LE RIZ : un délice au pluriel
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LE RIZ : un délice au pluriel
Au menu d'un humain sur deux, le riz offre une grande variété de saveurs et se révèle une source d'équilibre. Cessons donc de dire qu'il fait grossir et apprenons plutôt à le choisir et à le cuire.
Blanc (rond, long ou gluant), complet (avec germe et son, riches en vitamines), rouge ou noir, le riz est un festival de goûts et de couleurs. Et quelle que soit la variété, il est une source d’alimentation presque parfaite, avec un équilibre idéal entre protéines, lipides et glucides. Introduite en Occident en tant que substance médicinale au temps des cités grecques, cette céréale n’est mangée couramment que depuis deux siècles. Principalement cultivée et consommée en Asie, on la trouve également en Italie, en France et dans quelques régions d’Espagne. Si les Français se nourrissent peu de riz (7 kilos par personne et par an) par rapport aux Chinois (90 kilos) ou aux Indonésiens (150 kilos), ils l’apprécient de plus en plus. Reste qu’ils ne savent toujours pas le faire cuire, pas plus que les pâtes qu’ils appellent trop souvent des « nouilles ». Il existe une infinité de modes de cuisson du riz. Apprenons à en jouer pour profiter au mieux de ses saveurs multiples et subtiles.
Mon préféré : le riz debout
Il se prépare exclusivement avec du riz rond italien (pas celui pour risotto) ou de Camargue. En prévoir 80 grammes par personne. Faites bouillir une très grande quantité d’eau. Jetez-y le riz. Laissez cuire 10 mn. Egouttez-le et refroidissez-le immédiatement et longuement sous l’eau froide. Egouttez-le à nouveau. Ensuite, faites fondre 8 grammes de beurre par personne dans une sauteuse, à feu doux. Versez le riz en l’aérant à la fourchette. Etalez-le, toujours à la fourchette, sans l’écraser. Couvrez. Laissez infuser 15 à 20 mn à feu très doux. Servez dans de petits bols et dégustez.
La cuisson à la marmite électrique
Nous devons cette invention géniale aux Japonais. Il suffit de mettre les quantités requises de riz et d’eau dans la marmite, de brancher l’appareil, et la cuisson se fait toute seule. De plus, la marmite tient le riz au chaud plusieurs heures. En vente dans toutes les épiceries asiatiques et les supermarchés.
La technique de l’absorption
C’est la cuisson la plus simple, pratiquée dans toute l’Asie du Sud-Est, le sud de la Chine, la Corée et le Japon. Pour un volume de 20 cl de riz (environ 200 g), utilisez 30 cl d’eau (45 cl pour du riz complet, rouge ou noir). Mettez le riz dans une casserole, versez l’eau froide par-dessus et portez à ébullition. Baissez alors le feu (à “très doux”), couvrez hermétiquement et laissez mijoter 15 à 20 minutes. Le riz est alors parfaitement cuit, les grains se détachent bien. Aérez à la fourchette (c’est essentiel) en versant dans un plat de service.
La cuisson pilaf
Venu du Moyen-Orient et d’Inde, ce mode de cuisson nécessite un corps gras. Il faut un riz au grain long (parfumé ou basmati). Pour 20 cl de riz, comptez 30 cl d’eau, 2 cuillères à soupe d’huile d’olive ou de beurre, et un peu de sel. Faites chauffer l’huile ou le beurre (sans le brûler) dans une casserole, jetez le riz et faites revenir en remuant sans arrêt, jusqu’à ce que les grains soient translucides. Salez et versez l’eau. Portez à ébullition, couvrez et laissez cuire 20 minutes à très petit feu.
conseil par Perla Servan-Schreiber
Re: LE RIZ : un délice au pluriel
Origine et Histoire du Riz
A l'origine le riz poussait à l'état sauvage, mais aujourd'hui les variétés cultivées dans la plupart des pays appartiennent au genre Oryza, comptant une vingtaine d'espèces dont deux seulement présentent un intérêt agricole pour l'homme :
- Oryza sativa (riz commun asiatique) originaire de l'Extrême-Orient. La quasi-totalité des variétés cultivées lui appartienne, grâce notamment à la grande plasticité de cette espèce et à ses caractéristiques gustatives;
- Oryza glaberrima, espèce annuelle essentiellement d'Afrique occidentale, du delta central du Niger au Sénégal.
