Auto-guérison pour une médecine obsolète
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Auto-guérison pour une médecine obsolète
Hello bonjour les Amis
Voici en partage des extraits du livre de Caroline Villar intitulé : « Délivrance – La fin des formatages imposés » – aux Editions Ariane. p.63 à 73 que j’ai actuellement entre les mains….
De nos jours et depuis la principale découverte de Pasteur, il est communément admis en Occident que nous devons régler tous les problèmes de maladies par des prises de molécules chimiques nommées médicaments, lesquels sont chers et hautement nocifs pour la santé à long terme, et ce, pour faire disparaître le plus rapidement possible tous les symptômes nous causant des maux, les effets secondaires de ces médicaments étant passé dans les mœurs, notamment dans les pays industrialisés.
Mais il ne s’agit là que de l’application physique d’un mal physique !
Rappelons-nous qu’il existe cependant au moins 2 courants de pensée majoritairement opposés sur la planète : la médecine orientale et la médecine occidentale.
La médecine orientale intervient en amont d’un état pouvant générer un problème de santé.
Un médecin guérisseur mérite d’avoir ce titre lorsqu’il peut se satisfaire de n’avoir pas été confronté à une forme de maladie quelconque. En effet, il est censé intervenir avant que des symptômes ne se révèlent, étant régulièrement attentif à la santé générale des patients qu’il contribuera à maintenir dans une bonne forme énergétique par l’ingestion, ou l’application sur le corps, de plantes diverses récoltées dans la Nature.
La médecine occidentale, en revanche, intervient après l’apparition de symptômes, assujettissant tout individu diagnostiqué à entrer dans un cadre de maladie répertoriée, donc l’ordonnancement entraine systématiquement un ou plusieurs traitements à base de molécules chimiques appelées médicaments.
S’agit-il d’un progrès ? Chacun pourra émettre ses propres convictions en fonction de son discernement personnel. Mais évitons de tomber dans le piège de la banalisation inconsciente des termes de progrès et de technologie.
Le progrès se définit par une transformation qui est marquée par une étape allant dans le sens d’une amélioration favorable, ou d’une évolution vers un résultat satisfaisant. Le résultat d’un corps humain volontairement empoisonné doit-il être considéré comme un progrès ?
La technologie, par définition, est un ensemble cohérent de savoirs et de pratiques fondés sur des principes scientifiques, dans un domaine technique particulier. Les cocktails de molécules chimiques qui ont envahi nos environnements, notre alimentation, notre eau, nos médications doivent-ils être considérés comme une avancée technologique ?
Nous pourrions considérer les choses tout en sachant que rien ne peut être absolument noir ou blanc à propos de la médecine traditionnelle. A notre époque, une quantité considérable de vies sont améliorées ou sauvées par des découvertes scientifiques faites au cours du siècle dernier. Il n’est pas question de renier ce type d’améliorations. Il reste évident pour tous, dans le cas d’un membre fracturé, d’une greffe, ou de n’importe quelle autre intervention, qu’il est justifié de se rendre à l’hôpital, de se faire poser un plâtre ou de se faire opérer, avec toute la chimie d’usage inhérente à chaque cas.
Toutefois, une manière responsable de penser devrait, dans chaque cas, de définir comme exceptionnelle et liée à un évènement particulier, non comme une « normalité » de la vie qui oblige un individu à suivre des traitements systématiques, avec les conséquences que nous avons évoquées….
Cela aura lieu pourtant tant que nous n’aurons pas accédés à la maîtrise de nous guérir personnellement par l’intention et la volonté, en reliance avec l’ouverture de nos brins d’ADN dormants. Ce qui risque assurément de prendre un peu de temps, car nous ne sauterons pas tous du coq à l’âne au même moment, même si l’accélération de l ‘évolution planétaire que nous vivons à l’heure actuelle nous permet d’accéder plus rapidement à des compréhensions et des expérimentations de connaissances inaccessibles jusqu’ici.
Pour y accéder, nous devons savoir que le potentiel de nos brins d’ADN fonctionne en lien avec le cœur et en osmose avec une fréquence vibratoire élevée au niveau nécessaire de la conscience qui guérit, rétablissant ainsi, dans une conscience supérieure, le rééquilibrage du bon fonctionnement de toutes les cellules.
