AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
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AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
DANS LES SECRETS DES METIERS FUNERAIRES
AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
La mort vous ira si bien
En passant le pas d’une salle de thanatopraxie, une certaine angoisse de sentir l’odeur de la mort nous envahit. Et finalement, ce sont des effluves de détergent aux essences de fleurs qui rendent soudain le lieu moins lugubre. Une petite pièce aux murs carrelés de blanc, une table de préparation en inox, un lavabo et un grand réfrigérateur qui peut contenir jusqu’à trois défunts. « Et en plus, il congèle », souligne le thanatopracteur. « Car, parfois nous sommes obligés de faire baisser la température, lorsque nous recevons un corps en décomposition, ceci afin d’éviter les odeurs. »
Bonne connaissance de l’anatomie humaine
Dans le détail, les opérations d’embellissement d’un cadavre demandent une bonne connaissance de l’anatomie humaine et des techniques utilisées dans un salon de beauté.
« La première étape consiste à prélever tout le sang et le remplacer par un liquide de conservations . Pour cela, le thanatopracteur effectue des incisions au niveau des artères, puis introduit du coton dans les orifices. Il ôte également les pacemakers car en cas d’incinérations ils peuvent faire exploser les fours ».Pas très glamour, certes, mais nécessaire pour la suite de cette étrange mise en scène.
Une belle image
Arrive ensuite l’étape de la toilette, puis du maquillage. « Je demande souvent aux famille de m’apporter une photo du défunt, afin que nous puissions nous en inspirer dans notre travail » détaille le chef d’entreprise, qui n’est pas avare d’exemples. « Je me souviens de cette dame qui avait été victime d’une embolie pulmonaire. Son visage était devenu noir. Après le passage du thanato (ainsi surnommé dans le jargon des pompes funèbres), elle était redevenue elle-même. » Il cite également ces personnes sui sont décédées des suites d’une longue maladie.
Six pieds sous terre
Une fois lancé dans ce registre, il ne s’arrête plus tant une foule d’anecdotes ponctuent son quotidien. « Comme ce type, un communiste de première heure qui a voulu se faire enterrer avec un tee-shirt arborant la faucille et le marteau. Et ce pêcheur parti avec sa canne, ce chasseur avec sa cartouchière, sans balles bien sûr. » L’homme, s’il n’est pas avare d’exemples qui prêtent à sourire, garde la tête sur les épaules lorsqu’il s’agit de bijoux. « Je conseille toujours à la famille de les conserver. Si un jour ou l’autre le corps doit être exhumé quelqu’un les récupère à coup sûr ». Il évoque également les demandes farfelues, dont celle de cette dame qui désirait que les cendres de son chien soient disposées dans son cercueil.
Voilà J'espère ne pas avoir été trop longue...
AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
La mort vous ira si bien
Avant de présenter un corps à la famille, il faut gommer le masque mortuaire et surtout lui rendre sa dignité.
En passant le pas d’une salle de thanatopraxie, une certaine angoisse de sentir l’odeur de la mort nous envahit. Et finalement, ce sont des effluves de détergent aux essences de fleurs qui rendent soudain le lieu moins lugubre. Une petite pièce aux murs carrelés de blanc, une table de préparation en inox, un lavabo et un grand réfrigérateur qui peut contenir jusqu’à trois défunts. « Et en plus, il congèle », souligne le thanatopracteur. « Car, parfois nous sommes obligés de faire baisser la température, lorsque nous recevons un corps en décomposition, ceci afin d’éviter les odeurs. »
Ici, la destination finale que nous redoutons tous est dédramatisée, rationalisée aussi. Car dans le secret de cette chambre à l’éclairage laiteux, on se démène pour gommer le masque mortuaire et donner à la famille l’illusion que ce proche disparu, toujours trop tôt, repose dans un sommeil serein.
Bonne connaissance de l’anatomie humaine
Dans le détail, les opérations d’embellissement d’un cadavre demandent une bonne connaissance de l’anatomie humaine et des techniques utilisées dans un salon de beauté.
