Rêve de douleur
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Rêve de douleur
Voici un rêve que j ai fait recement.
J ai l impulsion étrange de devoir le partager, étrange, car c ... quelquechose de réel, pour une fois ce n est pas issu de mon imaginaire.
Le rêve est en 2 parties, je n ai très bien compris le lien, et la première partie c est très vite effacé pour ne garder que le final.
C un loft assez grand et avec une juste luminosité, sur le lit il y a des vêtements, et mon plus jeune fils m en désigne un. Fin de la première partie.
Deuxième partie, il y a une photo:
2 femmes et un homme ( au centre) sont comme suspendu dans les airs. Ils sont heureux. Je ne distingue pas bien, la femme de droite, l homme est clairement défini, moustache et cheveux noir, j ai pensé Patrick Chesnais.
la femme de gauche est tres nette, elle est radieuse, elle s amuse beaucoup. C une brune au cheveux longs, elle a le teint légèrement halé, j ai pensé Indila.
Léger pincement au coeur.
Ensuite, il y a une deuxième photo, toujours les 3 personnages suspendus dans les airs, ils rient aux éclats.
Début de la douleur.
Ensuite, il y a zoom arrière, je comprends qu' ils sont suspendu dans les airs par un système de ventilation et d un trampoline, le tout au dessus de l eau, dans un ensemble qui semble etre un port.
Je ressens qu' ils à amusent follement.
Douleur aiguë, j arrête le rêve, je m éveillé.
La douleur à disparue, remplacer par un vieux souvenir d adolescence, qui fait appel à la même douleur, sauf que la c du passé, je n ai donc pas de douleur.
Je veux bien guerir, je veux bien comprendre, mais pourquoi ressentir une douleur en rêve ?
Quel est le but ?
Que veux me dire mon inconscient ?
Que je sais traiter cette douleur, super !
S effacer et prendre sur soi, et allez de l avant.
Je ne comprends pas ce que cela m apporte, concretement.
Pouvez m aider à voir ce que je refuse de voir.
J ai l impulsion étrange de devoir le partager, étrange, car c ... quelquechose de réel, pour une fois ce n est pas issu de mon imaginaire.
Le rêve est en 2 parties, je n ai très bien compris le lien, et la première partie c est très vite effacé pour ne garder que le final.
C un loft assez grand et avec une juste luminosité, sur le lit il y a des vêtements, et mon plus jeune fils m en désigne un. Fin de la première partie.
Deuxième partie, il y a une photo:
2 femmes et un homme ( au centre) sont comme suspendu dans les airs. Ils sont heureux. Je ne distingue pas bien, la femme de droite, l homme est clairement défini, moustache et cheveux noir, j ai pensé Patrick Chesnais.
la femme de gauche est tres nette, elle est radieuse, elle s amuse beaucoup. C une brune au cheveux longs, elle a le teint légèrement halé, j ai pensé Indila.
Léger pincement au coeur.
Ensuite, il y a une deuxième photo, toujours les 3 personnages suspendus dans les airs, ils rient aux éclats.
Début de la douleur.
Ensuite, il y a zoom arrière, je comprends qu' ils sont suspendu dans les airs par un système de ventilation et d un trampoline, le tout au dessus de l eau, dans un ensemble qui semble etre un port.
Je ressens qu' ils à amusent follement.
Douleur aiguë, j arrête le rêve, je m éveillé.
La douleur à disparue, remplacer par un vieux souvenir d adolescence, qui fait appel à la même douleur, sauf que la c du passé, je n ai donc pas de douleur.
Je veux bien guerir, je veux bien comprendre, mais pourquoi ressentir une douleur en rêve ?
Quel est le but ?
Que veux me dire mon inconscient ?
Que je sais traiter cette douleur, super !
S effacer et prendre sur soi, et allez de l avant.
Je ne comprends pas ce que cela m apporte, concretement.
Pouvez m aider à voir ce que je refuse de voir.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Je crois avoir compris la première partie du rêve :
l'habit était très classe, il me montrait sur mon 31.
C'est mon deuxième fils qui me le remets, et cela ça se passe dans une chambre.
C'est donc un habit revetu dans l'intimité, et mon deuxième fils a cette capacité de vivre comme il est, il fait très peu de concession afin de garder l'équilibre.
Quelques fois il agit sans trop savoir ce qu'il fait, et souvent c'est vécu comme une attaque par ma femme, et par moi également.
Je vois bien qu'il veut aider, mais trop souvent il agit pour faire, pas pour bien faire.
Dès qu'il se passe quelque chose, il ramène tout à lui, il donne son avis sur tout et n'importe quoi, quelque fois c'est interessant, mais le plus souvent c'est agaçant, car soit je dois refaire, ou reformuler (je ne le fais que quand je suis concerné, quand il s'attaque à ce que je construis, ce que j'essaye de maintenir, dont ... l'humeur de ma femme ), je ne comprends pas pourquoi la vie inflige autant à ma femme, enfin si je comprends, mais je trouve la méthode minable, elle n'a pas d'impulsion qui la ferait aller vers plus de plénitude et de lacher prise, et meme si elle l'a eu ça ne l'interesse pas.
J'ai essayé (directement, indirectement, en agissant, en laissant faire ), rien ne marche, et s'elle va dans ce sens, c'est que quelqu'un d'autre que moi va dans ce sens, et encore elle prends juste le réel, tout ce qui est abstrait et imaginaire elle le rejette ... avec une grande violence.
C'est vrai, j'ai souhaité qu'elle rencontre cette personne qui l'amène vers le bien etre, mais ça ne la libère pas des masses, elle retombe systématiquement dans le controle.
C'est vrai également je n'ai jamais exprimé clairement ce truc, mais franchement j'en ai plein le cul, En 1 minute elle peut ruiné un week-end, un plaisir, je vis avec cette peur tout le temps, quand ça se passe bien, je trouve ça cool, et je me relache, et là bim, mon deuxième fils remets une couche, et là c'est la dégringolade, et quand c'est pas mon fils, c'est ça famille, ou son boulot, bon bref plein de chose qui font que ça devient invivable, que je tente par tous les moyens de m'isoler.
Alors bien sur, il y a la confrontation (hahahaha), lui dire ce que je pense quand ça arrive, déjà vécu, et me prendre un ton imagination c'est de la merde, ou tu n'est pas dans la réalité (j'en passe et des meilleures), pas envie, mais vraiment pas envie.
Allez donner tout ce que j'ai ... mouarf ... elle l'a rejeté, c'est confus, ça n'a rien de réel, c'est en dehors de la réalité, ... etc, etc, etc, etc
J'en reviens à l'habit, car c'est ça le centre du truc, en fait ce reve me montre une chose, c'est une croyance, c'est ancré en moi :
Quand je m'habille pour montrer le meilleur de moi-meme, l'exterieur me fait bien comprendre que ce n'est pas adapté, et donc ce que je fais, c'est que je cache, je m'efface, je prends sur moi, et je vais de l'avant.
Et la douleur est la suivante : voir que d'autres que moi, qaund il s'exprime, quand il donne le meilleur d'eux-meme, ils sont heureux.
Et donc ce reve reflete très bien la réalité, j'aime voir les gens heureux, vraiment, j'aime les voirs dans leur plus beau habit, c'est une source de contentement.
Mais par contre moi, non, personne n'est heureux (en vrai, internet c'est une illusion), soit c'est du rejet (ce n'est pas une illusion du passé), soit l'oubli (ce n'est pas une illusion du passé), soit l'incompréhension (ce n'est pas une illusion du passé).
Alors oui, c'est du passé, car dans l'instant present c'est du passé, mais je n'ai ni remords, ni regrets, car j'ai toujours fait du mieux que j'ai pu, mais à priori ce n'est jamais assez, j'ai écrit 3 romans, j'ai créé un univers complet, j'ai essayé de faire en sorte que ma femme guerisse de sa maladie, j'ai essayé de donner à mes enfants toutes les clefs pour qu'ils soient le plus autonome possible, j'ai essayé d'apaiser mon père face à la colère, j'ai essayé de rassurer ma mère, j'ai essayé, j'ai essayé, ... mais la douleur me revient ... en rève.
Je reste poli, mais franchement, toi qui a écrit ma vie, peut etre m'écrire un truc qui me fait du bien non ? un truc qui me donne de l'energie ?
A toi dont j'ai écrit la vie, je t'ai fait roi, je t'ai fait ange, je t'ai donné un endroit où tu peux t'isoler, je t'ai donné le succès ... c'est cette douleur, celle que je ressens en ce moment meme.
De quoi dois je me pardonner pour qu'elle cesse ?
Car je n'ai pas peur, et je ne me souviens ce qui a valu que je me fasse battre ?
Donc je veux bien faire des efforts, là n'est pas le problème, mais toi qui écrit, de quoi as tu peur, de quoi te sens tu coupable ?
du coup, je crois que j'ai compris l'ensemble du reve.
l'habit était très classe, il me montrait sur mon 31.
C'est mon deuxième fils qui me le remets, et cela ça se passe dans une chambre.
C'est donc un habit revetu dans l'intimité, et mon deuxième fils a cette capacité de vivre comme il est, il fait très peu de concession afin de garder l'équilibre.
Quelques fois il agit sans trop savoir ce qu'il fait, et souvent c'est vécu comme une attaque par ma femme, et par moi également.
Je vois bien qu'il veut aider, mais trop souvent il agit pour faire, pas pour bien faire.
Dès qu'il se passe quelque chose, il ramène tout à lui, il donne son avis sur tout et n'importe quoi, quelque fois c'est interessant, mais le plus souvent c'est agaçant, car soit je dois refaire, ou reformuler (je ne le fais que quand je suis concerné, quand il s'attaque à ce que je construis, ce que j'essaye de maintenir, dont ... l'humeur de ma femme ), je ne comprends pas pourquoi la vie inflige autant à ma femme, enfin si je comprends, mais je trouve la méthode minable, elle n'a pas d'impulsion qui la ferait aller vers plus de plénitude et de lacher prise, et meme si elle l'a eu ça ne l'interesse pas.
J'ai essayé (directement, indirectement, en agissant, en laissant faire ), rien ne marche, et s'elle va dans ce sens, c'est que quelqu'un d'autre que moi va dans ce sens, et encore elle prends juste le réel, tout ce qui est abstrait et imaginaire elle le rejette ... avec une grande violence.
C'est vrai, j'ai souhaité qu'elle rencontre cette personne qui l'amène vers le bien etre, mais ça ne la libère pas des masses, elle retombe systématiquement dans le controle.
C'est vrai également je n'ai jamais exprimé clairement ce truc, mais franchement j'en ai plein le cul, En 1 minute elle peut ruiné un week-end, un plaisir, je vis avec cette peur tout le temps, quand ça se passe bien, je trouve ça cool, et je me relache, et là bim, mon deuxième fils remets une couche, et là c'est la dégringolade, et quand c'est pas mon fils, c'est ça famille, ou son boulot, bon bref plein de chose qui font que ça devient invivable, que je tente par tous les moyens de m'isoler.
Alors bien sur, il y a la confrontation (hahahaha), lui dire ce que je pense quand ça arrive, déjà vécu, et me prendre un ton imagination c'est de la merde, ou tu n'est pas dans la réalité (j'en passe et des meilleures), pas envie, mais vraiment pas envie.
Allez donner tout ce que j'ai ... mouarf ... elle l'a rejeté, c'est confus, ça n'a rien de réel, c'est en dehors de la réalité, ... etc, etc, etc, etc
J'en reviens à l'habit, car c'est ça le centre du truc, en fait ce reve me montre une chose, c'est une croyance, c'est ancré en moi :
Quand je m'habille pour montrer le meilleur de moi-meme, l'exterieur me fait bien comprendre que ce n'est pas adapté, et donc ce que je fais, c'est que je cache, je m'efface, je prends sur moi, et je vais de l'avant.
Et la douleur est la suivante : voir que d'autres que moi, qaund il s'exprime, quand il donne le meilleur d'eux-meme, ils sont heureux.
Et donc ce reve reflete très bien la réalité, j'aime voir les gens heureux, vraiment, j'aime les voirs dans leur plus beau habit, c'est une source de contentement.
Mais par contre moi, non, personne n'est heureux (en vrai, internet c'est une illusion), soit c'est du rejet (ce n'est pas une illusion du passé), soit l'oubli (ce n'est pas une illusion du passé), soit l'incompréhension (ce n'est pas une illusion du passé).
Alors oui, c'est du passé, car dans l'instant present c'est du passé, mais je n'ai ni remords, ni regrets, car j'ai toujours fait du mieux que j'ai pu, mais à priori ce n'est jamais assez, j'ai écrit 3 romans, j'ai créé un univers complet, j'ai essayé de faire en sorte que ma femme guerisse de sa maladie, j'ai essayé de donner à mes enfants toutes les clefs pour qu'ils soient le plus autonome possible, j'ai essayé d'apaiser mon père face à la colère, j'ai essayé de rassurer ma mère, j'ai essayé, j'ai essayé, ... mais la douleur me revient ... en rève.
Je reste poli, mais franchement, toi qui a écrit ma vie, peut etre m'écrire un truc qui me fait du bien non ? un truc qui me donne de l'energie ?
A toi dont j'ai écrit la vie, je t'ai fait roi, je t'ai fait ange, je t'ai donné un endroit où tu peux t'isoler, je t'ai donné le succès ... c'est cette douleur, celle que je ressens en ce moment meme.
De quoi dois je me pardonner pour qu'elle cesse ?
Car je n'ai pas peur, et je ne me souviens ce qui a valu que je me fasse battre ?
Donc je veux bien faire des efforts, là n'est pas le problème, mais toi qui écrit, de quoi as tu peur, de quoi te sens tu coupable ?
du coup, je crois que j'ai compris l'ensemble du reve.
- chanson:
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Un jour faudra me dire ce que veux dire ce 38, car tout va bien ... peut etre pour vous, mais pour moi je ne sais pas.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
En fait, le rève m'a donné une clef, celle de pouvoir écrire librement les chapitres des émotions de la dame.
car dans mon écriture, meme si Henri a pouvoir, richesse, autonomie, succès, je l'ai privé d'une chose :
Je l'ai privé de l'amour inconditionnel d'un père et d'une mère, je ne l'ai pas fait consciemment, mais c'est vrai, j'ai écarté l'amour inconditionnel de sa vie. Et dans les émotions de la dame, je lui supprime toute possibilité de le vivre ne serais ce que quelques minutes cet amour inconditionnel.
Et donc, je vais lui donner autre chose, la première je lui donnerais au chapitre 9 des émotions de la dame, la deuxième je lui donnerais au chapitre 8 des émotions du fou, avec ça Henri aura accès à une énergie illimité, jamais il n'abandonnera et tant qu'il vivra, il donnera, non pas parce qu'on lui demande, parce qu'il n'aura d'autre choix que de donner, non pas parce que je le forcerai, parce qu'il en aura plus qu'il ne peut en consommer, jamais plus il ne sera épuisé, jamais plus il ne sera fatigué ... un éveil qui n'aura jamais eu de semblable.
Merci.
car dans mon écriture, meme si Henri a pouvoir, richesse, autonomie, succès, je l'ai privé d'une chose :
Je l'ai privé de l'amour inconditionnel d'un père et d'une mère, je ne l'ai pas fait consciemment, mais c'est vrai, j'ai écarté l'amour inconditionnel de sa vie. Et dans les émotions de la dame, je lui supprime toute possibilité de le vivre ne serais ce que quelques minutes cet amour inconditionnel.
Et donc, je vais lui donner autre chose, la première je lui donnerais au chapitre 9 des émotions de la dame, la deuxième je lui donnerais au chapitre 8 des émotions du fou, avec ça Henri aura accès à une énergie illimité, jamais il n'abandonnera et tant qu'il vivra, il donnera, non pas parce qu'on lui demande, parce qu'il n'aura d'autre choix que de donner, non pas parce que je le forcerai, parce qu'il en aura plus qu'il ne peut en consommer, jamais plus il ne sera épuisé, jamais plus il ne sera fatigué ... un éveil qui n'aura jamais eu de semblable.
Merci.
- j'aime bien cette chanson:
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
douleur à ne pas arriver à rendre heureux ceux que tu aime, sentiment d'impuissance ? Ton premier rêve m'a fait penser à ça, ll'homme à moustache pourrait être celui que tu voudrais être. Symboliquement aussi ressens-tu que ton fils voudrait que tu sois autrement ? Il te montre un vetement en particulier.
J'ai une autre pensée qui me saute d'un coup en te lisant plus loin:
Tu veut être toi mais tu ne peux pas car tu sens que tu dois être ce qu'on attend de toi. Dépendance des émotions des autres, empathie. Désir de pousser ceux qu'on aime vers les pensées positives sans y arriver. C'est peut-être ça que ton inconscient essaie de dire ?
Est ce que tu t'identifie un peu au personnage principal de ton roman les émotions de la dame ?
Sinon le chiffre 38 ne me dit rien.
J'ai une autre pensée qui me saute d'un coup en te lisant plus loin:
Tu veut être toi mais tu ne peux pas car tu sens que tu dois être ce qu'on attend de toi. Dépendance des émotions des autres, empathie. Désir de pousser ceux qu'on aime vers les pensées positives sans y arriver. C'est peut-être ça que ton inconscient essaie de dire ?
Est ce que tu t'identifie un peu au personnage principal de ton roman les émotions de la dame ?
Sinon le chiffre 38 ne me dit rien.
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
dans un sens oui, mais je vois bien qu'il y a des progrès, c'est juste d'une lenteur parfois insuportable.
douleur à ne pas arriver à rendre heureux ceux que tu aime, sentiment d'impuissance ?
Et dans un sens non, ce n'est pas la douleur du reve, la douleur est celle de voir les gens en joie naturellement, moi perso je n'y arrive pas ... souvent, voire très très rarement. Souvent, à l'expression d'une émotion, il y a un contre coup ... je sais à quoi c'est du, c'est juste la polarisation pour que ça vibre.
remarque depuis le reve, c'est bien mieux, je sais comment le gérer. Je sais comment le vivre.
Ca c'est un état qui m'a longtemps collé à la peau. Désormais, j'utilise ma technique ultime :"L'univers peut faire ce qu'il veut, je m'en bas les couilles, tuez vous, faites vous mal, plein le cul de cette expérimentation à la con"
Tu veut être toi mais tu ne peux pas car tu sens que tu dois être ce qu'on attend de toi.
ou
"Détruit l'humanité, et quand je serais mort, je te pete la gueule .... je te défonce et cette fois ci tu ne te relevera pas"
... et après je souris, et je dis "et après on boit un coup "
De ce que j'ai compris, mon inconscient essaye de me faire me rebeller de dire stop ... dans la réalité, sauf que non, d'autres que moi vivent des choses bien pire, moi j'ai tout au plus quelques blessures d'égo, mais rien de grave, rien de non guerissable ... et puis de toute façon, j'ai déjà dit stop, de ce que j'ai compris j'ai failli mourir quand j'avais 2 ou 3 ans sous les coups d'une assistante maternelle ou de sa fille (c'est pas très clair) à priori j'ai fait une transe hypnotique qui me permet d'isoler se souvenir. Et à priori aussi, je dois traiter ce souvenir tout seul, sans aucune aide REELLE (pas que les gens d'internet ne soient pas réel, c'est juste que chacun sa vie), et moima réalité les psy resolvent les problèmes en les faisant durer (pour l'argent) ou à coup de médicament (tellement facile la petite pillule qui régule l'humeur), et si ça devient trop compliqué pour eux, ou qu'ils sont remis en cause, ils se débinnent. Donc franchement pas d’énergie à perdre la dessus.
Dépendance des émotions des autres, empathie. Désir de pousser ceux qu'on aime vers les pensées positives sans y arriver. C'est peut-être ça que ton inconscient essaie de dire ?
Henri est né du roman les émotions du pion, il est donc une partie de moi
Est ce que tu t'identifie un peu au personnage principal de ton roman les émotions de la dame ?
- Spoiler:
en fait non, Henri était déjà là bien avant, cette personnae est apparu en 1999 (j'ai commencé à écrire une histoire, j'ai écrit juste le début)
début 2014, je lui est donné un nom "Henri", j'ai écrit un final à mon histoire, entre les deux j'avais rien
mi 2014, le personnage d'Anna est venue dans une nouvelle.
Toutes ces peronnae sont une partie de moi, elles ne sont pas moi.
je les fait vivre tel que je le ressens, ils sont parfois surprenant.
SI le message de mon inconscient c'est arrete de vivre à travers tes personnages, vis par et pour toi-meme : ma réponse est toujours la meme : va te faire foutre. J'ai une bonne base donnée, je joue avec, l'enrichir ça c'est pas mon taf (chacun son role)- chanson:
Dans les émotions du roi, je lui fais vivre la découverte de lui-meme.
Dans les émotions de la dame, je vais lui faire vivre l'enfer, mais au final je lui est promis de lui donner quelque chose qui lui fera du bien, et avec lequel il pourra tirer une belle énergie.
Alors oui, je vais vivre à Henri, ce que moi je vis, je ne fais que le transformer/transposer dans un un univers différent. C'est mon grand plaisir.
J'ai essayé de faire participer ceux qui m'entourent, entre les pas interessé, pas le temps, ce n'est pas réel, ça ne sers à rien, franchement pas envie de perdre de l'energie avec eux. Alors oui j'utilise une façade, et dans ma tete : je suis le maitre d'un univers complet, j'explore, je créé, je vis de façon complétement éthérée ... et le plus fort, c'est que je concilie très bien les deux ... l'éxterieur me permet de remettre les pieds sur terre, de vivre la réalité ... et mon intérieur me permet de m'évader, de voler, de vivre la vie que j'ai toujours révé.