- Oryza sativa (riz commun asiatique) originaire de l'Extrême-Orient. La quasi-totalité des variétés cultivées lui appartienne, grâce notamment à la grande plasticité de cette espèce et à ses caractéristiques gustatives;
- Oryza glaberrima, espèce annuelle essentiellement d'Afrique occidentale, du delta central du Niger au Sénégal.
La culture du riz semble avoir été adoptée voici plus de 6500 ans, se développant parallèlement dans plusieurs pays : les premières cultures apparaissent en Chine 5000 ans avant notre ère, sur le site de Hemu Du, ainsi qu'en Thaïlande vers 4500 av. J.C., pour ensuite apparaître au Cambodge, au Viêtnam et en Inde du Sud. De là, les espèces dérivées appelées japonica (type de zone tempérée, à grains moyens ou petits, dit aussi grains arrondis) et indica (type de zone tropicale, à grains allongés, minces et plats) se sont étendues vers les autres pays asiatiques : Corée, Japon, Birmanie, Pakistan, Sri Lanka, Philippines, Indonésie.
Vers 800 av. J.C. le riz asiatique a été acclimaté au Proche-Orient et en Europe méridionale. Les Maures l'introduisirent en Espagne lors de leur conquête du pays vers 700, il s'est ensuite propagé en Italie dès le milieu du 15è siècle, puis en France et, après l'époque des Grandes Découvertes fut implanté dans tous les continents. Ainsi, en 1694, le riz arrive en Caroline du Sud, venant probablement de Madagascar et les Espagnols l'apportèrent en Amérique du Sud au début du XVIIIè siècle.
La variété africaine Oryza glaberrima s'est répandue depuis son foyer originel, le delta du Niger, jusqu'au Sénégal etre 1500 et 800 av. J.C. mais n'a jamais connu un développement loin de sa zone d'origine. Sa culture a même subi un déclin en faveur des variétés asiatiques, qui ont vraisemblablement été introduites sur le continent africain par les caravanes arabes venant de la côte orientale entre le VIIè et le XIè siècle.
Le riz est la céréale la plus consommée au monde après le blé. Pour plus de la moitié de la population mondiale, il ne fournit pas moins de 50 % des calories de l'alimentation. Il occupe une place si importante en Asie que cela se répercute dans la langue. En chinois classique, le même terme sert à la fois pour désigner "riz" et "agriculture". Dans plusieurs langues officielles et dialectes locaux, le mot "manger" signifie "manger du riz".Enfin dans la sémantique orientale, les mots "riz" et "nourriture" sont équivalents.
Les structures de production peuvent être très différentes d'un pays à l'autre. Les méthodes traditionnelles de culture et de récolte dans les pays du Sud contrastent fortement avec les méthodes ultra-modernes des pays du Nord.
Dans les pays du Sud, ce sont les petits paysans qui cultivent le riz et le récoltent à la main.
La plupart des surfaces rizicoles aménagées en terrasses, sont aux mains de millions de petits paysans qui cultivent d'abord le riz pour leur consommation familiale. La vente des surplus fournit un " gagne- riz ", peu rémunérateur. Tous les membres de la famille participent à la production . Certaines tâches, telles le repiquage des jeunes plants, se font à la main ; d'autres, telles le labourage, à l'aide de la traction animale. Dans les grandes rizières, appartenant aux riches propriétaires, les travaux manuels sont réservés à la main-d'oeuvre bon marché, recrutée parmi les paysans sans terre.
A Madagascar, la riziculture familiale domine.
A Madagascar, le riz constitue un élément fondamental de la politique nationale d'autosuffisance alimentaire. La production de riz est essentiellement assurée par la culture de riz inondé, surtout dans les plaines et dans les bas-fonds, à des altitudes variables. Cette riziculture, pour laquelle l'apport d'eau est contrôlé par un système d'irrigation, se rencontre jusqu'à 2000 mètres d'altitude.
Une exploitation familiale moyenne couvre environ 70 ares, en une seule parcelle, et peut bénéficier d'eau toute l'année si l'irrigation est maîtrisée. Les plus démunis ne possèdent que sept ares, alors que les plus chanceux exploitent deux ou trois hectares.
Au contraire, dans les pays industrialisés, les techniques employées sont très modernes.
Dans les pays du Nord, en particulier aux Etats-Unis, qui disposent de vastes étendues pour la riziculture, la préparation des champs (labourage, nivellement, formation des diguettes) est entièrement mécanisée.
