Atlantide : Approche intuitive
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Atlantide : Approche intuitive
Je vous propose une vidéo de Romain Prioux qui nous partage son approche intuitive sur la civilisation atlante,leur origine et autres.
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Que règne la liberté.Car jamais le soleil ne s'est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.Nelson Mandela.
pac- Messages : 951
Date d'inscription : 30/03/2016
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Re: Atlantide : Approche intuitive
Merci beaucoup Pac pour cette vidéo sur laquelle je suis revenue ce matin ...
tout simplement parce que je m'en suis souvenue en voyant le travail réalisé par l'une de mes Amies
OUI, voila donc mon propos
Bonjour au Petit Monde de Francesca ….
Je vous propose aujourd’hui de lire cette VIDEO qui est à mon sens une lecture assez pertinente de l’HISTOIRE de l’ATLANTIDE vue avec la connexion de mon Amie Héléora STUART avec les TAROTS ….
C'est assez original cette lecture de cartes et cela m'a passionné.... et VOUS ??
N’hésitez pas à nous apporter vos commentaires… car pour ma part, elle m’a plutôt scotchée avec cette lecture des cartes ….
MERCI à elle !
admin aime ce message
Re: Atlantide : Approche intuitive
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Lors de ses lectures, Cayce affirmait l'existence de l'Atlantide. Il décrivait l'Atlantide comme un vaste continent avec une technologie de pointe dont les réfugiés auraint peuplé l'Égypte antique et les régions précolombiennes d'Amérique. La description de Cayce de l'Atlantide a beaucoup en commun avec celle de Ignatius Donnelly.
D'après Cayce, la société atlante a été divisée en deux factions politiques d'une grande longévité : une « bonne » faction appelée les « fils de la loi d'Un » et une faction « mauvaise » appelée les « fils de Belial ». Beaucoup de personnes aujourd'hui vivantes seront, selon Cayce, des réincarnations d'Atlantes, qui doivent maintenant faire face aux mêmes tentations qu'avant. Cayce avait également prévu la venue d'une certaine « pierre bleue » d'origine atlante, qui devait être trouvée sur « une île des Caraïbes » et devait avoir le pouvoir de guérir.
C'est en 1974 qu'une pectolite bleu volcanique, maintenant connue sous le nom de Larimar, a été trouvée en République Dominicaine. Dans les cercles métaphysiques on dit que cette pierre, de gemme colorée, peut soigner, comme avec la plupart des cristaux et de pierres gemmes, mais il n'y a aucune preuve scientifique à ce sujet.
L'Atlantide avait, selon Cayce, souffert de trois destructions principales dont un déluge. Selon les lectures, une source importante d'agitation était le désir des fils de Belial d'exploiter les « Choses », des sous-humains, de corps animal et peu intelligents, contre celui des fils de la loi d'Un, voulant les protéger. Une surcharge du cristal aurait été à l'origine de la destruction par une gigantesque explosion de l'Atlantide.
Edgar Cayce, lui, avait situé les trois destructions de l'Atlantide à cinquante mille, vingt-huit mille et dix mille ans avant Jésus Christ. Selon Cayce, ce sont les Atlantes eux-mêmes qui auraient détruit leur propre continent. Les Atlantes qui étaient plus développés que nous matériellement et maîtrisaient entre autres une source d'énergie que nous ne connaissons pas à ce jour, se seraient détruits avec elle en abusant de son utilisation.
Il s'ensuivait vers la fin de la société atlante, devenu décadente, des sacrifices humains. Selon Cayce, une partie de l'Atlantide aurait été immergée sous la mer des Sargasses, mieux connue parmi le public sous le nom de « Triangle des Bermudes ». La deuxième destruction de l'Atlantide serait due à de mauvais réglages, tensions trop fortes, de leur source d'énergie et aurait causé la fracture de l'île en plusieurs îles plus petites.
Les atlantes auraient, selon Cayce, sauvegardé une partie de leur culture, ainsi qu'une description de leur technologie dans divers endroits sur la Terre, dont :
Dans la zone engloutie de la ville principale Poséidia de l'Atlantide, où les restes d'un temple pourraient être découverts sous les sédiments, accumulés au fond de la mer.
Dans les archives d'un temple en Égypte, dans un endroit que Cayce appelait : « salle d'enregistrements ».
Dans les documents atlantes transportés au Yucatan, actuel province de Mexique.
Dans un autre ouvrage, les trois destructions sont commentées par Cayce :
Cinquante mille sept cents vingt-deux ans avant Jésus Christ une première destruction aurait eu lieu. Une grande réunion s'était déroulée entre les nations pour se débarrasser de ces gros animaux et de façon de le réaliser. C'était le début de l'utilisation des gros explosifs dont ils se servaient contre ces animaux. Une première émigration avait eu lieu, vers les Pyrénées du Nord et beaucoup plus tard une autre vers ce pays qui devenait plus tard l'Égypte. L'axe de la rotation de la Terre et donc l'emplacement des pôles, aurait subi un changement vers cinquante mille ans avant Jésus Christ.
Lors de sa deuxième destruction, qui aurait eu lieu vingt-huit mille ans avant Jésus Christ, l'Atlantide était fracturé en plusieurs îles plus petites. Lors de cette deuxième destruction, la plupart des îles constituant l'Atlantide avaient été impliquées et elles auraient été englouties sauf Poséidéa, Aryan et Og.
Pendant la troisième et dernière destruction, qui aurait eu lieu dix mille ans avant Jésus Christ, les trois îles restante avaient été englouties elles aussi. Les atlantes survivants seraient allés se réfugier dans les Pyrénées, au Yucatan et en Égypte.
Une autre indication de date pourrait être fournie par le zodiaque de Dendérah, qui se trouve de nos jours au Louvre, et qui montre un signe assez spécial parmi ensemble. Ce signe ressemble à un lion dans un bateau et sur l'arrière de ce bateau, en trouve à la queue du lion, un adolescent.
Parmi les nombreux symboles de la culture égyptienne, la barque sacrée était celui de l'écoulement du temps et de la navigation des vivants et desmorts. La présence d'un lion dans une barque pourrait donc signifier qu'il y avait eu une grande inondation dans le signe de lion. La date de ce signe se situe, selon les spécialistes, à neuf mille sept cents quatre-vingt-douze années avant Jésus Christ.
C'est à cette date que les égyptiens, héritiers prétendus des Atlantes, auraient situé un événement majeur, qu'ils ont appelé : Le Grand Cataclysme.
Ce cataclysme leur semblait très important, et pour que nul ne l'ignore, ils avaient pris la peine de le graver, de le peindre et de le sculpter dans les temples, à Dendérah tout particulièrement. Il paraît, contrairement à ce qu'on croit aujourd'hui, que le zodiaque de Dendérah serait beaucoup plus ancien. Celui qui est actuellement au Louvre, daterait d'environ 150 ans avant Jésus Christ et serait en fait la sixième reproduction.
La particularité du zodiaque de Dendérah est, c'est d'être un calendrier cosmique. Le point vernal, soit zéro degré dans le signe du Bélier, l' équinoxe du printemps, se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre à raison d'un degré tous les soixante-douze ans. Un tour complet durait donc trois cent soixante fois soixante-douze ans, soit vingt-cinq mille neuf cent vingts ans.
Nous pouvons ainsi en déduire que chaque signe du zodiaque vaut un douzième de cette valeur, soit deux mille soixante ans. Si nous partons du point zéro du Bélier, nous pouvons remonter le signe du Taureau, le signe des Gémeaux, le signe du Cancer, faisant de cette façon un total de huit mille six cent quarante ans. C'est donc en mille cinquante-deux ans dans le signe du Lion, que nous trouvons ce signe d'un lion dans une barque.
http://fr.was-this-atlantis.info/cayce.html
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Lors de ses lectures, Cayce affirmait l'existence de l'Atlantide. Il décrivait l'Atlantide comme un vaste continent avec une technologie de pointe dont les réfugiés auraint peuplé l'Égypte antique et les régions précolombiennes d'Amérique. La description de Cayce de l'Atlantide a beaucoup en commun avec celle de Ignatius Donnelly.
D'après Cayce, la société atlante a été divisée en deux factions politiques d'une grande longévité : une « bonne » faction appelée les « fils de la loi d'Un » et une faction « mauvaise » appelée les « fils de Belial ». Beaucoup de personnes aujourd'hui vivantes seront, selon Cayce, des réincarnations d'Atlantes, qui doivent maintenant faire face aux mêmes tentations qu'avant. Cayce avait également prévu la venue d'une certaine « pierre bleue » d'origine atlante, qui devait être trouvée sur « une île des Caraïbes » et devait avoir le pouvoir de guérir.
C'est en 1974 qu'une pectolite bleu volcanique, maintenant connue sous le nom de Larimar, a été trouvée en République Dominicaine. Dans les cercles métaphysiques on dit que cette pierre, de gemme colorée, peut soigner, comme avec la plupart des cristaux et de pierres gemmes, mais il n'y a aucune preuve scientifique à ce sujet.
L'Atlantide avait, selon Cayce, souffert de trois destructions principales dont un déluge. Selon les lectures, une source importante d'agitation était le désir des fils de Belial d'exploiter les « Choses », des sous-humains, de corps animal et peu intelligents, contre celui des fils de la loi d'Un, voulant les protéger. Une surcharge du cristal aurait été à l'origine de la destruction par une gigantesque explosion de l'Atlantide.