Merci, Grenouille, tu m'as permis de voir, que désormais je peux parler librement, qu'internet à au moins cette avantage d'avoir l'illusion de pouvoir parler aux anges ... directement sans passer par les maitres et initiés.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
tu m'a réveillé les souvenirs que j'avais en moi et qui semblent similaires aux tiens quand tu me parle en tant qu'auteur de ton livre. J'avais cette faculté autrefois de "partir" dans mon imagination avec le plaisir de le mettre sur papier pour le faire partager, ou plutot de le faire "vivre" en le couchant sur le papier.
C'était comme une innocence, comme un enfant qui s'invente son histoire, crée un monde intérieur et le plaisir qui va avec. Je l'ai perdu depuis longtemps parce que je croyais qu'être adulte c'était d'arreter d'imaginer et de "vivre le monde réel" pour gagner sa vie, réussir.
Ils s'étaient trompés. Maintenant je sais et je peux me dire que cette faculté à partir dans son imagination est une richesse intérieure qu'il ne faut pas perdre.
Quand je te lis, j'ai l'impression de me voir comme dans un miroir en ce moment. Ras le bol de cette expérimentation aussi, je pense que cette colère est légitime, elle doit passer sans la retenir en soi. Une fois sortie, soulagement, jusqu'à la prochaine colère et ainsi de suite, pour je l'espère arriver à... je ne sais pas. Et peut-être que si ça sort pas, ça sort sous forme de rêves forts. En tout cas c'est ce que je me suis dit.
J'essaie aussi de parler librement sans avoir peur du retour, parce que je me dis que si les intentions sont bonnes, on a pas à se soucier de mauvais retours. Tout est clair la-haut, sans jugement. Si jugement il y a, alors c'est en nous.
Et si c'était pas une illusion de parler à des anges via internet ? Rien qu'avec l'intention qu'on porte dans nos mots ici, pour moi c'est suffisant l'amour que j'y reçois. Même si derrière il y a une vie qu'on ne connais pas vraiment, la communication est réelle. En tout cas c'est ce que je perçois avec toi et d'autres ici. Nickel
C'était comme une innocence, comme un enfant qui s'invente son histoire, crée un monde intérieur et le plaisir qui va avec. Je l'ai perdu depuis longtemps parce que je croyais qu'être adulte c'était d'arreter d'imaginer et de "vivre le monde réel" pour gagner sa vie, réussir.
Ils s'étaient trompés. Maintenant je sais et je peux me dire que cette faculté à partir dans son imagination est une richesse intérieure qu'il ne faut pas perdre.
Quand je te lis, j'ai l'impression de me voir comme dans un miroir en ce moment. Ras le bol de cette expérimentation aussi, je pense que cette colère est légitime, elle doit passer sans la retenir en soi. Une fois sortie, soulagement, jusqu'à la prochaine colère et ainsi de suite, pour je l'espère arriver à... je ne sais pas. Et peut-être que si ça sort pas, ça sort sous forme de rêves forts. En tout cas c'est ce que je me suis dit.
J'essaie aussi de parler librement sans avoir peur du retour, parce que je me dis que si les intentions sont bonnes, on a pas à se soucier de mauvais retours. Tout est clair la-haut, sans jugement. Si jugement il y a, alors c'est en nous.
Et si c'était pas une illusion de parler à des anges via internet ? Rien qu'avec l'intention qu'on porte dans nos mots ici, pour moi c'est suffisant l'amour que j'y reçois. Même si derrière il y a une vie qu'on ne connais pas vraiment, la communication est réelle. En tout cas c'est ce que je perçois avec toi et d'autres ici. Nickel
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
En écrivant, en imaginant, on retrouve cette innocence de l'enfant, tout en étant l'adulte que l'on est. Je commence à comprendre ce qu'Indila m'a fait retrouver, ce n'est pas la réalisation d'un reve d'enfant, ce n'est pas un plaisir d'enfant, c'est moi, c'est ce que je suis, elle m'a aidé à retouver mon innocence. Celle de vivre dans un monde de magie et de couleurs, c'est ça mon monde réel.
Ce qui m'agace le plus, c'est le jugement de l'exterieur sans objectivité (la colère a disparu)
J'avoue que souvent j'utilise cette image pour faire mes posts, tout simplement parce qu'ils sont par définition éveillé, et donc à meme d'absorber la charge émotionnelle.
C'est comme mon image de Dieu, l'UN, le TOUT, ... je suis si infime au vu de l'immensité que mon débordement d'émotion ne peut en aucun cas affecter l'ensemble, sauf quand je reçois une chanson de ce genre là :
Dans ce cas, je me dis que peut-etre il y a blessure, et là je pars dans des trucs ... vaniteux ... nan ... orgueilleux non plus ... je trouve pas le mot p... précieux ... ça y est j'ai trouvé pernicieux, ... nan en fait c'était prétentieux le mot (d'où la question : qui a resisté ? l'égo ? l'ame ? : je dirais l'inconscient)
J'ai une sensation identique, c'est très agréable, se sentir libre de s'exprimer librement, juste avec les entraves que l'on porte.
Un grand plaisir cette conversation.
Namasté.
la colère a disparu a écrit:
Les encarts "la colère a disparu" sont les mots que j'ai utilisé à la première réponse, je les mets quand meme car ils sont importants, je m'en sers comme des points d'ancrage et de preuve que j'ai été dans cet état là.
Ca me permet de pouvoir y revenir, et de faire l'aller et le retour, du point d'ancrage au point d'évolution. J'ai toujours fait comme ça ... ça me permet de nettoyer ... pas seulement en surface, mais en profondeur, et du coup ... ... pour le nettoyage, je peux dire que je ne fais pas semblant, je dirais meme que je fais un nettoyage de printemps depuis maintenant 6 ans ... ... je te raconte pas le bordel qu'il y avait.
touché. Ce message de l'exterieur je l'entends encore "vivre le monde réel" , pas pour gagner ou réussir sa vie (selon les critères partagés par TOUS les adultes, et une majorité d' enfants), pour participer à affermir leur monde normal (la colère a disparu)
Je l'ai perdu depuis longtemps parce que je croyais qu'être adulte c'était d'arreter d'imaginer et de "vivre le monde réel" pour gagner sa vie, réussir.
- la colère a disparu:
Désormais je réponds invariablement : seulement à mes conditions, je cesse peu à peu de faire des consessions, pas que je ne veuille plus en faire, mais je trouve que j'en ai fait bien trop. Et ce que je vois, c'est que de l'autre coté, il y a des quelques concessions mais vraiement à minima. Dès que ça commence à partir dans quelque chose qui me convient, il est aussitot perverti, et ça part dans un truc moche. Et donc c'est moi, c'est moi qui perverti, ben non :
prenons l'autisme.
Je vois une BD (lu comme de par hasard ), la "différence invisible" de Julie Dachez.
je vois un forum sur le syndrome d'asperger.
Et là, je vois des gens qui veulent etre Asperger, je comprends pourquoi, c'est tellement simple, c'est la solution à tous les problèmes, en fait le message est le suivant : j'ai le droit d'etre moi. Pas de problème avec ça. Bon ça reste localisé, chacun vit ça vie dans sa petite bulle, ce n'est pas grave.
Et là je vois une mère qui a dressé son enfant autiste à etre normale (la colère a disparu), par contre là le message qui est véhiculé est à l'échelle nationale (la colère a disparu).
Conclusion : Si le message est "tu n'as le droit d'etre toi, tu dois etre normal", le message est diffusé largement. Si le message est "tu as le droit d'etre toi", le message est diffusé localement.
la question est la suivante, pourquoi quand il s'agit de m'exprimer librement l'écho est local, et pourquoi quand il s'agit de m'imposer ce que je dois etre, l'écho est global ? pourquoi suis je obligé de vivre constament sur le coup de ce (la colère a disparue) de message de conformité ou "laisse nous te dire ce qui est bon pour toi ?"
et la réponse qui va avec : le silence ... ah non tiens, parce c'est ainsi que cela a été choisi.
c'est ce que j'ai choisi, et je peux modifier le choix en conscience :
je veux que l'expression aimante est un echo global.
Je veux que l'expression contraignante est un écho local.
Je veux qu'à chaque expression contraignante, chacun ressente la douleur de la contrainte qu'il impose à l'autre.
Je veux qu'à chaque expression aimante, chacun ressente l'amour qu'il donne à l'autre.
Bien joué Callaghan : c'est déjà le cas, ça s'appelle l'empathie, et donc l'expérience d'ame.
- merci:
ça me fait ça aussi, comme un miroir où je te parle et en même temps je me parle à moi-même.
Quand je te lis, j'ai l'impression de me voir comme dans un miroir en ce moment. Ras le bol de cette expérimentation aussi, je pense que cette colère est légitime, elle doit passer sans la retenir en soi.
De ce que j'ai compris, ça corresponds au principe de rythme, ou en polarisant consciemment, on renvoit l'émotion vers l'inconscient (en gros : pas que ça à foutre demerde toi et soit plus clair, plus effectif )
Une fois sortie, soulagement, jusqu'à la prochaine colère et ainsi de suite, pour je l'espère arriver à... je ne sais pas. Et peut-être que si ça sort pas, ça sort sous forme de rêves forts. En tout cas c'est ce que je me suis dit.
J'essaie aussi de parler librement sans avoir peur du retour, parce que je me dis que si les intentions sont bonnes, on a pas à se soucier de mauvais retours. Tout est clair la-haut, sans jugement. Si jugement il y a, alors c'est en nous.
Ce qui m'agace le plus, c'est le jugement de l'exterieur sans objectivité (la colère a disparu)
- la colère a disparu:
J'ai fait relire mon roman par des proches :
- j'ai eut un, j'accroche pas, ça ne correspond pas à mes lectures, par contre je suis impressionné par ton imagination. Ok critique comprise : meme s'il y a un plaisir de lire, il y a aussi un j'aime, j'aime pas. Ca me va, tant pis pour la critique globale.
- et aussi un, j'ai pas accroché, c'est confus et illisible (cette critique j'ai du aller la chercher, il m'a expliqué que c'était dur à dire). Là par contre, à part me blesser, et me faire comprendre que mon livre c'est de la merde, et que c'est pas trop la peine de continuer.
L'image est la suivante : quand quelqu'un essaye de faire un truc pour lequel il a du plaisir, mais au vu des maitres ce n'est pas exceptionnel ... c'est comme si on te donnait une seat marbella, et que ton plaisir c'est de conduire dans chemins sinueux, et que l'on te compare à Sebastien Loeb en te disant arrete de parler de ça, ce n'est pas interessant au vu de ce que fait Sébastien Loeb. Donc ok, je prends plaisir à conduire sur des chemins sineux, et je n'en parle plus. Et quand on te parle de Sébastien Loeb en terme d'admiration ben tu finis par te dire que tu n'as plus envie d'entendre ça, parce que ... ben parce que ça fait mal, Sebastien Loeb tu le verra jamais, tu ne pourra jamais parler de cette sensation avec lui.
En fait c'est ça, le plaisir n'est effectif que si tu peux le partager avec quelqu'un qui comprends la sensation et qui a envie de partager, et moi dans ma vie réelle : je n'en connais aucun.
Pour le reste des avis, c'est une feinte de non recevoir. En virtuel c'est différent, pou rl'instant je n'ai eut que des avis positifs, voire très positif.
et donc dichotomie, la réalité me dit "non", le virtuel me dit "oui".
du coup le virtuel ment.
Non certains retours virtuels m'ont fait énomément plaisir, et ils avaient l'air sincère.
Après le public reél et différent du virtuel, donc il n'y pas dichotomie, mais plutot une question de largeur de public.
dans le virtuel, c'est un public communautaire, qui partage à peu de chose près les memes interets.
dans la réalité, c'est un public familial (ou proche), qui ne partage pas les memes interets
et dans la réalité, il y a aussi l'arbitre, ou expert ... l'éditeur :
2 refus avec retour dépersonnalisé. normal, vu le volume qu'ils ont à traiter.
1 refus avec retour personnalisé (meme s'il s'agit peut etre d'un dépersonnalisé). Celui-là m'a fait très plaisir, et m'a donné de l’énergie pour modifier mon roman.
1 sans retour.
1 annulation. Bien aimé l'intention d'explication du pourquoi je n'ai pas de retour.
1 refus sans retour. Celui là, il m'emmerde carrément, j'ai attendu 8 mois (considéré comme un refus dans le mail de réception), mais il n'y aucun retour comme quoi il en ont sélectionné au moins 1. Donc du coup on reste dans le flou, et ça j'aime pas.
Oui, un membre de ce site l'a dit clairement, dans mon imaginaire il s'agit de MELAHEL, j'imagine qu'il y en a d'autre, tant ils irradient la sérénité et la compassion.
Et si c'était pas une illusion de parler à des anges via internet ?
J'avoue que souvent j'utilise cette image pour faire mes posts, tout simplement parce qu'ils sont par définition éveillé, et donc à meme d'absorber la charge émotionnelle.
C'est comme mon image de Dieu, l'UN, le TOUT, ... je suis si infime au vu de l'immensité que mon débordement d'émotion ne peut en aucun cas affecter l'ensemble, sauf quand je reçois une chanson de ce genre là :
- chanson:
Dans ce cas, je me dis que peut-etre il y a blessure, et là je pars dans des trucs ... vaniteux ... nan ... orgueilleux non plus ... je trouve pas le mot p... précieux ... ça y est j'ai trouvé pernicieux, ... nan en fait c'était prétentieux le mot (d'où la question : qui a resisté ? l'égo ? l'ame ? : je dirais l'inconscient)
- l'accès a l'inconscient, un peu bizarre non ?:
je pense partir dans des trucs ... c'est un constat
je veux qualifier la pensée
j'ai utilisé le mot blessure, je blesse, tu blesses, je fais mal
après résistance, je trouve pernicieux, je lis la définition, oui c'est ça que je voulais dire "qui est moralement mauvais"
Alors qu'à l'origine c'était pretentieux (mot utilisé dans un contexte similaire)
Et après reflexion, le mot pernicieux est tout à fait juste.
je réécoute la chanson
est ce que ça me rassure de croire que je puisse faire mal ?
Oui
encore une croyance.
d'où me vient elle ?
l'enterrement de ma grand mère
et en fait, j'ai juste libéré une émotion, et permis à ma famille de la libérer.
nettoyage OK- chanson:
Merci.
Rien qu'avec l'intention qu'on porte dans nos mots ici, pour moi c'est suffisant l'amour que j'y reçois. Même si derrière il y a une vie qu'on ne connais pas vraiment, la communication est réelle. En tout cas c'est ce que je perçois avec toi et d'autres ici. Nickel
J'ai une sensation identique, c'est très agréable, se sentir libre de s'exprimer librement, juste avec les entraves que l'on porte.
Un grand plaisir cette conversation.
Namasté.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Coucou Obtearon
Qui est Indila ?
J'ai lu un te tes romans, jusqu'au bout, c'est que ça m'a plu; merci pour le partage. Il me semble qu'il n'est pas fini, j'attendrais la suite C'est celui qui se passe dans une salle d'examen et où tout se passe sur écran. Scénario original, même pas un film de science fiction qui lui ressemble, sauf Inception, mais même pas encore. Ca m'a fait penser à une école de créateurs.
Même chose avec mon compagnon de vie, même si ça été sur le tard, quand on est enfant, on a pas d'age. Y a que quand on se regarde dans le miroir qu'on se dit "merde, j'avais oublié..." comme dans le sketch d'une humoriste qui croit voir son père dans le miroir de la salle de bain, le lendemain d'une sortie en boite, cuite comprise Ce monde d'innocence je l'ai trouvé avec lui, la petite fille que j'aurais du être enfant. Tu vois là j'ai de la colère qui remonte. J'en met ma main au feu que cette colère remonte à ma petite enfance.
Dans les critiques, c'est les façons de le dire, quand la personne t" as dit "c'est confus et illisible", il manque "personnelment je trouve..." ou "pour moi c'est" sinon ça donne l'impression qu'il parle au nom de tous.
C'est avec plaisir que tu me reveille des souvenirs de cette periode ou j'avais envoyé mon manuscrit à plusieurs éditeurs apres l'avoir fait lire à mon entourage qui m'avait poussé à le faire éditer. J'ai eu de tres bons retours des proches. Par contre la dizaine d'éditeurs a qui je l'ai envoyé m'ont donné à peu près la même réponse type "bon texte, mais ne correspond pas aux critères de nos lecteurs" et un en particulier qui à entouré de rouge plusieurs pages en notant que je me trompais sur l'histoire, que c'était en gros du n'importe quoi (ça met une claque, lol) alors ou était la vérité ? Bon ou pas bon, j'y ai eu mon plaisir en créant cette histoire. Malgré ce besoin de partager et d'avoir du retour, le plus bon, c'est ça, plonger en nous, tout oublier et se mettre dans l'histoire qu'on crée.
J'avais une amie à l'époque qui écrivait elle aussi un roman, mais personne ne pouvait le lire. C'était son monde. C'est ce qui nous rapprochait aussi. Un jour elle me l'a fait lire. Une bonne pile d'écriture bien serrée pas facile à lire car à mon avis il n'y avait pas assez de précisions et ça poussait le lecteurs à se poser pleins de questions, et donc à décrocher facilement. Je l'ai lu sur plusieurs jours en lui posant des questions chaque jours pour éclaircir ma lecture. Au bout du compte, je lui ait dit que j'avais aimé son histoire, mais que sans son aide, j'aurais,laché l'affaire des le premier jour. elle a décidé de le réecrire en donnant les détails qui suffiraient pour que le lecteur puisse plonger dans son monde sans son aide extérieur. Ensuite elle m'a promit qu'elle l'editerait si j'édite le mien car elle avait aimé mon roman. Ce que j'ai essayé de faire. C'etait une experience que j'ai beaucoup aimé dans l'ensemble!
Ho bon sang, j'ai été bavarde, rhoooo. Je sais encore pas où je vais pondre mon prochain roman... Tu fais ça sur word toi ?
Amicalement et au plaisir
Qui est Indila ?
J'ai lu un te tes romans, jusqu'au bout, c'est que ça m'a plu; merci pour le partage. Il me semble qu'il n'est pas fini, j'attendrais la suite C'est celui qui se passe dans une salle d'examen et où tout se passe sur écran. Scénario original, même pas un film de science fiction qui lui ressemble, sauf Inception, mais même pas encore. Ca m'a fait penser à une école de créateurs.
En écrivant, en imaginant, on retrouve cette innocence de l'enfant, tout en étant l'adulte que l'on est. Je commence à comprendre ce qu'Indila m'a fait retrouver, ce n'est pas la réalisation d'un reve d'enfant, ce n'est pas un plaisir d'enfant, c'est moi, c'est ce que je suis, elle m'a aidé à retouver mon innocence. Celle de vivre dans un monde de magie et de couleurs, c'est ça mon monde réel.
Même chose avec mon compagnon de vie, même si ça été sur le tard, quand on est enfant, on a pas d'age. Y a que quand on se regarde dans le miroir qu'on se dit "merde, j'avais oublié..." comme dans le sketch d'une humoriste qui croit voir son père dans le miroir de la salle de bain, le lendemain d'une sortie en boite, cuite comprise Ce monde d'innocence je l'ai trouvé avec lui, la petite fille que j'aurais du être enfant. Tu vois là j'ai de la colère qui remonte. J'en met ma main au feu que cette colère remonte à ma petite enfance.
Ce qui m'agace le plus, c'est le jugement de l'exterieur sans objectivité
Dans les critiques, c'est les façons de le dire, quand la personne t" as dit "c'est confus et illisible", il manque "personnelment je trouve..." ou "pour moi c'est" sinon ça donne l'impression qu'il parle au nom de tous.
C'est avec plaisir que tu me reveille des souvenirs de cette periode ou j'avais envoyé mon manuscrit à plusieurs éditeurs apres l'avoir fait lire à mon entourage qui m'avait poussé à le faire éditer. J'ai eu de tres bons retours des proches. Par contre la dizaine d'éditeurs a qui je l'ai envoyé m'ont donné à peu près la même réponse type "bon texte, mais ne correspond pas aux critères de nos lecteurs" et un en particulier qui à entouré de rouge plusieurs pages en notant que je me trompais sur l'histoire, que c'était en gros du n'importe quoi (ça met une claque, lol) alors ou était la vérité ? Bon ou pas bon, j'y ai eu mon plaisir en créant cette histoire. Malgré ce besoin de partager et d'avoir du retour, le plus bon, c'est ça, plonger en nous, tout oublier et se mettre dans l'histoire qu'on crée.
J'avais une amie à l'époque qui écrivait elle aussi un roman, mais personne ne pouvait le lire. C'était son monde. C'est ce qui nous rapprochait aussi. Un jour elle me l'a fait lire. Une bonne pile d'écriture bien serrée pas facile à lire car à mon avis il n'y avait pas assez de précisions et ça poussait le lecteurs à se poser pleins de questions, et donc à décrocher facilement. Je l'ai lu sur plusieurs jours en lui posant des questions chaque jours pour éclaircir ma lecture. Au bout du compte, je lui ait dit que j'avais aimé son histoire, mais que sans son aide, j'aurais,laché l'affaire des le premier jour. elle a décidé de le réecrire en donnant les détails qui suffiraient pour que le lecteur puisse plonger dans son monde sans son aide extérieur. Ensuite elle m'a promit qu'elle l'editerait si j'édite le mien car elle avait aimé mon roman. Ce que j'ai essayé de faire. C'etait une experience que j'ai beaucoup aimé dans l'ensemble!
Ho bon sang, j'ai été bavarde, rhoooo. Je sais encore pas où je vais pondre mon prochain roman... Tu fais ça sur word toi ?
Amicalement et au plaisir
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
Pour cette question, je ne peux répondre qu'en chanson :
Qui est Indila ?