L'ensemencement se fait aussi à la machine ou par avion. Quant à la récolte, elle est effectuée par des moissonneuses-batteuses. C'est pourquoi la riziculture industrielle n'utilise que très peu de main-d'oeuvre . En Europe, les pratiques rizicoles varient d'une région à une autre, d'une ferme à l'autre, tout en tendant, compétitivité oblige, vers le modèle américain. En France, l'essentiel de la production est réalisée en Camargue.
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SOURCE : http://www.tapex.ch
Re: LE RIZ : un délice au pluriel
Ingrédients (4 personnes)
3 tomates, 1 échalotte, 1 gousse d'ail, persil, jus de rôti, piment doux ou fort (facultatif), 4 verres de riz rond, sel, poivre
Préparation:
Faire bouillir les 3 tomates 10 à 20 secondes à feu vif
Pelez les tomates, puis mixez-les avec le persil;
Ensuite émincer l'échalotte et l'ail en petit morceaux, puis dans une poêle Wok les faire dorer dans un peu d'huile d'olive et ajoutez le mélange de tomates, le jus de rôti, salé, poivrer et pimentez
Faire frire 5 petites minutes, puis ajoutez 4 verres de riz rond et recouvrir d'eau (2 verres d'eau pour un verre de riz), laissez mijoter a feux doux 20 min. ( remuez de temps en temps pour ne pas que ça accroche )
ET VOUS ?
Pensez-vous que le Riz soit un plat du pauvre ???
si oui ou non pourquoi ?
Merci de vos réponses
La légende du Riz
Légende du riz
Le riz a une grande importance culturelle en Inde du sud, et certains festivals, comme Pongal, célèbrent la récolte du riz par des festivités qui rassemblent tout le village pendant trois jours. On honore le dieu de la pluie, le soleil, et le bétail qui est abondamment décoré de fleurs. Tout le monde est remercié pour le travail dur dans les champs, mais il n’en a pas toujours été ainsi, comme nous le raconte la légende.
Au temps où la terre était jeune et toutes les choses meilleures qu’elles ne sont maintenant, quand les hommes et les femmes étaient plus forts et d’une beauté plus grande, et le fruit des arbres plus généreux et plus sucré que ce que nous mangeons maintenant, le riz, la nourriture des hommes, était d’un grain plus gros. Un grain était tout ce qu’un homme pouvait manger ; et en ces jours anciens, le mérite des gens était tel qu’ils n’avaient jamais besoin de travailler dur pour cueillir le riz, car une fois mûr, il tombait des tiges et roulait jusqu’aux villages, même dans les greniers.
Lorsqu’une année le riz fut plus gros et plus abondant que jamais, une veuve dit à sa fille : "Nos greniers sont trop petits. Nous allons les démolir et en construire de plus grands." Quand les vieux greniers furent démolis et que les nouveaux n’étaient pas encore prêts à l’emploi, le riz était mûr dans les champs.
On redoubla de hâte, mais le riz en roulant affluait vers le lieu des travaux, et la veuve, irritée, frappa un grain et cria : "Vous ne pouviez pas attendre dans les champs que nous soyons prêts ? Vous ne devez pas nous déranger maintenant quand vous n’êtes pas voulus !" Le riz se brisa alors en milliers de petits morceaux et déclara : "A partir de ce jour, nous attendrons dans les champs jusqu’à ce que nous soyons voulus." Et depuis, le riz est d’un grain plus petit et les gens de la terre doivent le cueillir dans les champs et le transporter jusqu’aux greniers.
La légendu du RIZ
Trop mignon, cette légende, Francesca,
Merci
Odile88
Merci
Odile88
odile88- Messages : 372
Date d'inscription : 31/12/2013
LE RIZ, un délice au pluriel
J'essaierai ta recette, Francesca, car le RIZ est un PLAT ROYAL pour moi.
Permets une autre suggestion : Dans un GRAND ramequin, même volume d'eau que de riz rond blanc, un peu de sel, 1 c à Café de curry, placé au centre de la marguerite, les légumes autour. Bien cuit, bien gonflé, je m'en régale avec de la sauce tomate,de la tapenade d'olive, d'aubergine, de tomate, de la harissa, ou du tartare d'algues. Je n'ai pas essayé mais on peut en faire u n dessert en mettant des*raisins secs à cuire avec ou en y ajoutant de la purée d'amande au sucre intégral, une pomme cuite, du sucre Rapadura, que sais-je ...