Edgar Cayce, lui, avait situé les trois destructions de l'Atlantide à cinquante mille, vingt-huit mille et dix mille ans avant Jésus Christ. Selon Cayce, ce sont les Atlantes eux-mêmes qui auraient détruit leur propre continent. Les Atlantes qui étaient plus développés que nous matériellement et maîtrisaient entre autres une source d'énergie que nous ne connaissons pas à ce jour, se seraient détruits avec elle en abusant de son utilisation.
Il s'ensuivait vers la fin de la société atlante, devenu décadente, des sacrifices humains. Selon Cayce, une partie de l'Atlantide aurait été immergée sous la mer des Sargasses, mieux connue parmi le public sous le nom de « Triangle des Bermudes ». La deuxième destruction de l'Atlantide serait due à de mauvais réglages, tensions trop fortes, de leur source d'énergie et aurait causé la fracture de l'île en plusieurs îles plus petites.
Les atlantes auraient, selon Cayce, sauvegardé une partie de leur culture, ainsi qu'une description de leur technologie dans divers endroits sur la Terre, dont :
Dans la zone engloutie de la ville principale Poséidia de l'Atlantide, où les restes d'un temple pourraient être découverts sous les sédiments, accumulés au fond de la mer.
Dans les archives d'un temple en Égypte, dans un endroit que Cayce appelait : « salle d'enregistrements ».
Dans les documents atlantes transportés au Yucatan, actuel province de Mexique.
Dans un autre ouvrage, les trois destructions sont commentées par Cayce :
Cinquante mille sept cents vingt-deux ans avant Jésus Christ une première destruction aurait eu lieu. Une grande réunion s'était déroulée entre les nations pour se débarrasser de ces gros animaux et de façon de le réaliser. C'était le début de l'utilisation des gros explosifs dont ils se servaient contre ces animaux. Une première émigration avait eu lieu, vers les Pyrénées du Nord et beaucoup plus tard une autre vers ce pays qui devenait plus tard l'Égypte. L'axe de la rotation de la Terre et donc l'emplacement des pôles, aurait subi un changement vers cinquante mille ans avant Jésus Christ.
Lors de sa deuxième destruction, qui aurait eu lieu vingt-huit mille ans avant Jésus Christ, l'Atlantide était fracturé en plusieurs îles plus petites. Lors de cette deuxième destruction, la plupart des îles constituant l'Atlantide avaient été impliquées et elles auraient été englouties sauf Poséidéa, Aryan et Og.
Pendant la troisième et dernière destruction, qui aurait eu lieu dix mille ans avant Jésus Christ, les trois îles restante avaient été englouties elles aussi. Les atlantes survivants seraient allés se réfugier dans les Pyrénées, au Yucatan et en Égypte.
Une autre indication de date pourrait être fournie par le zodiaque de Dendérah, qui se trouve de nos jours au Louvre, et qui montre un signe assez spécial parmi ensemble. Ce signe ressemble à un lion dans un bateau et sur l'arrière de ce bateau, en trouve à la queue du lion, un adolescent.
Parmi les nombreux symboles de la culture égyptienne, la barque sacrée était celui de l'écoulement du temps et de la navigation des vivants et desmorts. La présence d'un lion dans une barque pourrait donc signifier qu'il y avait eu une grande inondation dans le signe de lion. La date de ce signe se situe, selon les spécialistes, à neuf mille sept cents quatre-vingt-douze années avant Jésus Christ.
C'est à cette date que les égyptiens, héritiers prétendus des Atlantes, auraient situé un événement majeur, qu'ils ont appelé : Le Grand Cataclysme.
Ce cataclysme leur semblait très important, et pour que nul ne l'ignore, ils avaient pris la peine de le graver, de le peindre et de le sculpter dans les temples, à Dendérah tout particulièrement. Il paraît, contrairement à ce qu'on croit aujourd'hui, que le zodiaque de Dendérah serait beaucoup plus ancien. Celui qui est actuellement au Louvre, daterait d'environ 150 ans avant Jésus Christ et serait en fait la sixième reproduction.
La particularité du zodiaque de Dendérah est, c'est d'être un calendrier cosmique. Le point vernal, soit zéro degré dans le signe du Bélier, l' équinoxe du printemps, se déplace dans le sens des aiguilles d'une montre à raison d'un degré tous les soixante-douze ans. Un tour complet durait donc trois cent soixante fois soixante-douze ans, soit vingt-cinq mille neuf cent vingts ans.
Nous pouvons ainsi en déduire que chaque signe du zodiaque vaut un douzième de cette valeur, soit deux mille soixante ans. Si nous partons du point zéro du Bélier, nous pouvons remonter le signe du Taureau, le signe des Gémeaux, le signe du Cancer, faisant de cette façon un total de huit mille six cent quarante ans. C'est donc en mille cinquante-deux ans dans le signe du Lion, que nous trouvons ce signe d'un lion dans une barque.
http://fr.was-this-atlantis.info/cayce.html
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djéhouti- Messages : 189
Date d'inscription : 10/11/2016
Plume aime ce message
Re: Atlantide : Approche intuitive
Merci djéhouti pour ce lien dont tu reprends les formes.. je ne connaissais pas.
Merci à toi de cet heureux partage qui rebondi parfaitement avec ce que disent les TAROTS
Ah que OUI !! Cela me fait rebondir une fois de plus sur toute la pertinence de la lecture des cartes du TAROT qu'en a fait mon Amie Héléora ( https://youtu.be/kvRqbRWgKX0 )
https://devantsoi.forumgratuit.org/t3293-atlantide-approche-intuitive#31415
Re: Atlantide : Approche intuitive
Pour les sceptiques, voici les preuves qui établissent de façon definitive l'existence de l'atlantide, bien entendu volontairement ignorés par les scientifiques, et ses preuves existent encore de nos jours et sont irréfutables.
Vous allez etres surpris.
( Marc 89, c'est moi sous un autre pseudo )
Preuves irrefutables de l'Atlantide
http://www.onnouscachetout-la-suite.com/t3096-Preuves-irrefutables-de-l-Atlantide.htm
Je ne pretend pas suivre l'auteur dans toutes ses conclusions dans son site, mais sur la question scientifique, oui...
"Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe. C’était l’hypothèse la plus logique et la moins imaginative. Les recherches furent donc en conséquence effectuées dans l’Océan Atlantique. L’Angleterre envoya le Challenger, l’Hydra et le Proserpine opérer des sondages. Les États-Unis) suivirent cet exemple et le Dauphin, le Gettysburg en compagnie de la canonnière allemande La Gazette explorèrent les bas fonds de l’Atlantique à l’endroit indiqué par Platon. Il résulta de ces différents sondages l’affirmation qu’il y avait au fond de l’Océan une vaste île engloutie avec des vallées, des montagnes, des plateaux. Cette île mesurait 3.000 de long sur 100 milles de large. Une immense chaîne de montagnes la traversait et s’y épanouissait, allant dans la direction Sud-Ouest depuis le 50e Nord jusqu’aux côtes de l’Amérique méridionale. Un rameau de cette chaîne prenait une direction S. E. vers l’Afrique et bifurquait vers le sud jusqu’à Tristan d’Acunha ; cette chaîne était haute de 9.000 pieds et il a été prouvé à ce moment que les îles Açores : Saint Paul, Ascension, Tristan d’Acunha n’étaient que les pics de cette immense montagne engloutie. Donc il y a bien au fond de l’Océan un continent effondré dont les sommets des montagnes émergent seuls à l’heure actuelle et constituent des îles. Puis les sondages révélèrent encore que cette île immense était couverte de débris volcaniques provenant d’éruptions gigantesques. Or Platon, comme les livres mayas, raconte que l’engloutissement de l’Atlantide a été précédé d’éruptions volcaniques. Ces faits matériels constituent une preuve tangible de la vérité de la tradition."
Marc89 ecrit:
Si c'etait un mensonge, les scientifiques auraient beau jeu de prouver le contraire, medias a l'appuie, et ce seraient leurs interet et avec tous les milliards perdus dans les recherches, ce serait une goutte d'eau, alors pourquoi ne font-ils rien ? ce serait pourtant interessant pour la planete entiere...d'ou les medias avec, et pour eux aussi a defaut de ne rien trouver...mais bizarement aucun ne se presente alors que l'on trouverait peut etre des vestiges d'une civilisation engloutit ce qui serait probablement pour eux le plus grand tresor du monde jamais decouvert encore...
Donc, cette distance vis a vis de cette histoire n'est qu'une forme de protection envers eux meme qui leurs evitent de reveler la verité.
Des plantes ont émigré d’Amérique en Europe. Enfin se pose la fameuse question du bananier, originaire d'asie. Le bananier n’est qu’un plantain évolué par la culture. Il ne se reproduit que par des boutures et se transporte très difficilement. Il faut tous les soins qu’apporte dans ses expériences notre science moderne pour effectuer un transport de plants de bananier. Or le bananier se trouve en Afrique et en Amérique ! Il a fallu nécessairement que ce produit d’une civilisation fût apporté d’un pays dans un autre et, comme il ne peut se transporter, il a fallu qu’un continent intermédiaire lui permît d’émigrer peu à peu par des boutures successives. Ou il a émigré naturellement par boutures, ou il a été transporté par des hommes jouissant d’une civilisation avancée, et cela à une époque très reculée, car le bananier est connu depuis très longtemps. Ces hommes ne peuvent être ni les peuples de l’antiquité que nous connaissons, ni les Peaux-Rouges, car ni les uns ni les autres n’avaient les moyens d’effectuer un transport aussi délicat.