- Mini-World:
- Boite En Argent:
Et puis il y a aussi toutes ses productions, tous ses dons de soi, toutes irradient de la lumière et de l'amour, et toutes me touchent/m'ont touché, certaines avec une telle profondeur que je ne me souviens pas avoir vécu quelque chose de comparable, et donc c'est gravé en moi, car pour moi c'est unique, c'est rare et précieux.
Et je garde au fond de moi, un moment très particulier, celui où j'ai existé tel que je suis (sans aucun filtre), quand ça ne va pas je me le rappelle, et j'y puise une belle énergie, celle de me dire c'est possible, ça existe, et j'envois valser l'univers, tous ces principes, toutes ces régles, et toutes ces limites.
- Tout le temps:
Ce n'est pas Indila, mais Boulevard des airs ( des airs --> désert )
c'est en cours, j'en suis à l'étape de rédaction du brouillon, j'espère avoir fini pour le début du printemps, après il y aura la phase de relecture et correction, puis la publication (surement sur ce site), et enfin la finalisation.
J'ai lu un te tes romans, jusqu'au bout, c'est que ça m'a plu; merci pour le partage. Il me semble qu'il n'est pas fini, j'attendrais la suite drunken
c'est un bon résumé. C'est exactement ça, l'intitulé était à l'origine professeur d'imagination, mais c'est parti en cacahouète dès le premier cours. J'adore cette sensation où l'auteur est à la fois lecteur/acteur/auteur, c'est surprenant ... le moment le plus particulier c'est quand je rédigeais et puis là un mot "surpahasage", sur le coup j'ai pensé WTF, puis après j'ai déroulé, et c'était juste énorme, ça m'a appris l'infini, ça m'a permis de définir ce que sont Kether et Malkut dans mon propre univers.
C'est celui qui se passe dans une salle d'examen et où tout se passe sur écran. Scénario original, même pas un film de science fiction qui lui ressemble, sauf Inception, mais même pas encore. Ca m'a fait penser à une école de créateurs.
Il y aura surement une suite, car il y a une contradiction, j'ai vu l'infini, mais mon modèle est une itération finie. J'ai commencé à l'imaginer, ça m'a amené sur Yesod, et Hod, mais ça reste une sphère pour l'instant impénétrable (là j'ai l'image du vif d'or qui s'ouvre toujours à temps ), ça j'aime bien aussi, il y a un casse-tete, je sais que j'arriverais à l'imaginer ... car il s'agit de repousser les limites de l'imagination, observer l'objet sous un angle que l'on ne connaissait pas.
je pense que je vois bien, je vais essayer de le formuler car je ressens une colère sous-jacente, je ne l'exprime pas car dans un sens elle est également la preuve d'une ingratitude.
Ce monde d'innocence je l'ai trouvé avec lui, la petite fille que j'aurais du être enfant. Tu vois là j'ai de la colère qui remonte. J'en met ma main au feu que cette colère remonte à ma petite enfance.
Je vais le faire dans un autre topic, mais se sera aujourd'hui, peu importe la prudence et les alignements. Cette colère, cette peur me pourrit la vie depuis bien trop longtemps.
Notre conversation m'aura donné l'impulsion, l'engagement et l'energie nécessaire pour la traiter.
namasté.
c'est exactement ça, c'est comme ça que je le perçois, il en va de meme pour "c'est facilement lisible" mais là il est plus facile de rajouté mentalement "pour moi".
Dans les critiques, c'est les façons de le dire, quand la personne t" as dit "c'est confus et illisible", il manque "personnelment je trouve..." ou "pour moi c'est" sinon ça donne l'impression qu'il parle au nom de tous.
j'aimerais bien la lire.
Bon ou pas bon, j'y ai eu mon plaisir en créant cette histoire. Malgré ce besoin de partager et d'avoir du retour, le plus bon, c'est ça, plonger en nous, tout oublier et se mettre dans l'histoire qu'on crée.
elle a été publié ?Ensuite elle m'a promit qu'elle l'editerait si j'édite le mien car elle avait aimé mon roman. Ce que j'ai essayé de faire. C'etait une experience que j'ai beaucoup aimé dans l'ensemble!
Sur worpad, avec word certain de mes fichiers se sont corrompus, les rendant illisible.
Ho bon sang, j'ai été bavarde, rhoooo. Embarassed Je sais encore pas où je vais pondre mon prochain roman... Tu fais ça sur word toi ?
Belle journée à toi.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Pas à ma connaissance. Elle ne l'avait toujours pas fait 10 ans après et ensuite j'ai changé de vie, on ne se voit plus. Donc je ne sais pas.elle a été publié ?
Tu me fais plaisir Je ne pense pas que je le réecrirais sur le forum, y a quand même pas mal de pages. Je vais voir comment je peux faire çaj'aimerais bien la lire.
avec word certain de mes fichiers se sont corrompus, les rendant illisible.
Les boules !
c'est en cours, j'en suis à l'étape de rédaction du brouillon, j'espère avoir fini pour le début du printemps, après il y aura la phase de relecture et correction, puis la publication (surement sur ce site), et enfin la finalisation.
Je serais là pour le lire
Je m'étais aussi inscrite il y a longtemps à un site où on pouvait écrire des nouvelles et les faire partager. Il y avait aussi une section où on pouvait écrire des poésies. Je ne sais plus le nom du site. A l'époque j'avais le temps, j'étais chez Paul (Pole emploi) y a 10 ans donc. Les lecteurs inscrits lisaient et notaient et à chaque fin de mois, les resultats de la meilleure nouvelle et de la meilleure poésie était affichée. Ensuite tout ça était mis dans un bouquin qui était édité, réunissant tout les vainqueurs.
Les mois passaient et bien que mes écrits étaient bien notés, je n'était pas en tête de liste. Frustration. Je pensait que je ne valais rien et ça me ramenais à des phrases que mon ex me balançait "Sans moi tu n'est rien) et comme je venais de finir cette histoire avec lui, il me fallait me prouver que je n'était pas rien, même sans lui. Il fallait que je gagne. 9a m'a pas aidé de me fourrer dans ce cercle vicieux à cette période où je me reconstruisait (et c'est moi qui me suis fourrée dedans, lol).
Mais alors que je m'y attendait pas, un de mes poeme a été retenu. Je pense que tu imagine la joie que ça procure Je ne sais pas pourquoi j'ai abandonné tout ça apres (ha si je sais, mais je ne veux pas me rappeler parce que ça fait mal). C'est pour ça que je te dis que tu joue un role important dans ma vie en ce moment en me faisant rappeler ce que j'avais commencé et qui me faisait vibrer. Tu me fais prendre conscience que dans cette période, il n'y avait pas que de mauvais moments, sauf que j'ai gardé en souvenir que les mauvais.
Mon poeme "qui du mouton ou du loup" a été retenu par les lecteurs, et à ce moment j'ai choisi de partir dans le matériel pour me prouver que j'étais capable de travailler 8h00 par jour et ne dépendre financièrement de personne - à l'époque j'étais encore dans cette croyance - J'avais du mettre ça de côté pour me mettre d'abord à l'abri financièrement et les années ont défilé, et j'en ai oublié pourquoi j'avais été là à ce moment. Merci de me l'avoir rappelé
Et là, voilà ce bon vieux mental ringard qui me dit " ca serait pas plutot parce qu'on s'interresse à toi dans ce domaine que ça te donne envie de le faire parce que tu auras le sentiment d'être mise en valeur ?" Mmmmhhh... Et là le doute s'installe Pause... intervention de la voix divine " Si ça te fais vibrer, fais-le et cloue le bec au mental qui fait de toi quelqu'un qui doute et qui n'a pas confiance en elle." Combat intérieur toujours là
Namasté
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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
Pour le partage, j'utilise http://textup.fr/ puis je decompose en texte de 2000 à 3000 mots. Et enfin une page avec l'ensemble des chapitres : https://devantsoi.forumgratuit.org/t2925-p-projet-chimere-les-emotions-du-roi.
Tu me fais plaisir Very Happy Je ne pense pas que je le réecrirais sur le forum, y a quand même pas mal de pages. Je vais voir comment je peux faire ça scratch
Cette méthode est bien plus libre, et plus simple, j'ai un texte, j'ai un lien, je partage le lien.
Une autre méthode, j'utilise wattpad pour les sous-romans , et les nouvelles (c'est sur cet outil que je partage les productions de mon personnage principal), exemple : https://www.wattpad.com/240782056-le-reflet-du-roi-chapitre-1-la-lettre.
La méthode wattpad oblige le lecteur à se connecter sur l'application, c'est pas top, mais d'un autre coté ça donne de la réalité à mon personnage principal.
Dans ma boite, ils ont organisé un concours similaire, l'objectif était de faire un livre avec l'ensemble des nouvelles des collaborateurs. j'ai écrit 3 nouvelles : aucun retour, l'organisateur à abandonner l'idée (faute de participant, je crois).
Je m'étais aussi inscrite il y a longtemps à un site où on pouvait écrire des nouvelles et les faire partager. Il y avait aussi une section où on pouvait écrire des poésies. Je ne sais plus le nom du site. A l'époque j'avais le temps, j'étais chez Paul (Pole emploi) y a 10 ans donc. Les lecteurs inscrits lisaient et notaient et à chaque fin de mois, les resultats de la meilleure nouvelle et de la meilleure poésie était affichée. Ensuite tout ça était mis dans un bouquin qui était édité, réunissant tout les vainqueurs.
- dès fois je pars dans des trucs ...
J'ai pas l'impression de demander la lune, mais juste une dizaine de lecteur avec leur appréciation dans la réalité, ça aurait été bienvenue. Mias bon, en meme temps l'absence de retour me fait dire :"Rien à foutre moi j'avance, et je fais ce que j'aime faire" puis après "juste un petit partage, un tiens moi j'ai aimé, je te conseille la lecture, sans que j'ai rien à demander, mais non faut tout faire soi-meme, faut faire les corrections, les relectures, identifier les améliorations, identifier les cohérences et les incohérences, faut apprécier son travail, faut le partager sur internet, en discuter ouvertement, faut faut, et si tu fais rien, ben il se passe rien ( t'as essayé ? ) gros foutage de gueule ( pas du tout) , si si, nan mais t'embetes pas tout est super génial, fais ton taf, moi je fais le mien, mais s'il te plait fais moi pas chier sur l'effort à produire pour etre juste entraperçu par 1 personne, si ca plait à personne, si personne ne souhaite me soutenir, c'est juste que c'est bien, mais sans plus, alors arrete de me mettre cette putain d'idée que mon roman va changer le monde, c'est non avenu, si je veux que ça marche je mets un gilet jaune, sans moi ... ça prends pas, ça prends pas, qu'est que tu veux que je te dise ( crois en toi ), là encore tu te fous de ma gueule, sur l'EDP j'y ai cru, qu'est que ça a changé, rien, donc ( donc crois en toi ça finira par venir ), ah ça j'y crois t'inquiéte, mais c'est pas pour tout de suite, ou pour "bientot"(lol), le maintenant ça c'est pas possible, les alignements, les conneries spirituelles habituelles, donc Ok ça viendra, mais je ne ferais aucun effort que je n'ai envie de faire ( très bien ) allez va boudher dans ton cosmos ( t'es en colère ?) , dans un sens oui, pourquoi pas moi ?, et dans un sens non, parce que "pas moi" et puis c'est tout, fin de l'histoire, dans un sens c'est ça, si moi je ne fais pas l'affaire, où il est ton fameux grand monarque qui nous amenra vers Jésus, il fait quoi, il a piscine ?, il a raté son bus ? il est où ? (Macron, Trump, Poutine) , franchement ils sont justes à vomir dans leur façon d'etre, ( les boudhistes) , mais sans déconner, ils font que dalle à part pisser dans un violon, leur action n'a acune incidence sur la vie des humains en général, et puis de toutes façon le gap est bien trop grand, pas de sexe pas d'alcool, la méditation la plénitude, ben non la solution c'est la création, c'est pas le detachement, c'est clair là, (tu vas partager ça ?), ben non, c'est entre toi et moi.
En fait si, ça fait presque 4 ans que je fais ce genre de conversation avec ... mon moi inconscient (C'est un amalgame entre le relou, le perché, et un chouia de mon pote intergalactique )
Ah, on me dit dans l'oreillette que :
Allez on va au bout (les etres interdimensionnels) lol, et leurs actions transcendentales elles donnent quoi ? (ils suivent le plan) lol, ils ont surtout une peur immense de perdre leur transcendance, ils sont mort de peur à l'idée qu'un humain puisse les toucher, puisse les inspirer,- chanson:
image d'un ange qui plonge, qui déchoit
alors ils restent en retrait, et ils contactent qui ?, seulement des humains qui se soumettent à eux, à aucun moment ils nous considèrent comme leur égal, nous sommes les inférieurs, ils ont peur de notre pouvoir de création, et qu'est qu'ils se passent dès qu'un humain se connecte au champs A ou Kether, ben c'est un nouveau big bang, un nouvel univers qui se créé, et chui d'accord, certains univers ne sont pas très attirant, voir son carement flippant (Stephen King, Chatam, Simons, ... ), et c'est vrai aussi que souvent quand quelques choses d'extérieur viens nous faire chier, on lui mets la misère, on le renvois dans les limbes, on l'explose façon puzzle (independance Days, Eyes of tomorow, Oblivion, ... ), et aussi quelque fois on est plus fin (premier contact, interstellar, ... ), alors je comprends que ça fasse peur, mais plus simplement il suffit de nous parler en égal, pas d'inférieur ni supérieur, pas de bien ou de mal, juste nous parler comme nous nous parlons, mais ça vous ne savez pas faire, où chaque fois que vous avez essayé, vous vous etes retrouvé à devenir humain, avec l'oubli, la déchéance, la douleur, la souffrance- Toujours au bon moment:
J'aime bien ton histoire du poème, comme souvent dans notre conversation ça me renvoit à moi, pas que tu sois semblable, c'est juste qu'il y a des similarité dans nos histoires, et donc ton histoire renvoit à la mienne ... c'est agréable, ça induit une compréhension de l'autre, et en meme temps nous n'avons pas le meme vécu ... il y a souvent une partie qui fait , ah tiens moi je fais ça aussi ... et puis la suite pourquoi je ne connais personnes comme ça dans la vraie vie, peut etre que je ne m'adresse pas au bonne personne, mais en meme temps elles sont dans ma vie ... pas trop le choix que de faire avec ce que j'ai, non ?
Il n'y a que sur internet, et c'est une illusion, celle d'imaginer que l'autre comprends, mais c'est agréable, et il fait beau dehors, que demander de plus.
je pense que c'est ça qu'ils veulent dire par le passé n'existe plus, il devient un souvenir, une imagination qui se base sur des choses concrètes que sont les événements du passé, c'est une source quasi-infinie d'inspiration ... l'histoire d'un poème, avec ses hauts, ses bas, ses émotions, ses frustrations, ... sans trop savoir pourquoi ça me donne le sourire. Merci.
Merci de me l'avoir rappelé
Il y a de ça, perso c'est plus un sentiment d'utilité, si ça touche quelqu'un c'est de la reconnaissance, si ça touche un ensemble, c'est de l'utilité, si ça ne touche personne, c'est inutile. Et la petite sécurité qui va bien, si ça te touche toi, c'est utile pour toi. Mais voilà, si ça ne touche que moi, c'est en circuit fermé, pas besoin de le vivre, dans ce cas c'est l'extérieur qui sert à rien (par extérieur, j'entends tout ce qui n'est pas à porté de mes sens ) ... ... si je projette cette conception sur autrui, il se passe quoi ? ... si je suis touché par quelque chose venant d'autrui, je suis heureux. Si je constate que nous sommes un ensemble à etre touché, j'en suis encore plus heureux, car cela veut dire que ce qui me touche, touche également autrui, donc la source de l'affect devient réelle : elle n'a plus besoin de moi pour exister, et je peux y puiser autant de fois que je veux puisqu'elle est porté par l'ensemble. Et puis il y a le temps, si je me souviens avoir été touché, c'est que la profondeur de l'affect fait que c'était en moi, ce n'était pas en surface, et si la source de l'affect disparait de ma vie, je fais quoi ? Je continue de l'alimenter pour qu'il continue d'exister, je le fais surgir de moi pour en faire une illusion, et je l'alimente tant que j'en ai besoin. Je nourris l'illusion de dépendance vis à vis de quelque chose d'extérieur à moi, mais qui vient de moi ... la seule chose dont j'ai besoin, c'est de savoir que la source originale existe ou a existé, de là nait l'espoir, celui d'etre touché à nouveau, mais pas par l'illusion, par la source réelle, c'est à dire ce qui n'est pas moi (physiquement).
" ca serait pas plutot parce qu'on s'interresse à toi dans ce domaine que ça te donne envie de le faire parce que tu auras le sentiment d'être mise en valeur ?"
Mais je ne veux pas etre dépendant, donc j'efface, je détruit, je nie, je refute, j'oubli, sauf que ça revient, car lorsque je reconstruit, la source fait parti de la construction puisqu'elle en est l'instigatrice, l'impulsion, la flèche qui a touché la profondeur de mon ame. La source de l'affect devient le point d'ancrage, celui à partir du quel je me reconstruis ... et je tranche l'ancre ... car j'ai la carte, je l'ai refaite, j'ai la boussole, j'ai le cap, j'ai le bateau, il ne me reste qu'à naviguer au grès du vent.
Je constate que je ne suis ni dans le divin, ni dans le mental, ni dans l'égo, je suis moi.
Et donc la douleur est celle là, celle de voir que les autres ont l'air d'avoir plaisir à etre, et plus ils prennent du plaisir, plus c'est douloureux, car je ne me donne pas le droit d'etre moi, j'imagine toujours quel propos va blesser, va faire plaisir, etc, etc alors que non je suis ce que je suis, si ça ne plait pas, ça ne doit en aucun cas me faire mal, ni du bien d'ailleurs, ce que l'autre juges de moi n'a aucune importance, n'a aucune essentialité, n'a aucune existence (les paroles existent, l'intention n'existe pas réellement, c'est une illusion).
Namasté Grenouille
- Un peu comme un bateau:
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Merci pour le partage Obtéaron, je suis allée voir, il y en a un que j'éviterais car il n'est pas sécurisé (textup). J'ai essayé de faire un compte sur Wattpad mais le pseud grenouille est déjà pris. Auparavent j'ai pris le temps de lire le chapitre 1 de la lettre que j'ai trouvé captivant. Je n'ai pas la pleine concentration ces derniers jours pour me plonger dans une lecture (ça vient de moi, abus d'alccol du week-end, y a encore des restes) J'y reviendrais donc. Mon compagnon vient d'arriver avec un nouveau jouet - une défonceuse - je ne sais pas encore trop ce que c'est mais rien que le nom me fait sourire, ou rire si on lui donne une connotation sexuelle (lol)
C'est ce qui fait la richesse de ces échanges je trouve. Si Cet amie que j'avais connu à une période de ma vie n'était pas en train d'écrire un roman, on aurait pas eu à échanger ce sujet qui nous a rapproché à l'époque. Il y avait aussi pleins de similitudes qui nous a rapproché, son lourd passé, sa solitude et son manque de confiance en elle. En gros. Mais je pense que c'est encore plus compliqué que ça. Qu'est ce qu'on recherche l'un et l'autre ? PS: Mon compagnon de vie vient de me dire "je trouve que tu te pose trop de questions". Je pense qu'il a raison
Aujourd'hui j'ai du mal à être moi, beaucoup de filtres et de peurs en moi, je reviendrais quand je serais plus légère. Je n'aime pas me montrer telle quelle, en principe je m'isole quand je me sens comme ça.
Namasté Obtearon
La vache, c'est pas respectueux de sa part de lacher l'affaire sans rien dire. J'espère que tu as gardé les trois nouvelles afin qu'elles soient à portée des personnes qui désirent les lire (éditées quoi).Dans ma boite, ils ont organisé un concours similaire, l'objectif était de faire un livre avec l'ensemble des nouvelles des collaborateurs. j'ai écrit 3 nouvelles : aucun retour, l'organisateur à abandonner l'idée (faute de participant, je crois).
J'aime bien ton histoire du poème, comme souvent dans notre conversation ça me renvoit à moi, pas que tu sois semblable, c'est juste qu'il y a des similarité dans nos histoires, et donc ton histoire renvoit à la mienne ... c'est agréable, ça induit une compréhension de l'autre, et en meme temps nous n'avons pas le meme vécu ... il y a souvent une partie qui fait , ah tiens moi je fais ça aussi ... et puis la suite pourquoi je ne connais personnes comme ça dans la vraie vie, peut etre que je ne m'adresse pas au bonne personne, mais en meme temps elles sont dans ma vie ... pas trop le choix que de faire avec ce que j'ai, non ?
C'est ce qui fait la richesse de ces échanges je trouve. Si Cet amie que j'avais connu à une période de ma vie n'était pas en train d'écrire un roman, on aurait pas eu à échanger ce sujet qui nous a rapproché à l'époque. Il y avait aussi pleins de similitudes qui nous a rapproché, son lourd passé, sa solitude et son manque de confiance en elle. En gros. Mais je pense que c'est encore plus compliqué que ça. Qu'est ce qu'on recherche l'un et l'autre ? PS: Mon compagnon de vie vient de me dire "je trouve que tu te pose trop de questions". Je pense qu'il a raison
Il n'y a que sur internet, et c'est une illusion, celle d'imaginer que l'autre comprends, mais c'est agréable, et il fait beau dehors, que demander de plus.
Aujourd'hui j'ai du mal à être moi, beaucoup de filtres et de peurs en moi, je reviendrais quand je serais plus légère. Je n'aime pas me montrer telle quelle, en principe je m'isole quand je me sens comme ça.
