Apprendre à se pardonner soi-même
2 participants
Page 1 sur 1
Apprendre à se pardonner soi-même
Le pardon de soi commence par le fait de comprendre que vous êtes sur cette terre pour évoluer spirituellement ; l’esprit n’a que faire de votre niveau de confort ou de bonheur, en autant que vous continuez à évoluer, jusqu’à comprendre un jour qu’il n’est pas nécessaire de souffrir pour grandir. Chaque expérience- même celles que vous jugez « mauvaises » ou « honteuse » – font partie de votre cheminement vers la plénitude, la joie et l’acceptation inconditionnelle de soi. Lorsque vous avez compris cela, vous pouvez commencer à accepter qui vous êtes, à vous pardonner ainsi qu’aux autres pour les événements passés. Aussi effroyable qu’ait été mon expérience d’avoir failli tuer ma mère, celle-ci m’a permis d’avoir de la compassion pour les gens aux prises avec un sentiment de culpabilité, quel qu’il soit, même la honte d’avoir tué quelqu’un . J’aurais vécu la même chose si je n’étais pas sortie d e la maison en courant ce jour-là, et je serai éternellement reconnaissante de cela.
Au fil des ans, j’ai appris l’importance de se pardonner pour n’importe quel incident dont on peut se sentir coupable, et pas seulement des choses graves. Tout ce qui affecte négativement notre façon de nous sentir réduit notre être. Par exemple, si vous avez oublié d’aller chercher vos enfants l’école un jour (comme ça m’est arrivé), ou si vous avez manqué un rendez-vous important parce que vous faisiez autre chose que vous ne deviez pas faire, il est temps de vous pardonner. S’il y a d’autres incidents dont vous portez le blâme, aussi petits soient-ils, le temps est venu de lâcher prise.
Bien entendu, cela ne veut pas dire de ne pas assumer la responsabilité de vos actes, bien au contraire. (Assumer ses actes, c’est affirmer son pouvoir et cela diffère de continuer à vous blâmer ou à avoir honte). Vous devriez faire amende honorable pour vos méfaits et faire tout votre possible pour rétablir la situation. Se sentir coupable ne règle rien, mais agir dans le bon sens peut aider. De plus, en vous assumant et en vous aimant davantage, vous pourrez accepter et aimer les autres plus profondément. Il est possible de vraiment aimer et accepter un aspect de quelqu’un d ‘autre si vous n’y arrivez pas par vous-même.
Qu’avez-vous fait récemment dont vous avez honte ?
Faites la liste. Mettez tout par écrit, absolument tout ; ce que vous jugez insignifiant comme ce qui vous rend totalement mal à l’aise et vous inspire un grand sentiment de culpabilité ; après avoir fait la liste, prenez le temps de revivre chaque expérience.
Vous voudrez peut-être retourner dans le passé et vous imaginer auprès de la personne que vous étiez alors (même si l’expérience en question a eu lieu hier, vous avez changé depuis). Passez un peu de temps avec cette personne, en lui expliquant la compassion infinie que vous avez pour elle et dites-lui qu’elle est entièrement pardonnée.
De plus, examinez les façons dont ces expériences vous ont permis d’avoir davantage de compassion. Ecrivez ce que vous savez appris ou comment vous avez grandi, pour chacune de ces expériences honteuses. Cet exercice peut vous aider à remplacer vos sentiments de culpabilité par de la gratitude envers la personne plus âgée, plus forte, plus sage et plus tolérante que vous êtes aujourd’hui.
Au fil des ans, j’ai appris l’importance de se pardonner pour n’importe quel incident dont on peut se sentir coupable, et pas seulement des choses graves. Tout ce qui affecte négativement notre façon de nous sentir réduit notre être. Par exemple, si vous avez oublié d’aller chercher vos enfants l’école un jour (comme ça m’est arrivé), ou si vous avez manqué un rendez-vous important parce que vous faisiez autre chose que vous ne deviez pas faire, il est temps de vous pardonner. S’il y a d’autres incidents dont vous portez le blâme, aussi petits soient-ils, le temps est venu de lâcher prise.
Bien entendu, cela ne veut pas dire de ne pas assumer la responsabilité de vos actes, bien au contraire. (Assumer ses actes, c’est affirmer son pouvoir et cela diffère de continuer à vous blâmer ou à avoir honte). Vous devriez faire amende honorable pour vos méfaits et faire tout votre possible pour rétablir la situation. Se sentir coupable ne règle rien, mais agir dans le bon sens peut aider. De plus, en vous assumant et en vous aimant davantage, vous pourrez accepter et aimer les autres plus profondément. Il est possible de vraiment aimer et accepter un aspect de quelqu’un d ‘autre si vous n’y arrivez pas par vous-même.
Qu’avez-vous fait récemment dont vous avez honte ?