Odile88
Permets une autre suggestion : Dans un GRAND ramequin, même volume d'eau que de riz rond blanc, un peu de sel, 1 c à Café de curry, placé au centre de la marguerite, les légumes autour. Bien cuit, bien gonflé, je m'en régale avec de la sauce tomate,de la tapenade d'olive, d'aubergine, de tomate, de la harissa, ou du tartare d'algues. Je n'ai pas essayé mais on peut en faire u n dessert en mettant des*raisins secs à cuire avec ou en y ajoutant de la purée d'amande au sucre intégral, une pomme cuite, du sucre Rapadura, que sais-je ...
Odile88
odile88- Messages : 372
Date d'inscription : 31/12/2013
Re: LE RIZ : un délice au pluriel
Nouvel article sur le sujet paru sur http://www.principes-de-sante.com/
Les radicaux libres sont nos pires ennemis. Ils sont responsables de l’oxydation qui endommage nos cellules et freine leur renouvellement. Ils attaquent notre jeunesse, notre beauté et notre vitalité. Le stress, la pollution, les rayons UV, l’activité physique, le tabac et l’alcool accroissent la production de radicaux libres et pour contrecarrer les dégâts qu’ils causent, il faut apporter à notre organisme de quoi stimuler la jeunesse cellulaire de l’ensemble de nos organes. Les antioxydants sont la réponse à l’attaque des radicaux libres. Mais où trouver les meilleures sources d’antioxydants ?
Le riz du supermarché n’est plus un aliment complet
Autrefois, on consommait le riz complet, mais aujourd’hui parce qu’on considère que le riz blanc est plus facile à digérer et plus rapide à cuire, le riz complet a presque disparu des rayons des épiceries. Pourtant, c’est dans l’enveloppe du riz complet que se trouvent toutes les substances actives et nutritives du riz. L’OMS a beau dénoncer la « malbouffe » en pointant du doigt les radicaux libres, il n’en reste pas moins que le riz reste définitivement raffiné et donc sans autre vertu que celle de nourrir et remplir l’estomac.
Une centaine d’antioxydants dans le son de riz
Pourtant, le son de riz possède des propriétés exceptionnelles. Il est riche en antioxydants très variés, citons entre autres le Gamma-oryzanol, la vitamine E (tocophérols et tocotriénols), l'acide alpha-Lipoïque, le glutathion, des enzymes, des polyphénols nombreux, des phytostéols... Le son de riz apporte des minéraux, des acides aminés essentiels, des vitamines, des caroténoïdes, des omégas 3,6,9, des phospholipides, ainsi que des polysaccharides. Cette pluri-diversité de composants fait du son de riz un excellent antioxydant. C’est en particulier grâce à la présence des tocotriénols présents dans la vitamine E, de l’acide alpha-Lipoïque et du gamma-oryzanol que le son de riz possède des propriétés aussi nombreuses.
L’huile de son de riz est plus digeste
En pressant le son de riz à froid, on obtient une huile qui renferme exactement les mêmes propriétés que le son, sans les problèmes de digestions qui accompagnent souvent la consommation de riz complet. L’huile de son de riz est bien mieux assimilée par l’organisme et apporte tous les antioxydants nécessaires sans aucun effet secondaire.
Un grand pas dans la lutte contre le cholestérol
L’huile de son de riz contient de la vitamine E sous sa forme complète, or l’un des composants de cette vitamine E est rare et peu d’aliments apportent de la vitamine E dans sa version intégrale. Ces composants rares à trouver sont les tocotriénols, qui favorisent la réduction du cholestérol sanguin LDL (le mauvais cholestérol), en freinant l’activité d’une enzyme au niveau du foie. En outre, la présence d’un lipide, le Gamma-oryzanol, que l’on ne trouve quand dans l’huile de son de riz et l’huile de graines de lin, vient compléter l’action des tocotriénols et favorise la réduction du cholestérol sanguin. Grâce aux tocotriénols, les taux de mauvais cholestérol peuvent baisser de 30%, sans nuire au bon cholestérol (HDL).