La malacologie montre aussi qu’il existe dans le pays des Basques une flore locale qui ne ressemble en rien à celle d’Europe et semble avoir été importée d’Amérique. L’Helix quimperiana et l’Helix constricta sont des produits de la flore Américaine et, chose curieuse, l’Helix quimperiana ne se rencontre en France qu’au pays des Basques et aux environs de Quimper, deux terres que la tradition considère comme ayant appartenu à l’Atlantide.
L’entomologie présente des résultats identiques. Bref au point de vue scientifique naturaliste, l’existence de l’Atlantide peut seule expliquer comment la faune et la flore fossile d’Amérique a pu se transporter en Europe et y arriver dans un degré d’évolution qu’elles n’ont point connu en Amérique. L’Atlantide a été la terre intermédiaire, où des formes primitives américaines ont évolué avant de s’adapter en Europe. Elle est donc, à tous les points de vue, un continent de transition. L’ethnologie est non moins significative que l’anthropologie. Elle montre en effet que des similitudes nombreuses existent entre certaines races des deux continents, et cela aux points de vue anatomique, sociologique, ethnographique, mœurs et usages
En Europe, une grande parenté existe entre les Basques, les Corses, les Guanches. Ce sont des dolichocéphales, ayant une forme crânienne des plus caractéristiques. Or il est curieux de constater que l’on rencontre cette dolichocéphalie chez certains naturels américains. Même crâne, même teint rougeâtre, mêmes caractères physiques. Cette race dolichocéphale, que l’on rencontre aussi en Afrique sur les côtes atlantiques, ne se rattache aucunement à la race indo-européenne. Elle forme sur notre continent un îlot à part, nettement défini au point de vue physique comme au point de vue mœurs et langages. Or cet îlot étranger à notre Europe et à ses races se rattache singulièrement aux races américaines. Elles découlent des mêmes progéniteurs physiques et sociaux. D’ailleurs, les Basques sont les premiers à reconnaître qu’au début, d’après leur tradition, ils vivaient isolés dans un pays restreint, borné de tous côtés par la mer. Ce n’est que plus tard, disent-ils, que des émigrations noires venant du Midi, puis des émigrations blanches venant du Nord envahirent le pays qui sortait des eaux et le peuplèrent. Ils se reconnaissaient en somme complètement en dehors de toute famille européenne, un peuple à part et d’une antiquité supérieure aux noirs et aux blancs. Leurs deux idiomes l’Eskualduna et l’Euskarien leur donnent raison. En effet, la linguistique est forcée de reconnaître que ces idiomes ne peuvent aucunement découler des langues indo-européennes. Ils ne se rattachent pas davantage aux langues africaines et asiatiques. Ils semblent cependant vaguement apparentés à la langue des Guanches, à l’Étrusque, à l’Égyptien primitif, et au Thibétain primitif. Mais cette parenté est extrêmement lâche, tandis qu’au contraire certains idiomes américains ressemblent à tel point à la langue basque que des naturels Peaux-Rouges du Canada pourraient comprendre sans difficulté un Basque. Cela ne peut être dû au hasard. Nous venons de dire que le Basque ne semblait dans l’ancien continent n’être que vaguement apparenté à l’Égyptien primitif, au Thibétain primitif, à l’Étrusque. Cela est vrai, car il est permis de supposer que les Basques, se rattachant à cette race rouge dont les Étrusques, les Égyptiens, et les Thibétains primitifs se disaient issus, avaient dû forcément avoir les mêmes progéniteurs linguistiques. Seulement, tandis qu’au pays basque la langue restait fixe et immuable comme elle l’est restée en Amérique dans certaines tribus, elle évoluait au Thibet et surtout en Égypte, se défigurant peu à peu au contact des idiomes noirs et boréens. Seul l’Étrusque qui, à l’heure actuelle, reste encore mystérieux, semble être une forme plus évoluée que le Basque, mais moins évoluée que l’Égyptien. L’avenir démontrera peut-être que cette langue est l’intermédiaire entre le Basque et l’Égyptien.
Mais ce qui est caractéristique au point de vue de l’Atlantide, c’est cette conformité de langage de deux peuples ayant les mêmes caractères physiques et étant séparés par un Océan immense. De plus, ces deux peuples n’ont jamais été navigateurs. Il y a donc eu, à un moment donné, un pont naturel. Ce pont était l’Atlantide.
En Europe, certains types bretons à peau rouge, à nez en forme d’aigle, ressemblent aussi d’une façon étonnante, au point de vue physique, à certains types américains. Ces Bretons constituent de petits îlots, très concentrés, et jamais ne se sont mêlés aux peuples environnants, envers lesquels d’ailleurs ils affectent du mépris. Et il est curieux de constater la parenté physique de ces Bretons avec certaines peuplades italiennes descendant des Étrusques, avec certains types égyptiens et indous. Ces Bretons se rattachent donc à la race rouge et sont totalement étrangers aux Sudéens et aux Boréens.
Mais où la parenté existant entre les rouges d’Amérique et les rouges d’Europe éclate merveilleusement, c’est dans la comparaison des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent (Phéniciens, Rumero, Accadiens, Étrusques) avec les Péruviens, les Mayas du Yucatan et les Mexicains, peuples représentant en Amérique la race rouge dans toute sa pureté. Même forme crânienne, mêmes usages, mêmes architectures, mêmes conceptions métaphysiques. On a la sensation très nette d’un progéniteur commun et ce progéniteur, que reconnaissent les traditions de ces peuples est, disent-elles, le pays d’Atlan, d’Atzlan, d’Atlantide, l’île mystérieuse enfouie au fond de la mer.
Au point de vue linguistique, il est curieux de constater la ressemblance existant entre l’alphabet phénicien et l’alphabet maya du Yucatan, entre le grec et le maya, le chiapanec et l’hébreu. Cette ressemblance entre le grec et le maya est, paraît-il, si grande qu’un des explorateurs des contrées américaines connaissant l’ancien grec, comprit la plupart des Mayas sans difficulté. « Le grec d’Homère en Amérique ! s’écria-t-il, mais c’est une invention du diable ! »
Qu’est-ce que le maya ? L’idiome d’un peuple rouge qui prétend descendre des Atlantes.
Qu’est-ce que le grec ? Un dérivé de l’hébreu, venant de l’Égypte. Or cette Égypte prétend être fille de la race rouge et descendre des Atlantes. Sa langue est l’hébreu primitif : non point le dialecte syro-araméen que nous connaissons, mais l’idiome de Moïse, la langue de Sepher, la langue sacrée des peuples rouges échappés au déluge ! Donc le grec et le maya ont une origine commune, tous deux sont les dérivés d’une langue mère qui est la langue atlante, et l’Atlantide seule permet d’expliquer leur parenté. Un exemple :
Dieu au Mexique s’exprime par 2 mots : Théo et Zéo
Dieu en grec........................... Théo et Zéus
Dieu en Hébreu......................... Ja et Yah
Cette similitude frappante ne peut être due au hasard. Seule l’Atlantide donne la clé du mystère. Les rapports qui existent entre le chiapanec et l’Hébreu s’expliqueraient de la même manière. En un mot, l’hébreu primitif, qui était l’idiome sacré des Égyptiens, est une langue atlante, qui a été la mère, dans l’ancien continent, du grec (mélange d’hébreu et de celte) et du zeud (mélange d’hébreu et de pâli) ; et dans le nouveau, du maya et du chiapanec. On a été frappé aussi de la parenté existant entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Tous les deux sont à base phonétique et de nombreux signes concordent. Nous dirons pour expliquer cette parenté ce que nous avons dit pour faire comprendre celle qui unit le grec au maya. Le phénicien est un produit de l’Égypte. Son alphabet est né dans les temples Égyptiens, car l’Égypte a été la matrice où ont été enfantées les civilisations grecques phéniciennes, chaldéennes, indoues.
L’Égypte possédait quatre sortes d’écritures :
1° L’écriture épistolographique ; 2° l’écriture hiéroglyphique ; 3° l’écriture hiératique ; 4° l’écriture symbolique.
Le phénicien est un dérivé de l’écriture épistolographique égyptienne, qui était alphabétique, et les Égyptiens tenaient eux-mêmes cette écriture des Atlantes. Quant aux Mayas, ils tenaient leur alphabet, disaient-ils, des Colhnas, race qui s’était éteinte 1.000 ans avant J. C. Et ces Colhnas prétendaient venir du pays d’Atlan. Donc, là encore, l’Atlantide peut seule expliquer la parenté entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Les signes mayas sont hiéroglyphes en ce sens qu’ils représentent un objet et se manifestent par une décoration embrouillée et excessive. Les signes phéniciens ne sont en somme que ces hiéroglyphes, simplifiés par l’usage et l’évolution. Leur intermédiaire est l’écriture égyptienne, plus simple que le maya mais plus ornée que le phénicien. Voici d’ailleurs quelques exemples montrant l’identité des alphabets et la nécessité d’admettre un progéniteur commun :
Manzi Atlantide 1.jpg
Voir lien:
https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Livre_de_l%E2%80%99Atlantide/Les_preuves_scientifiques
Donc on peut établir scientifiquement qu’une réelle parenté existe entre les langues et les alphabets des peuples rouges de l’ancien et du nouveau continent. Ces peuples ont donc eu forcément des relations sur une terre commune. D’où la nécessité de l’Atlantide.