Namasté Obtearon
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
Je commence mon histoire sur Wattpad. Merci pour tout Obtearon, bisou
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
Ce passage m'a fait voir quelque-chose sur notre conversation :
Merci pour le partage Obtéaron, je suis allée voir, il y en a un que j'éviterais car il n'est pas sécurisé (textup). J'ai essayé de faire un compte sur Wattpad mais le pseud grenouille est déjà pris. Auparavent j'ai pris le temps de lire le chapitre 1 de la lettre que j'ai trouvé captivant. Je n'ai pas la pleine concentration ces derniers jours pour me plonger dans une lecture (ça vient de moi, abus d'alccol du week-end, y a encore des restes) J'y reviendrais donc. Mon compagnon vient d'arriver avec un nouveau jouet - une défonceuse - je ne sais pas encore trop ce que c'est mais rien que le nom me fait sourire, ou rire si on lui donne une connotation sexuelle (lol)
Au fur et à mesure, j'ai levé plusieurs système de défense inconscient pour en arriver à je suis libre d'etre l'enfant, il n'y a aucune menace.
Et puis là, j'ai vu mon système principal de défense se remettre en place, juste sur un mot (sexuelle), du coup j'ai pris conscience d'etre adulte, et que toi aussi tu étais adulte.
Du coup ça m'a ramené à "vous avez une peur bleue d'etre touché par un humain", cette phrase je l'ai prononcé en tant qu'enfant, en mode miroir, c'est donc moi qui est cette peur bleue.
Bien, ça, c'est le constat.
- C'est un peu long ...:
Mentalement, ce système est très efficace, il me permet de proteger l'enfant qui est en moi, qui est moi, mais qui est aussi une source de plaisir, une source de souvenir de création, de jeu, de filouterie, ... c'est encore lié à ma petite enfance, c'est un système qui me permet de protéger, pas de dénaturer. Et je suis adulte, j'ai toujours cet espace en moi, il est presque immaculé, et en plus il est rattaché à un lieu physique.
Quand je suis dans ce lieu, je redeviens cet enfant libre de presque tout, mais je suis adulte, et du coup je dois accepté les intrusions dans ce monde, et ce lieu, ma belle famille a tenté de le dénaturé, pas physiquement, juste en projetant des idées de transformation et d'intention, que j'ai rejeté, plutot violement il faut dire, mais voilà je ne permettrais à personne extérieur à ce lieu de le changer, en gros : allez vomir ailleurs ici c'est chez moi.
Bon là, je suis encore entrain de partir dans des trucs de l'espace ... il est toujours là ce système de défense, mais bon faut bien que je l'exprime sinon je n'en ai pas la maitrise, donc je continue.
Alors, j'ai plusieurs pistes :
- partir sur ma vision de l'adulte (le constat)
- partir sur le système de défense (l'inconscient)
- partir sur la sécurité (l'intention)
La réponse qui vient le plus facilement : qu'est que je protège ? L'enfant, c'est l'évidence ... pourquoi je le protège ? parce qu'il a souffert, et qu'il a dit STOP, et il lui a été donné (marrant comment je le considère comme une personne à part) un lieu où il a trouvé une sécurité totale.
Et puis est venu l'adolescence, la sécurité n'était plus totale meme en ce lieu : l'interaction avec la gent féminine. J'ai donc construit un système de défense où c'est moi qui selectionne qui rentre ou qui sort, et j'avoue qu'à la moindre émotion contradictoire, je rejete ... abruptement, avec quelques fois, des justifications, mais dans l'ensemble j'ai quand meme l'honneteté de trancher le lien sans aucune considération sur ce que je manque (bien ou mal, je m'en cogne), juste la satisfaction de protéger l'enfant ... je contre.
Et je fais ça tout le temps, enfin non, depuis 2012, je contre moins, tout simplement, car j'ai eut l'occasion d'expérimenter l'expression de ce que j'ai caché pendant tant d'année, il s'en est suivi une tempete émotionelle qui m'a fait vacillé, mais j'avais mon système, et inconsciement plutot que de contrer, de rejeter, j'ai accepté que cela vienne de moi, et j'ai recommencer à écrire.
Car dans mon adolescence, c'était quelque chose que je faisais inconsciement, l'expression de ma colère avait pris la forme d'un loup noir, maitre du feu, il avait meme un nom "Bashar" (référence à Dune). A ce loup, il y avait une forme antérieur celle d'un dragon rouge et noir, je me souviens très bien du lieu où il est apparu la première fois.
C'est la petite histoire, le background, par contre cet expression, meme écrite, je ne l'ai pas partagé, j'avais juste levé une protection, celle qui va de l'intérieur vers un extérieur localisé sur moi-meme.
Et là est venue Indila, bizarrement je l'ai laissé venir inconsciement, sa mélodie à pulvérisé une autre protection, celle qui va d'un extérieur localisé (Indila) vers l'intérieur localisé (ce que j'avais écrit), car je me suis vus dans ce qu'elle exprime, sa musique a agit comme un miroir, et réussir, enfin, à me voir réellement tel que je suis, sans utiliser l'artifice de l'écriture, celui qui créé l'illusion de l'expression totale, celui qui permet de dire "je l'ai dit, je l'ai écrit, c'est la finalité, c'est fait, ce n'est plus de mon ressort".
Et l'enfant reste protégé, il n'est pas exposé à l'extérieur, il ne peut souffrir puisque c'est du passé, il ne peut souffrir car c'est une illusion, il ne peut souffrir car ce n'est pas arrivé.
Mais voilà, un simple concours de nouvelle, et je partage l'expression avec l'extérieur, et j'attends, j'attends la réponse à cette question "qu'est ce que vous en pensez ? est ce que je suis vous touche ? est ce que ce que j'exprime peut toucher de la meme manière qu'Indila m'a touché ? et la réponse "Non". Alors viens l'autre question "pourquoi", et la descente commence.
Dans cette période, j'ai rencontré (via internet) un homme, et je me suis servi de lui pour déverser pratiquement tout ce que je ressentais, et plus j'exprimais, plus il y en avait, comme un flot presque continu. Et j'ai entendu une autre réponse "je ne sais pas quoi faire de cette expression". Alors que faire ... écrire à Indila ... vu le succès ça ne se verra pas, mon courrier sera noyé dans la masse ... oui mais si elle le lit, il y a un danger, celui de se faire rejeter tout aussi abruptement que ce que je fais. Donc l'expression doit etre anonyme, ainsi pas de problème. Et j'ai écrit les émotion du pion, en imaginant que c'était une lettre que j'adressais à Indila. dans ce roman, j'ai mis quelques sécurités. La principale est de dissocier Indila que j'imagine, d'Indila réelle, qui est elle meme une représentation de l'artiste, et non la totalité de ce qu'elle est, là encore je fais cette distinction ... entre ce qu'elle est réellement : une femme d'une beauté d'ame et de corps inégalable, et ce que j'imagine : une créatrice, un ange de lumière, une guide, une professeure, une amante, ... ... bref un fantasme, l'image de moi en femme, mon anima.
l'anima est la gardienne de mon Univers, après elle viens le dragon, le gardien, le protecteur, de qui ? ... de l'enfant.
Il m'a fallu écrire 7 chapitres des émotions du pion, pour parvenir à cet enfant. Et là, j'ai laissé l'expression se faire, le chapitre 8, puis retranscrire les reves, le chapitre 9, et enfin le chapitre 10, où je me suis retrouvé face à moi. Et j'ai ajouté, retiré le nom d'Indila, un certain nombre de fois, pour finalement le laisser, et avoir une réponse "Tu as réussi, tu as réussi à t'exprimer".
Et la suite, les émotions du roi, une traduction de mon univers intérieur. Fin de l'histoire ? Non, l'histoire continue, je traduis en mot ce que me dis l'enfant en moi. La protection de l'intérieur vers l'extérieur est levée.
Reste une protection, c'est celle là qui se lève dès que je reprends conscience que je suis adulte, je ne suis plus l'enfant que j'ai été, je suis l'adulte avec des responsabilités, celle de protéger l'enfant, faire qu'il puisse ignorer ce monde d'adulte si décevant, au vu de ce qu'il imagine (là encore je dissocie)
Alors en fait c'est ça, cela m'a été dit et redit, viens dans notre monde d'adulte si plaisant, si necessaire à la comnauté, amour et paix pour tous. Sauf que non, le monde adulte est moche, il y a très peu de place pour l'enfant qui est en nous, alors oui il suffit de l'exprimer et tout devient magique, ce n'est pas vrai, c'est un mensonge, indubitablement l'enfant qui est en nous est remis au placard dès que l'abondance arrive, et nous le muselons. En fait je crois que mon enfant intérieur, je le protège de moi, je l'ai tellement protégé que j'ai failli l'oublié, je l'ai protégé car je suis adulte, et les adultes controlent, jugent, dirigent, accompagnent, laissent faire, je ne vois pas pourquoi je serais différent.
Enfin si, j'ai tellement caché mon enfant intérieur qu'il est presque intact, et ça je ne laisserais personne l'altérer ... sauf là, parce que j'ai vu la barrière s'elever, j'ai vu mon système se mettre en place, sur un simple mot, un mot d'adulte, et cette fois, j'ai envie de rester l'enfant, d'écrire ce qui me passe par la tete, j'ai envie de rester moi.- chanson:
Les nouvelles que j'ai écrites sont sur wattpad :
(Colère, Vengeance, Orgueil, Humilité) Vengeance sur les quais : https://www.wattpad.com/story/69368945-vengeance-sur-les-quais
(Tristesse, Impuissance, peur, courage) Maman, j'ai raté l'avion : https://www.wattpad.com/story/69558027-maman-j%27ai-rat%C3%A9-l%27avion
(Joie, surprise, Mensonge, vérité) L'anniversaire d'Iestia : https://www.wattpad.com/story/69042551-l%27anniversaire-d%27iestia
Ma femme m'a dit une fois : je t'envie d'avoir l'esprit vide"
PS: Mon compagnon de vie vient de me dire "je trouve que tu te pose trop de questions". Je pense qu'il a raison Laughing
J'ai été vexé, et puis j'ai relativisé en me disant qu'en effet comme je n'exprimais pas trop ce que j'avais dans la tete, en effet c'est l'image que je renvois.
Sauf que quand j'ai fait le contraire, c'est pour qu'elle me dise "Tu vis trop dans ton monde "imaginaire", tu m'as humilié, je n'ai pas aimé ce que tu as écrit, ... etc, etc "
Je sais c'est moi qui interprete, il n'y a pas de mauvaise intention, elle me formule juste une demande de faire plus d'effort de communication avec elle.
Il s'en est suivi une introspection de sa part ... SUPER TROP GENIAL ... et c'est vrai une amélioration.
Mais bon si à chaque fois, faut se prendre un truc dans ce gout là, franchement j'ai plus envie.
Ma chef m'a dit : tu te poses trop de questions
Du coup, ça m'agace, car il y a un sous-entendu, tu ne te laisses pas faire, tu ne laisses pas aller ... tu analyses trop, ... etc, etc Laisses la vie te donner ce dont tu as besoin, OK. Elle me donne, ça c'est clair, je les utilise, mais il faut les passer, et quand c'est douloureux, faut l'absorber, et si tu te dit que tu as mal, Ca revient plus fort plus douloureux, il faut accepter, tout ça c'est pour le meilleur, pour l'évolution, OK ... alors je contre, je gueule, je rale vers la vie, vers quelque chose qui n'est pas physique, car si tu rediriges sur du physique, c'est une faute, c'est un trop plein que je n'ai pas su canaliser, mais c'est ainsi ... la vie me pousse vers la faute, vers l'humain, vers l'erreur qui fera basculer ma vie, alors oui je lutte, je lutte de toutes mes forces pour ne pas faire de mal. Et dès fois je perds, je craque, je deviens humain, je prends conscience d'etre un adulte, d'etre pareil à tous ... c'est le long chemin, le trop long chemin. En fait quand je dis que c'est lent, et long, il y a un seul objectif, c'est toujours le meme : A tous ceux qui sont éveillés, à tous ceux qui naviguent à travers les dimensions infinies de l'esprit : arretez de vous détacher, impliquez vous, venez m'aider, soutenez moi ... réellement ... et le silence, car en fait c'est jsute le voeu égoiste d'etre porté par autrui, de récolter ce que j'ai semé.
C'est con hein, mais voir que ce que l'on sème ne donne rien d'autre qu'un petit brin d'herbe, à la fin c'est vexant. ALors que dans un reve, c'était un arbre blanc, il y a un gap énorme entre ce que j'imagine et la réalité, et je n'arrive pas à trancher.
ce que j'imagine est très beau, j'essaye de le traduire en mot, mais ce n'est pas tout à fait à la hauteur.
Ce que je vois de l'humanité est assez moche (à de rares exceptions près, moins d'une vingtaine de personnes sur ... 7 milliards)
C'est un vrai problème, la seule façon de faire que j'ai trouvé, c'est de traduire la réalité en imagination, puis de l'écrire, et imaginer que ce que j'écris devient une réalité, mais pas ici, pas maintenant, le gap est vraiment trop grand.
alors je fais ça a écrit:
Il n'y a que sur internet, et c'est une illusion, celle d'imaginer que l'autre comprends, mais c'est agréable, et il fait beau dehors, que demander de plus.
Je fais ça aussi, sauf que dans ce post je l'exprime, avec l'espoir que tous les filtres sautent, que toutes les peurs m'abandonnent. ALors j'écris, je partage, je fais le taf, et j'observe, je constate que la magie s'en va.
Aujourd'hui j'ai du mal à être moi, beaucoup de filtres et de peurs en moi, je reviendrais quand je serais plus légère. Je n'aime pas me montrer telle quelle, en principe je m'isole quand je me sens comme ça.
Tu m'offres un vrai espace de liberté, c'est égoiste, mais j'ai vraiment la sensation de pourvoir tout dire. Quand je pense Grenouille, je vois le chemin, et j'y vais.
- synchronicité observé:
Tu m'as donné le sourire, je lirais ton partage avec grand plaisir.
Je commence mon histoire sur Wattpad. Merci pour tout Obtearon, bisou
Namasté.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Désolée d'avoir été crue avec un mot, mais heureuse que tu ai pu résoudre, ou du moins voir plus clair sur la protection que tu donne à ton enfant intérieur. J'ai aussi connu une période similaire à celle que tu me décrit. Je comprends je pense ce que tu peux ressentir.
Dans mon analyse personnelle, j'avais cet échappatoire, celui d'écrire un livre en me plongeant dans mon imaginaire, ce qui m'a permit pendant 5 ou 6 ans de fuir les réalités que je ne voulais plus voir.
Toute petite je fuyais dans cet imaginaire ce qui a inquiété mon entourage (une petite fille qui ne parle pas et qui est tout le temps la tête dans les nuages, c'est pas normal (c'est ce que la société pense)). Ce que la société a oublié de dire, c'est qu'il n'était pas normal non plus de frapper un enfant.
Et pendant ces 5 ou 6 ans de vie d'adulte je me suis donnée l'occasion de recommencer, mais cette fois ci en le transcrivant sur du papier pour le partager. J'ai compris ça aujourd'hui:
-Ecrire pour le partager et me sentir moins seule.
-En amont il y avait aussi un besoin de reconnaissance
-en dernier, j'avais mis la croyance qu'en ecrivant, je m'exorciserait de ce passé qui revenait souvent me hanter.
jusqu'à aujourd'hui, j'ai continué d'écrire mais souvent en angoisse, sous l'effet de la colère. C'est des notes qui ont en grande partie finie à la poubelle, et en petite partie sont dispatché dans la maison, oublié dans des carnets neufs abandonnés. J'en conclut que ce n'était pas une bonne solution.
A côté je me suis mise à dialoguer, entre autre sur ce forum. Avec le recul, je m'appercois que j'ai souvent laissé mon égo contrôler mes écrits, et que de la colère y a été transmise. Je ne m'aime pas de telle manière. Ce n'est donc pas non plus la solution (pour mon cas).
Mais touttes ces experiences m'ont permis de comprendre que cette colère que j'ai en moi ne partira qu'en m'acceptant entièrement.
Ce dialogue que je fais avec toi, et avec tous les signes qui viennent avec, me font avancer dans ma recherche intérieure.
La tolèrance qui y règne ici a été très importante aussi.
J'ai commencé à écrire sur Wattpad, une page. Blondyblueyes. Mon retour sur cette plaine desertique avec la petite blondinette aux yeux bleus. Sans humains alentour, juste elle et moi. Ca m'a remué les tripes et je me suis demandé pourquoi revenir dans ce lieu ? Je sais que cette petite fille c'est mon enfant intérieur. Et si c'était moi qui avait décidé qu'elle souffrirais toujours, et que j'avais crée cette histoire intérieure pour me sentir mieux.
Je crois que je comprends: j'ai du faire une séparation quand, trop tot, j'ai du faire l'adulte et me séparer de mon innocence (enfant). Je suis retournée la voir de temps en temps, pour moi (et pour elle, on est séparée). Créant de plus en plus cette séparation.
J'ai décidé de la faire venir à moi. Maintenant que je fais une pause (pour revenir au créateur), elle est là. Nous sommes là. Je suis l'adulte que je suis devenue et la petite fille que j'avais abandonné quelque part (croyant qu'être adulte c'était perdre son innocence et être fort quoiqu'il arrive). Et de cette manière, je pense tout autrement quand j'affronte le monde réel, parce que je sais que je suis cette petite fille fusionné dans l'adulte, Je suis cet être entiererement, sans séparation.
Suggestion: donne-toi la liberté d'être l'enfant et l'adulte en toute circonstance sans avoir peur d'être agressé par d'autres (ton passé) en gagnant confiance en toi. Je sais, plus facile à dire qu'à faire, je te donne des pistes pour aller mieux (j'essaie)
Bises à toi namasté
Dans mon analyse personnelle, j'avais cet échappatoire, celui d'écrire un livre en me plongeant dans mon imaginaire, ce qui m'a permit pendant 5 ou 6 ans de fuir les réalités que je ne voulais plus voir.
Toute petite je fuyais dans cet imaginaire ce qui a inquiété mon entourage (une petite fille qui ne parle pas et qui est tout le temps la tête dans les nuages, c'est pas normal (c'est ce que la société pense)). Ce que la société a oublié de dire, c'est qu'il n'était pas normal non plus de frapper un enfant.
Et pendant ces 5 ou 6 ans de vie d'adulte je me suis donnée l'occasion de recommencer, mais cette fois ci en le transcrivant sur du papier pour le partager. J'ai compris ça aujourd'hui:
-Ecrire pour le partager et me sentir moins seule.
-En amont il y avait aussi un besoin de reconnaissance
-en dernier, j'avais mis la croyance qu'en ecrivant, je m'exorciserait de ce passé qui revenait souvent me hanter.
jusqu'à aujourd'hui, j'ai continué d'écrire mais souvent en angoisse, sous l'effet de la colère. C'est des notes qui ont en grande partie finie à la poubelle, et en petite partie sont dispatché dans la maison, oublié dans des carnets neufs abandonnés. J'en conclut que ce n'était pas une bonne solution.
A côté je me suis mise à dialoguer, entre autre sur ce forum. Avec le recul, je m'appercois que j'ai souvent laissé mon égo contrôler mes écrits, et que de la colère y a été transmise. Je ne m'aime pas de telle manière. Ce n'est donc pas non plus la solution (pour mon cas).
Mais touttes ces experiences m'ont permis de comprendre que cette colère que j'ai en moi ne partira qu'en m'acceptant entièrement.
Ce dialogue que je fais avec toi, et avec tous les signes qui viennent avec, me font avancer dans ma recherche intérieure.
La tolèrance qui y règne ici a été très importante aussi.
J'ai commencé à écrire sur Wattpad, une page. Blondyblueyes. Mon retour sur cette plaine desertique avec la petite blondinette aux yeux bleus. Sans humains alentour, juste elle et moi. Ca m'a remué les tripes et je me suis demandé pourquoi revenir dans ce lieu ? Je sais que cette petite fille c'est mon enfant intérieur. Et si c'était moi qui avait décidé qu'elle souffrirais toujours, et que j'avais crée cette histoire intérieure pour me sentir mieux.
Je crois que je comprends: j'ai du faire une séparation quand, trop tot, j'ai du faire l'adulte et me séparer de mon innocence (enfant). Je suis retournée la voir de temps en temps, pour moi (et pour elle, on est séparée). Créant de plus en plus cette séparation.
J'ai décidé de la faire venir à moi. Maintenant que je fais une pause (pour revenir au créateur), elle est là. Nous sommes là. Je suis l'adulte que je suis devenue et la petite fille que j'avais abandonné quelque part (croyant qu'être adulte c'était perdre son innocence et être fort quoiqu'il arrive). Et de cette manière, je pense tout autrement quand j'affronte le monde réel, parce que je sais que je suis cette petite fille fusionné dans l'adulte, Je suis cet être entiererement, sans séparation.
Suggestion: donne-toi la liberté d'être l'enfant et l'adulte en toute circonstance sans avoir peur d'être agressé par d'autres (ton passé) en gagnant confiance en toi. Je sais, plus facile à dire qu'à faire, je te donne des pistes pour aller mieux (j'essaie)
Bises à toi namasté
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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
A te lire, nait un nouveau sentiment en moi, la tristesse, j'en suis donc après le choc, le déni, la colère, à l'étape 4 du deuil.
Désolée d'avoir été crue avec un mot, mais heureuse que tu ai pu résoudre, ou du moins voir plus clair sur la protection que tu donne à ton enfant intérieur. J'ai aussi connu une période similaire à celle que tu me décrit. Je comprends je pense ce que tu peux ressentir.
- pourquoi ?:
pourquoi est ce à nous de ressentir la culpabilité ?
pourquoi doit on souffrir ?
Pourquoi doit on payer pour ce que nous avons fait dans des vies antérieures, et en plus de ce que nous faisons dans cette vie ?
Un enfant de 2/3 ans ne demande rien, pourquoi le fait on souffrir ?