Faites la liste. Mettez tout par écrit, absolument tout ; ce que vous jugez insignifiant comme ce qui vous rend totalement mal à l’aise et vous inspire un grand sentiment de culpabilité ; après avoir fait la liste, prenez le temps de revivre chaque expérience.
Vous voudrez peut-être retourner dans le passé et vous imaginer auprès de la personne que vous étiez alors (même si l’expérience en question a eu lieu hier, vous avez changé depuis). Passez un peu de temps avec cette personne, en lui expliquant la compassion infinie que vous avez pour elle et dites-lui qu’elle est entièrement pardonnée.
De plus, examinez les façons dont ces expériences vous ont permis d’avoir davantage de compassion. Ecrivez ce que vous savez appris ou comment vous avez grandi, pour chacune de ces expériences honteuses. Cet exercice peut vous aider à remplacer vos sentiments de culpabilité par de la gratitude envers la personne plus âgée, plus forte, plus sage et plus tolérante que vous êtes aujourd’hui.
Re: Apprendre à se pardonner soi-même
L'acte de pardon, qu'il soit dirigé vers soi ou vers les autres, vise avant tout à nous soulager, nous, d'un poids qui nous empêche d'avancer. Nous avons fait une erreur, blessé quelqu'un, commis un acte dont nous nous sentons atrocement coupable. Que quelqu'un nous en veuille ou non, la sensation reste la même : une désagréable sensation de poids sur la conscience, qui se traduit par cette fameuse impossibilité de se regarder en face dans un miroir. Si l'on ne fait rien pour y remédier, on peut se traîner ce poids pendant des années, sans plus pouvoir avancer.
Se pardonner, c'est accepter que, comme tout être humain, on est faillible, qu'on a commis une erreur et qu'elle a eu des conséquences, mais que cela ne doit pas remettre en cause notre existence pour autant !
Le pardon que l'on s'accorde à soi-même est un des plus grands signes d'amour que nous pouvons nous témoigner. Nous n'avons pas seulement le droit de nous pardonner, nous en avons aussi le devoir, quel que soit le nombre de fois où nous avons échoué.
Attention, cela ne signifie évidemment pas que nous devons oublier et passer à autre chose aussi facilement. Non, il suffit en quelque sorte d’alléger notre bagage… "La repentance et le regret qui l'accompagnent doivent être sincères. (...) Ce pardon n'a de sens que si nous affûtons mieux les outils qui nous éviterons de rechuter."
Et pardonner aux autres alors ?
Non, il ne s'agit pas, là non plus, d'un acte spécialement altruiste. L'idée première est surtout de nous délester, nous-mêmes, de cette rancune qui assombrit nos journées. Lâcher prise, passer outre le mauvais tour que l'autre nous a joué nous permet de nous libérer de son emprise et d'avancer où bon nous semble.
Pas facile ? hein ?
Et non ! Mais avec un peu de motivation et d'entraînement, nous verrons que nous obtiendrons le détachement nécessaire pour y parvenir.
Se pardonner, c'est accepter que, comme tout être humain, on est faillible, qu'on a commis une erreur et qu'elle a eu des conséquences, mais que cela ne doit pas remettre en cause notre existence pour autant !
Le pardon que l'on s'accorde à soi-même est un des plus grands signes d'amour que nous pouvons nous témoigner. Nous n'avons pas seulement le droit de nous pardonner, nous en avons aussi le devoir, quel que soit le nombre de fois où nous avons échoué.
Attention, cela ne signifie évidemment pas que nous devons oublier et passer à autre chose aussi facilement. Non, il suffit en quelque sorte d’alléger notre bagage… "La repentance et le regret qui l'accompagnent doivent être sincères. (...) Ce pardon n'a de sens que si nous affûtons mieux les outils qui nous éviterons de rechuter."
Et pardonner aux autres alors ?
Non, il ne s'agit pas, là non plus, d'un acte spécialement altruiste. L'idée première est surtout de nous délester, nous-mêmes, de cette rancune qui assombrit nos journées. Lâcher prise, passer outre le mauvais tour que l'autre nous a joué nous permet de nous libérer de son emprise et d'avancer où bon nous semble.
Pas facile ? hein ?
Et non ! Mais avec un peu de motivation et d'entraînement, nous verrons que nous obtiendrons le détachement nécessaire pour y parvenir.