Une huile qui assure la régulation du sucre dans le sang
L’acide alpha-Lipoïque est un polyphénol que l’on trouve dans l’huile de son de riz, qui intervient dans la régulation du taux de sucre dans le sang. Il aide le sucre à être mieux véhiculé dans l’organisme, permettant dès lors une meilleure distribution aux organes ou aux tissus qui en ont besoin, comme les muscles. Son action sur le sucre dans le sang en fait un allié de choix pour combattre le diabète. En France, il y a 10 millions de pré-diabétiques et 3 millions de diabétiques, le fléau est mondial. L’huile de son de riz pourrait être une solution à la propagation galopante du diabète. D’ailleurs, aux Etats-Unis, l’Association « Diabetes Ressources Center » a reconnu l’huile de son de riz pour son action sur la régulation du sucre dans le sang.
• Pour les problèmes intestinaux
Il y a beaucoup de fibres dans l’huile de son de riz. Selon la Société Nationale Française de gastro-entérologie, 20% de la population souffre de troubles intestinaux. L’huile de son de riz stimule une écologie intestinale saine en activant les sphères digestives et le transit avec une action laxative douce.
•Pour la ménopause
Riche en Gamma Oryzanols, l’huile de son de riz, peut soulager les troubles liés à la ménopause. Des études japonaises menées sur des femmes dans les années 80, ont démontré que 65 à 90% des femmes souffrant de troubles liés à la ménopause et à qui l’on avait administré une cure d’huile de son de riz, ont constaté une nette réduction de leurs troubles.
• Pour les muscles
Le Gamma Oryzanol est, par ailleurs, considéré comme un stéroïde naturel qui permet de stimuler la croissance musculaire. Des études faites sur les bodybuilders ont montré clairement que ceux qui se suppléaient en huile de son de riz, et donc de Gamma Oryzanol, gagnaient en force et en croissance musculaire.
• Pour la jeunesse
L’incroyable teneur en antioxydants de l’huile de son de riz en fait un acteur principal dans la lutte contre les effets du vieillissement. En protégeant l’organisme des attaques des radicaux libres, l’huile de son de riz sauvegarde notre capital jeunesse, protège la peau contre les agressions extérieures, active la microcirculation, draine et décongestionne les zones œdémateuses comme les poches ou les cernes sous les yeux. Elle est particulièrement recommandée aux peaux matures, irritées ou abimées et aux teints asphyxiés.
je ne sais pas ce que vous pensez de cette nouvelle Info
L’huile de son de riz, un antioxydant poids lourd
Les radicaux libres sont nos pires ennemis. Ils sont responsables de l’oxydation qui endommage nos cellules et freine leur renouvellement. Ils attaquent notre jeunesse, notre beauté et notre vitalité. Le stress, la pollution, les rayons UV, l’activité physique, le tabac et l’alcool accroissent la production de radicaux libres et pour contrecarrer les dégâts qu’ils causent, il faut apporter à notre organisme de quoi stimuler la jeunesse cellulaire de l’ensemble de nos organes. Les antioxydants sont la réponse à l’attaque des radicaux libres. Mais où trouver les meilleures sources d’antioxydants ?
Le riz du supermarché n’est plus un aliment complet
Autrefois, on consommait le riz complet, mais aujourd’hui parce qu’on considère que le riz blanc est plus facile à digérer et plus rapide à cuire, le riz complet a presque disparu des rayons des épiceries. Pourtant, c’est dans l’enveloppe du riz complet que se trouvent toutes les substances actives et nutritives du riz. L’OMS a beau dénoncer la « malbouffe » en pointant du doigt les radicaux libres, il n’en reste pas moins que le riz reste définitivement raffiné et donc sans autre vertu que celle de nourrir et remplir l’estomac.
Une centaine d’antioxydants dans le son de riz
Pourtant, le son de riz possède des propriétés exceptionnelles. Il est riche en antioxydants très variés, citons entre autres le Gamma-oryzanol, la vitamine E (tocophérols et tocotriénols), l'acide alpha-Lipoïque, le glutathion, des enzymes, des polyphénols nombreux, des phytostéols... Le son de riz apporte des minéraux, des acides aminés essentiels, des vitamines, des caroténoïdes, des omégas 3,6,9, des phospholipides, ainsi que des polysaccharides. Cette pluri-diversité de composants fait du son de riz un excellent antioxydant. C’est en particulier grâce à la présence des tocotriénols présents dans la vitamine E, de l’acide alpha-Lipoïque et du gamma-oryzanol que le son de riz possède des propriétés aussi nombreuses.
L’huile de son de riz est plus digeste
En pressant le son de riz à froid, on obtient une huile qui renferme exactement les mêmes propriétés que le son, sans les problèmes de digestions qui accompagnent souvent la consommation de riz complet. L’huile de son de riz est bien mieux assimilée par l’organisme et apporte tous les antioxydants nécessaires sans aucun effet secondaire.