Les mœurs et les coutumes des Péruviens et des Mexicains offrent une curieuse ressemblance avec celles des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent. Au point de vue religieux, au Pérou comme en Égypte, étaient pratiqués les usages et rites suivants : le baptême, la confession, l’absolution, le carême, le mariage religieux, la communion sous les deux espèces et avec des hosties qui étaient des pains marqués du sceau sacré, l’embaumement des morts, la bénédiction avec la croix, l’adoration de la croix considérée comme symbole de la vie éternelle, la pénitence, la crémation. Des deux côtés de l’océan, même croyance en un seul Dieu, en l’immortalité de l’âme, en une vierge sacrée. Même culte sidéral, même adoration d’un disque d’or représentant le Soleil, mêmes fêtes religieuses, mêmes cérémonies. Pan était aussi adoré en Amérique qu’en Grèce, et sous le même nom. On connaissait au Pérou des ordres religieux, des ordres monastiques où la mort punissait celui qui trompait ses vœux. Il y avait aussi des vestales, gardiennes du feu sacré, vierges pures qui, si elles se laissaient séduire, étaient, comme à Rome, enterrées vivantes ! Les Chippewayames connaissaient l’histoire de Tantale, la légende d’Atlas, les Méduses aux cheveux de serpents, l’histoire de Deucalion ; et chez les Mexicains, Jupiter et son tonnerre étaient adorés ! Bref, on peut dire que la religion péruvienne est identique à la religion égyptienne, comme métaphysique et comme rites.
Est-ce pur hasard ?
Le calendrier maya est semblable au calendrier chaldéen et la chronologie maya est la même. Les noms des vingt jours du mois aztèque sont identiquement ceux du Zodiaque chaldéen.
Est-ce pur hasard ?
La magie était connue des Péruviens : ils la pratiquaient et admettaient, comme les Grecs, la lycanthropie. Ils se disaient, à l’égal des Égyptiens, fils du soleil et racontaient sur le déluge des histoires identiques à celles des Chaldéens. Ils avaient un Noé, qui construisit une arche. Ils brûlaient aussi leurs morts, ou bien les enterraient dans des tumuli comme les Étrusques, avec leurs armes, leurs bijoux, des vases précieux, ou encore les embaumaient. Or, le procédé d’embaumement que les Péruviens employaient était identique à celui des Égyptiens. Mêmes incisions, mêmes précautions, et les momies péruviennes comme les momies égyptiennes ont toutes dans la bouche une lame d’argent.
Est-ce pur hasard ?
Les naturels de la vallée du Mississipi pratiquaient cette curieuse coutume de la couvade, que l’on retrouve en Europe chez les Basques. Aussitôt accouchée, la femme se lève, et cède son lit au mari qui reçoit, couché, le poupon dans ses bras, les félicitations des amis ! Cet usage singulier n’est pratiqué en Europe que par les Basques. Or comment expliquer que cette coutume se retrouve ainsi localisée en Amérique ?
Est-ce pur hasard ?
Il y a une ressemblance étrange entre les noms de lieux et de personnages à Haïti et aux Canaries, au Pérou et en Égypte, au Mexique et en Grèce. Ainsi le mot Maya est un mot qui se retrouve à chaque pas en Grèce, en Égypte, dans l’Inde. Il a donné Marie, Miriame, Marianne, etc.. La coiffure égyptienne appelée Calantica se retrouve sur des statues du Mexique. Elle est cependant spéciale et caractéristique. Quant aux monuments égyptiens, ils ressemblent singulièrement aux monuments péruviens. Mêmes conceptions architecturales, même esthétique, mêmes procédés de construction et, ce qui est plus bizarre, même orientation des monuments religieux et même disposition des chambres intérieures et des galeries. Les pyramides d’Égypte sont identiques à celles du Pérou. Chez les deux peuples, elles sont un gnomon et expriment le symbole du quatre dans l’un. Les Mound builders de la vallée de l’Ohio sont des pyramides ayant des proportions analogues à celles d’Égypte. Celle de Cahokia a 97 pieds de hauteur. Il y a aussi une grande similitude entre les ruines de Teotihuacan et celles de Karnak. Les deux peuples ont construit des tumuli, des cairns, des cryptes, des aqueducs, des arches et ont employé le ciment, la brique. Les portiques de Kabah ressemblent à une construction romaine primitive., Quant aux sculptures, aux décorations murales, aux ornementations, elles sont de même étroitement parentes et certaines céramiques de Mexico seraient prises pour des céramiques égyptiennes.
Est-ce pur hasard ?
Puis, comment expliquer l’apparition du bronze en Europe sans qu’il y ait eu auparavant un âge du cuivre et un âge de l’étain ? Or un âge du cuivre a existé en Amérique vers les Grands Lacs, et c’est le seul lieu de la terre où il a existé ! Là seulement, on retrouve des instruments en cuivre pur. Partout ailleurs on ne retrouve que du bronze. Or le bronze n’a pu être trouvé avant un long usage du cuivre et de l’étain. Le bronze a donc été apporté en Europe, en Asie, en Afrique par un peuple commerçant et hardi. Comment expliquer aussi la découverte en Amérique de pointes de flèches, de haches, et de statuettes en néphrite et en jadéites, alors que nul gisement de ces pierres n’existe en ce pays ? Et d’où viennent ces marteaux de pierre portant le signe sacré et mystérieux du Swastika indou et égyptien.
Enfin, pourquoi ce parti pris des naturels américains de se servir, comme motif d’ornementation, de l’éléphant, qui a disparu de l’Amérique à la fin du Tertiaire et qui d’ailleurs n’y a existé que comme mammouth, lequel diffère sensiblement de l’éléphant ? Car les décorations péruviennes emploient l’éléphant qu’ils ne pouvaient pas connaître et non le mammouth. On trouve en effet au Pérou dés pipes en forme de tête d’éléphant, des vases, des sculptures représentant cet animal et une ornementation basée sur des trompes d’éléphants entrelacées. Notez aussi qu’en Irlande il a été retrouvé des pipes à tête d’éléphant et d’autres ornées qui ressemblent singulièrement aux pipes péruviennes ! Puis pourquoi des pipes en Irlande remontant à une époque très reculée, alors que l’introduction du tabac en Europe est récente ?
Le hasard n’a pu faire si bien les choses et il serait ridicule de vouloir s’appuyer uniquement sur lui dans le but de nier les traditions. Les traditions expliquent ces similitudes par l’existence de l’Atlantide ? Pourquoi ne point les admettre ? En effet, seule l’Atlantide permet d’établir le pourquoi de cette parenté. Elle devient le progéniteur nécessaire et tous ces faits affirment son existence.
Ainsi la science vient à l’appui de la tradition pour affirmer qu’il a dû y avoir un continent intermédiaire entre l’Amérique et l’Europe, un pont naturel qui a servi de passage à la flore, à la faune, et aux races humaines de ces deux continents.
Marc89 ecrit:
Tous ceci montre bien qu'il y a bien eu une Atlantide comme l'avait precisé Platon, mais seul les scientifiques refusent l'evidence et pour mieux enterrer cette histoire ne font pas ressortir toutes ses verités exposés là, plus certaines preuves tres résumées dont une d'impact d'asteroide d'Otto muck, photo a l'appuie presenté dans le lien a la premiere page, et qu'un Doc Tv avait timidement souligné en le confirmant, et preferent l'eloigner de la verité en la pretendant a Santorin, contre l'écrit de Platon qui precise bien "que quoique bien etrange, est bien la verité" et que la date donné par lui, 9000 Ans Av JC, correspond bien a celle des impacts massif de Caroline et des legendes des survivants de cette catastrophe planetaire de part le monde, meme les Guanches, qui toutes concordent, de meme le changement de climat et la disparition totale de nombreuses especes animale de par le monde et de la disparition subite de la civilisation magdalenienne.
Voir Lien pour la photo qui est a grossir.
http://racines.traditions.free.fr/delugesa/
Et ces traces d'impact s'etendent autour de Charleston en Caroline sur un rayon d'environ 600 Km, mais seulement visible du ciel.
Tout colle, mais les scientifiques seront bientot acculés un jour devant les faits et devront etre forcés de reconnaitre la verité.
Interets, quand tu nous tiens, ce sont les grandes puissance d'argent sans scrupule qui y perdront, aussi, tant que durera leurs mensonges........
Vous avez aussi les ecrits d'Anton Park grace aux indiens Hopis sur l'Atlantide ET la Lemurie...
