faits ? » D’eau.
ET de quoi est constituée la maladie ? D’eau.
Puis on nous a montré comment la conscience humaine pouvait profondément modifier l’eau (dans cet article par exemple https://devantsoi.forumgratuit.org/t239-transformer-son-eau-du-robinet-en-eau-diamant?highlight=transformer+son+eau ).
En avez-vous tiré des conclusions ?
La conscience apte à transformer les structures cristallines dans une jarre remplie d’eau peut aussi considérablement transformer l’eau contenue dans un être humain, dans sa structure cellulaire. Peu importe ce qu’on nous a appris, telle est la vérité aujourd’hui.
Si certains ont envie de vivre dans la peur, ils le peuvent, chacun est libre. Mais, SI nous préférons faire le contraire et célébrer la situation, le cheminement et les événements susceptibles de survenir, cela créera de la lumière. Alors, ensemble nous nous mettrons à rire de notre peur en réalisant quelle blague cela a pu être.
Béni soi l’être humain qui comprend que l’influence qu’il peut exercer sur sa structure cellulaire est sans limite !
Voilà le nouvel ordre des choses ; chamans et yogis des temps anciens nous l’avaient prédis, et c’est maintenant à nous de jouer !
Voilà qui est dit pour ma part !
Merci de m’avoir lue …
La sagesse de nos corps
Voici un exemple qui pourra nous éclairer sur la sagesse innée du corps.
Lorsque nous nous blessons à un doigt en coupant les légumes, cela fait mal. Cependant cela ne nous préoccupe pas trop car nous savons que dans quelques jours notre doigt sera guéri.
Dans un tel cas nous croyons sincèrement au processus de régénération cellulaire du corps …
alors pourquoi n’en est il pas toujours ainsi pour d’autres parties de nos corps ?
Et comment permettre à l’esprit blessé de se souvenir qu’il est Lumière et Santé ?
Perso, j’ai forcément remarqué que l’équilibre entre le corps et l’esprit crée la santé. En restant attentive à la santé de mon esprit, je permets à mon corps d’être en santé….. mais est-ce la seule et la meilleure des solutions !!??
Re: La peur de la maladie
peut-être parce que le doigt , on le voit et qu'on sait qu'on va guérir !
je crois que tout est question de croyance et de foi .
Nous sommes , comme saint Thomas, on croit en ce qu'on voit .
je crois que tout est question de croyance et de foi .
Nous sommes , comme saint Thomas, on croit en ce qu'on voit .
Invité- Invité
Re: La peur de la maladie
Nous pouvons donc visualiser nos blessures intérieures pour permettre leur guérison, c'est vrai qu'il suffit d'y croire. Je m'explique en partant de ma propre expérience.
Il y a 8 ans j'ai été opéré de tumeurs cancéreuses situées sur le col de l'utérus, on a dû me faire une petite ablation de cette partie, ce qui touché à ma féminité, à ma vie de femme. Tout c'est bien passé mais le gynéco m'avait dit que je n'étais pas à l'abri d'une récidive, qu'elle horreur de savoir que l'opération a été réussit mais qu'il fallait que je vive avec l'idée d'une récidive. Je ne pratiquais rien à l'époque, je n'étais dans aucune mouvance, j'étais une autodidacte de la croyance spirituelle, et quand j'avais un mal je le visualisais et je laissais faire mon corps.
Tous les 6 mois j'avais droit à des batteries d'examens pour surveiller la vilaine récidive et qu'elle ne fut pas la surprise de mon docteur quand à 1 an après l'opération il m'annonce que la partie enlevée avait "repoussé". Ma pensée, mon corps et ma croyance ont reconstruits la partie manquante, et me retrouvais à 33 ans avec le col de l'utérus d'une jeune fille. Comme le dit Coco, comme saint Thomas on ne croit que ce que l'on voit, j'ai visualisé, j'y ai cru et surtout je n'en ai pas fait une fixation.
Pour moi visualiser son intérieur c'est l'aider à exister donc à vivre. Ne plus le visualiser c'est le "tuer".
En espérant avoir fait avancé le débat...