« La première étape consiste à prélever tout le sang et le remplacer par un liquide de conservations . Pour cela, le thanatopracteur effectue des incisions au niveau des artères, puis introduit du coton dans les orifices. Il ôte également les pacemakers car en cas d’incinérations ils peuvent faire exploser les fours ».Pas très glamour, certes, mais nécessaire pour la suite de cette étrange mise en scène.
Une belle image
Arrive ensuite l’étape de la toilette, puis du maquillage. « Je demande souvent aux famille de m’apporter une photo du défunt, afin que nous puissions nous en inspirer dans notre travail » détaille le chef d’entreprise, qui n’est pas avare d’exemples. « Je me souviens de cette dame qui avait été victime d’une embolie pulmonaire. Son visage était devenu noir. Après le passage du thanato (ainsi surnommé dans le jargon des pompes funèbres), elle était redevenue elle-même. » Il cite également ces personnes sui sont décédées des suites d’une longue maladie.
« Certaines ont le teint jaune. Nous parvenons, à l’aide de fards, à leur rendre leur grain de peau initial ». Sans compter ceux et celles qui ont perdu leurs cheveux des suites d’un traitement invasif. « Nous leur mettons une perruque. » Autant d’efforts déployés pour redonner une certaine forme de dignité et surtout ne pas choquer les proches. « Je pense que la dernière image est la plus importante et permet de mieux faire son deuil en respectant les souhaits du défunt », affirme M.
Six pieds sous terre
Une fois lancé dans ce registre, il ne s’arrête plus tant une foule d’anecdotes ponctuent son quotidien. « Comme ce type, un communiste de première heure qui a voulu se faire enterrer avec un tee-shirt arborant la faucille et le marteau. Et ce pêcheur parti avec sa canne, ce chasseur avec sa cartouchière, sans balles bien sûr. » L’homme, s’il n’est pas avare d’exemples qui prêtent à sourire, garde la tête sur les épaules lorsqu’il s’agit de bijoux. « Je conseille toujours à la famille de les conserver. Si un jour ou l’autre le corps doit être exhumé quelqu’un les récupère à coup sûr ». Il évoque également les demandes farfelues, dont celle de cette dame qui désirait que les cendres de son chien soient disposées dans son cercueil.
Voilà J'espère ne pas avoir été trop longue...
Hirondelle- Modérateur
- Messages : 426
Date d'inscription : 17/03/2012
Marie aime ce message
AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
Ben mince alors, ce qui était en italique et entre guillements, à savoir les paroles du thanatopracteur, est écrit normalement. Bon, tant pis. Heureusements que les " " sont restés.
Hirondelle- Modérateur
- Messages : 426
Date d'inscription : 17/03/2012
Re: AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
Très étrange que de lire ceci pour moi, car finalement ça m’a fait remonter tout plein de vieux souvenirs…
la première morte que j’ai vue dans mon existence, j’avais 12 ans, et c’était ma grand-mère… certes il y a bien longtemps mais je me souviens de ce qui m’avait frappé. C’est de cette couleur qu’elle avait, et de surcroît elle avait des pommettes toutes roses.
Je comprends mieux pourquoi aujourd’hui encore !
Si les … euh comment on dit déjà… ah oui "thanatopracteur" se réfèrent à des photos, il est certain alors que le maquillage effectué sur ma grand-mère vient de là, car elle avait pour habitude de se fabriquer des petites pommettes roses lorsqu’elle sortait en ville !
Nous avons certainement fait des progrès en ce domaine aujourd’hui car par rapport à la pire des images que j’ai pu voir, trente ans en arrière, c’est le cadavre de ma belle-sœur, ayant subit une autopsie. C’était terriblement moche, les yeux à peine fermés, vitreux, la bouche cousue. Des coutures de partout, c’était horrible, ces images sont restées longtemps gravées dans ma mémoire de jeune fille. Un vrai cauchemar….
Par contre, à la visite à la morgue pour mon frère, on m’a déconseillé fortement de le voir ; me disant qu’il fallait mieux rester sur une bonne image. Cela m’a beaucoup perturbée, car mon imagination était développée à cette époque-là (y’a 30 ans) … J’ai imaginé des trucs incroyables qui m’empêchaient de dormir pendant longtemps. Je me suis demandée ensuite si au contraire je n’aurais pas dû le voir !!!