...
parce que dans certaines situations, j'essaye de faire au mieux, mais dès fois je n'ai pas l'energie, je n'ai pas la patience, parce qu'au final, quand tout se passe bien, il n'y a pas de blessure, pas d'évolution, et quand ça se passe mal, il y a des blessures qui perdurent toute la vie, et c'est vrai, quand on arrive à aller au delà de la blessure, il y a évolution.
Donc on ne peut rien y faire (Etape 5 - la résignation)
J'ai eut cette chance de ne pas avoir de jugement sur ce que j'étais de mes 8 à 13 ans, j'ai déménagé, j'ai changé d'école, peronne ne connaissait mon passé, j'étais le nouveau ... par contre le plus bizarre, c'est que je ne me souviens pas trop de mes parents, j'ai quelques souvenirs marquants (mais très très peu). Dans la plupart de mes souvenirs, ils n'existaient tout simplement pas. Les souvenirs que je garde de cette période ne génère aucune colère, aucune tristesse, aucune peur ... non ce n'est pas vrai, il y a 2 souvenirs qui remontent
Dans mon analyse personnelle, j'avais cet échappatoire, celui d'écrire un livre en me plongeant dans mon imaginaire, ce qui m'a permit pendant 5 ou 6 ans de fuir les réalités que je ne voulais plus voir.
- l'un d'une maison, ou un homme donnait des bonbons aux enfants, et je me souviens etre rentré chez lui, et c'est tout.
- l'autre de ma maitresse de CM1 qui m'a donné une claque en me gueulant dessus (je sais pourquoi, j'avais fait quelques choses de mal) et j'ai pissé dans mon froc.
Sinon le reste c'est co... ma mère pleurant dans l'escalier, un martinet ... incohérence de lieu et de temps ... bon Ok ... ... je les contourne systématiquement avec mes souvenirs d'imaginaires (j'avais quand meme une machine qui controlait le soleil et qui marchait ... et je souris ), je contre les mauvais souvenirs ... et je gagne systématiquement.
Je contre les mauvaises pensées, là par contre la méthode est différente, je les accompagne je les amplifie, et quand c'est bien la merde : oui mais là, là, tout de suite, ça va bien non ? j'ai tout ce qu'il faut, je ne meure pas de faim, ni de soif, je suis en bonne santé, ça roule non ? certes, ça pourrait etre mieux, mais dans l'ensemble c'est plutot cool la vie, non ?
Quand j'en arrive là, mon pote relou ne sait plus quoi dire, comme si je lui disait : allez fait moi mal, c'est vraiment la merde, c'est injuste, puis finalement un "toujours vivant" qui lui cloue le bec.
C'est ça que je fais, tous les jours, c pour ça que je me protège de l'altération, parce que c'est grace à ce que j'ai vécu enfant que je suis l'adulte que je suis aujourd'hui.
Je fais ça tout le temps, meme quand la situation est la pire possible, je vois la petite lumière qui fait que l'évenement a aussi quelque chose de beau ...
dans ma vie professionnelle, cela donne de la motivation, ça permet aux autres d'avancer, ça permet de rebondir.
dans ma vie personnelle, cela donne de l'apaisement, ça permet aux autres de prendre du recul, ça permet d'aller au delà de l'instant.
je retrouve la sensation du "meme pas mal", celle du "meme pas peur".
EDIT : et je retrouve le gout d'écrire, le gout de partager mon univers, parce que j'ai réussi une fois, et je réussirais les autres, de ça j'en suis certain.
Une fois j'ai crié "La Vie Est Belle" avec force et détermination, sans peur, sans souffrance, juste moi.
- Chanson:
En tant qu'adulte, j'ai fait presque l'inverse :
Et pendant ces 5 ou 6 ans de vie d'adulte je me suis donnée l'occasion de recommencer, mais cette fois ci en le transcrivant sur du papier pour le partager. J'ai compris ça aujourd'hui:
-Ecrire pour le partager et me sentir moins seule.
-En amont il y avait aussi un besoin de reconnaissance
-en dernier, j'avais mis la croyance qu'en ecrivant, je m'exorciserait de ce passé qui revenait souvent me hanter.
- en premier j'ai cherché à exorciser le passé, tout seul, car je ne voyais pas de situation où je pouvais partager. Et j'ai découvert que nous ne sommes jamais absolument seul, il y a la réalité, et aussi l'esprit, et là, je peux créer à loisir autant de personnage que je le souhaite.
- en deuxième, j'ai cherché à partager, en me disant qu'ainsi le passé serait exorcisé puisqu'il serait lu par autre chose que moi. Et j'ai découvert que le partage (qu'il y est un retour ou pas) permet en effet de se détacher, dans le sens c'est du passé, ce que je partage je n'ai plus besoin de le garder en moi, et si j'en ai besoin, il suffit de retrouver le partage. Et m'apercevoir que finalement je n'en ai pas si besoin que ça (sauf pour écrire, où la tous les partages deviennent une base de données d'expressions et ressentis)
- en troisième, j'ai cherché la reconnaissance, le retour avec la question "est ce que ça vous parle ? est ce que ça vous touche ?". Et j'ai découvert, ou pris conscience de l'empathie. Le partage de l'expérience interagi avec autrui, et permet à tout un chacun de trouver les clefs de la compréhension (Notre conversation en est un très bel exemple).
- et finalement (c'est là où j'en suis), a quoi ça sert ? Une première réponse m'a été donné hier en lisant un manga (Gunmm) : je n'ai pas de raison de vivre, je suis vivant
As tu relu ces notes ? Il n'y a pas si longtemps, je l'ai fait. J'ai observé qu'ils contenaient encore une belle charge émotionelle. Ca m'a fait du bien de les relire.
jusqu'à aujourd'hui, j'ai continué d'écrire mais souvent en angoisse, sous l'effet de la colère. C'est des notes qui ont en grande partie finie à la poubelle, et en petite partie sont dispatché dans la maison, oublié dans des carnets neufs abandonnés. J'en conclut que ce n'était pas une bonne solution.
je dirais meme essentielle, sans ce site je n'aurais jamais pu aller aussi loin dans la libération de la parole.
La tolèrance qui y règne ici a été très importante aussi.
Ca me rappelle un livre "Mars" de Fritz Zorn. Il est raconté qu'en naviguant au fond de lui, il avait rencontré une femme triste, et il l'a ecarté. Nous avons cette chance, toi et moi, de pouvoir faire vivre ces créations intérieures, de les faire évoluer, et en fait c'est juste de l'empathie envers soi-meme. Liberer la parole intérieure, la laisser s'exprimer, puis de la canaliser vers l'exterieur, par l'écriture et le partage.
J'ai commencé à écrire sur Wattpad, une page. Blondyblueyes. Mon retour sur cette plaine desertique avec la petite blondinette aux yeux bleus. Sans humains alentour, juste elle et moi. Ca m'a remué les tripes et je me suis demandé pourquoi revenir dans ce lieu ? Je sais que cette petite fille c'est mon enfant intérieur. Et si c'était moi qui avait décidé qu'elle souffrirais toujours, et que j'avais crée cette histoire intérieure pour me sentir mieux.
Tu n'as pas à essayer ... j'ai eut la chance de te rencontrer et d'échanger, et meme si ça ne résoud pas tout, ça me donne une belle sensation, celle de voir que je peux me laisser guider en conscience, sans prendre compte la réalité de mon interlocuteur, un peu comme quand je parle aux anges.
Suggestion: donne-toi la liberté d'être l'enfant et l'adulte en toute circonstance sans avoir peur d'être agressé par d'autres (ton passé) en gagnant confiance en toi. Je sais, plus facile à dire qu'à faire, je te donne des pistes pour aller mieux (j'essaie) Wink
Namasté
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Oui je l'ai fait mais ça ne m'a rien rapporté de bon, c'est comme si je revivais ces moments. Sur le coup ça a fait du bien parce que je croyais que retourner dans ce passé était comme un respect pour moi que de me rappeler ces moments, comme si je voulais retourner dans le passé pour consoler la personne que j'étais, et tenter de ressentir moins de culpabilité, honte, colère. Je nourrissais cette colère en me replongeant dans le passé. J'ai retenu ma facon de fonctionner à cette periode là pour comprendre et y voir plus clair.As tu relu ces notes ? Il n'y a pas si longtemps, je l'ai fait. J'ai observé qu'ils contenaient encore une belle charge émotionelle. Ca m'a fait du bien de les relire.
Exactement ça aussi. Maintenant je fixe mon objectif sur le seul plaisir de faire connaissance avec l'autre et de l'apprecier. Au contraire de vouloir "paraitre" plutot que d'être avec l'aide de paroles. C'est ce que je ressens quand je fais abstraction du mental.je dirais meme essentielle, sans ce site je n'aurais jamais pu aller aussi loin dans la libération de la parole.
Je suis contente de t'avoir lue, c'est toujours un plaisir. Je ne ressens pas de colères dans tes mots, juste cette façon différente d'écrire les choses qui me plait. J'arrive pas à définir cette attirance, les mots qui me viennent sont authenticité, naturel, vrai, attachant, voila comment ça me parle.
Je te souhaite un bon week-end et prend soin de toi, namasté
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
Je crois que je vais me placer en observateur. Et je n'aime pas trop ce que j'observe, car il y a principalement un sentiment, celui de la lassitude, c'est de la tristesse mélée à de la fatigue ... de la vacuité. et la question qui suit c'est pourquoi ?
Moi je croyais que c'était la joie, le plaisir, mais finalement ce n'est rien de tout cela. A la limite je préférais la colère, ou la peur, au moins ses émotions ont le mérite de faire faire quelque chose, mais la tristesse ... si tu t'y enfonce, c'est la depression, si tu la retiens, c'est la maladie, si tu l'acceptes c'est la vacuité ... Je sais qu'elle passera, parce que je l'aurais partagé ... et elle reviendra parce que je n'arrive pas à répondre à cette question
Pourquoi ça me vide de mon energie ?
Pourquoi les petites joies que je m'accorde sont si insignifiante ?
Parce que je l'ai choisi. C'est nul comme choix. Mon choix de vie est d'une médiocrité, remarque pour une fois, je ne le dis pas parce que j'espère que quelque chose va bouger, je le dis parce que je suis réellement déçu.
Deçu de voir que le seul choix qui m'est imposé, c'est de réagir violement, d'imposer ma présence et mon existence, alos que moi ce que je veux c'est que la vie arrte de me mettre des batons dans les roues. Dès que j'ai le malheur de penser que tout va bien, la vie mets sur mon chemin quelque chose qui fait qu'en fait c'est médiocre et non avenue, que c'est ininteréessant. remarque il y a bien Asperger, mais ce fut un échec, moi je voulais juste savoir si mon ressenti était bon. Il y a eut écrivain, là aussi c'est un échec ... plus j'écris plus je me vide.
Désolé, mais je n'ai personne d'autre que toi et ce site pour évacuer ce sentiment de tristesse et de vacuité qui me lamine depuis hier, j'aimerais que ça cesse, je vais donc me retirer un moment afin de pouvoir retrouver le monde réel, et surtout oublier ce sentiment, cette émotion.
Namasté.
Moi je croyais que c'était la joie, le plaisir, mais finalement ce n'est rien de tout cela. A la limite je préférais la colère, ou la peur, au moins ses émotions ont le mérite de faire faire quelque chose, mais la tristesse ... si tu t'y enfonce, c'est la depression, si tu la retiens, c'est la maladie, si tu l'acceptes c'est la vacuité ... Je sais qu'elle passera, parce que je l'aurais partagé ... et elle reviendra parce que je n'arrive pas à répondre à cette question
Pourquoi ça me rends triste ?si cela est vrai a écrit:
authenticité, naturel, vrai, attachant
Pourquoi ça me vide de mon energie ?
Pourquoi les petites joies que je m'accorde sont si insignifiante ?
Parce que je l'ai choisi. C'est nul comme choix. Mon choix de vie est d'une médiocrité, remarque pour une fois, je ne le dis pas parce que j'espère que quelque chose va bouger, je le dis parce que je suis réellement déçu.
Deçu de voir que le seul choix qui m'est imposé, c'est de réagir violement, d'imposer ma présence et mon existence, alos que moi ce que je veux c'est que la vie arrte de me mettre des batons dans les roues. Dès que j'ai le malheur de penser que tout va bien, la vie mets sur mon chemin quelque chose qui fait qu'en fait c'est médiocre et non avenue, que c'est ininteréessant. remarque il y a bien Asperger, mais ce fut un échec, moi je voulais juste savoir si mon ressenti était bon. Il y a eut écrivain, là aussi c'est un échec ... plus j'écris plus je me vide.
- alors je vais le dire :
Pourquoi chaque week-end, je cherche une activité qui occupe mon temps, qui m'amène au dimanche soir où je me couche, en me disant ça y est c'est passé ?
Pourquoi certaine fois je ne supporte pas qu'on me parle ?
A cela j'oppose que c'est ainsi, c'est la vie.
Mais pourquoi c'est ainsi ?
Parce que je l'ai choisi, parce que c'est moi qui attire tout ça, parce que mon reve que tout aille mieux n'a pas sa place dans le monde des humains. Parce que le reve des autres est bien plus concret, et faisable. Parce qu'ils tirent une énergie de la réalisation de leur reve.
et revoilà la victime, je suis mon propre bourreau et mon propre sauveur, et si j'observe tout ça, je ne vois pas la porte de sortie, le partage meme s'il m'a permis de voir, il ne resoud rien, la douleur de voir que moi je n'arrive pas à etre heureux, et donc je vis par procuration, j'ai réellement du plaisir quand je vois quelqu'un d'heureux, mais il faut pour cela que ce ne soit pas ce que je veux. J'ai une douleur attroce lorsque je vois que d'autres obtiennent ce que j'aimerais tant.- EDIT:
Ou pire quand on me dit que c'est possible, qu'il suffit de regarder en soi, que l'abondance est à porté d'esprit, mais alors pourquoi dès que je le touche tout s'efface et est remplacé par la médiocrité.
Parce qu'il ne faut pas le saisir, il faut l’accueillir.
C'est pas faux, je vais éviter le "c'est pas trop tot"
Ce que je veux c'est juste de trouver une personne réelle qui me porte et que je porte, non pas par un effet de volonté, ou de compassion, non juste parce que la personne est là et que je suis là. Et ça c'est triste parce que pour l'instant (souvenir qui remonte) ... quelques minutes dans une vie, c'est insuffisant.
Désolé, mais je n'ai personne d'autre que toi et ce site pour évacuer ce sentiment de tristesse et de vacuité qui me lamine depuis hier, j'aimerais que ça cesse, je vais donc me retirer un moment afin de pouvoir retrouver le monde réel, et surtout oublier ce sentiment, cette émotion.
Namasté.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Ok ça a bougé, j'ai suivi le fil et je suis arrivé sur un discord Asperger.
- sentiment:
la colère ça c'est l'instant
Ca va ENCORE être un truc compliqué, mais je vais suivre le truc.
la peur ça c'est la projection
au premier obstacle, j'arrete, sauf si je suis aidé (comme pour arriver sur le discord Asperger)
La tristesse ça c'est l'espoir
J'espère juste un peu d'accompagnement
la joie ça c'est l'objectif
J'espere juste que je finirais par prendre plaisir à etre moi, tout le temps
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Je ne sais pas trop quoi te dire par rapport à ça, je ne voudrais pas être responsable de cette tristesse Quand tu auras trouvé sa cause, fait une croix dessus et n'y reviens pas
Je ne pas trouver la solution à ta place, mais peut-être te donner des pistes... c'est plutôt bien que tu puisse l'observer. Ok, mais sans la juger ? Il me semble que poser un mental la dessus la repousse à l'intérieur.
Est ce que les joies que tu t'accorde sont si insignifiante ? Qu'attends tu des joies que tu t'accorde ? Pourquoi pense-tu que ton choix de vie est d'une médiocrité ?
La question que je me pose c'est: pourquoi es-tu si dur avec toi même ?
Je n'ai pas mis cela par compassion, j'ai mis ce que je ressentais. Peut-être que je me trompe, mais il me semble que tu crois peu en toi en ce moment. tu ne peux pas m'empecher de croire en toi
Et me dit pas que ça vaut pas le coup de s'attarder sur toi, hein
Tu peux l'accueillir cette tristesse, elle ne restera pas indéfiniment et derrière se cache toujours de la joie (l'amour). N'ai pas peur de la dépression parce qu'elle n'existe que dans tes peurs.
Y a pas de moyens miracle pour avoir la clef à ce qu'on recherche tous, et ce que je sais c'est que si on veut et qu'on attend, ça vient pas. Je sais c'est chiant ca a l'air compliqué et tout le contraire à notre logique, mais c'est si simple quand on commence à toucher ce truc que j'arrive toujours pas à nommer (dans cette dimension aucun mot ne convient).
Y a pas si longtemps j'étais piegée dans le mental à me poser toutes les questions possibles, pensant que c'est en comprenant les choses que j'y arriverais. C'était un cercle vicieux avec pleins d'émotions négatives.
Des fois ça revient à la charge. L'égo veut pas perdre.
Ce qui m'a aidé ces derniers jours c'est le visionnage à foison de vidéo traitant sur le sujet et de tomber sur deux ou trois personnes qui ont un réel vécu et qui sache expliquer avec les mots que je comprends. Partant de mes expériences personnelles je sais que je peut leur faire confiance. J'ai toujours un oeil méfiant la dessus mais largement moins qu'avant.
Et puis me rappeler ces expériences extraordinaires qui prouvent l'existence d'un ou d'autres mondes, ou plan, ou dimension.
J'espère que ta tristesse s'est attenuée depuis hier. Au fait c'est quoi un discord Arperger ?
Bonne journee
Je ne pas trouver la solution à ta place, mais peut-être te donner des pistes... c'est plutôt bien que tu puisse l'observer. Ok, mais sans la juger ? Il me semble que poser un mental la dessus la repousse à l'intérieur.
Est ce que les joies que tu t'accorde sont si insignifiante ? Qu'attends tu des joies que tu t'accorde ? Pourquoi pense-tu que ton choix de vie est d'une médiocrité ?
La question que je me pose c'est: pourquoi es-tu si dur avec toi même ?
si cela est vrai a écrit:
authenticité, naturel, vrai, attachant
Je n'ai pas mis cela par compassion, j'ai mis ce que je ressentais. Peut-être que je me trompe, mais il me semble que tu crois peu en toi en ce moment. tu ne peux pas m'empecher de croire en toi
Et me dit pas que ça vaut pas le coup de s'attarder sur toi, hein
Tu peux l'accueillir cette tristesse, elle ne restera pas indéfiniment et derrière se cache toujours de la joie (l'amour). N'ai pas peur de la dépression parce qu'elle n'existe que dans tes peurs.
Y a pas de moyens miracle pour avoir la clef à ce qu'on recherche tous, et ce que je sais c'est que si on veut et qu'on attend, ça vient pas. Je sais c'est chiant ca a l'air compliqué et tout le contraire à notre logique, mais c'est si simple quand on commence à toucher ce truc que j'arrive toujours pas à nommer (dans cette dimension aucun mot ne convient).
Y a pas si longtemps j'étais piegée dans le mental à me poser toutes les questions possibles, pensant que c'est en comprenant les choses que j'y arriverais. C'était un cercle vicieux avec pleins d'émotions négatives.
Des fois ça revient à la charge. L'égo veut pas perdre.
Ce qui m'a aidé ces derniers jours c'est le visionnage à foison de vidéo traitant sur le sujet et de tomber sur deux ou trois personnes qui ont un réel vécu et qui sache expliquer avec les mots que je comprends. Partant de mes expériences personnelles je sais que je peut leur faire confiance. J'ai toujours un oeil méfiant la dessus mais largement moins qu'avant.
Et puis me rappeler ces expériences extraordinaires qui prouvent l'existence d'un ou d'autres mondes, ou plan, ou dimension.
J'espère que ta tristesse s'est attenuée depuis hier. Au fait c'est quoi un discord Arperger ?
Bonne journee
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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
Il n'y a pas de soucis, tu n'es pas responsable de mon état émotionnel, j'en suis seul responsable, à la limite c'est la vie (entité tellement immense et infinie que je peux envoyer tout et n'importe quoi)
Je ne sais pas trop quoi te dire par rapport à ça, je ne voudrais pas être responsable de cette tristesse Laughing Quand tu auras trouvé sa cause, fait une croix dessus et n'y reviens pas Wink
Et là on arrive sur le truc, partager fait avancer les choses, par contre l'extériorisation implique également d'en mettre plein la gueule à l'autre. Notre conversation a fait que je me suis retrouvé à dire des choses que je n'avais jamais partagé, et j'ai vu que ça t'a aidé également à partager tes propres souffrances. Ca c'est le coté cool, par contre l'autre versant c'est que tu as reçu une partie de ma souffrance, donc de ma culpabilité.
là est mon problème, interagir avec la vie sans faire souffrir les unites conscientes. Et l'amour, c'est aussi une souffrance ...
En fait quand c'est à l'interieur, il n'y a pas de trace.
Je ne pas trouver la solution à ta place, mais peut-être te donner des pistes... c'est plutôt bien que tu puisse l'observer. Ok, mais sans la juger ? Il me semble que poser un mental la dessus la repousse à l'intérieur.
J'observe et il y a toujours un moment où je trouve qu'il y a en a trop (c du stress), et j'agis, j'exprime, et invariablement (du moins IRL) ça part dans l'incompréhension, ça part dans le "non, oui, j'ai raison, tu as raison", que je termine par je comprends (ce qui est vrai), puis une accalmie, et finalement un sentiment d'insécurité pour moi qui dure plus ou moins longtemps.
La solution serait de ne pas réagir quand ça ne me concerne pas, sauf qu'indirectement je suis concerné, il y a un rebond qui arrive jusqu'à moi, et j'écoute, j'observe, et à un moment il y a en a trop, et ça boucle.