Il y a 8 ans j'ai été opéré de tumeurs cancéreuses situées sur le col de l'utérus, on a dû me faire une petite ablation de cette partie, ce qui touché à ma féminité, à ma vie de femme. Tout c'est bien passé mais le gynéco m'avait dit que je n'étais pas à l'abri d'une récidive, qu'elle horreur de savoir que l'opération a été réussit mais qu'il fallait que je vive avec l'idée d'une récidive. Je ne pratiquais rien à l'époque, je n'étais dans aucune mouvance, j'étais une autodidacte de la croyance spirituelle, et quand j'avais un mal je le visualisais et je laissais faire mon corps.
Tous les 6 mois j'avais droit à des batteries d'examens pour surveiller la vilaine récidive et qu'elle ne fut pas la surprise de mon docteur quand à 1 an après l'opération il m'annonce que la partie enlevée avait "repoussé". Ma pensée, mon corps et ma croyance ont reconstruits la partie manquante, et me retrouvais à 33 ans avec le col de l'utérus d'une jeune fille. Comme le dit Coco, comme saint Thomas on ne croit que ce que l'on voit, j'ai visualisé, j'y ai cru et surtout je n'en ai pas fait une fixation.
Pour moi visualiser son intérieur c'est l'aider à exister donc à vivre. Ne plus le visualiser c'est le "tuer".
En espérant avoir fait avancé le débat...
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Un tien vaut mieux que deux tu l'auras
mimine- Messages : 46
Date d'inscription : 11/07/2012
Re: La peur de la maladie
OOOOOH j'adore cette belle preuve que tout est possible ma très chère mimine
Comme ça fait du bien de lire ton expérience
pour ceux qui n'en seraient pas encore convaincus je dirais que "La résussite elle-même n’est pas difficile. La résussite est à la portée de tous. Et si tous ne réussissent pas, c’est qu’ils n’ont pas tous voulu réussir."
La plupart des gens n’ont pas voulu, ne veulent pas la réussite. Ils préfèrent rêver, à l’attendre de tous et de tout, sauf d’eux-mêmes et de leur action. Celui qui rêve et qui attend ne peut aller qu’à l'oubli de soi. Seul celui qui veut et qui agit recevra ce qu’il est en droit d’attendre… et il n’attendra d’ailleurs pas longtemps.
Pour illustration le propos, je propose lire le livre La technique du Succès d’André Muller, des éditions Diateino.
Et dès l’introduction, ce livre pose des bases à plus d’une réflexion sur les notions de réalisation, de volonté et de réussite.Vaste sujet souvent abordé en écho à des étudiants ou des jeunes entrepreneurs qui ne savent pas par quel bout débuter - et je confirme qu’il n’est jamais simple de se lancer sur un projet… – il touche aussi des professionnels, des personnes plus aguerries qui, comme tout un chacun, passent par des périodes de doute.
Du syndrome « Si tu les construis, ils viendront » (inspiré du film Jusqu’au bout du rêve avec K. Costner) à celui de l’incessant rebondissement sur une myriade d’idées sans réalisation, en passant par la procrastination ou les horoscopes néfastes chinois ou maya, notre environnement est rempli d’excuses à notre non-volonté et donc à l’échec de notre succès. Et parfois, il suffit d’une parole, de quelques mots, d’un air, d’un encouragement…pour retrouver cette envie de vouloir.
Ces mots pris dans le livre d’André Muller fait clairement partie de cette catégorie ainsi que les mots de Rainer M. Rilke (ceux des Cahiers de Malte Laurids Brigge) sur la musique de Benjamin Biolay et la voix de Michel Aumont
Voir la vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=GaSSYZjWLjQ&feature=player_embedded
Merci encore de ce partage instructif de ton passage de vie très chère mimine ; car la réussite est au bout de tous les chemins que nous entreprenons. Et ça j'y crois très fort
-----------
Et vous les amis, le débat n'est pas clos, qu’en pensez-vous ? Il y a bien quelque part ces petites étincelles qui vous font rebondir ?
Comme ça fait du bien de lire ton expérience
pour ceux qui n'en seraient pas encore convaincus je dirais que "La résussite elle-même n’est pas difficile. La résussite est à la portée de tous. Et si tous ne réussissent pas, c’est qu’ils n’ont pas tous voulu réussir."
La plupart des gens n’ont pas voulu, ne veulent pas la réussite. Ils préfèrent rêver, à l’attendre de tous et de tout, sauf d’eux-mêmes et de leur action. Celui qui rêve et qui attend ne peut aller qu’à l'oubli de soi. Seul celui qui veut et qui agit recevra ce qu’il est en droit d’attendre… et il n’attendra d’ailleurs pas longtemps.