Le temps est maintenant venu de se rappeler que nous ne sommes pas uniquement constitués d’un simple corps de densité, car nous en détenons plusieurs autres ne faisant pas partie de la réalité physique que nous connaissons. Ces derniers s’activent plutôt dans une ou plusieurs dimensions : éthérique indépendante de la matérialité. C’est dans l’un de ces corps que se trouve le système de chakra fonctionnant directement en relation avec le plan physique et dont nombre d’entre nous ont déjà acquis une certaine connaissance en les utilisant régulièrement, alors qu’ils n’existent tout simplement pas le monde physique.
Il est par exemple impossible d’en faire une radiographie ou une tomodensitométrie.
Nous sommes toutefois totalement intriqués à ces corps qui constituent la totalité de notre ETRE et qui sont incapables de fonctionner adéquatement les uns sans les autres. Et même si cela reste invisible à nos yeux physiques, nous pouvons expérimenter cet état par l’utilisation de nos sens.
Remettons les choses en place…
En réalité, nos brins d’ADN dormants « s’ouvrent » à mesure que nous élargissons nos perceptions intérieures et extérieurs du monde, et ils sont très loin de s’arrêter à la seule dimension physique. Ils fonctionnent en parfaite coordination avec notre fréquence vibratoire personnelle qui, après avoir passé un certain palier d’évolution individuelle, donc de compréhension, permet l’ouverture d’un brin d’ADN supplémentaire, lequel facilite de nouvelles potentialités de développement d’ordre éthérique dans des dimensions invisibles à l’œil physique.
Lorsque nous sommes dans un état de conscience modifiée, en méditant par exemple, les expérimentations intuitives lors d’une introspection font remonter à la surface de nos cerveaux analytiques des données mémorielles ou universelles de l’enseignement recherché faisant suite à nos questionnements du moment présent.
Ces connaissances nouvellement acquises s’additionnent ensuite intuitivement à la vision de la réalité que nous avions antérieurement, nous donnant ainsi accès à la même vision de la réalité, mais élargie. Comme lorsque nous regardons un paysage de la fenêtre du premier, puis du dernier étage d’un immeuble, ou que nous agrandissons la distance focale avant de prendre une photo. Nous revenons à une compréhension intuitive profonde et élargie de ce qui nous entoure, ce que, au fil des siècles par l’organisation de systèmes collectifs, nous avons presque totalement perdu. Ce principe s’applique absolument à tout ce qui existe. L’univers est ainsi conçu dans son Intelligence innée, dont nous sommes tous partie intégrante constitués des mêmes atomes fusionnés à tout ce qui existe. Il va donc de soi que c’est aussi la raison pour laquelle une maladie peut être rapidement guérie de l’intérieur ou non.
Lorsque nous souffrons de maux, nous parlons de maladies dans le monde physique, c’est à dire dans le monde matérialisé. En réalité, nous avons plutôt des symptômes pouvant aboutir à une dégénérescence que nous appelons maladie. Notre corps, ou plus exactement son Intelligence innée, nous envoie des signaux d’alerte d’un déséquilibre sur la partie physique la plus touchée par ces symptômes. En fait, il s’agit d’une aide à la compréhension qui devrait nous éviter de passer un temps infini à en chercher la ou les causes, nous permettant de deviner instinctivement où se situe le problème. Lorsque nous restons observateurs de nous-mêmes, il ne suffit parfois que de quelques secondes intuitives pour relier le principe, par exemple, d’un arrêt cardiaque survenu à la suite d’une dispute ayant eu lieu quelques semaines auparavant avec notre partenaire.
Au contraire, lorsque nous n’écoutons pas notre corps et le réduisons au silence à coup de médicaments chimiques, nous supprimons les symptômes (les aides) et n’allons pas chercher à rééquilibrer les causes. Alors, l’Innéité continue à nous bombarder de ses informations que nous prenons pour une rechute, car un déséquilibre aussi petit soit-il ne permet pas au corps de se maintenir en excellente santé. C’est en restant impassibles à cette compréhension et en continuant de traiter des symptômes que nos cellules finissent par s’atrophier et de ne plus être en mesure de communiquer avec les brins d‘ADN dont dépendent les fonctions primordiales de pleine santé par l’équilibre, nous obligeant à rester dans cet état de système déficient que nous appelons maladie.
Il devient donc évident qu’il nous est impossible d’être « guéris » car tout ce qui n’est pas équilibré ressortira d’une manière ou d’une autre, à un moment ou à un autre, selon notre résistance aux différentes messages du corps et au nombre de déséquilibres produits tout au long de notre vie. Il existe un terme pour définir cet état, et c’est la « vieillesse », car il nous semble tout à fait entendu et logique qu’il nous est impossible de régénérer nos corps dans le temps…. Cela à l’opposé de toutes les cellules qui en font partie et qui se régénèrent en permanence.