J'ai remarqué que l'expression, permet de vider le sentiment, si ça marche pour moi, ça marche pour les autres, non ? ... peut etre que c'est ça le problème ... peut etre que la méthode qui marche pour moi, ne marche pas totalement pour les autres.
L'écriture a ce pouvoir de se parler à soi-meme, car devant ma page, il n'y a que moi sans considération sur l'effet de ma parole.
- ça me rapelle un souvenir:
Ma femme m'a dit "pour communiquer avec toi faut écrire un livre"
Ce à quoi j'ai répondu "non, par contre pour moi c'est le moyen de communication où je suis le plus à l'aise"
Elles sont peu nombreuses dès qu'il s'agit de les partager.
Est ce que les joies que tu t'accorde sont si insignifiante ?
- une joie facile:
je me marre à chaque fois.
le sourire, la facilité, la simplicité : je vois, je ris, je suis content (aucun intermédiaire)
Qu'attends tu des joies que tu t'accorde ?
parce que voir que l'humour passe automatiquement par une humiliation, c'est fatiguant.
Pourquoi pense-tu que ton choix de vie est d'une médiocrité ?
parce que rire uniquement d'une vidéo, ça n'a rien à voir avec un rire partagé.
parce que c'est tellement rare, que là je n'ai que deux souvenirs qui remontent.
Parce qu'une fois j'ai connue une joie extatique qui a duré plus d'1 heure, que j'en ai pleuré de joie, que je me suis dis "cette fois ça y est mon destin est en marche", que j'ai vécu une belle journée, qu'à la fin de la journée j'étais serein, j'étais bien. Et puis la réalité m'a rattrapé.
parce que c'est la vie, parce que c'est mon choix et que je ne vois aucune autre opportunité ... concrete (en imagination, tout est source d'opportunité).
La question que je me pose c'est: pourquoi es-tu si dur avec toi même ?
En fait c'est ça, je ne vois plus les opportunités concretes, alors qu'avant si : ça date de 2006 depuis je n'ai plus envie, je n''ai plus l'energie, mais j'essaye quand meme des petits trucs , mais qui le plus souvent ne donne pas grand chose.
En 2006, j'ai fait un choix que je pensais bon, dans le meme temps j'avais l'image persistante que le monde s'écroule, je n'ai pas su faire le lien entre l'image et le choix.
Et là, je me dis "desormais que tu sais, aurais tu fait le meme choix ?", la réponse est oui, parce que je garde l'espoir que ça donne quelque chose de bien (fabuleux, grandiose, ...), et cette fois ci j'ai le lien entre l'image et le choix, je le fais donc en conscience.
, ce sont des passages que je connais très bien. Sur le moment, j'ai voulu changer ma façon de faire ... j'ai utilisé inconsciemment la tristesse, peut etre le sentiment que je croyais le plus connaitre, mais en fait non, je méconnais ma tristesse.
Je n'ai pas mis cela par compassion, j'ai mis ce que je ressentais. Peut-être que je me trompe, mais il me semble que tu crois peu en toi en ce moment. tu ne peux pas m'empecher de croire en toi Laughing
avant je la résumais à ça a écrit:
pas de soucis avec ça, ça me touche toujours quand quelqu'un me parle aussi ouvertement. Je suis très sensible à la sincérité.
Et me dit pas que ça vaut pas le coup de s'attarder sur toi, hein Wink
Je connais aussi, mais dès fois je me dis que je n'attend rien, alors qu'en fait si, je crois que j'essaye de gruger la vie elle meme (ah tiens et si je pensais que je n'attends rien, peux etre que j'aurais un truc", là je souris )
Y a pas de moyens miracle pour avoir la clef à ce qu'on recherche tous, et ce que je sais c'est que si on veut et qu'on attend, ça vient pas. Je sais c'est chiant ca a l'air compliqué et tout le contraire à notre logique, mais c'est si simple quand on commence à toucher ce truc que j'arrive toujours pas à nommer (dans cette dimension aucun mot ne convient).
le mien est plutot mauvais joueur, et il a perdu quelques batailles notament celle de la foi (sur ce coup là je suis très fier de moi, meme si j'ai pas tout compris à l'enchainement )
Des fois ça revient à la charge. L'égo veut pas perdre.
J'aime beaucoup ce que tu écris, beaucoup d'écho dans ce que je vis actuellement.
Ce qui m'a aidé ces derniers jours c'est de tomber sur des personnes qui sont curieuses et qui m'amène à partager.
ça je garde a écrit:
Partant de mes expériences personnelles je sais que je peut leur faire confiance. J'ai toujours un oeil méfiant la dessus mais largement moins qu'avant.
Et puis me rappeler ces expériences extraordinaires qui prouvent l'existence d'un ou d'autres mondes, ou plan, ou dimension.
- des trucs comme ça ?:
Oui, le sentiment m'a amené sur Asperger, du coup là c'est plus de l'anxiété que j'arrive à relativiser en t'écrivant.
J'espère que ta tristesse s'est attenuée depuis hier.
Discord est une application de discussion (une sorte de chat), hier on m'a orienté vers une discussion Asperger (c'est un syndrome autistique - si tu veux plus de précision je te conseille la BD "la différence invisible" de Julie Dachez, dessin de Mademoiselle Caroline )
Au fait c'est quoi un discord Arperger ?
Le syndrome Asperger est un comportement autistique léger.
De mon point de vue, ce sont des autistes qui ont su adapter leur quotidien pour vivre une vie "normale" : principalement par la mise en place de rituel qui s'adapte en fonction du contexte.
Comme dire bonjour quand tu arrives le matin, 1 bise, 2 bises, serre la main, est malade, hoche la tete, est dans un bureau seul, ... parfois c'est très compliqué surtout quand tu te rappelles plus à qui tu as dit bonjour, ou que tu te trompes ... bon je vais arreter là, sinon je t'écris une centaine de ligne juste sur un bonjour.
Et donc j'ai découvert ce syndrome et il explique beaucoup de mes fonctionnements, mais voilà j'ai 42 ans et je ne suis pas diagnostiqué, donc du coup peut etre encore un coup d'identité malmenée, mais ce coup ci, j'ai été guidé "vers", avec au bout un téléphone qui se termine par 777, donc je me laisse une chance.
Namasté (tu vois ça va mieux, j'ai mis un smiley )
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
oui c'est vrai, mais ne t'inquiète pas pour moi, je n'absorbe pas ta souffrance, je te lis avec "distance" sans jugement. Je n'ai pas eu l'impression d'en mettre plein la gueule à l'autre, je dirais plutôt que notre monde est en manque de communication et ne sais plus exprimer ses vrais désirs. Quel mal j'ai eu à vivre dans une famille de "non-dit", ca m'a appris que le "non dit" qui est crée à la base "pour pas faire mal à l'autre" devient à la longue un instrument de torture pour ceux qui ont besoin de savoir la vérité.Et là on arrive sur le truc, partager fait avancer les choses, par contre l'extériorisation implique également d'en mettre plein la gueule à l'autre. Notre conversation a fait que je me suis retrouvé à dire des choses que je n'avais jamais partagé, et j'ai vu que ça t'a aidé également à partager tes propres souffrances. Ca c'est le coté cool, par contre l'autre versant c'est que tu as reçu une partie de ma souffrance, donc de ma culpabilité.
J'imagine plutot la partie de ta souffrance rebondir contre moi et partir dans l'univers pour s'évaporer. Ca rejoint à ça: confie ta souffrance à un arbre, au ciel, à l'univers, à la vie. Bon, facile à dire et pas facile à faire, lol. A force, ça vient.
là est mon problème, interagir avec la vie sans faire souffrir les unites conscientes. Et l'amour, c'est aussi une souffrance ...
Les unités conscientes, c'est toi. Je ne sais pas si on peut dire qu'on ne peut faire du mal à personne sauf à soi-même. Ou alors on peut toucher l'égo d'une personne, mais ça devient son histoire car c'est le personnage qu'elle crée qui crée cette souffrance - par interaction avec l'autre. Sans interaction avec l'autre, on se sert de notre mémoire pour se faire souffrir encore (injustices subies et peur du futur).
Si tu as décidé qu'il y en avait trop, ton mental reprend le dessus la dessus à mon avis. Des que tu te fais l'idée que tu en a trop, tu la repousse en rajoutant un jugement (il y en a trop). Le truc, ça serait que tu arrive à ne rien trouver à dire, juste c'est là, c'est tout. A ressentir sans juger, sans te juger.J'observe et il y a toujours un moment où je trouve qu'il y a en a trop
Une clef pour calmer ce mental: Partir du principe que tout le monde à tort, sauf toi (ce qui est logique car toute vérité est propre à soi-même). Après s'il y a des gens qui ont les mêmes idées que toi, c'est cool, on se sent moins seuls. Si elles n'ont pas les mêmes idées que toi, c'est pas grave, elles ont tort comparé à ta propre vérité (tes croyances).
La mouche qui pète,
Qui ne se reconnais pas la dedans Avoir conscience qu'on se gruge, c'est un pas vers le mieux pour arriver à se mentir de moins en moins et se trouver. Arriver à écouter de plus en plus son coeur.Je connais aussi, mais dès fois je me dis que je n'attend rien, alors qu'en fait si, je crois que j'essaye de gruger la vie elle meme (ah tiens et si je pensais que je n'attends rien, peux etre que j'aurais un truc", là je souris )
C'est super, plaisir partagé, et joie d'avancer positivement de mon côté. C'est un soulagement de pouvoir discuter au fond des choses avec respect mutuelJ'aime beaucoup ce que tu écris, beaucoup d'écho dans ce que je vis actuellement.
Ce qui m'a aidé ces derniers jours c'est de tomber sur des personnes qui sont curieuses et qui m'amène à partager.
Partant de mes expériences personnelles je sais que je peut leur faire confiance. J'ai toujours un oeil méfiant la dessus mais largement moins qu'avant.
Et puis me rappeler ces expériences extraordinaires qui prouvent l'existence d'un ou d'autres mondes, ou plan, ou dimension.des trucs comme ça ?:
Le clip montre seulement le rêve qu'on vit dans ce plan, je parlais plutot d'experience de mort imminente, sortie de corps et rêves éveillés. J'en parle naturellement parce qu'on est sur un forum qui traite du sujet, mais sinon j'en parle pas en général dans la société. Ceux qui n'y croient pas me prennent pour une illuminée
Je rebondis sur Asperger. Je te donne mon avis, ce que je pense par rapport à ça:
On est tous différents. Les défauts ne sont pas des défauts, de même que les qualités ne sont pas des qualités. Ce sont les normes que la société nous impose qui fait qu'on se sent de plus en plus hors du moule (moule qui devient de plus en plus étroit, il devient de plus en plus d'être le "parfait" que la société fabrique). A notre époque il ne faudrait plus avoir de sentiments pour tenir le coup au travail et les gens sensibles sont devenus "hypersensibles" comparés aux normes exigées.
A un moment il faudrait se dire que ce n'est pas à nous de nous adapter à la société quand on sait qu'elle déshumanise de cette manière.
Alors en essayant de trouver la cause à ces mal-être, j'ai essayé des noms qui collerait avec ce que je suis et les manquements que j'ai envers la société. Hypersensible, manque d'attention, cerveau droit, asthénie, bipolarité ou HPE (haut potentiel emotionnel), indigo, zebre, autiste asperger, etc... j'ai arreté les recherches car j'en trouverais une centaine d'autres qui collerait avec ce que je suis, lol.
J'ai été bien avec ça, ça m'a rassuré un temps et je me suis mis ces étiquettes pour m'excuser envers la société.
Maintenant c'est: je suis ce que je suis. point. et je m'accepte telle que je suis. Sachant que si je cherche à me "normaliser", j'en souffrirais encore. En suivant ce nouveau shéma j'ai constaté beaucoup de positif parce que je partait moins perdante. Et de m'appercevoir finalement que tout le monde s'efforce de rentrer dans la "normalité" (qui se resserre) sans y arriver vraiment.
A une personne qui me demande si ca va, je lui répondait "ça va, il fait beau". Ensuite à une personne qui me demande si ça va, je finissais par lui répondre "pas trop, je me sens triste et en colère. Je crois que c'est ma maladie de basedow, le travail me tue, j'ai envie de me retirer tellement ça va pas". Ensuite on me demande si ça va, je répond maintenant (et je le pense vraiment) "oui" avec un large sourire si je suis dans le divin parce que j'ai dit les choses, j'ai observé tout ça et j'ai comprit.
Je ne sais pas si tu as comprit, moi même j'ai du mal en me relisant, lol.
Mazette, j'ai commencé à écrire un bouquin ici Je te dis à bientôt si tu veux et prend soin de toi Obtearon (pas mal ce smiley, c'est la première fois que je l'utilise)
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Petites poussières d'étoile, je nous aime
Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
Cela me remémore de proches instants bien qu'ils se répètent assez souvent.Je me suis rendu compte qu'il est facile de faire vivre la douleur tout en passant l’éponge sur le bonheur.Pourquoi?Pourtant n'est-ce pas une forme de torture?Comme une descente et a un moment il m'arrive de me parler "Et si jamais j'oublie"
Alors ok avec des "si" parait-il qu'on change le monde,enfin non,on change son monde.
Du coup avec des "si" une histoire est racontée.Sans les "si" et au présent, l'histoire peut-elle être?
Alors ok avec des "si" parait-il qu'on change le monde,enfin non,on change son monde.
Du coup avec des "si" une histoire est racontée.Sans les "si" et au présent, l'histoire peut-elle être?
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Que règne la liberté.Car jamais le soleil ne s'est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.Nelson Mandela.
pac- Messages : 951
Date d'inscription : 30/03/2016
Re: Rêve de douleur
ça me parle ... je crois que c'est ça que j'essaye d'expérimenter, encore aujourd'hui, j'ai besoin de m'appuyer sur quelque chose de tangible ... mais c'est bon je vois le chemin.
J'imagine plutot la partie de ta souffrance rebondir contre moi et partir dans l'univers pour s'évaporer. Ca rejoint à ça: confie ta souffrance à un arbre, au ciel, à l'univers, à la vie. Bon, facile à dire et pas facile à faire, lol. A force, ça vient.
Lorsque j'écris j'écoute de la musique, et cette musique qui passait lorsque j'écrivais.
Le clip montre seulement le rêve qu'on vit dans ce plan, je parlais plutot d'experience de mort imminente, sortie de corps et rêves éveillés. J'en parle naturellement parce qu'on est sur un forum qui traite du sujet, mais sinon j'en parle pas en général dans la société. Ceux qui n'y croient pas me prennent pour une illuminée Laughing
Souvent les musiques illustrent parfaitement mon état du moment, parfois meme elle amplifie le sentiment, comme si la mélodie aidais à l'exprimer.
Je me vois comme un enfant qui apprends à marcher, je m'aide du mobilier( exemple : ce site) et de la main (exemple : toi).
Pour l'instant, j'ai encore besoin d'aide pour marcher sur certain chemin. Hier, j'ai réussi à faire un pas tout seul.
C'est une méthode que j'observe aussi pour mes romans, il arrive un moment où je me libère du mythe, et je peux écrire sans prendre en compte la cohérence du mythe. Ce moment arrive quand je n'ai plus besoin d'etre guidé dans la cohérence, que ma propre conception du mythe est solide. Pour cela je construit par symétrie, je déconstruit et renconstruit dès que j'y insère un nouvel élément, quand ma construction tiens la route, je n'utilise plus la symétrie, mais ma propre construction.
Ce qui m'amène sur Asperger, j'observe la symétrie, par contre je n'ose pas trop la déconstruire, car là il y a une vraie souffrance, celle des autistes. Finalement, j'ai appellé, j'étais peu sur de moi, mais la secretaire m'a aidé à formuler clairement, il en résulte un soulagement : "Ca c'est fait" et surtout "pas besoin de me faire une montagne d'un simple appel, si ça doit m'aider, je recevrais de l'aide".
Finalement, je finis par voir que ton message ne comporte qu'un seul message, car à chaque réponse j'en arrive sur la meme réponse :
Je ne sais pas si tu as comprit,
aujourd'hui, j'ai fait un autre pas.
Je me vois comme un enfant qui apprends à marcher, je m'aide du mobilier( exemple : ce site) et de la main (exemple : toi).
Pour l'instant, j'ai encore besoin d'aide pour marcher sur certain chemin. Hier, j'ai réussi à faire un pas tout seul.
- Spoiler:
ne pas regarder le bout du chemin !- Spoiler:
ne pas regarder le bout du chemin !!!!- Spoiler:
NE PAS REGARDER LE BOUT DU CHEMIN- Spoiler:
Eh merde ...
Namasté. (cui là c'est pas encore gagné )
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Pour toi elle l'est ?Du coup avec des "si" une histoire est racontée.Sans les "si" et au présent, l'histoire peut-elle être?
Pour moi elle l'est. Vérité. Mais je la vois pas encore étant encore ancrée dans le personnage de l'histoire avec des "si".
C'est ce que je ressens aussi apres avoir reconsideré beaucoup de choses. Un pas, et un autre, et d'autres... jusqu'à une bonne confiance en soi basée sur le coeur et non sur le mental. C'est génial.Je me vois comme un enfant qui apprends à marcher, je m'aide du mobilier( exemple : ce site) et de la main (exemple : toi).
Pour l'instant, j'ai encore besoin d'aide pour marcher sur certain chemin. Hier, j'ai réussi à faire un pas tout seul.
Toute nouvelle direction amene à de nouvelles expériences à vivre. On peut être accompagné, ça aide grandement.
Ca me ramene un souvenir que je vois aujourd'hui joyeux (j'avais pas fais gaffe à ce qui s'est passé vraiment, maintenant si). Une periode assez forte en émotions vu que j'avais fait le choix de quitter temporairement mon ex pour un travail saisonnier. Cette coupure de trois semaines c'était le paradis, lol. Libre. Sans ça je n'aurais pas fait connaissance avec la premiere personne qui m'a tendue la main et aidé à ouvrir les yeux. C'était le bon moment pour qu'on se rencontre. Elle m'a guidé vers une lecture "la force est en vous" de Louise Haye.
Je suis allée revoir deux autres fois cette personne. La derniere fois, elle m'a dit: "Je suis ta béquille pour l'instant, mais arrive à l'enlever cette béquille, vole de tes propres ailes..."
Et il y a toujours cette voix en moi qui me dit "n'aie pas peur".
Ca fait trois aides qui vaillent le coup d'être écoutées sans se poser de question
J'entame actuellement un repos physique et mental bien mérité. Non sans mal car lâcher tout c'est pas facile. Mais qu'est ce que ça fait du bien ! C'est pas encore tout lâché la dedans, des le reveil y a le ciboulot qui se met en panique (le stress, ca a été ma nature tres longtemps). Mais j'ai pu observer ce processus et agir un peu pour calmer tout ça. Je me parle à l'intérieur "laisse-moi le temps". J'ai placé la priorité à ce que je suis plutot qu'aux obligations de la vie (celles qui n'ont plus de sens pour moi). Je ne sais pas combien de temps ça me prendra (peu importe). Je chasse cette idée de vouloir faire absolument quelque chose parce que si j'arette, je me meurt. Je pense plutot qu'il était temps d'arreter cette vie active stressante qui va à l'encontre des valeurs que j'ai au fond.
Du coup j'ai le temps. Le temps de te lire, d'écrire, de regarder ce qui me fait envie. Et au fur et à mesure que je prend ce pli de regarder là où c'est amour, je finit par le découvrir de plus en plus. En fin de compte il a toujours été là mais je ne le voyait pas.
Quand on dit qu'il faut regarder en soi pour trouver la sérénité, la joie, l'amour, c'est vrai. C'est la perception qui change tout. C'est dingue.
Namasté (hou la, baleze ce smiley, lol)
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Grenouille- Messages : 850
Date d'inscription : 31/05/2017
Re: Rêve de douleur
J ai toujours réussi à voir le beau à l extérieur, même dans les moments les plus dur.
Ce que j apprends à faire c à voir en moi, et des fois je me dis que c joli.
Namastè ( )
Ce que j apprends à faire c à voir en moi, et des fois je me dis que c joli.
Namastè ( )
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Du coup avec des "si" une histoire est racontée.Sans les "si" et au présent, l'histoire peut-elle être?
Pour toi elle l'est ?
Pour moi elle l'est. Vérité. Mais je la vois pas encore étant encore ancrée dans le personnage de l'histoire avec des "si".
Cela peut commencer avec une pensée.Un terrain,un champ large et fluide ou le "si" circule parfois plus haut,parfois plus bas.Dans l'observation,derrière lui il laisse le décor passé et future.L'imaginaire prend forme et le rêve se laisse dicter par l’émanation des émotions.Ces émotions occupent maintenant le siège au centre du décor.
Des vagues,des ondes partent du siège et interagissent avec l'ensemble.Le rideau est tiré devant l'observateur pendant que l'acteur reste immobile a coté du siège.
Une histoire est racontée.
Sans les "si" et au présent,l'observateur et l'acteur sont unis tous deux sur le siège au cœur du décor.Ici et maintenant,dans un lâché prise,les émotions sont remerciés et la liberté chante ses notes préférées.
Voila comment elle est pour moi en cet instant.
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Que règne la liberté.Car jamais le soleil ne s'est couché sur réalisation humaine plus glorieuse.Nelson Mandela.
pac- Messages : 951
Date d'inscription : 30/03/2016
Re: Rêve de douleur
Pourquoi c douloureux de s aimer soi ?
Pourquoi c douloureux de comprendre le simple, mais de voir que l on y arrive pas ?
Pourquoi j ai l impression d avoir toute ma vie laisser la vie me guider, et là de me rendre compte que ca rime à rien ?
Pourquoi les autres y arrivent et pas moi, ou alors quelques minutes et après c est la chute ?
Pourquoi j y crois toujours, alors que la realite me dit le contraire ?