Pour illustration le propos, je propose lire le livre La technique du Succès d’André Muller, des éditions Diateino.
Et dès l’introduction, ce livre pose des bases à plus d’une réflexion sur les notions de réalisation, de volonté et de réussite.Vaste sujet souvent abordé en écho à des étudiants ou des jeunes entrepreneurs qui ne savent pas par quel bout débuter - et je confirme qu’il n’est jamais simple de se lancer sur un projet… – il touche aussi des professionnels, des personnes plus aguerries qui, comme tout un chacun, passent par des périodes de doute.
Du syndrome « Si tu les construis, ils viendront » (inspiré du film Jusqu’au bout du rêve avec K. Costner) à celui de l’incessant rebondissement sur une myriade d’idées sans réalisation, en passant par la procrastination ou les horoscopes néfastes chinois ou maya, notre environnement est rempli d’excuses à notre non-volonté et donc à l’échec de notre succès. Et parfois, il suffit d’une parole, de quelques mots, d’un air, d’un encouragement…pour retrouver cette envie de vouloir.
Ces mots pris dans le livre d’André Muller fait clairement partie de cette catégorie ainsi que les mots de Rainer M. Rilke (ceux des Cahiers de Malte Laurids Brigge) sur la musique de Benjamin Biolay et la voix de Michel Aumont
Voir la vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=GaSSYZjWLjQ&feature=player_embedded
Merci encore de ce partage instructif de ton passage de vie très chère mimine ; car la réussite est au bout de tous les chemins que nous entreprenons. Et ça j'y crois très fort
-----------
Et vous les amis, le débat n'est pas clos, qu’en pensez-vous ? Il y a bien quelque part ces petites étincelles qui vous font rebondir ?
Re: La peur de la maladie
Merci Francesca, tes mots me touchent et m'émeuvent, comme quoi la guérison la plus longue est celle du psycho.
Je rajouterai juste sur ce sujet les références d'un livre qui m'a beaucoup aidé : Ton corps te dit aime toi de Lise Bourbeau.
Il permet de se poser les bonnes questions sur la maladie :
1-Quels sont les qualificatifs qui peuvent le mieux décrire ce que je vis dans mon corps et comment je me sens avec ce probléme?
2-Cette maladie empêche quoi dans ma vie?
3-Cette maladie m'empêche d'être quoi dans ma vie?
4-Si je me permets d'être.. (répéter la réponse de la question 3), en général dans ma vie, que pourrait-il m'arriver de désagréable ou de non acceptable et je me jugerais ou les autres me jugeraient d'être quoi?
Si je reprends ma propre expérience celà donne :
1- blessures profondes, mutations néfastes - je me sens mal, je ne suis plus une femme
2- elle m'empéche de vivre une sexualité épanouissante
3- elle m'empêche d'être une femme accomplie
4- si je me permets d'être une femme accomplie, en général dans ma vie, j'aurai ma place en tant que tel, je serai libre et épanouie, je pourrai vivre pleinement ma sexualité, j'oserai dire mes sentiments, mes émotions.
Avec tout mon amour
Je rajouterai juste sur ce sujet les références d'un livre qui m'a beaucoup aidé : Ton corps te dit aime toi de Lise Bourbeau.
Il permet de se poser les bonnes questions sur la maladie :
1-Quels sont les qualificatifs qui peuvent le mieux décrire ce que je vis dans mon corps et comment je me sens avec ce probléme?
2-Cette maladie empêche quoi dans ma vie?
3-Cette maladie m'empêche d'être quoi dans ma vie?
4-Si je me permets d'être.. (répéter la réponse de la question 3), en général dans ma vie, que pourrait-il m'arriver de désagréable ou de non acceptable et je me jugerais ou les autres me jugeraient d'être quoi?
Si je reprends ma propre expérience celà donne :
1- blessures profondes, mutations néfastes - je me sens mal, je ne suis plus une femme
2- elle m'empéche de vivre une sexualité épanouissante
3- elle m'empêche d'être une femme accomplie
4- si je me permets d'être une femme accomplie, en général dans ma vie, j'aurai ma place en tant que tel, je serai libre et épanouie, je pourrai vivre pleinement ma sexualité, j'oserai dire mes sentiments, mes émotions.
Avec tout mon amour
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Un tien vaut mieux que deux tu l'auras
mimine- Messages : 46
Date d'inscription : 11/07/2012
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