Un grand pas dans la lutte contre le cholestérol
L’huile de son de riz contient de la vitamine E sous sa forme complète, or l’un des composants de cette vitamine E est rare et peu d’aliments apportent de la vitamine E dans sa version intégrale. Ces composants rares à trouver sont les tocotriénols, qui favorisent la réduction du cholestérol sanguin LDL (le mauvais cholestérol), en freinant l’activité d’une enzyme au niveau du foie. En outre, la présence d’un lipide, le Gamma-oryzanol, que l’on ne trouve quand dans l’huile de son de riz et l’huile de graines de lin, vient compléter l’action des tocotriénols et favorise la réduction du cholestérol sanguin. Grâce aux tocotriénols, les taux de mauvais cholestérol peuvent baisser de 30%, sans nuire au bon cholestérol (HDL).
Une huile qui assure la régulation du sucre dans le sang
L’acide alpha-Lipoïque est un polyphénol que l’on trouve dans l’huile de son de riz, qui intervient dans la régulation du taux de sucre dans le sang. Il aide le sucre à être mieux véhiculé dans l’organisme, permettant dès lors une meilleure distribution aux organes ou aux tissus qui en ont besoin, comme les muscles. Son action sur le sucre dans le sang en fait un allié de choix pour combattre le diabète. En France, il y a 10 millions de pré-diabétiques et 3 millions de diabétiques, le fléau est mondial. L’huile de son de riz pourrait être une solution à la propagation galopante du diabète. D’ailleurs, aux Etats-Unis, l’Association « Diabetes Ressources Center » a reconnu l’huile de son de riz pour son action sur la régulation du sucre dans le sang.
D’autres vertus à ne pas négliger
• Pour les problèmes intestinaux
Il y a beaucoup de fibres dans l’huile de son de riz. Selon la Société Nationale Française de gastro-entérologie, 20% de la population souffre de troubles intestinaux. L’huile de son de riz stimule une écologie intestinale saine en activant les sphères digestives et le transit avec une action laxative douce.
•Pour la ménopause
Riche en Gamma Oryzanols, l’huile de son de riz, peut soulager les troubles liés à la ménopause. Des études japonaises menées sur des femmes dans les années 80, ont démontré que 65 à 90% des femmes souffrant de troubles liés à la ménopause et à qui l’on avait administré une cure d’huile de son de riz, ont constaté une nette réduction de leurs troubles.
• Pour les muscles
Le Gamma Oryzanol est, par ailleurs, considéré comme un stéroïde naturel qui permet de stimuler la croissance musculaire. Des études faites sur les bodybuilders ont montré clairement que ceux qui se suppléaient en huile de son de riz, et donc de Gamma Oryzanol, gagnaient en force et en croissance musculaire.
• Pour la jeunesse
L’incroyable teneur en antioxydants de l’huile de son de riz en fait un acteur principal dans la lutte contre les effets du vieillissement. En protégeant l’organisme des attaques des radicaux libres, l’huile de son de riz sauvegarde notre capital jeunesse, protège la peau contre les agressions extérieures, active la microcirculation, draine et décongestionne les zones œdémateuses comme les poches ou les cernes sous les yeux. Elle est particulièrement recommandée aux peaux matures, irritées ou abimées et aux teints asphyxiés.
je ne sais pas ce que vous pensez de cette nouvelle Info
Re: LE RIZ : un délice au pluriel
Ce que j'en pense....
Que le riz à des vertus caché, et que nous serions bien bête de ne pas en profiter
Un peu comme nous, et notre éveil, d'ailleurs
Et pour riz-re un peu, je transforme le dicton :"plus on est de fous, plus on rit" par "plus on est de fou et moins y a de riz" et par "plus on mange du riz et moins y aura de fou" !!
Allez bonne fin de journée
Que le riz à des vertus caché, et que nous serions bien bête de ne pas en profiter
Un peu comme nous, et notre éveil, d'ailleurs
Et pour riz-re un peu, je transforme le dicton :"plus on est de fous, plus on rit" par "plus on est de fou et moins y a de riz" et par "plus on mange du riz et moins y aura de fou" !!
Allez bonne fin de journée
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"Se donner du mal pour les petites choses, c’est parvenir aux grandes, avec le temps".
Samuel Beckett
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