Sur un second point de référence à ton texte Hirondelle, cela me rappelle aussi mon père qui lui, voulait être enterré avec la montre de son propre père… vous savez, les vieilles montres à gousset ; il la souhaitait dans l’une de ses poches de pantalon et dans l’autre un mouchoir… Nous avons réalisé son souhait bien entendu ! Mais lui par contre, lorsque je suis allée le voir à la morgue, on lui avait mis un bandage autour de la tête pour faire tenir la mâchoire. C’était moche ça aussi !
Par contre, à la préparation des funérailles de ma mère, je me souviens maintenant que les préparateurs du corps m’avaient demandé si elle prenait des médicaments de son vivant ??
je n’avais pas saisi le pourquoi sur l’instant, mais j’ai appris ensuite qu’on lui avait injecté un produit spécifique en raison de cela… pourquoi par contre je ne sais pas car je ne connais pas les effets des médocs sur un mort mais je serais bien intéressée de le savoir !
merci infiniment Hirondelle pour ces explications…
dur métier tout de même que celui-là !!!
la première morte que j’ai vue dans mon existence, j’avais 12 ans, et c’était ma grand-mère… certes il y a bien longtemps mais je me souviens de ce qui m’avait frappé. C’est de cette couleur qu’elle avait, et de surcroît elle avait des pommettes toutes roses.
Je comprends mieux pourquoi aujourd’hui encore !
Si les … euh comment on dit déjà… ah oui "thanatopracteur" se réfèrent à des photos, il est certain alors que le maquillage effectué sur ma grand-mère vient de là, car elle avait pour habitude de se fabriquer des petites pommettes roses lorsqu’elle sortait en ville !
Nous avons certainement fait des progrès en ce domaine aujourd’hui car par rapport à la pire des images que j’ai pu voir, trente ans en arrière, c’est le cadavre de ma belle-sœur, ayant subit une autopsie. C’était terriblement moche, les yeux à peine fermés, vitreux, la bouche cousue. Des coutures de partout, c’était horrible, ces images sont restées longtemps gravées dans ma mémoire de jeune fille. Un vrai cauchemar….
Par contre, à la visite à la morgue pour mon frère, on m’a déconseillé fortement de le voir ; me disant qu’il fallait mieux rester sur une bonne image. Cela m’a beaucoup perturbée, car mon imagination était développée à cette époque-là (y’a 30 ans) … J’ai imaginé des trucs incroyables qui m’empêchaient de dormir pendant longtemps. Je me suis demandée ensuite si au contraire je n’aurais pas dû le voir !!!
Sur un second point de référence à ton texte Hirondelle, cela me rappelle aussi mon père qui lui, voulait être enterré avec la montre de son propre père… vous savez, les vieilles montres à gousset ; il la souhaitait dans l’une de ses poches de pantalon et dans l’autre un mouchoir… Nous avons réalisé son souhait bien entendu ! Mais lui par contre, lorsque je suis allée le voir à la morgue, on lui avait mis un bandage autour de la tête pour faire tenir la mâchoire. C’était moche ça aussi !
Par contre, à la préparation des funérailles de ma mère, je me souviens maintenant que les préparateurs du corps m’avaient demandé si elle prenait des médicaments de son vivant ??
je n’avais pas saisi le pourquoi sur l’instant, mais j’ai appris ensuite qu’on lui avait injecté un produit spécifique en raison de cela… pourquoi par contre je ne sais pas car je ne connais pas les effets des médocs sur un mort mais je serais bien intéressée de le savoir !
merci infiniment Hirondelle pour ces explications…
dur métier tout de même que celui-là !!!
Marie aime ce message
Re: AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
Ayant été habituée par mes parents à voir des morts dès l'âge de 3 ans à peine... je retrouve un peu des cas de "figure" (sans jeux de mots) que vous avez exposé pour l'avoir vécu ou en avoir entendu parlé. Habituellement plus que le congel ou le frigo c'est le lit réfrigéré qui permet une meilleure conservation avant la mise en bière.
Par contre, je n'ai jamais vu la bouche cousue sur mes aïeuls, mais par contre livre de messe ou bible sous le menton pour maintenir la bouche fermée.
Certaines familles, ont aussi l'habitude de photographier leur proche sur leur lit de mort... pour moi c'est inimaginable.
Je trouve justement que maintenant la politique des familles est d'épargner les enfants, mais je ne sais pas si c'est une bonne chose, même pour leur animal de compagnie parfois ils ne savent pas vraiment et ne voient pas, et je te rejoins francesca, je crois que pour les enfants c'est plus perturbant qu'autre chose, d'autant qu'ils n'ont pas la même vision que nous et analysent ce qu'ils voient différemment.
Par contre, je n'ai jamais vu la bouche cousue sur mes aïeuls, mais par contre livre de messe ou bible sous le menton pour maintenir la bouche fermée.
Certaines familles, ont aussi l'habitude de photographier leur proche sur leur lit de mort... pour moi c'est inimaginable.
Je trouve justement que maintenant la politique des familles est d'épargner les enfants, mais je ne sais pas si c'est une bonne chose, même pour leur animal de compagnie parfois ils ne savent pas vraiment et ne voient pas, et je te rejoins francesca, je crois que pour les enfants c'est plus perturbant qu'autre chose, d'autant qu'ils n'ont pas la même vision que nous et analysent ce qu'ils voient différemment.
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« La liberté ignore les serrures du temps et de l'espace.
Pour traverser les murs,il suffit d'ouvrir les portes, ouvrir les ailes, ouvrir les rêves. »
Jacques Savoie
Re: AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
Françoise, penses-tu vraiment que ta grand mère soit passée entre les mains d’un thanatopracteur ? Est-ce que ce métier existait déjà à ce moment là ? j’en doute.
Ta belle sœur avaient les yeux à peine fermés. C’était un peu le cas de mon père. Il avait un œil à moitié fermé. Pas beau à voir !!
Si elle avait la bouche cousue et que tu le voyais, c’est signe qu’à l’époque ils n’étaient encore pas très compétents en la matière. Ils en étaient aux balbutiements de la thanato actuelle.
Va savoir, ton frère n’était peut-être pas moche à voir, mais, en sachant ce qui se fait de nos jours, son masque mortuaire n’était pas gommé, comme ils disent.
Lunéa, tu parles de lit réfrigéré… C’est dans cette condition que j’ai vu mon compagnon. J’ai appelé ça un brancard, pas en état de voir sur quoi il était exactement, mais il avait une sorte de flacon sous la tête. Enfin, ça débordait sur le coté. Et, ce qui m’avait paru bizarre, il avait une sorte de brillant au menton. Ma première réaction était qu’il avait de la salive mais ca ne pouvait être ça :suspect Maman, par contre, avant de la voir dans le cercueil, c’était à la morgue de l’hôpital, eh ben, on nous a ouvert un tiroir de frigo ou congélateur. Un drap blanc la recouvrait. Beurk pas beau tout ça, la lèvre du bas qui rentrait, bouche ouverte etc.
Quelqu’un qui vivait avec mes beaux parents, et qui venait de décéder quand on est arrivé, on lui a mis un torchon autour de la tête pour maintenir la bouche fermée.
Pour la bouche cousue, je l’ai vu sur youtube. Un ou deux points à l’intérieur des lèvres. Ni vu ni connu à l’extérieur. Et auparavant, on avait bourré les joues avec des sortes de brindilles bouclées. Avec cette vidéo, j’ai compris ce que pouvais être le brillant au niveau du menton de mon compagnon.
Heureuse d’avoir pu vous apprendre un peu quelque chose avec cet article.
Ta belle sœur avaient les yeux à peine fermés. C’était un peu le cas de mon père. Il avait un œil à moitié fermé. Pas beau à voir !!
Si elle avait la bouche cousue et que tu le voyais, c’est signe qu’à l’époque ils n’étaient encore pas très compétents en la matière. Ils en étaient aux balbutiements de la thanato actuelle.
Va savoir, ton frère n’était peut-être pas moche à voir, mais, en sachant ce qui se fait de nos jours, son masque mortuaire n’était pas gommé, comme ils disent.
Lunéa, tu parles de lit réfrigéré… C’est dans cette condition que j’ai vu mon compagnon. J’ai appelé ça un brancard, pas en état de voir sur quoi il était exactement, mais il avait une sorte de flacon sous la tête. Enfin, ça débordait sur le coté. Et, ce qui m’avait paru bizarre, il avait une sorte de brillant au menton. Ma première réaction était qu’il avait de la salive mais ca ne pouvait être ça :suspect Maman, par contre, avant de la voir dans le cercueil, c’était à la morgue de l’hôpital, eh ben, on nous a ouvert un tiroir de frigo ou congélateur. Un drap blanc la recouvrait. Beurk pas beau tout ça, la lèvre du bas qui rentrait, bouche ouverte etc.
Quelqu’un qui vivait avec mes beaux parents, et qui venait de décéder quand on est arrivé, on lui a mis un torchon autour de la tête pour maintenir la bouche fermée.
Pour la bouche cousue, je l’ai vu sur youtube. Un ou deux points à l’intérieur des lèvres. Ni vu ni connu à l’extérieur. Et auparavant, on avait bourré les joues avec des sortes de brindilles bouclées. Avec cette vidéo, j’ai compris ce que pouvais être le brillant au niveau du menton de mon compagnon.
Heureuse d’avoir pu vous apprendre un peu quelque chose avec cet article.
Hirondelle- Modérateur
- Messages : 426
Date d'inscription : 17/03/2012
aux petits soins pour les défunts
bonjour, je ne suis pas fan de ce genre de conversation, mais j'ai lu les messages avec intérêts, car je me posais souvent des questions, sur l'apparence que l'on pouvait donner à nos défunts. Ces pratiques étaient pour moi inconnues à ce jour et je vous remercie d'avoir apporté vos lumières à mes interrogations.
Je constate que pour vous l'image de la mort n'a pas été toujours des plus normales et je relève votre courage. Pour ma part je n'ai pas eu ce désagrément. Quand j'ai perdu mon père, il était sur son lit de mort avec un visage serein et sourillant (presque.) Quant à ma mère, elle n'avait pas cette sérénité sur le visage et avait l'air dur.
Je pense que le moment du décès ou du moins dans l'état psychique dans lequel se trouve le défunt à ce moment là, définit l'expression définitive. Du moins je crois.
Dans tous les cas, cela transmet une forte émotion que l'on oublie lentement.
Quoi qu'il en soit vive la vie et restons lumineux. Amitié
Je constate que pour vous l'image de la mort n'a pas été toujours des plus normales et je relève votre courage. Pour ma part je n'ai pas eu ce désagrément. Quand j'ai perdu mon père, il était sur son lit de mort avec un visage serein et sourillant (presque.) Quant à ma mère, elle n'avait pas cette sérénité sur le visage et avait l'air dur.
Je pense que le moment du décès ou du moins dans l'état psychique dans lequel se trouve le défunt à ce moment là, définit l'expression définitive. Du moins je crois.
Dans tous les cas, cela transmet une forte émotion que l'on oublie lentement.
Quoi qu'il en soit vive la vie et restons lumineux. Amitié
pierredelune- Messages : 2
Date d'inscription : 06/11/2013
Re: AUX PETITS SOINS POUR LES DEFUNTS
Je crois pas réellement que l'on oublie ... en fait c'est plutôt que l'on vit avec ! Car lorsque je repense à ces instants, je revois malgré tout ces images, leur visage et mes pensées les accompagnent à chaque foispierredelune a écrit:
Dans tous les cas, cela transmet une forte émotion que l'on oublie lentement.
pierredelune, tu veux dire quoi exactement ?Je pense que le moment du décès ou du moins dans l'état psychique dans lequel se trouve le défunt à ce moment là, définit l'expression définitive.
Tu veux dire que c'est dans l'état où ils nous ont quittés ou dans l'état où il rejoignent la lumière ??
merci et gros bisous
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