J ai beau observé, j ai beau laissé aller, la peur est toujours là, celle d être blessé parce que ce n est pas ça qui était attendu. Et je sais que personne n attend rien de moi, alors pourquoi j ai peur, pourquoi ca me fait mal ... souvent c supportable, et parfois non, alors je laisse aller et ca passe.
Qu' est ce que j ai fait de mal qui me vaille d avoir peur. Est ce un choix inconscient ? Est ce une malédiction ? Peut être encore autre chose que je ne connais pas.
Je crée mon environnement, très bien, voilà le nouveau cadre, je veux comprendre simplement sans aucun doute possible pourquoi j ai peur. Rien d abstrait, rien d une quelquoncque intuition, non, un truc concret, sans jugement, ni interprétation, juste un fait réel.
Namasté.
Pourquoi c douloureux de comprendre le simple, mais de voir que l on y arrive pas ?
Pourquoi j ai l impression d avoir toute ma vie laisser la vie me guider, et là de me rendre compte que ca rime à rien ?
Pourquoi les autres y arrivent et pas moi, ou alors quelques minutes et après c est la chute ?
Pourquoi j y crois toujours, alors que la realite me dit le contraire ?
J ai beau observé, j ai beau laissé aller, la peur est toujours là, celle d être blessé parce que ce n est pas ça qui était attendu. Et je sais que personne n attend rien de moi, alors pourquoi j ai peur, pourquoi ca me fait mal ... souvent c supportable, et parfois non, alors je laisse aller et ca passe.
Qu' est ce que j ai fait de mal qui me vaille d avoir peur. Est ce un choix inconscient ? Est ce une malédiction ? Peut être encore autre chose que je ne connais pas.
Je crée mon environnement, très bien, voilà le nouveau cadre, je veux comprendre simplement sans aucun doute possible pourquoi j ai peur. Rien d abstrait, rien d une quelquoncque intuition, non, un truc concret, sans jugement, ni interprétation, juste un fait réel.
Namasté.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Ok c'est concret. . J'ai peur car j'anticipe et j'imagine et quand le fait réel arrive je suis dans une espèce de lassitude qui fait que j'agis au mieux de mes capacités
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Cela fait un moment maintenant que je suis tes écrits ici Obtearon, et pourtant je n’y ai encore jamais apposé ma griffe, alors je vais le faire maintenant…
Il est utile de s’avoir que pour aimer et s’aimer soi-même, il convient de comprendre l’ensemble du problème qui est finalement et simplement celui de la LIBERTE.... TA liberté.... celle que tu peux t'octroyer
Nous devons découvrir par nous-mêmes ce qu’aimer veut dire, car si nous n’aimons pas, nous ne pourrons jamais être attentionnés, prévenants, pleins d’égards.
Sais-tu ce que signifie être plein d’égards Obtearon ?
C'est Krishnamurti qui disait un jour…… je cite : "Quand vous apercevez une pierre tranchante sur un chemin foulé par de nombreux pieds nus, vous l’ôtez du chemin, non parce qu’on vous l’a demandé, mais parce que vous êtes attentifs à l’autre – peu importe qui il est, peu importe si vous ne devez jamais le rencontrer. Pour planter un arbre et le chérir, pour contempler la rivière, savourer la générosité de la terre, observer l’envol d’un oiseau et en voir la beauté, pour être sensibles et ouverts à cet extraordinaire mouvement qu’on appelle la vie – pour faire tout cela il faut la liberté; et pour être libres, vous devez aimer."
Voici un bien bel exemple à mon sens, Qu'en penses-tu ??
car pour confirmer il faut bien se l’avouer ; sans amour il n’est point de liberté, sans amour la liberté n’est qu’une idée sans la moindre valeur.
On se fait peur à soi-même..... et ce que l’on appelle vulgairement l’ombre ou nos ombres, c'est cette partie de notre esprit qui contient ces choses que nous préférons ne pas admettre, que nous essayons constamment de nous cacher en les glissant sous le tapis de notre conscience, ajoutés à ce sentiment désagréable d’échec personnel et d’inadéquation qui sont en vérité et paradoxalement la plus grande de nos bénédictions car ces émotions permettent de Se chercher Soi-même.
L’essentiel est de se comprendre !
C’est en prenant conscience de Soi que l’on apprend à s’AIMER….Et en nous indiquant quelle est ta demande concrète ici, tu rends ainsi le besoin moins menaçant parce que tu l’incarnes dans la réalité, dans ton quotidien.
Aussi longtemps que le mental contrôle les choses, nous stagnons malheureusement !
Tu es proche Obtearon ; tu es proche
Yo les filles
Laura marie les loi universelles en video youtube à patir de 20 min tu verras l'image de l'espoir et du désespoir les combo ça peut aider à garder l'espoir
Perso j'ai fait un cauchemard où je suis exclu socialement et en faite c'est un peut vrai, alors le désespoir.... puis progressivement, en faisant des choses qu'ont aime faire ; on finit par vibrer d'amour et c'est la limite que le trouble existe plus , suivant niveau je le nourri a y repenser ,
wai optimiste sceptique genre de chose : la passion c'est une clef comme l'amour ; t'as la musique, liberté des geste jusqu'à ce que le flux soit ces geste extérieur/intérieur ou devenir pentagramme: faire la bougie pour devenir une fleur de vie car le feu devient 6eme branche ce qui est en haut est comme ce qui en bas ; bon ça ferait 10 . Il faut regarder l'arbre de vie pour voir cette théorie aveugle
bon,,, ces bêtises de paladin mais la fleur j'y croit mais bon il faut utiliser son discernement
Elle a dit : la connaissance c'est la liberté ; aussi fin c'est mon 1er gourou hien
Perso j'ai fait un cauchemard où je suis exclu socialement et en faite c'est un peut vrai, alors le désespoir.... puis progressivement, en faisant des choses qu'ont aime faire ; on finit par vibrer d'amour et c'est la limite que le trouble existe plus , suivant niveau je le nourri a y repenser ,
wai optimiste sceptique genre de chose : la passion c'est une clef comme l'amour ; t'as la musique, liberté des geste jusqu'à ce que le flux soit ces geste extérieur/intérieur ou devenir pentagramme: faire la bougie pour devenir une fleur de vie car le feu devient 6eme branche ce qui est en haut est comme ce qui en bas ; bon ça ferait 10 . Il faut regarder l'arbre de vie pour voir cette théorie aveugle
bon,,, ces bêtises de paladin mais la fleur j'y croit mais bon il faut utiliser son discernement
Elle a dit : la connaissance c'est la liberté ; aussi fin c'est mon 1er gourou hien
hel-Paladin- Messages : 387
Date d'inscription : 11/04/2016
Re: Rêve de douleur
Meme si je n'ai pas souvent de réponse directe comme celle-ci, tu as toujours répondu à mes questions.
Je sais également qu'une réponse directe est difficile car cela fait appel à une partie de notre égo, et souvent on s'égare un peu.
Ici j'ai toujours été impressionné par la qualité des réponses (il y a toujours au moins 1 post qui correspond aux questions que je me pose).
Comment une réponse aussi parfaite soit elle peut elle etre comprise aussi parfaitement qu'elle a été énoncé, sauf si l'autre est un miroir parfait.
je l'ai plusieurs fois écrit et décrit ... ce que je ne comprends pas c'est en quoi c'est une liberté, ce n'est ni un choix, ni un devoir, ni un droit c'est juste une façon d'etre. C'est vrai que je peux très bien ne pas le faire, mais dans ce cas je me renie, car pour moi l'action est une évidence.
Par contre il m'arrive aussi de ne pas savoir quoi faire, quoi répondre. Dans ce cas qui arrive aussi de temps en temps et qui souvent génère une émotion qui est tous sauf de la joie, souvent de la colère, la sensation de se faire trahir par moi. Ca me mets à chaque fois dans des situations inconfortables et ensuite vient la violence, celle de ne pas s'aimer justement, de se sentir exclu, de ne pouvoir agir, d'etre contraire à moi-meme, d'etre contraire au tout à l'univers ... tout simplement car si je fais parti du tout, l'autre aussi, et donc ... (petite precision : l'exterieur hors humain n'est pas une menace) je ne sais pas quoi faire de cette blessure à part la digérer, la stocker ... car si je m'exprime à mon tour, je prends le risque de blesser l'autre, puis par rebond il me blesse, je le blesse, de plus en plus fort de plus en plus violement jusqu'au point de rupture ou l'autre est vaincu. Et s'il se relève, il se vengera, car un gros con à dit "oeil pour oeil, dent pour dent" qui est devenu "oeil pour yeux, dent pour machoire", et c'est sans fin, pour chaque guérison, il y a mille blessures qui génèrent à leur tour une guérison et mille blessures.
C'est dans ce monde là que je vis. Chaque blessure que j'évite, chaque geste qui apaise est une victoire contre le tout conscient, contre l'expérience, certain l'appelle satan, d'autres l'égo, moi je l'appelle quelque foi le gros con. Bien sur, à ce moment là, j'ai toujours ce petit lien "c'est toi qui créé ton environnement" et donc je me blesse à nouveau parce que c'est moi le gros con.
Alors oui, je peux dire je ne suis pas responsable de l'environnement, mais dans ce cas qui a mis ce caillou coupant, qui a provoqué la maladie d'un enfant, qui a décidé de faire Hiroshima ET Nagazaki, etc, etc, etc c'est moi, c'est le tout, c'est la volonté ineffable et infinie de l'éveil à la conscience, dont nous sommes tous une infime partie ... vois tu la boucle, lachez prise ... la bonne blague ... voir une mère blesser sa fille (encore et encore et encore et encore et encore et ... ), voir un frère blesser son frère, un soeur sa soeur, un amant son amante, une amante son amant, un adulte un enfant, un enfant un adulte, tout le temps à chaque instant, ne pas juger, dire c'est normal, c'est la vie ... et encore j'écarte tous ce qui est hors humain, car ils font ce qu'ils peuvent, ils s'adaptent, pour eux rien de compliqué, le lion chasse et mange la gazelle, c'est la vie. La vie se nourrit de la vie rien de plus normal.
ben moi dés fois je me dis "si je ne mérite rien, alors je ne ferais rien, mais je fais quand meme, parce que j'ai trouvé un endroit où je suis libre de tout, de toute contrainte, je peux faire ce que je veux. J'y vais dès que j'en ai l'occasion.
l'essentiel ... pour moi ça devient juste important ... dès fois je me dis que ce qui est essentiel n'est pas à ma portée, peut etre une autre vie ... parfois je me dis que la confiture est déjà bien étalée, qu'il ne reste plus grand chose dans le pot, et que finalement sans confiture se serait tout aussi bon, peut etre un peu plus sec.
Je sais également qu'une réponse directe est difficile car cela fait appel à une partie de notre égo, et souvent on s'égare un peu.
Ici j'ai toujours été impressionné par la qualité des réponses (il y a toujours au moins 1 post qui correspond aux questions que je me pose).
Comment une réponse aussi parfaite soit elle peut elle etre comprise aussi parfaitement qu'elle a été énoncé, sauf si l'autre est un miroir parfait.
Non.Francesca a écrit:
Sais-tu ce que signifie être plein d’égards Obtearon ?
Là oui, car j'ai plusieurs souvenir de ce type.Francesca a écrit:
C'est Krishnamurti qui disait un jour…… je cite : "Quand vous apercevez une pierre tranchante sur un chemin foulé par de nombreux pieds nus, vous l’ôtez du chemin, non parce qu’on vous l’a demandé, mais parce que vous êtes attentifs à l’autre – peu importe qui il est, peu importe si vous ne devez jamais le rencontrer. Pour planter un arbre et le chérir, pour contempler la rivière, savourer la générosité de la terre, observer l’envol d’un oiseau et en voir la beauté, pour être sensibles et ouverts à cet extraordinaire mouvement qu’on appelle la vie – pour faire tout cela il faut la liberté; et pour être libres, vous devez aimer."
je l'ai plusieurs fois écrit et décrit ... ce que je ne comprends pas c'est en quoi c'est une liberté, ce n'est ni un choix, ni un devoir, ni un droit c'est juste une façon d'etre. C'est vrai que je peux très bien ne pas le faire, mais dans ce cas je me renie, car pour moi l'action est une évidence.
Par contre il m'arrive aussi de ne pas savoir quoi faire, quoi répondre. Dans ce cas qui arrive aussi de temps en temps et qui souvent génère une émotion qui est tous sauf de la joie, souvent de la colère, la sensation de se faire trahir par moi. Ca me mets à chaque fois dans des situations inconfortables et ensuite vient la violence, celle de ne pas s'aimer justement, de se sentir exclu, de ne pouvoir agir, d'etre contraire à moi-meme, d'etre contraire au tout à l'univers ... tout simplement car si je fais parti du tout, l'autre aussi, et donc ... (petite precision : l'exterieur hors humain n'est pas une menace) je ne sais pas quoi faire de cette blessure à part la digérer, la stocker ... car si je m'exprime à mon tour, je prends le risque de blesser l'autre, puis par rebond il me blesse, je le blesse, de plus en plus fort de plus en plus violement jusqu'au point de rupture ou l'autre est vaincu. Et s'il se relève, il se vengera, car un gros con à dit "oeil pour oeil, dent pour dent" qui est devenu "oeil pour yeux, dent pour machoire", et c'est sans fin, pour chaque guérison, il y a mille blessures qui génèrent à leur tour une guérison et mille blessures.
C'est dans ce monde là que je vis. Chaque blessure que j'évite, chaque geste qui apaise est une victoire contre le tout conscient, contre l'expérience, certain l'appelle satan, d'autres l'égo, moi je l'appelle quelque foi le gros con. Bien sur, à ce moment là, j'ai toujours ce petit lien "c'est toi qui créé ton environnement" et donc je me blesse à nouveau parce que c'est moi le gros con.
Alors oui, je peux dire je ne suis pas responsable de l'environnement, mais dans ce cas qui a mis ce caillou coupant, qui a provoqué la maladie d'un enfant, qui a décidé de faire Hiroshima ET Nagazaki, etc, etc, etc c'est moi, c'est le tout, c'est la volonté ineffable et infinie de l'éveil à la conscience, dont nous sommes tous une infime partie ... vois tu la boucle, lachez prise ... la bonne blague ... voir une mère blesser sa fille (encore et encore et encore et encore et encore et ... ), voir un frère blesser son frère, un soeur sa soeur, un amant son amante, une amante son amant, un adulte un enfant, un enfant un adulte, tout le temps à chaque instant, ne pas juger, dire c'est normal, c'est la vie ... et encore j'écarte tous ce qui est hors humain, car ils font ce qu'ils peuvent, ils s'adaptent, pour eux rien de compliqué, le lion chasse et mange la gazelle, c'est la vie. La vie se nourrit de la vie rien de plus normal.
"ceux qui sacrifie leur liberté pour avoir de la sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et finissent par perdre les deux." Benjamin FranklinFrancesca a écrit:
car pour confirmer il faut bien se l’avouer ; sans amour il n’est point de liberté, sans amour la liberté n’est qu’une idée sans la moindre valeur.
ben moi dés fois je me dis "si je ne mérite rien, alors je ne ferais rien, mais je fais quand meme, parce que j'ai trouvé un endroit où je suis libre de tout, de toute contrainte, je peux faire ce que je veux. J'y vais dès que j'en ai l'occasion.
oui, c'est vrai ... et quand tout fini par s'améliorer car nous avons admis quelque chose de nous, vient le début du nouveau cycle, à nouveau la chute, le sentiment désagréable de l'echec, de l'inutile que nous pouvons facilement contrebalancé par le fait que sur le cycle d'avant nous avons réussit quelque chose, petit pas par petit pas, on se connait, on se trouve, le rythme ... mais pas le meme pour tous, chacun à notre manière nous bloquons dans un cycle, parce que c'est trop dur, c'est trop infini, c'est trop sans fin, alors nous faisons quand meme le pas, et on avance, mais que c'est lent, pour une victoire, mille défaite pour une guerre qui n'aura pas de fin si ce n'est l'absolu, l'élévation consciente ou non. la fin d'un cycle et le début d'un autre ... meme si je sais l'absolu nécéssité de ce principe, je reconnais une lassitude, celle de ne voir pas le bout, alors passe les secondes, les minutes, les heures, les jours, les mois, les années, des cycles et encore des cycles.Francesca a écrit:
On se fait peur à soi-même..... et ce que l’on appelle vulgairement l’ombre ou nos ombres, c'est cette partie de notre esprit qui contient ces choses que nous préférons ne pas admettre, que nous essayons constamment de nous cacher en les glissant sous le tapis de notre conscience, ajoutés à ce sentiment désagréable d’échec personnel et d’inadéquation qui sont en vérité et paradoxalement la plus grande de nos bénédictions car ses émotions permettent de Se chercher Soi-même.
l'essentiel ... pour moi ça devient juste important ... dès fois je me dis que ce qui est essentiel n'est pas à ma portée, peut etre une autre vie ... parfois je me dis que la confiture est déjà bien étalée, qu'il ne reste plus grand chose dans le pot, et que finalement sans confiture se serait tout aussi bon, peut etre un peu plus sec.
Oui c'est vrai qu'à chaque expression concrète le besoin reflux, ça c'est cool ... toujours une petite appréhension que ça revienne car pas exprimé assez clairement, alors j'essaye d'etre concis, un problème après l'autre, et si ça revient ben faudra faire avec ... pas trop le choix, et j'enlève les cailloux coupants, mais yena quand meme beaucoup, se serait quand meme cool que d'autres en enlèvent aussi, si tout le monde s'y mettais avec bonne volonté, en une année c'est torché et après on fait la teuf : pas un truc de mickey hein, un truc énorme, planétaire, un truc qui fait " je ne pensais pas que c'était possible, suivi d'un j'y étais, je l'ai vécu, je l'ai vu, je l'ai ressenti". Perso je vois le truc, je sais comment le mettre en place, par contre j'ai pas trop les moyens, et puis il y a encore des petits inconvénients qui me chiffonent (genre comment faire en sorte de le faire vivre à tout le monde sans provoquer d'incident d'égo)Francesca a écrit:
C’est en prenant conscience de Soi que l’on apprend à s’AIMER….Et en nous indiquant quelle est ta demande concrète ici, tu rends ainsi le besoin moins menaçant parce que tu l’incarnes dans la réalité, dans ton quotidien. I love you
le tout est de réduire, d'équilibrer stagnation, évolution, regression ... dès fois c'est pas facile, mais je trouve que je m'en suis bien sorti (yavais un bordel là dedans lol )Francesca a écrit:
Aussi longtemps que le mental contrôle les choses, nous stagnons malheureusement ! silent
je sais, j'ai également conscience que j'y arriverai ... la seule chose qui me reste c'est le pourquoi moi, ça je n'ai toujours pas comprisFrancesca a écrit:
Tu es proche Obtearon ; tu es proche
- chanson:
quelques fois (un petit euphèmisme) je fais preuve d'une mauvaise foi à toute épreuve, quand je m'en rends compte souvent je ris tout seul, ça m'est meme arrivé d'éclater de rire dans mon sommeilHel-Paladin a écrit:
bon,,, ces bêtises de paladin Rolling Eyes mais la fleur j'y croit mais bon il faut utiliser son discernement
- Namasté:
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
NonFrancesca a écrit:
Sais-tu ce que signifie être plein d’égards Obtearon ?
OuiFrancesca a écrit:
C'est Krishnamurti qui disait un jour…… je cite : "Quand vous apercevez une pierre tranchante sur un chemin foulé par de nombreux pieds nus, vous l’ôtez du chemin
Non, parce que c'est ma façon d'etre ... ça parait contradictoire mais non : j'aime bien les gens, mais ce n'est pas parce que quelqu'un va se blesser que je l'enlève, c'est juste que je n'ai pas le choix :
, non parce qu’on vous l’a demandé, mais parce que vous êtes attentifs à l’autre
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je l'ai évité, je l'enlève.
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je ne l'ai pas évité, je l'enlève en jurant et en ralant
Le cailloux c'est facile comment il est arrivé là, quel est la source de ce caillou, je ne la trouve pas, je l'enlève, et je hausse les épaules.
Le cailloux c'est facile comment il est arrivé là, quel est la source de ce caillou, je la trouve, je l'enlève et je me dis comment supprimer la cause.
Supprimer la cause, ça c'est difficile, car il peut etre de plusieurs origines :
- c'est quelqu'un qui le dépose intentionnellement parce qu'il a envie de voir qui va l'enlever, qu'il a envie de voir qui s'occupe du chemin, qu'il a envie de voir si le sang est rouge, qu'il trouve ça drole, qu'il se met au défi de s'en souvenir, ...
- C'est quelqu'un qui le dépose inconsciemment, parce que ça tombe de sa poche, parce qu'il l'a lancé pour l'enlever d'un autre chemin, parce qu'il a shooté de dedans sans le voir, parce qu'il s'est coupé et dans sa colère l'a lancé n'importe où
- c'est quelque chose qui le dépose, le vent, la pluie, un oiseau, un animal, ...
- C'est quelque chose qui le forme, le roulement des autres cailloux, chaque pied qui le foule l'a rendu plat et coupant, ...
Du coup supprimer la cause c'est peine perdue, vous ne pouvez que l'enlever, sauf qu'il y en a beaucoup et que si vous vous arrêtez sur chaque caillou vous etes pas rendu ... suffit de pas le voir, de regarder devant.
Je crois que c'est ça, tout le monde est tellement occupé à regarder devant, du coup il n'y plus personne (ou très très peu) pour enlever les cailloux.
là par contre j'ai un choix, je continue à regarder où il y a des cailloux coupant, ou je fais comme tout le monde et je regarde devant ... ... sauf que je vais me blesser où si ce n'est pas moi, tous ceux qui prennent ce chemin, et du coup les memes choix, et les cailloux vont s'accumuler.
alors en fait :
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je l'ai évité, je l'enlève.
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je ne l'ai pas évité, je l'enlève en jurant et en ralant.