Histoire maintenu tres precise qui c'est transmise oralement de generation en generation, sur des milliers d'années...
http://www.antonparks.com/main.php?page=atlantis_mu
D’anciennes sculptures en pierre représentent une énorme frappe de comète il y a 13 000 ans qui a failli faire disparaître les humains
ASR 18 août 2018
Histoire, Monde, Science
https://www.anguillesousroche.com/monde/danciennes-sculptures-en-pierre-representent-une-enorme-frappe-de-comete-il-y-a-13-000-ans-qui-a-failli-faire-disparaitre-les-humains/
Les anciens nous ont laissé un journal intime gravé sur des piliers de pierre parlant d’un astéroïde cataclysmique il y a 13 000 ans qui a causé une ère glaciaire, tué le mammouth laineux et nous a forcé à moderniser les méthodes agricoles. Se lisant presque comme une bande dessinée, les sculptures en pierre trouvées à Göbekli Tepe ont été traduites par des scientifiques pour révéler une série d’événements qui ont changé la civilisation à jamais.
Les ingénieurs de l’Université d’Edimbourg étudiaient les sculptures d’animaux dans le Göbekli Tepe au sud de la Turquie pour voir comment elles se rapportaient à nos constellations. En examinant un pilier particulier, connu sous le nom de “Vulture Stone” (également appelé pilier 43), ils ont trouvé des descriptions de ce qui a maintenant été confirmé comme un impact de comète qui s’est produit vers 10 950 avant J.-C. C’est à peu près au même moment où une “mini” ère glaciaire a commencé. Cette mini-période glaciaire, appelée Dryas récent, n’a duré que mille ans, mais elle revêt une importance particulière pour les scientifiques en raison de son impact direct sur l’humanité. Les preuves suggèrent que c’est pendant le Dryas récent que la première civilisation néolithique est apparue, en même temps que de meilleures méthodes agricoles. Un article sur Phys.org décrit l’importance de cette période : “La période de refroidissement a amené des groupes de personnes à se regrouper pour cultiver des cultures, ce qui a conduit au développement de l’agriculture, ce qui, à son tour, a donné lieu à d’énormes bonds en matière d’innovations technologiques et de développements sociétaux, c’est-à-dire la civilisation néolithique.” Cette période a également été liée à l’extinction du mammouth laineux.
Bien que de nombreuses recherches aient été effectuées sur le Dryas récent, les scientifiques n’ont jamais été en mesure de déterminer vraiment ce qui a déclenché la période. Des suggestions de frappe d’une comète ont été soulevées, mais il n’y a jamais eu beaucoup de preuves pour valider sa véracité. En fait, la théorie semble avoir été démystifiée il y a plusieurs années lorsque les chercheurs ont suggéré que le Dryas récent était déclenché par des changements plus mondains (et graduels) plutôt que par un impact dévastateur d’astéroïdes.
frappe de comète
Les anciennes sculptures en pierre de la Turquie d’aujourd’hui semblent dépeindre une frappe de comète qui a causé une période de changement climatique. Photo : Martin B. Sweatman et Dimitrios Tsikritsis Tsikritsis
Aujourd’hui, cependant, la théorie des comètes gagne du terrain. Le Telegraph.co.uk cite le chercheur principal Martin Sweatman : “Cette recherche, ainsi que la découverte récente d’une anomalie généralisée du platine sur le continent nord-américain, scellent virtuellement l’affaire en faveur d’un impact de comète du Dryas récent. Notre travail sert à renforcer cette preuve physique… l’un des piliers de Göbekli Tepe semble avoir servi de mémorial à cet événement dévastateur – probablement le pire jour de l’histoire depuis la fin de l’ère glaciaire.”
Göbekli Tepe est considéré comme le plus ancien temple du monde, datant d’environ 9 000 ans avant Jésus-Christ et devançant Stonehenge d’environ 6 000 ans. Les chercheurs affirment que les images gravées sur la Pierre du vautour représentent un grand désastre humain et des pertes de vie considérables, comme en témoignent les égratignures d’un homme sans tête.
D’autres symboles sur les piliers environnants suggèrent que Göbekli Tepe a été utilisé comme observatoire pour surveiller le ciel nocturne. Plusieurs images semblent enregistrer l’axe de rotation de la Terre pendant diverses périodes. Ces résultats suggèrent également que la Terre est plus susceptible de connaître des périodes de collision d’astéroïdes en raison de l’orbite de la planète qui croise les champs gravitationnels des fragments de comètes dans l’espace.
“Beaucoup de peintures rupestres paléolithiques et d’artefacts avec des symboles animaux similaires et d’autres symboles répétés suggèrent que l’astronomie pourrait être très ancienne en effet”, a affirmé le Dr Sweatman. “Si l’on considère que, selon les astronomes, cette comète géante est probablement arrivée dans le système solaire intérieur il y a environ 20 à 30 000 ans, et qu’elle aurait été une caractéristique très visible et dominante du ciel nocturne, il est difficile de voir comment les anciens auraient pu ignorer cela étant donné les conséquences probables.”
A propose de...
Göbekli Tepe fut enregistré en tant que site archéologique en 1963 dans le cadre de recherches turco-américaines. Une équipe d’archéologues américains, dont Peter Benedict, remarqua plusieurs collines étranges recouvertes de milliers de silex cassés, ce qui est un signe certain d’activité humaine. Mais les scientifiques n’eurent alors pas le temps ou les finances pour procéder à des fouilles.
Trois décennies plus tard, un berger de la région aperçut un groupe de pierres aux formes étranges sortant du sol poussiéreux. La « redécouverte » du site parvint aux oreilles des conservateurs du musée de la ville de Şanlıurfa, à cinquante kilomètres. Les responsables du musée contactèrent le ministère approprié, qui, en retour, se mit en relation avec l’Institut archéologique allemand à Istanbul.
Le site a été proposé en 2011 pour une inscription au patrimoine mondial et figure sur la « liste indicative » de l’UNESCO dans la catégorie patrimoine culturel7 jusqu'en juillet 2018, date à laquelle il est inscrit au registre du patrimoine mondial de l'UNESCO.
https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%B6bekli_Tepe
Et:
Depuis le début des fouilles en 1995, ce site du sud-est de la Turquie a transformé la façon dont les archéologues envisagent les débuts de la civilisation. Ses structures circulaires, ornées de pierres minutieusement sculptées, ainsi que ses piliers caractéristiques en forme de T ont plus de 12 000 ans, plus anciens encore que l'invention de l'agriculture ou de la poterie.
https://www.nationalgeographic.fr/histoire/le-plus-ancien-temple-du-monde-va-etre-restaure
Marc89 ecrit:
Remarque, ce site decouvert en 1963 est encore trop peu connu du public, alors qu'il devrait avoir une notoriété mondiale ou presque au meme titre que les pyramides et connu du public depuis longtemps, qu'on fait les scientifiques, tout l'inversent...et c'est grace a internet que cela ressort petit a petit maintenant, ce n'est pas pour autant que les medias s'en empare et relaye l'information pour en éclairer le monde, un cas de plus que l'on peut ranger dans la categorie de... desinformation par la retention d'information...
Entre l'Atlantide qu'ils veulent ignorer, malgré les preuves evidentes et decisive, ce cas et bien d'autres,
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/japon-plusieurs-pyramides-au-large-de-l-archipel.html
et Yonaguni:
https://www.anguillesousroche.com/archeologie/monument-marin-de-yonaguni-a-t-coule-pendant-derniere-periode-glaciaire/
cela montre bien qu'a l'echelle mondiale, qu'une retention d'information ou manipulation des preuves est bien a l'oeuvre et continu de l'etre.
Vous allez etres surpris.
( Marc 89, c'est moi sous un autre pseudo )
Preuves irrefutables de l'Atlantide
http://www.onnouscachetout-la-suite.com/t3096-Preuves-irrefutables-de-l-Atlantide.htm
Je ne pretend pas suivre l'auteur dans toutes ses conclusions dans son site, mais sur la question scientifique, oui...
"Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe. C’était l’hypothèse la plus logique et la moins imaginative. Les recherches furent donc en conséquence effectuées dans l’Océan Atlantique. L’Angleterre envoya le Challenger, l’Hydra et le Proserpine opérer des sondages. Les États-Unis) suivirent cet exemple et le Dauphin, le Gettysburg en compagnie de la canonnière allemande La Gazette explorèrent les bas fonds de l’Atlantique à l’endroit indiqué par Platon. Il résulta de ces différents sondages l’affirmation qu’il y avait au fond de l’Océan une vaste île engloutie avec des vallées, des montagnes, des plateaux. Cette île mesurait 3.000 de long sur 100 milles de large. Une immense chaîne de montagnes la traversait et s’y épanouissait, allant dans la direction Sud-Ouest depuis le 50e Nord jusqu’aux côtes de l’Amérique méridionale. Un rameau de cette chaîne prenait une direction S. E. vers l’Afrique et bifurquait vers le sud jusqu’à Tristan d’Acunha ; cette chaîne était haute de 9.000 pieds et il a été prouvé à ce moment que les îles Açores : Saint Paul, Ascension, Tristan d’Acunha n’étaient que les pics de cette immense montagne engloutie. Donc il y a bien au fond de l’Océan un continent effondré dont les sommets des montagnes émergent seuls à l’heure actuelle et constituent des îles. Puis les sondages révélèrent encore que cette île immense était couverte de débris volcaniques provenant d’éruptions gigantesques. Or Platon, comme les livres mayas, raconte que l’engloutissement de l’Atlantide a été précédé d’éruptions volcaniques. Ces faits matériels constituent une preuve tangible de la vérité de la tradition."