Lorsque nous comprenons que c’est cette accumulation volontaire de cellules atrophiées, devenues défectueuses à long terme qui nous rapproche de la « vieillesse », alors nous devenons aptes à comprendre ce qui se passera lorsque nous serons en mesure de nous auto-régénérer chaque fois que nous en aurons besoin. Le concept violent d’empoisonnement de la médecine tel qu’il existe aujourd’hui devrait alors disparaître par manque de malades pour éventuellement laisser place à une recherche technologique saine, des facteurs aboutissant à la régénérescence du corps humain.
On ne nous a jamais appris à penser de cette façon, car l’enseignement qui rétablit le bon fonctionnement des cellules n’intervient qu’avec la CONSCIENCE INDIVIDUELLE SUPERIEURE de Qui nous sommes et de ce dont nous sommes capables !
Mais dans cette période propice à l’évolution, encadrée par l’ascension planétaire en cours, cette connaissance pourrait d’ici quelques générations reprendre sa place et la « mal-a-dit », devenir un détail de la vie au même titre que de prendre un repas lorsque la faim se fait sentir !
SOURCE : p.63 à 73 du livre de Caroline Villar intitulé : « Délivrance – La fin des formatages imposés » – aux Editions Ariane.
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Re: Auto-guérison pour une médecine obsolète
Merci Francesca.
Tout ceci est si bien dit qu'il paraît difficile d'en rajouter.
Constatation que j'ai faite depuis longtemps :
Exemple : une personne souffre de dépression. Elle va consulter un médecin qui va lui prescrire des antidépresseurs et autres médicaments sensés lui apporter un mieux. Il se garde bien de lui dire les inconvénients de la prise de ces médicaments. Si la personne n'a pas la curiosité de lire les notices où il est précisé que cette prescription est d'une durée de trois mois, elle va revenir chez son médecin qui va renouveler l'ordonnance. Ainsi, cette personne n'aura pas été en mesure de savoir d'où vient réellement son état et elle continuera de prendre ces médicaments sans rien avoir résolu et cela peut durer pendant de longues années.
Dès que l'on voit un médecin, je dirais presque que c'est une prise de risque.
Sans une prise de conscience, on entre dans un cercle vicieux et beaucoup de personnes se retrouvent à devoir se "soigner" à vie en prenant d'autres médicaments dus aux effets secondaires des autres.
Apprendre à se connaître et comprendre le pourquoi de nos maux pour mieux rétablir son équilibre.
Comme il est dit dans le sujet, il est évident qu'un accident provoquant une ou plusieurs fractures va demander des opérations et d'autres soins qui y correspondront. Il y a bien sûr d'autres exemples.
Le corps physique n'est pas fait pour recevoir des médicaments chimiques car ils circulent dans toutes nos cellules pour atteindre normalement la partie malade. Mais, au passage, il va dégrader des tissus de différents organes.
Je me souviens de personnes qui, au cours de conversation et sans le savoir, me faisaient comprendre qu'il ne fallait pas faire cela ou cela car elles en payaient les conséquences. Leçons de prudence en quelque sorte bien utiles.
Tout ceci est si bien dit qu'il paraît difficile d'en rajouter.
Constatation que j'ai faite depuis longtemps :
Exemple : une personne souffre de dépression. Elle va consulter un médecin qui va lui prescrire des antidépresseurs et autres médicaments sensés lui apporter un mieux. Il se garde bien de lui dire les inconvénients de la prise de ces médicaments. Si la personne n'a pas la curiosité de lire les notices où il est précisé que cette prescription est d'une durée de trois mois, elle va revenir chez son médecin qui va renouveler l'ordonnance. Ainsi, cette personne n'aura pas été en mesure de savoir d'où vient réellement son état et elle continuera de prendre ces médicaments sans rien avoir résolu et cela peut durer pendant de longues années.
Dès que l'on voit un médecin, je dirais presque que c'est une prise de risque.
Sans une prise de conscience, on entre dans un cercle vicieux et beaucoup de personnes se retrouvent à devoir se "soigner" à vie en prenant d'autres médicaments dus aux effets secondaires des autres.
Apprendre à se connaître et comprendre le pourquoi de nos maux pour mieux rétablir son équilibre.