Et si je suis fatigué de les enlever, de toute façon vu le nombre ça se verra pas, et si l'on m'en fait le reproche je dirais que je fais ce que je peux, et que se serait bien de regarder un peu par terre de temps en temps (en pensant très nettement : pitet que si tout le monde s'y mettait avec bonne volonté ca pourrait marcher, mais si tout le monde s'en fout c'est clair qu'on finira bien un jour par tous marcher les pieds en sang).
Bon je crois que je vais faire comme d'hab :
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je l'ai évité, je l'enlève.
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je l'ai évité, je suis fatigué, je ne l'enlève pas.
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je ne l'ai pas évité, je l'enlève en jurant et en ralant.
- Parce que j'ai ressenti une émotion:
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Obtearon a écrit: ... Du coup supprimer la cause c'est peine perdue, vous ne pouvez que l'enlever, sauf qu'il y en a beaucoup et que si vous vous arrêtez sur chaque caillou vous etes pas rendu ... suffit de pas le voir, de regarder devant.
Je crois que c'est ça, tout le monde est tellement occupé à regarder devant, du coup il n'y plus personne (ou très très peu) pour enlever les cailloux.
là par contre j'ai un choix, je continue à regarder où il y a des cailloux coupant, ou je fais comme tout le monde et je regarde devant ... ... sauf que je vais me blesser où si ce n'est pas moi, tous ceux qui prennent ce chemin, et du coup les memes choix, et les cailloux vont s'accumuler.
alors en fait :
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je l'ai évité, je l'enlève.
Le cailloux c'est facile il est là, je l'ai vu, je ne l'ai pas évité, je l'enlève en jurant et en ralant.
Et si je suis fatigué de les enlever, de toute façon vu le nombre ça se verra pas, et si l'on m'en fait le reproche je dirais que je fais ce que je peux, et que se serait bien de regarder un peu par terre de temps en temps (en pensant très nettement : pitet que si tout le monde s'y mettait avec bonne volonté ca pourrait marcher, mais si tout le monde s'en fout c'est clair qu'on finira bien un jour par tous marcher les pieds en sang).
Hello Obtearon
Sais-tu que tant que nous serons sous l’emprise des émotions perturbatrices, nous n’en tirerons que très peu de bénéfices.
Tous les êtres souffrent de la même façon que nous et certains sont mêmes plongés encore plus profondément dans leur douleur. Pourtant, chacun a le même but, celui de connaître le bonheur et éviter la souffrance, la frustration ou la douleur. Nous souhaitons tous un bonheur durable, mais ne savons pas toujours comment en cultiver les causes ; nous souhaitons nous éviter la misère, mais en procédant de la sorte, nous ne faisons finalement qu’accumuler des causes de plus.
Bien que recherchant le bonheur, parfois certains arrivent même à en détruire les causes comme s'ils détruisaient un ennemi….
Est-ce ce que tu cherches toi-aussi Obtearon ??
Pour d’autres, bien que le but de l’esprit d’éveil soit d’atteindre l’illumination pour pouvoir guider les êtres hors de la souffrance, cela ne veut pas dire que l’on se manifestera nécessairement sous la forme d’un maître . Parfois, il convient qu’apparaissent des éléments, que ce soit sous la forme de quelqu’un qui nous dit quelques mots aptes à résoudre une difficulté, ou parfois sous la forme d’un livre si nous avons besoin d’informations, et même parfois sous la forme d’un pont… et pourquoi pas d’une pierre ( ?)
Les épreuves, de nos jours, n’épargnent personne. Le désir de retrouver l’harmonie n’est que la première étape.
quand nous cesserons d’attendre des autres qu’ils comblent notre vide ou nos désirs, c’est que NOUS l’avons laissé se créer, et nous sommes les seuls à pouvoir le combler !
Si nous voulons vraiment créer l’harmonie dans notre vie, il suffit de prendre conscience des erreurs dont nous accusons l’Autre ou des choses qui nous ont causé de la peine, puis de se poser la question : "Dans quelle mesure suis-je responsable de cette situation? "
Nous découvrirons l’harmonie souhaitée dans nos vies… lorsque nous nous rendrons compte que nous sommes les auteurs de nos infortunes.
C’est seulement à ce moment-là que les questionnements cesseront !
Je te souhaite sur ce une très belle journée cher Obtearon
Re: Rêve de douleur
Salut Francesca ,
L'inconvénient c'est que cette sensation si elle devient habituelle, elle perd de son intensité, elle devient normale et du coup tu la vois de moins en moins.
Dans la souffrance, le souvenir de ses moments fait qu'elle devient supportable, voir reflue jusqu'à disparaitre.
Plus je regarde loin, plus la vision est precise
Plus je me rapproche du moment present plus la vision devient ... fantasque, décorélé de ce que je vis.
Comme j'aime beaucoup la vision, je la garde, je la transcrit, et quelque fois je la partage, à chaque fois que je fais ça, il arrive un moment où la réalité me revient, par les médias, par l'IRL, par internet (de rare fois ce site), et ce que je vois n'est pas très folichon.
A ce moment, je fais une espèce de truc, je fais le constat de toutes les souffrances que je vois, que je ressens, c'est très désagréable ... et je me dis "je suis vivant, j'ai tout ce dont j'ai besoin, je suis en bonne santé", au moment où je le pense je m'isole mentalement, et je retrouve ma vision, et là tout reflue, la réalité devient vide ... et j'imagine comment atteindre ma vision ... pas dans la réalité (trop compliqué, trop inadéquate au vu du constat) dans l'univers que je me suis créé, et là ça marche, tout devient magique.
Certes, c'est moi qui juge de l'inadéquation ou de la difficulté, mais pour l'instant la vie ne m'a jamais prouvé que c'était possible ... ... 'fin si elle m'a montré que c'était possible (marrant ces liens qui viennent tout seul hein !) mais jamais par mon action, ce que je veux dire c'est que de mon action il ne résulte pas grand chose, ou alors avec très peu d'effet positif.
Donc du coup, je me dis souvent mais qu'est qu'ils bouinent les etres ethérées, les etres supérieurs, les sages, bref tous ceux qui ont une réelle influence sur la réalité, ceux qui peuvent d'une pensée rassembler toutes les consciences, ceux qui d'un mot éveille un million conscience ... ils sont où ? sur la terre, sur venus, sur jupiter, sur acturus, au fin fond de la galaxie. Par contre, les resistances, celle qui m'empechent de finir ce post, ça je les vois bien (je me suis fait interompre au moins une dizaine de fois, ça m'agace, certes pour faire des trucs dont c'est mon boulot, mais ça reste des trucs qui ne m'apporte rien si ce n'est de l'agacement)
Et d'elle, j'avoue que je ne peux pas lui dire ça (parce qu'elle a fait quelque chose dont la lumière m'éclaire encore), par contre tous les autres aucun problème : pour leur dire bouger vous le cul, ça va pas se faire tout seul, vous avez la plénitude, la sérénité, la connaissance, l'influence, l'assersivité, le pouvoir, vous avez tout, et qu'en faite vous ? des écoles, des sectes, des religions, des états, des nations, mais pour le bien etre de l'espèce que faites vous ?... rien, vous les laissez grandir et se tromper, en un sens c'est bien, mais d'un autre coté vous ne faites rien pour le bien etre de l'humain, tout ce que vous savez dire c'est "j'ai reçu d'un maitre, je te transmet tel qu'il m'a appris, tel que je l'ai compris, à toi d'en faire ce que tu veux"
"vois cet arbre il t'est interdit d'en manger le fruit"
"qu'est que ça veut dire interdit ?"
c'est aussi simple que ça.
Quand un maitre s'exprime, il le fait avec ce qu'il connait déjà, comment peut il se souvenir de ne pas connaitre ce qu'il a appris. Il sait ce que l'interdit, car il l'a appris, il se souvient l'avoir appris, mais il ne se souvient plus quand il ne le savait pas.
Par exemple, en ce moment je lis la horde de contrevent d'Alain Damasio, je puis vous dire que ça colle parfaitement. J'en suis presque à la fin, je me reconnais dans tous les peronnages, chacun represente un aspect de ma personalité. Il est certain que l'univers de Damasio n'est pas à l'identique du mien, ce n'est pas le meme langage, par contre c'est le meme objectif, melé d'orgueil, de courage, d'intelligence, d'abnégation, d'intuition, de combativité ... sans faire de spoil, j'en suis à la septième forme de vent, je vois ce qu'est la huitième, et je me doute de ce qu'est la neuvième ... et deux trois indices me font comprendre ce qu'est l'extreme amont.
Si vous ne l'avez pas lu, je vous le conseille, certains disent qu'ils est parfois difficle de comprendre le vocabulaire, mais avec un peu d'imagination vous verrez que ce langage propre à Damasio n'est pas si éloigné du votre, ce ne sont pas les memes mots, mais ce sont les memes sentiments.
ou alors il est déjà comblé inconsciement ... franchement ça me saoule, si ça creuse et se comble inconsciement, qu'est que ça peut foutre qu'on en est pas conscience ... nan faut tout remplir, faut faire l'expréience 1 fois, 1000 fois, 10 000 fois pour chaque etre ... si ça communique si bien que ça dans les autres dimensions, pourquoi faut il en prendre conscience si ça se fait tout seul ?
Je commence à comprendre le vide, j'en prends conscience. C'est vrai que je l'ai laissé se creuser, depuis presque 7 ans j'essaye de le combler par l'ecriture, et ça reste toujours un manque. Je l'ai souhaité, j'ai fait un chèque, j'ai essayé ... mais il est toujours là.
Je ne comprends pas, ça a l'air si simple, tu laches prise, tu laisse la vie le combler pour toi, sauf que non, faut faire l'effort d'aller vers l'autre, de le comprendre, de l'accepter et moi, qui m'accepte tel que je l'écris. IRL la réponse est personne, c'est de l'indifférence, c'est du rejet, c'est du vide ... alors je ne dis rien, je n'ose meme plus une simple phrase, une simple affirmation sur moi, je renvoi tout, j'évite, si c'est ça l'espace dans lequel je n'ose aller, et bien je le dis franchement il existe bien en moi (je n'ai aucun soucis pour y voyager) mais IRL il n'existe pas. Et ne me dites pas que je n'ai qu'à essayer : j'ai essayé au boulot, dans ma famille, sur les réseaux, chez les profesionnels, rien c'est le vide, c'est lassant.
Mon avantage, c'est que je me dis : "ben tant pis, ça marche pas, c'est decevant mais qu'est que je peux y faire"
je pourrais abandonner (mais je ne sais pas ce que j'abandonne), supprimé tout ce que j'ai déjà fait (ça m'a effeluré l'esprit plusieurs fois), je pourrais renoncer à ma vision, mais voilà elle est tellement plaisante et fantastique que je ne peux dire "ça sert à rien, c'est inadapté".
"ce que tu as écrit est confu et illisible, tu vis dans tes imaginations, tu ne fais aucun effort, je n'aime pas ce que tu as écrit"
Pour une fois que je faisais un truc qui venait du coeur, un truc concret, un truc difficile, en retour je n'ai reçu que de la déception, et pourtant je continue, car écrire donne du relief à ma vie intérieure, j'ai l'impression d'exister pour quelque chose quand j'écris.
le message de l'extérieur est le suivant : c'est bien, mais ça casse pas des briques, laisse tomber, ben non, j'essayerais car j'ai envie d'écrire toute l'histoire.
Alors je continue, je me dis que j'arriverais au bout, au bout de l'écriture, et j'ai encore de quoi m'occuper, j'essaye d'écrire 10 à 20 lignes par jour.
Namasté Francesca
Ce n'est pas ça que je cherche, ce que je cherche c'est l'intensité, ce moment où tout existe sans exister ... je reformule ce moment où j'ai la sensation d'etre.
Tous les êtres souffrent de la même façon que nous et certains sont mêmes plongés encore plus profondément dans leur douleur. Pourtant, chacun a le même but, celui de connaître le bonheur et éviter la souffrance, la frustration ou la douleur.
L'inconvénient c'est que cette sensation si elle devient habituelle, elle perd de son intensité, elle devient normale et du coup tu la vois de moins en moins.
Dans la souffrance, le souvenir de ses moments fait qu'elle devient supportable, voir reflue jusqu'à disparaitre.
J'ai pas l'impression de chercher le bonheur, j'ai l'impression d'avancer vers quelque chose dont j'ai une vision plus ou moins clair :
Est-ce ce que tu cherches toi-aussi Obtearon ??
Plus je regarde loin, plus la vision est precise
Plus je me rapproche du moment present plus la vision devient ... fantasque, décorélé de ce que je vis.
Comme j'aime beaucoup la vision, je la garde, je la transcrit, et quelque fois je la partage, à chaque fois que je fais ça, il arrive un moment où la réalité me revient, par les médias, par l'IRL, par internet (de rare fois ce site), et ce que je vois n'est pas très folichon.
A ce moment, je fais une espèce de truc, je fais le constat de toutes les souffrances que je vois, que je ressens, c'est très désagréable ... et je me dis "je suis vivant, j'ai tout ce dont j'ai besoin, je suis en bonne santé", au moment où je le pense je m'isole mentalement, et je retrouve ma vision, et là tout reflue, la réalité devient vide ... et j'imagine comment atteindre ma vision ... pas dans la réalité (trop compliqué, trop inadéquate au vu du constat) dans l'univers que je me suis créé, et là ça marche, tout devient magique.
Certes, c'est moi qui juge de l'inadéquation ou de la difficulté, mais pour l'instant la vie ne m'a jamais prouvé que c'était possible ... ... 'fin si elle m'a montré que c'était possible (marrant ces liens qui viennent tout seul hein !) mais jamais par mon action, ce que je veux dire c'est que de mon action il ne résulte pas grand chose, ou alors avec très peu d'effet positif.
Donc du coup, je me dis souvent mais qu'est qu'ils bouinent les etres ethérées, les etres supérieurs, les sages, bref tous ceux qui ont une réelle influence sur la réalité, ceux qui peuvent d'une pensée rassembler toutes les consciences, ceux qui d'un mot éveille un million conscience ... ils sont où ? sur la terre, sur venus, sur jupiter, sur acturus, au fin fond de la galaxie. Par contre, les resistances, celle qui m'empechent de finir ce post, ça je les vois bien (je me suis fait interompre au moins une dizaine de fois, ça m'agace, certes pour faire des trucs dont c'est mon boulot, mais ça reste des trucs qui ne m'apporte rien si ce n'est de l'agacement)
J'ai souris ... car pour moi les maitres faut qu'ils se tirent les d..., nan je peux pas dire ça, car j'ai connu un maitre, c'est d'ailleurs la seule que je reconnaisse et imagine digne de ce titre
Pour d’autres, bien que le but de l’esprit d’éveil soit d’atteindre l’illumination pour pouvoir guider les êtres hors de la souffrance, cela ne veut pas dire que l’on se manifestera nécessairement sous la forme d’un maître .
- obligé de vous partager ce que j'ai à l'écoute:
Et d'elle, j'avoue que je ne peux pas lui dire ça (parce qu'elle a fait quelque chose dont la lumière m'éclaire encore), par contre tous les autres aucun problème : pour leur dire bouger vous le cul, ça va pas se faire tout seul, vous avez la plénitude, la sérénité, la connaissance, l'influence, l'assersivité, le pouvoir, vous avez tout, et qu'en faite vous ? des écoles, des sectes, des religions, des états, des nations, mais pour le bien etre de l'espèce que faites vous ?... rien, vous les laissez grandir et se tromper, en un sens c'est bien, mais d'un autre coté vous ne faites rien pour le bien etre de l'humain, tout ce que vous savez dire c'est "j'ai reçu d'un maitre, je te transmet tel qu'il m'a appris, tel que je l'ai compris, à toi d'en faire ce que tu veux"
"vois cet arbre il t'est interdit d'en manger le fruit"
"qu'est que ça veut dire interdit ?"
c'est aussi simple que ça.
Quand un maitre s'exprime, il le fait avec ce qu'il connait déjà, comment peut il se souvenir de ne pas connaitre ce qu'il a appris. Il sait ce que l'interdit, car il l'a appris, il se souvient l'avoir appris, mais il ne se souvient plus quand il ne le savait pas.
Là je souris franchement, car meme si je rale souvent après tout le gratin éthéré (voyez ça comme une réunion où la plupart du temps les entités en présence se mettent une main sur le front, où laisse échapper un "ça marchera jamais", et toujours au moins 2 qui se marrent comme des baleines (j'ai les noms )) ... il n'empeche que je vois tous ces petits trucs, j'aime beaucoup quand je les vois, ça donne de la réalité à ce que l'on ne voit pas.
Parfois, il convient qu’apparaissent des éléments, que ce soit sous la forme de quelqu’un qui nous dit quelques mots aptes à résoudre une difficulté, ou parfois sous la forme d’un livre si nous avons besoin d’informations, et même parfois sous la forme d’un pont… et pourquoi pas d’une pierre ( ?)
Par exemple, en ce moment je lis la horde de contrevent d'Alain Damasio, je puis vous dire que ça colle parfaitement. J'en suis presque à la fin, je me reconnais dans tous les peronnages, chacun represente un aspect de ma personalité. Il est certain que l'univers de Damasio n'est pas à l'identique du mien, ce n'est pas le meme langage, par contre c'est le meme objectif, melé d'orgueil, de courage, d'intelligence, d'abnégation, d'intuition, de combativité ... sans faire de spoil, j'en suis à la septième forme de vent, je vois ce qu'est la huitième, et je me doute de ce qu'est la neuvième ... et deux trois indices me font comprendre ce qu'est l'extreme amont.
Si vous ne l'avez pas lu, je vous le conseille, certains disent qu'ils est parfois difficle de comprendre le vocabulaire, mais avec un peu d'imagination vous verrez que ce langage propre à Damasio n'est pas si éloigné du votre, ce ne sont pas les memes mots, mais ce sont les memes sentiments.
Oui ... mais ... nous l'avons laisser se créer inconsciement, comment combler quelque chose dont nous n'avons pas conscience ?
quand nous cesserons d’attendre des autres qu’ils comblent notre vide ou nos désirs, c’est que NOUS l’avons laissé se créer, et nous sommes les seuls à pouvoir le combler !
ou alors il est déjà comblé inconsciement ... franchement ça me saoule, si ça creuse et se comble inconsciement, qu'est que ça peut foutre qu'on en est pas conscience ... nan faut tout remplir, faut faire l'expréience 1 fois, 1000 fois, 10 000 fois pour chaque etre ... si ça communique si bien que ça dans les autres dimensions, pourquoi faut il en prendre conscience si ça se fait tout seul ?
Je commence à comprendre le vide, j'en prends conscience. C'est vrai que je l'ai laissé se creuser, depuis presque 7 ans j'essaye de le combler par l'ecriture, et ça reste toujours un manque. Je l'ai souhaité, j'ai fait un chèque, j'ai essayé ... mais il est toujours là.
Je ne comprends pas, ça a l'air si simple, tu laches prise, tu laisse la vie le combler pour toi, sauf que non, faut faire l'effort d'aller vers l'autre, de le comprendre, de l'accepter et moi, qui m'accepte tel que je l'écris. IRL la réponse est personne, c'est de l'indifférence, c'est du rejet, c'est du vide ... alors je ne dis rien, je n'ose meme plus une simple phrase, une simple affirmation sur moi, je renvoi tout, j'évite, si c'est ça l'espace dans lequel je n'ose aller, et bien je le dis franchement il existe bien en moi (je n'ai aucun soucis pour y voyager) mais IRL il n'existe pas. Et ne me dites pas que je n'ai qu'à essayer : j'ai essayé au boulot, dans ma famille, sur les réseaux, chez les profesionnels, rien c'est le vide, c'est lassant.
Mon avantage, c'est que je me dis : "ben tant pis, ça marche pas, c'est decevant mais qu'est que je peux y faire"
je pourrais abandonner (mais je ne sais pas ce que j'abandonne), supprimé tout ce que j'ai déjà fait (ça m'a effeluré l'esprit plusieurs fois), je pourrais renoncer à ma vision, mais voilà elle est tellement plaisante et fantastique que je ne peux dire "ça sert à rien, c'est inadapté".
C'est là le problème, qu'est je fais de mal pour que ma femme me dise :
Si nous voulons vraiment créer l’harmonie dans notre vie, il suffit de prendre conscience des erreurs dont nous accusons l’Autre ou des choses qui nous ont causé de la peine, puis de se poser la question : "Dans quelle mesure suis-je responsable de cette situation? "
"ce que tu as écrit est confu et illisible, tu vis dans tes imaginations, tu ne fais aucun effort, je n'aime pas ce que tu as écrit"
Pour une fois que je faisais un truc qui venait du coeur, un truc concret, un truc difficile, en retour je n'ai reçu que de la déception, et pourtant je continue, car écrire donne du relief à ma vie intérieure, j'ai l'impression d'exister pour quelque chose quand j'écris.
le message de l'extérieur est le suivant : c'est bien, mais ça casse pas des briques, laisse tomber, ben non, j'essayerais car j'ai envie d'écrire toute l'histoire.
Alors je continue, je me dis que j'arriverais au bout, au bout de l'écriture, et j'ai encore de quoi m'occuper, j'essaye d'écrire 10 à 20 lignes par jour.
Namasté Francesca
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
Re: Rêve de douleur
Avez vous compris la révolte qui nous animait ?
"vois cet arbre il t'est interdit d'en manger le fruit"
"qu'est que ça veut dire interdit ?"
"Dans quelle mesure suis-je responsable de cette situation? "
- parce que j'ai demandé et j'ai eut ça:
puis
- réunion du gratin:
chacun se regarde, regarde en soi, les 2 dont j'ai les noms ne rient plus, ils sourient et regardent chacun.
Obtearon- Messages : 725
Date d'inscription : 12/01/2017
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