Marc89 ecrit:
Si c'etait un mensonge, les scientifiques auraient beau jeu de prouver le contraire, medias a l'appuie, et ce seraient leurs interet et avec tous les milliards perdus dans les recherches, ce serait une goutte d'eau, alors pourquoi ne font-ils rien ? ce serait pourtant interessant pour la planete entiere...d'ou les medias avec, et pour eux aussi a defaut de ne rien trouver...mais bizarement aucun ne se presente alors que l'on trouverait peut etre des vestiges d'une civilisation engloutit ce qui serait probablement pour eux le plus grand tresor du monde jamais decouvert encore...
Donc, cette distance vis a vis de cette histoire n'est qu'une forme de protection envers eux meme qui leurs evitent de reveler la verité.
Des plantes ont émigré d’Amérique en Europe. Enfin se pose la fameuse question du bananier, originaire d'asie. Le bananier n’est qu’un plantain évolué par la culture. Il ne se reproduit que par des boutures et se transporte très difficilement. Il faut tous les soins qu’apporte dans ses expériences notre science moderne pour effectuer un transport de plants de bananier. Or le bananier se trouve en Afrique et en Amérique ! Il a fallu nécessairement que ce produit d’une civilisation fût apporté d’un pays dans un autre et, comme il ne peut se transporter, il a fallu qu’un continent intermédiaire lui permît d’émigrer peu à peu par des boutures successives. Ou il a émigré naturellement par boutures, ou il a été transporté par des hommes jouissant d’une civilisation avancée, et cela à une époque très reculée, car le bananier est connu depuis très longtemps. Ces hommes ne peuvent être ni les peuples de l’antiquité que nous connaissons, ni les Peaux-Rouges, car ni les uns ni les autres n’avaient les moyens d’effectuer un transport aussi délicat.
La malacologie montre aussi qu’il existe dans le pays des Basques une flore locale qui ne ressemble en rien à celle d’Europe et semble avoir été importée d’Amérique. L’Helix quimperiana et l’Helix constricta sont des produits de la flore Américaine et, chose curieuse, l’Helix quimperiana ne se rencontre en France qu’au pays des Basques et aux environs de Quimper, deux terres que la tradition considère comme ayant appartenu à l’Atlantide.
L’entomologie présente des résultats identiques. Bref au point de vue scientifique naturaliste, l’existence de l’Atlantide peut seule expliquer comment la faune et la flore fossile d’Amérique a pu se transporter en Europe et y arriver dans un degré d’évolution qu’elles n’ont point connu en Amérique. L’Atlantide a été la terre intermédiaire, où des formes primitives américaines ont évolué avant de s’adapter en Europe. Elle est donc, à tous les points de vue, un continent de transition. L’ethnologie est non moins significative que l’anthropologie. Elle montre en effet que des similitudes nombreuses existent entre certaines races des deux continents, et cela aux points de vue anatomique, sociologique, ethnographique, mœurs et usages
En Europe, une grande parenté existe entre les Basques, les Corses, les Guanches. Ce sont des dolichocéphales, ayant une forme crânienne des plus caractéristiques. Or il est curieux de constater que l’on rencontre cette dolichocéphalie chez certains naturels américains. Même crâne, même teint rougeâtre, mêmes caractères physiques. Cette race dolichocéphale, que l’on rencontre aussi en Afrique sur les côtes atlantiques, ne se rattache aucunement à la race indo-européenne. Elle forme sur notre continent un îlot à part, nettement défini au point de vue physique comme au point de vue mœurs et langages. Or cet îlot étranger à notre Europe et à ses races se rattache singulièrement aux races américaines. Elles découlent des mêmes progéniteurs physiques et sociaux. D’ailleurs, les Basques sont les premiers à reconnaître qu’au début, d’après leur tradition, ils vivaient isolés dans un pays restreint, borné de tous côtés par la mer. Ce n’est que plus tard, disent-ils, que des émigrations noires venant du Midi, puis des émigrations blanches venant du Nord envahirent le pays qui sortait des eaux et le peuplèrent. Ils se reconnaissaient en somme complètement en dehors de toute famille européenne, un peuple à part et d’une antiquité supérieure aux noirs et aux blancs. Leurs deux idiomes l’Eskualduna et l’Euskarien leur donnent raison. En effet, la linguistique est forcée de reconnaître que ces idiomes ne peuvent aucunement découler des langues indo-européennes. Ils ne se rattachent pas davantage aux langues africaines et asiatiques. Ils semblent cependant vaguement apparentés à la langue des Guanches, à l’Étrusque, à l’Égyptien primitif, et au Thibétain primitif. Mais cette parenté est extrêmement lâche, tandis qu’au contraire certains idiomes américains ressemblent à tel point à la langue basque que des naturels Peaux-Rouges du Canada pourraient comprendre sans difficulté un Basque. Cela ne peut être dû au hasard. Nous venons de dire que le Basque ne semblait dans l’ancien continent n’être que vaguement apparenté à l’Égyptien primitif, au Thibétain primitif, à l’Étrusque. Cela est vrai, car il est permis de supposer que les Basques, se rattachant à cette race rouge dont les Étrusques, les Égyptiens, et les Thibétains primitifs se disaient issus, avaient dû forcément avoir les mêmes progéniteurs linguistiques. Seulement, tandis qu’au pays basque la langue restait fixe et immuable comme elle l’est restée en Amérique dans certaines tribus, elle évoluait au Thibet et surtout en Égypte, se défigurant peu à peu au contact des idiomes noirs et boréens. Seul l’Étrusque qui, à l’heure actuelle, reste encore mystérieux, semble être une forme plus évoluée que le Basque, mais moins évoluée que l’Égyptien. L’avenir démontrera peut-être que cette langue est l’intermédiaire entre le Basque et l’Égyptien.
Mais ce qui est caractéristique au point de vue de l’Atlantide, c’est cette conformité de langage de deux peuples ayant les mêmes caractères physiques et étant séparés par un Océan immense. De plus, ces deux peuples n’ont jamais été navigateurs. Il y a donc eu, à un moment donné, un pont naturel. Ce pont était l’Atlantide.
En Europe, certains types bretons à peau rouge, à nez en forme d’aigle, ressemblent aussi d’une façon étonnante, au point de vue physique, à certains types américains. Ces Bretons constituent de petits îlots, très concentrés, et jamais ne se sont mêlés aux peuples environnants, envers lesquels d’ailleurs ils affectent du mépris. Et il est curieux de constater la parenté physique de ces Bretons avec certaines peuplades italiennes descendant des Étrusques, avec certains types égyptiens et indous. Ces Bretons se rattachent donc à la race rouge et sont totalement étrangers aux Sudéens et aux Boréens.
Mais où la parenté existant entre les rouges d’Amérique et les rouges d’Europe éclate merveilleusement, c’est dans la comparaison des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent (Phéniciens, Rumero, Accadiens, Étrusques) avec les Péruviens, les Mayas du Yucatan et les Mexicains, peuples représentant en Amérique la race rouge dans toute sa pureté. Même forme crânienne, mêmes usages, mêmes architectures, mêmes conceptions métaphysiques. On a la sensation très nette d’un progéniteur commun et ce progéniteur, que reconnaissent les traditions de ces peuples est, disent-elles, le pays d’Atlan, d’Atzlan, d’Atlantide, l’île mystérieuse enfouie au fond de la mer.
Au point de vue linguistique, il est curieux de constater la ressemblance existant entre l’alphabet phénicien et l’alphabet maya du Yucatan, entre le grec et le maya, le chiapanec et l’hébreu. Cette ressemblance entre le grec et le maya est, paraît-il, si grande qu’un des explorateurs des contrées américaines connaissant l’ancien grec, comprit la plupart des Mayas sans difficulté. « Le grec d’Homère en Amérique ! s’écria-t-il, mais c’est une invention du diable ! »
Qu’est-ce que le maya ? L’idiome d’un peuple rouge qui prétend descendre des Atlantes.
Qu’est-ce que le grec ? Un dérivé de l’hébreu, venant de l’Égypte. Or cette Égypte prétend être fille de la race rouge et descendre des Atlantes. Sa langue est l’hébreu primitif : non point le dialecte syro-araméen que nous connaissons, mais l’idiome de Moïse, la langue de Sepher, la langue sacrée des peuples rouges échappés au déluge ! Donc le grec et le maya ont une origine commune, tous deux sont les dérivés d’une langue mère qui est la langue atlante, et l’Atlantide seule permet d’expliquer leur parenté. Un exemple :
Dieu au Mexique s’exprime par 2 mots : Théo et Zéo
Dieu en grec........................... Théo et Zéus
Dieu en Hébreu......................... Ja et Yah
Cette similitude frappante ne peut être due au hasard. Seule l’Atlantide donne la clé du mystère. Les rapports qui existent entre le chiapanec et l’Hébreu s’expliqueraient de la même manière. En un mot, l’hébreu primitif, qui était l’idiome sacré des Égyptiens, est une langue atlante, qui a été la mère, dans l’ancien continent, du grec (mélange d’hébreu et de celte) et du zeud (mélange d’hébreu et de pâli) ; et dans le nouveau, du maya et du chiapanec. On a été frappé aussi de la parenté existant entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Tous les deux sont à base phonétique et de nombreux signes concordent. Nous dirons pour expliquer cette parenté ce que nous avons dit pour faire comprendre celle qui unit le grec au maya. Le phénicien est un produit de l’Égypte. Son alphabet est né dans les temples Égyptiens, car l’Égypte a été la matrice où ont été enfantées les civilisations grecques phéniciennes, chaldéennes, indoues.
L’Égypte possédait quatre sortes d’écritures :
1° L’écriture épistolographique ; 2° l’écriture hiéroglyphique ; 3° l’écriture hiératique ; 4° l’écriture symbolique.
Le phénicien est un dérivé de l’écriture épistolographique égyptienne, qui était alphabétique, et les Égyptiens tenaient eux-mêmes cette écriture des Atlantes. Quant aux Mayas, ils tenaient leur alphabet, disaient-ils, des Colhnas, race qui s’était éteinte 1.000 ans avant J. C. Et ces Colhnas prétendaient venir du pays d’Atlan. Donc, là encore, l’Atlantide peut seule expliquer la parenté entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Les signes mayas sont hiéroglyphes en ce sens qu’ils représentent un objet et se manifestent par une décoration embrouillée et excessive. Les signes phéniciens ne sont en somme que ces hiéroglyphes, simplifiés par l’usage et l’évolution. Leur intermédiaire est l’écriture égyptienne, plus simple que le maya mais plus ornée que le phénicien. Voici d’ailleurs quelques exemples montrant l’identité des alphabets et la nécessité d’admettre un progéniteur commun :
Manzi Atlantide 1.jpg
Voir lien:
https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Livre_de_l%E2%80%99Atlantide/Les_preuves_scientifiques
Donc on peut établir scientifiquement qu’une réelle parenté existe entre les langues et les alphabets des peuples rouges de l’ancien et du nouveau continent. Ces peuples ont donc eu forcément des relations sur une terre commune. D’où la nécessité de l’Atlantide.
Les mœurs et les coutumes des Péruviens et des Mexicains offrent une curieuse ressemblance avec celles des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent. Au point de vue religieux, au Pérou comme en Égypte, étaient pratiqués les usages et rites suivants : le baptême, la confession, l’absolution, le carême, le mariage religieux, la communion sous les deux espèces et avec des hosties qui étaient des pains marqués du sceau sacré, l’embaumement des morts, la bénédiction avec la croix, l’adoration de la croix considérée comme symbole de la vie éternelle, la pénitence, la crémation. Des deux côtés de l’océan, même croyance en un seul Dieu, en l’immortalité de l’âme, en une vierge sacrée. Même culte sidéral, même adoration d’un disque d’or représentant le Soleil, mêmes fêtes religieuses, mêmes cérémonies. Pan était aussi adoré en Amérique qu’en Grèce, et sous le même nom. On connaissait au Pérou des ordres religieux, des ordres monastiques où la mort punissait celui qui trompait ses vœux. Il y avait aussi des vestales, gardiennes du feu sacré, vierges pures qui, si elles se laissaient séduire, étaient, comme à Rome, enterrées vivantes ! Les Chippewayames connaissaient l’histoire de Tantale, la légende d’Atlas, les Méduses aux cheveux de serpents, l’histoire de Deucalion ; et chez les Mexicains, Jupiter et son tonnerre étaient adorés ! Bref, on peut dire que la religion péruvienne est identique à la religion égyptienne, comme métaphysique et comme rites.
Est-ce pur hasard ?
Le calendrier maya est semblable au calendrier chaldéen et la chronologie maya est la même. Les noms des vingt jours du mois aztèque sont identiquement ceux du Zodiaque chaldéen.
Est-ce pur hasard ?
La magie était connue des Péruviens : ils la pratiquaient et admettaient, comme les Grecs, la lycanthropie. Ils se disaient, à l’égal des Égyptiens, fils du soleil et racontaient sur le déluge des histoires identiques à celles des Chaldéens. Ils avaient un Noé, qui construisit une arche. Ils brûlaient aussi leurs morts, ou bien les enterraient dans des tumuli comme les Étrusques, avec leurs armes, leurs bijoux, des vases précieux, ou encore les embaumaient. Or, le procédé d’embaumement que les Péruviens employaient était identique à celui des Égyptiens. Mêmes incisions, mêmes précautions, et les momies péruviennes comme les momies égyptiennes ont toutes dans la bouche une lame d’argent.
Est-ce pur hasard ?
Les naturels de la vallée du Mississipi pratiquaient cette curieuse coutume de la couvade, que l’on retrouve en Europe chez les Basques. Aussitôt accouchée, la femme se lève, et cède son lit au mari qui reçoit, couché, le poupon dans ses bras, les félicitations des amis ! Cet usage singulier n’est pratiqué en Europe que par les Basques. Or comment expliquer que cette coutume se retrouve ainsi localisée en Amérique ?
Est-ce pur hasard ?
Il y a une ressemblance étrange entre les noms de lieux et de personnages à Haïti et aux Canaries, au Pérou et en Égypte, au Mexique et en Grèce. Ainsi le mot Maya est un mot qui se retrouve à chaque pas en Grèce, en Égypte, dans l’Inde. Il a donné Marie, Miriame, Marianne, etc.. La coiffure égyptienne appelée Calantica se retrouve sur des statues du Mexique. Elle est cependant spéciale et caractéristique. Quant aux monuments égyptiens, ils ressemblent singulièrement aux monuments péruviens. Mêmes conceptions architecturales, même esthétique, mêmes procédés de construction et, ce qui est plus bizarre, même orientation des monuments religieux et même disposition des chambres intérieures et des galeries. Les pyramides d’Égypte sont identiques à celles du Pérou. Chez les deux peuples, elles sont un gnomon et expriment le symbole du quatre dans l’un. Les Mound builders de la vallée de l’Ohio sont des pyramides ayant des proportions analogues à celles d’Égypte. Celle de Cahokia a 97 pieds de hauteur. Il y a aussi une grande similitude entre les ruines de Teotihuacan et celles de Karnak. Les deux peuples ont construit des tumuli, des cairns, des cryptes, des aqueducs, des arches et ont employé le ciment, la brique. Les portiques de Kabah ressemblent à une construction romaine primitive., Quant aux sculptures, aux décorations murales, aux ornementations, elles sont de même étroitement parentes et certaines céramiques de Mexico seraient prises pour des céramiques égyptiennes.
Est-ce pur hasard ?
Puis, comment expliquer l’apparition du bronze en Europe sans qu’il y ait eu auparavant un âge du cuivre et un âge de l’étain ? Or un âge du cuivre a existé en Amérique vers les Grands Lacs, et c’est le seul lieu de la terre où il a existé ! Là seulement, on retrouve des instruments en cuivre pur. Partout ailleurs on ne retrouve que du bronze. Or le bronze n’a pu être trouvé avant un long usage du cuivre et de l’étain. Le bronze a donc été apporté en Europe, en Asie, en Afrique par un peuple commerçant et hardi. Comment expliquer aussi la découverte en Amérique de pointes de flèches, de haches, et de statuettes en néphrite et en jadéites, alors que nul gisement de ces pierres n’existe en ce pays ? Et d’où viennent ces marteaux de pierre portant le signe sacré et mystérieux du Swastika indou et égyptien.
Enfin, pourquoi ce parti pris des naturels américains de se servir, comme motif d’ornementation, de l’éléphant, qui a disparu de l’Amérique à la fin du Tertiaire et qui d’ailleurs n’y a existé que comme mammouth, lequel diffère sensiblement de l’éléphant ? Car les décorations péruviennes emploient l’éléphant qu’ils ne pouvaient pas connaître et non le mammouth. On trouve en effet au Pérou dés pipes en forme de tête d’éléphant, des vases, des sculptures représentant cet animal et une ornementation basée sur des trompes d’éléphants entrelacées. Notez aussi qu’en Irlande il a été retrouvé des pipes à tête d’éléphant et d’autres ornées qui ressemblent singulièrement aux pipes péruviennes ! Puis pourquoi des pipes en Irlande remontant à une époque très reculée, alors que l’introduction du tabac en Europe est récente ?
Le hasard n’a pu faire si bien les choses et il serait ridicule de vouloir s’appuyer uniquement sur lui dans le but de nier les traditions. Les traditions expliquent ces similitudes par l’existence de l’Atlantide ? Pourquoi ne point les admettre ? En effet, seule l’Atlantide permet d’établir le pourquoi de cette parenté. Elle devient le progéniteur nécessaire et tous ces faits affirment son existence.
Ainsi la science vient à l’appui de la tradition pour affirmer qu’il a dû y avoir un continent intermédiaire entre l’Amérique et l’Europe, un pont naturel qui a servi de passage à la flore, à la faune, et aux races humaines de ces deux continents.