Re: Apprendre à se pardonner soi-même
LE CORPS ETHERIQUE
Le corps éthérique est porteur du modèle énergétique du corps. Il assure la continuité des schémas, des harmonies et des dysharmonies dans le corps tandis que celui-ci se renouvelle constamment. Notre corps n’est pas le même qu’il y a un an, car pas une seule des cellules qui existent dans notre corps n’est âgée de plus d’un an. Le corps éthérique interagit avec votre code génétique et contient la mémoire de qui nous sommes, la forme de notre nez, notre taille, quels sont nos préjugés, ce que nous aimons manger, nos forces, faiblesses, schémas de maladie, etc…
LE CORPS EMOTIONNEL
Le corps émotionnel vibre à une octave au-dessus du corps éthérique. Egalement connu sous le nom de corps astral, il se diffuse dans le champ éthérique et dans les champs bioénergétiques du corps physique et se manifeste dans le corps sous forme de sentiments. Une émotion constitue une pensée attachée à un sentiment qui a habituellement pour résultat une réponse ou une action physique ; lorsque l’énergie s’écoule librement du champ émotionnel à travers le champ éthérique et le corps physique, tout fonctionne à merveille. Lorsque nous restreignons notre énergie émotionnelle par le refoulement ou la répression, nous créons des blocages énergétiques à la fois dans notre champ éthérique et dans notre champ émotionnel, ainsi que dans notre corps physique. Le changement de perception nécessaire pour pardonner ne peut pas se produire si la colère et le ressentiment sont maintenus dans le corps émotionnel. Toute énergie bloquée dans le corps émotionnel doit être d’abord nettoyée.
LE CORPS MENTAL
Ce champ gouverne notre fonctionnement intellectuel et est responsable de la mémoire, de la pensée rationnelle, des pensées concrètes et ainsi de suite. Bien sûr, il y a des scientifiques qui maintiennent toujours que la pensée et les autres formes de traitement mental peuvent être expliquées en termes de biochimie cérébrale ; il est suffisant de dire que les scientifiques qui suivent la logique de la physique quantique croient que le mental va au-delà du cerveau, et même au-delà du corps. Ils croient que le cerveau et le mental interagissent par hologramme et que chaque cellules contient un modèle du tout. De nombreux chercheurs croient que la mémoire réside sous forme holographique devant un champ énergétique se trouvant au-delà du corps. Nous avons continuellement des preuves de cela dans les suites des opérations de greffes d’organes. Une histoire célèbre concerne un homme qui a reçu une greffe du foie. Quelques mois après l’opération, il a commencé à avoir un rêve récurrent qui n’avait pas de sens pour lui. Après quelques recherches, il a découvert que la personne qui avait fait don de son foie avait fait le même rêve pendant de nombreuses années. La mémoire de ce rêve était apparemment incrustée dans la structure cellulaire du foie.
LE CORPS CAUSAL OU CHAMP INSTITUTIONNEL
Au une octave au-dessus se trouve le corps que nous pourrions appeler notre âme, notre moi supérieur ou notre connexion au monde de la Vérité divine. Egalement appelé corps causal, celui-ci est un pont avec les dimensions spirituelles. Tandis que le champ mental gère les idées et les formes de pensée au niveau concret, ce champ les gère au niveau conceptuel, abstrait, iconique et symbolique. Il gère l’essence, l’intuition et la connaissance directe. Le corps causal s’étant au-delà de l’individu et pénètre le mental collectif, appelé par Jung inconscient collectif, un mental unique auquel nous nous relions tous individuellement et auquel nous avons accès.
L’idée que les corps subtils augmentent en harmoniques n’est nullement nouvelle ; elle été incluse dans de nombreuses grandes traditions spirituelles de par le monde entier, notamment en Orient.
Pour vous aider dans ce travail de PARDON, je vous conseille vivement de lire le livre de Colin C.Tipping : LE POUVOIR DU PARDON TOTAL aux éditions Tridaniel. (http://www.editions-tredaniel.com/le-pouvoir-du-pardon-radical-p-4229.html )
Et je souhaite qu’il vous apporte autant qu’il m’a apporté ! Sincèrement !
absoluement daccord
Tout dabord Bonjour Fransesca, et merci pour les nombreux postes que je suis régulièrement. En effet je crois que notre évolution personnelle passe par le pardon, que l'on se doit à soi même tout comme l'amour et le respect...Parfois, nous sommes plus indulgent, et tolérant avec autrui qu'avec nous même, mais un jour on se rend compte qu'au moindre faux pas, les autres ne sont pas là pour nous pardonner...Alors dans ces cas là le mieux et de se traiter avec la même bienveillance qu'on l'aurai fait pour d'autres et de se pardonner nos erreurs...Rapidement et simplement..Et on s'aperçoit que de cette manière on avance beaucoup plus vite, qu'en s'autoflagelant...Voilà c'est mon avis...
griotte- Messages : 2
Date d'inscription : 27/08/2013
Sujets similaires
» Et enfin, se pardonner.
» Pardonner à la mort
» SACHONS PARDONNER...
» La guérison par soi-même
» Se libérer de soi-même
» Pardonner à la mort
» SACHONS PARDONNER...
» La guérison par soi-même
» Se libérer de soi-même
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum