Signe d'un homme à l'instant de son décès

Un soir, mon mari et moi étions assis sur le canapé devant la télévision. Les informations de 20h sur la première chaîne venaient de démarrer quand brusquement, entre la télé et moi s'est interposé un homme que je n'avais pas vu depuis pas mal de temps (le père d'un beau-frère) et qui me souriait. Loin d'avoir peur, j'ai dit à mon mari : il y a monsieur B. qui est devant moi et qui me sourit. Mon mari, bien qu'habitué aux choses spéciales pouvant se produire avec moi, effrayé a glissé à l'extrémité du canapé en disant "je ne veux surtout pas voir".
Moi, sans pitié, je me suis mise à décrire comment était vêtu Monsieur B : un pantalon gris, un gilet beige à manches longues, décolleté en V, boutonné. J'ai dit aussi qu'il me gênait pour voir la télé parce que je distinguais l'écran à travers lui comme s'il y avait un verre dépoli entre lui et moi. Puis il a disparu comme il était venu et nous avons pu reprendre le cours des infos.
Le lendemain matin à 8 heures, le téléphone sonne. Je décroche et j'ai mon beau-frère au bout du fil qui m'annonce le décès de son père, survenu la veille quelques minutes après 20h. Il me raconte que son père était venu voir sa femme hospitalisée pour lui montrer le pull qu'elle avait commandé pour lui à la Redoute, arrivé le matin. Mais à peine entré dans la chambre, terrassé par une crise cardiaque, il s'était effondré contre la porte qu'il venait de refermer, si bien qu'il avait fallu plusieurs personnes pour l'ouvrir. On n'avait pas pu le ranimer.

Le jour de l'enterrement, j'ai pris à part sa petite fille et ne ui laissant pas le temps de se poser des questions, je lui ai demandé comment était vêtu son grand père : elle m'a raconté l'histoire du pull et j'ai pu avoir la confirmation qu'il correspondait exactement à celui de ma vision. Evidemment, je lui ai pas dit que j'avais vu son grand père chez moi au moment de sa mort.

Je vous laisse digérer cette histoire avant d'en relater une autre.

Très intéressant Aveline, est ce qu'on peut connaitre la seconde histoire. Merci

Sissi.

Dans : "Témoignages de nos expériences",

j'avais mis un sujet suite à la manifestation et au départ d'un ami venu me rendre visite. ...

Il m'a touché le dessus de la main avec un doigt avant de disparaître. Difficile d'oublier cet instant.

L'a-t-il fait pour signifier son attachement à ma personne ?

Il y a quelques années, un homme qui faisait souvent chez moi des travaux de bricolage, de jardinage, etc... est venu pour s'occuper de ma machine à laver en panne. Ce jour-là, il était accompagné de sa femme que je connaissais à peine. Avant de descendre au sous-sol pour voir la machine, nous avons pris le café. Au cours de la conversation, sa femme m'a dit que quelques jours après elle devait aller dans une clinique pour une visite de contrôle. Instantanément, je me suis entendu lui dire qu'elle devrait consulter un second médecin. Etonnée, elle m'a répondu que ce n'était pas la peine parce que lors de la première visite on lui avait dit qu'il n'y avait rien de grave.
La laissant sur la terrasse, son mari et moi sommes descendus au sous-sol voir la machine à laver. J'ai répété au mari que j'avais un mauvais pressentiment au sujet de sa femme et qu'il devrait insister pour qu'elle demande l'avis d'un second médecin. Il connaissait mes "capacités" et m'a répondu que même s'il parlait à sa femme, elle n'en tiendrait pas compte ne croyant pas à ces choses-là. En les raccompagnant au portail, je leur ai dit de me donner des nouvelles quand elle rentrerait de la clinique.

La semaine suivante, j'ai été réveillée un jour à 4 heures du matin par une voix très faible de femme qui par trois fois a dit : au revoir Sandrine, au revoir... J'ai cru que c'était mon mari qui me faisait une blague (comme c'était l'été  et qu'il faisait très chaud, il dormait dans une autre chambre). J'ai donc attendu qu'il se réveille pour lui poser la question. Ce n'était pas lui. Plus tard dans la matinée, j'ai téléphoné chez le couple. Il n'y avait personne. Alors, j'ai appelé la clinique et ai demandé à parler à Madame X. La standardiste m'a d'abord dit qu'il n'y avait personne de ce nom sur le registre des entrées.  J'ai insisté en disant que la personne était entrée à la clinique pour un contrôle et lui ai demandé de vérifier. Au bout d'un moment, elle avait retrouvé le nom et m'a alors demandé si j'étais de la famille ; j'ai répondu que j'étais une cousine. Elle m'a dit qu'elle me passait le service d'étage. Une autre personne a pris la communication. Ne lui laissant pas le temps de parler, je lui ai dit : Madame X est morte. Grand silence au bout du fil, puis elle m'a conseillé d'appeler le domicile de la personne. Ce que j'ai fait en rentrant chez moi. C'est une des filles qui a pris la communication et qui, en sanglotant, m'a annoncé la mort de sa mère le jour où j'avais entendu la voix le matin. J'ai demandé ce qui s'était passé. Finalement on l'avait opérée en urgence et à 4 heures du matin elle était seule dans une salle de réveil, la garde de nuit étant allée boire un café et, soi-disant, il n'y avait pas de médecin. non plus. Une complication s'était produite (la famille n'a jamais pu savoir laquelle) et la femme,  se sentant partir, a du se rappeler que l'avais mise en garde et se raccrocher à moi.

Merci Aveline (je trouve ton nouveau pseudo agréable à prononcer. Il coule comme l'eau d'une source).

Tes témoignages me vont droit au coeur.

Me concernant, je suis parfois restée très intriguée de me retrouver auprès de personnes ou même d'un animal(un ours polaire) en partance vers leur au-delà ou ailleurs. Comment ont-ils pu se trouver diriger vers moi ou moi vers eux et me raconter les dernières phases ultimes de leur vie terrestre et de suivre leur cheminement à chacun. J'ai mis mes expériences sur le forum.

Il est un fait que je vois et que j'entends à différents niveaux.