Marc89 ecrit:
Tous ceci montre bien qu'il y a bien eu une Atlantide comme l'avait precisé Platon, mais seul les scientifiques refusent l'evidence et pour mieux enterrer cette histoire ne font pas ressortir toutes ses verités exposés là, plus certaines preuves tres résumées dont une d'impact d'asteroide d'Otto muck, photo a l'appuie presenté dans le lien a la premiere page, et qu'un Doc Tv avait timidement souligné en le confirmant, et preferent l'eloigner de la verité en la pretendant a Santorin, contre l'écrit de Platon qui precise bien "que quoique bien etrange, est bien la verité" et que la date donné par lui, 9000 Ans Av JC, correspond bien a celle des impacts massif de Caroline et des legendes des survivants de cette catastrophe planetaire de part le monde, meme les Guanches, qui toutes concordent, de meme le changement de climat et la disparition totale de nombreuses especes animale de par le monde et de la disparition subite de la civilisation magdalenienne.
Voir Lien pour la photo qui est a grossir.
http://racines.traditions.free.fr/delugesa/
Et ces traces d'impact s'etendent autour de Charleston en Caroline sur un rayon d'environ 600 Km, mais seulement visible du ciel.
Tout colle, mais les scientifiques seront bientot acculés un jour devant les faits et devront etre forcés de reconnaitre la verité.
Interets, quand tu nous tiens, ce sont les grandes puissance d'argent sans scrupule qui y perdront, aussi, tant que durera leurs mensonges........
Vous avez aussi les ecrits d'Anton Park grace aux indiens Hopis sur l'Atlantide ET la Lemurie...
Histoire maintenu tres precise qui c'est transmise oralement de generation en generation, sur des milliers d'années...
http://www.antonparks.com/main.php?page=atlantis_mu
D’anciennes sculptures en pierre représentent une énorme frappe de comète il y a 13 000 ans qui a failli faire disparaître les humains
ASR 18 août 2018
Histoire, Monde, Science
https://www.anguillesousroche.com/monde/danciennes-sculptures-en-pierre-representent-une-enorme-frappe-de-comete-il-y-a-13-000-ans-qui-a-failli-faire-disparaitre-les-humains/
Les anciens nous ont laissé un journal intime gravé sur des piliers de pierre parlant d’un astéroïde cataclysmique il y a 13 000 ans qui a causé une ère glaciaire, tué le mammouth laineux et nous a forcé à moderniser les méthodes agricoles. Se lisant presque comme une bande dessinée, les sculptures en pierre trouvées à Göbekli Tepe ont été traduites par des scientifiques pour révéler une série d’événements qui ont changé la civilisation à jamais.
Les ingénieurs de l’Université d’Edimbourg étudiaient les sculptures d’animaux dans le Göbekli Tepe au sud de la Turquie pour voir comment elles se rapportaient à nos constellations. En examinant un pilier particulier, connu sous le nom de “Vulture Stone” (également appelé pilier 43), ils ont trouvé des descriptions de ce qui a maintenant été confirmé comme un impact de comète qui s’est produit vers 10 950 avant J.-C. C’est à peu près au même moment où une “mini” ère glaciaire a commencé. Cette mini-période glaciaire, appelée Dryas récent, n’a duré que mille ans, mais elle revêt une importance particulière pour les scientifiques en raison de son impact direct sur l’humanité. Les preuves suggèrent que c’est pendant le Dryas récent que la première civilisation néolithique est apparue, en même temps que de meilleures méthodes agricoles. Un article sur Phys.org décrit l’importance de cette période : “La période de refroidissement a amené des groupes de personnes à se regrouper pour cultiver des cultures, ce qui a conduit au développement de l’agriculture, ce qui, à son tour, a donné lieu à d’énormes bonds en matière d’innovations technologiques et de développements sociétaux, c’est-à-dire la civilisation néolithique.” Cette période a également été liée à l’extinction du mammouth laineux.
Bien que de nombreuses recherches aient été effectuées sur le Dryas récent, les scientifiques n’ont jamais été en mesure de déterminer vraiment ce qui a déclenché la période. Des suggestions de frappe d’une comète ont été soulevées, mais il n’y a jamais eu beaucoup de preuves pour valider sa véracité. En fait, la théorie semble avoir été démystifiée il y a plusieurs années lorsque les chercheurs ont suggéré que le Dryas récent était déclenché par des changements plus mondains (et graduels) plutôt que par un impact dévastateur d’astéroïdes.
frappe de comète
Les anciennes sculptures en pierre de la Turquie d’aujourd’hui semblent dépeindre une frappe de comète qui a causé une période de changement climatique. Photo : Martin B. Sweatman et Dimitrios Tsikritsis Tsikritsis
Aujourd’hui, cependant, la théorie des comètes gagne du terrain. Le Telegraph.co.uk cite le chercheur principal Martin Sweatman : “Cette recherche, ainsi que la découverte récente d’une anomalie généralisée du platine sur le continent nord-américain, scellent virtuellement l’affaire en faveur d’un impact de comète du Dryas récent. Notre travail sert à renforcer cette preuve physique… l’un des piliers de Göbekli Tepe semble avoir servi de mémorial à cet événement dévastateur – probablement le pire jour de l’histoire depuis la fin de l’ère glaciaire.”
Göbekli Tepe est considéré comme le plus ancien temple du monde, datant d’environ 9 000 ans avant Jésus-Christ et devançant Stonehenge d’environ 6 000 ans. Les chercheurs affirment que les images gravées sur la Pierre du vautour représentent un grand désastre humain et des pertes de vie considérables, comme en témoignent les égratignures d’un homme sans tête.
D’autres symboles sur les piliers environnants suggèrent que Göbekli Tepe a été utilisé comme observatoire pour surveiller le ciel nocturne. Plusieurs images semblent enregistrer l’axe de rotation de la Terre pendant diverses périodes. Ces résultats suggèrent également que la Terre est plus susceptible de connaître des périodes de collision d’astéroïdes en raison de l’orbite de la planète qui croise les champs gravitationnels des fragments de comètes dans l’espace.
“Beaucoup de peintures rupestres paléolithiques et d’artefacts avec des symboles animaux similaires et d’autres symboles répétés suggèrent que l’astronomie pourrait être très ancienne en effet”, a affirmé le Dr Sweatman. “Si l’on considère que, selon les astronomes, cette comète géante est probablement arrivée dans le système solaire intérieur il y a environ 20 à 30 000 ans, et qu’elle aurait été une caractéristique très visible et dominante du ciel nocturne, il est difficile de voir comment les anciens auraient pu ignorer cela étant donné les conséquences probables.”
A propose de...
Göbekli Tepe fut enregistré en tant que site archéologique en 1963 dans le cadre de recherches turco-américaines. Une équipe d’archéologues américains, dont Peter Benedict, remarqua plusieurs collines étranges recouvertes de milliers de silex cassés, ce qui est un signe certain d’activité humaine. Mais les scientifiques n’eurent alors pas le temps ou les finances pour procéder à des fouilles.
Trois décennies plus tard, un berger de la région aperçut un groupe de pierres aux formes étranges sortant du sol poussiéreux. La « redécouverte » du site parvint aux oreilles des conservateurs du musée de la ville de Şanlıurfa, à cinquante kilomètres. Les responsables du musée contactèrent le ministère approprié, qui, en retour, se mit en relation avec l’Institut archéologique allemand à Istanbul.
Le site a été proposé en 2011 pour une inscription au patrimoine mondial et figure sur la « liste indicative » de l’UNESCO dans la catégorie patrimoine culturel7 jusqu'en juillet 2018, date à laquelle il est inscrit au registre du patrimoine mondial de l'UNESCO.
https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%B6bekli_Tepe
Et:
Depuis le début des fouilles en 1995, ce site du sud-est de la Turquie a transformé la façon dont les archéologues envisagent les débuts de la civilisation. Ses structures circulaires, ornées de pierres minutieusement sculptées, ainsi que ses piliers caractéristiques en forme de T ont plus de 12 000 ans, plus anciens encore que l'invention de l'agriculture ou de la poterie.
https://www.nationalgeographic.fr/histoire/le-plus-ancien-temple-du-monde-va-etre-restaure
Marc89 ecrit:
Remarque, ce site decouvert en 1963 est encore trop peu connu du public, alors qu'il devrait avoir une notoriété mondiale ou presque au meme titre que les pyramides et connu du public depuis longtemps, qu'on fait les scientifiques, tout l'inversent...et c'est grace a internet que cela ressort petit a petit maintenant, ce n'est pas pour autant que les medias s'en empare et relaye l'information pour en éclairer le monde, un cas de plus que l'on peut ranger dans la categorie de... desinformation par la retention d'information...
Entre l'Atlantide qu'ils veulent ignorer, malgré les preuves evidentes et decisive, ce cas et bien d'autres,
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/japon-plusieurs-pyramides-au-large-de-l-archipel.html
et Yonaguni:
https://www.anguillesousroche.com/archeologie/monument-marin-de-yonaguni-a-t-coule-pendant-derniere-periode-glaciaire/
cela montre bien qu'a l'echelle mondiale, qu'une retention d'information ou manipulation des preuves est bien a l'oeuvre et continu de l'etre.
Nathan38- Messages : 250
Date d'inscription : 08/09/2018
Re: Atlantide : Approche intuitive
Article super intéressant et super documenté , merci Marc 89 . Mollopipo
mollopipo- Messages : 1857
Date d'inscription : 06/05/2014
Re: Atlantide : Approche intuitive
Merci Mollopipo.
Nathan38- Messages : 250
Date d'inscription : 08/09/2018
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