Comme il est dit dans le sujet, il est évident qu'un accident provoquant une ou plusieurs fractures va demander des opérations et d'autres soins qui y correspondront. Il y a bien sûr d'autres exemples.
Le corps physique n'est pas fait pour recevoir des médicaments chimiques car ils circulent dans toutes nos cellules pour atteindre normalement la partie malade. Mais, au passage, il va dégrader des tissus de différents organes.
Je me souviens de personnes qui, au cours de conversation et sans le savoir, me faisaient comprendre qu'il ne fallait pas faire cela ou cela car elles en payaient les conséquences. Leçons de prudence en quelque sorte bien utiles.
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A vouloir tout savoir, on finit par se perdre surtout si on n'est pas prêt à recevoir l'information et à en avoir la compréhension de son interprétation. Recevoir un Savoir et savoir le recevoir. Point de limite à l'esprit.
Plume- Messages : 969
Date d'inscription : 29/05/2019
Re: Auto-guérison pour une médecine obsolète
Tu parles de dépression, Plume…
C’est exactement cela. J’ai subit une dépression, il y a quelques années. Au bout de X mois, lorsqu’un mieux être est apparu, j’ai dit à une collègue que j’en avais marre de me droguer, d’avaler ces merdes, que j’aimerais bien m’aider autrement. Mais comment ??!!
Un jour elle vient me voir, au changement de poste, et me dit qu’elle était voir quelqu’un qui soigne, mais qu’on peut apprendre à le faire soi-même. Hein ?? c’est quoi cette histoire. C’est ainsi que le reiki est venu à moi ou que je suis allée vers lui. Elle ne s’est pas faite initiée, par contre et s’est reprochée et excusée X fois de m’avoir entrainée « là-dedans ». Au contraire, je la remerciait. Elle n’était pas prête pour un travail sur elle. Eh oui, travailler sur soi, se comprendre etc est de longue haleine.
Tu dis qu’un médecin se garde bien de dire les inconvénients des médicaments. Un tel autre dira « ne lis pas tous les effets indésirables, sinon tu prends plus rien » .
J’avais un épisode de mal être et je suis retournée voir ce médecin qui sait par où je suis passée. (mes épreuves de vie et reiki). Je lui ai demandé s’il n’y avait pas un anti-dépresseur « simple » pour quelques temps. Sa réponse fut : « je vous prescrit quelque chose sans souci, mais vous connaissant, ce serait dommage de mettre un couvercle sur ce que vous avez entre les mains (en sous-entendant le reiki). Ce même médecin m’a un jour parlé de capsules d’huiles essentielles pour soigner un état grippal (toux rhume fièvre) pour m’éviter d’autre allopathie ne m’aidant pas.
C’est exactement cela. J’ai subit une dépression, il y a quelques années. Au bout de X mois, lorsqu’un mieux être est apparu, j’ai dit à une collègue que j’en avais marre de me droguer, d’avaler ces merdes, que j’aimerais bien m’aider autrement. Mais comment ??!!
Un jour elle vient me voir, au changement de poste, et me dit qu’elle était voir quelqu’un qui soigne, mais qu’on peut apprendre à le faire soi-même. Hein ?? c’est quoi cette histoire. C’est ainsi que le reiki est venu à moi ou que je suis allée vers lui. Elle ne s’est pas faite initiée, par contre et s’est reprochée et excusée X fois de m’avoir entrainée « là-dedans ». Au contraire, je la remerciait. Elle n’était pas prête pour un travail sur elle. Eh oui, travailler sur soi, se comprendre etc est de longue haleine.
Tu dis qu’un médecin se garde bien de dire les inconvénients des médicaments. Un tel autre dira « ne lis pas tous les effets indésirables, sinon tu prends plus rien » .
J’avais un épisode de mal être et je suis retournée voir ce médecin qui sait par où je suis passée. (mes épreuves de vie et reiki). Je lui ai demandé s’il n’y avait pas un anti-dépresseur « simple » pour quelques temps. Sa réponse fut : « je vous prescrit quelque chose sans souci, mais vous connaissant, ce serait dommage de mettre un couvercle sur ce que vous avez entre les mains (en sous-entendant le reiki). Ce même médecin m’a un jour parlé de capsules d’huiles essentielles pour soigner un état grippal (toux rhume fièvre) pour m’éviter d’autre allopathie ne m’aidant pas.
Hirondelle- Modérateur
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