La douleur a-t-elle un sens ?
4 participants
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La douleur a-t-elle un sens ?
Alors c'est parti pour un 1er sujet de discussion ;
Pensez vous que la douleur (physique) à un sens ???
J'attends vos avis mais serais de retour ce soir vers 23 h !
A vos réponses
Cordialement
Pensez vous que la douleur (physique) à un sens ???
J'attends vos avis mais serais de retour ce soir vers 23 h !
A vos réponses
Cordialement
ninadu06- Messages : 4
Date d'inscription : 14/07/2012
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
Toutes les sociétés ont voulu définir la douleur en lui donnant un sens.
Certains ont fait le choix de « lutter contre » niant ainsi toute valeur à la douleur . Et d’autres tentent d’en décrypter les codes…
Tant que la sensation douloureuse peut être maîtrisée, que ce soit dans son intensité ou dans sa raison d’être, l’individu est autonome. Parfois la douleur ne peut plus être intégrée dans une vision du monde, là elle n’a plus de sens, soit parce qu’elle est trop forte, soit parce que le sens dont elle est le symptôme est inconscient.
En tout cas, quand tout à coup elle survient ! Corporelle ou psychique : tout se fige. Le temps s’arrête : ni passé, ni futur… l’instant.
Sens ou non-sens ? qu'en penses-tu ninadu ?
Certains ont fait le choix de « lutter contre » niant ainsi toute valeur à la douleur . Et d’autres tentent d’en décrypter les codes…
Tant que la sensation douloureuse peut être maîtrisée, que ce soit dans son intensité ou dans sa raison d’être, l’individu est autonome. Parfois la douleur ne peut plus être intégrée dans une vision du monde, là elle n’a plus de sens, soit parce qu’elle est trop forte, soit parce que le sens dont elle est le symptôme est inconscient.
En tout cas, quand tout à coup elle survient ! Corporelle ou psychique : tout se fige. Le temps s’arrête : ni passé, ni futur… l’instant.
Sens ou non-sens ? qu'en penses-tu ninadu ?
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
La douleur physique est normale car elle atteint nos tissus qui sont vivants, est ce qu'elle est nécessaire?
Chaque être humain est inégal devant la douleur et sa gestion.
Récemment j'ai était hospitalisée car je me suis fait un hématome sur le nerf sciatique et la douleur était immense, intolérable à tel point qu'elle a envahi mon cerveau. Malgré les antidouleurs, la piqûre de morphine, rien ni faisait, j'ai mis en pratique mes connaissances de reiki, fait des prières, je me suis connectée à la source mais rien de rien elle était toujours là. Seul le temps l'a atténué et un jour je me suis levée et plus rien.
Par expérience je dirai que l'on y trouve du nécessaire à la douleur après coup, peut être pour la justifier ou lui donner un sens, j'irai plus loin en disant qu'il faut chercher l'origine de sa douleur, d'où elle vient, qu'elle en est la cause et comment elle est apparu. Sachant que la somatisation abouti très souvent à une réelle douleur physique.
Le débat reste ouvert car personnellement la douleur peut être nécessaire ou pas!!
En espérant avoir avancé le débat
Chaque être humain est inégal devant la douleur et sa gestion.
Récemment j'ai était hospitalisée car je me suis fait un hématome sur le nerf sciatique et la douleur était immense, intolérable à tel point qu'elle a envahi mon cerveau. Malgré les antidouleurs, la piqûre de morphine, rien ni faisait, j'ai mis en pratique mes connaissances de reiki, fait des prières, je me suis connectée à la source mais rien de rien elle était toujours là. Seul le temps l'a atténué et un jour je me suis levée et plus rien.
Par expérience je dirai que l'on y trouve du nécessaire à la douleur après coup, peut être pour la justifier ou lui donner un sens, j'irai plus loin en disant qu'il faut chercher l'origine de sa douleur, d'où elle vient, qu'elle en est la cause et comment elle est apparu. Sachant que la somatisation abouti très souvent à une réelle douleur physique.
Le débat reste ouvert car personnellement la douleur peut être nécessaire ou pas!!
En espérant avoir avancé le débat
_________________
Un tien vaut mieux que deux tu l'auras
mimine- Messages : 46
Date d'inscription : 11/07/2012
RE :
Bonjour à tous,
Je pense effectivement que la douleur a un sens ............Le plus dur est de trouver le sens !!!
Je cherche je cherche ..............
Bises à tous
Nina
Je pense effectivement que la douleur a un sens ............Le plus dur est de trouver le sens !!!
Je cherche je cherche ..............
Bises à tous
Nina
ninadu06- Messages : 4
Date d'inscription : 14/07/2012
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
J'ai retrouvé mes écris sur le sujet ... justement sur un autre forum où je suis modératrice... je les ai repris ici pour les partager avec vous sur le même propos :
voici donc
Il est très important de mettre des mots sur sa souffrance … Il faut en parler, nous, ici ensemble, pour la partager… et ces derniers temps, c’est un sujet qui me tient à cœur car je suis très proche d'une personne en souffrance... et je vais donc m’exprimer ….
En effet, grâce à différentes techniques, la grande majorité des douleurs peuvent être soulagées de façon importante. Une disparition totale de la douleur n’est pas toujours possible mais il est rare de ne pas pouvoir rendre la souffrance au moins supportable. Et pourtant …
La Douleur, chacun la vit et l’exprime à sa façon, selon son expérience et son histoire. Aujourd’hui, aucun professionnel de santé ne peut la nier. Définir la douleur n’est pas une chose facile je le conçois. Pourtant, la réalité du phénomène n’échappe à personne.
Dans le langage courant, le mot douleur prend des significations tellement
diverses : "maladie", "trouble", "peine", "tristesse", "souffrance", tout est presque amalgamé ...
La conscience est indispensable pour ressentir la douleur. C’est donc une évidence d’affirmer que la douleur est un phénomène subjectif (qui a rapport au sujet).
Ce qui caractérise la douleur, c’est qu’il s’agit d’une expérience désagréable, subjective et bien individuelle. On ne peut mesurer la douleur directement comme on prend la température... On ne peut démontrer objectivement sa douleur. Il faut réellement la côtoyer pour la connaître. C’est pourtant un phénomène très réel.
Comme la "bonne humeur", le vague à l’âme ou la fatigue, la douleur est un phénomène subjectif mais, n’ayant aucune preuve formelle. Il faut réclamer une échelle de valeur pour connaître le réelle souffrance de l’autre, car lorsque c’est la sienne, pas de problème, mais dès qu’il s’agit de celle de l’autre, cela réclame toujours des preuves….
Nombreuses personnes assimilent la sensation de douleur à la cause de la douleur. Il y a une nuance qui n’est pas toujours évidente. La confusion est entretenue par le fait que, dans la majorité des douleurs récurrentes ou aiguës, le traitement de la douleur est celui de la cause. Pour la douleur chronique, le traitement ne sera pas obligatoirement ou exclusivement celui de la cause. C’est pourquoi, à mon sens, on doit envisager l’expérience douloureuse dans son ensemble.
On ne peut pas seulement écouter la description verbale que nous faisons de notre douleur, qu’observer des changements dans notre attitude, dans notre comportement. Une autre difficulté provient du fait que les individus réagissent différemment à la douleur. On dit couramment de certaines personnes qu’elles sont "résistantes à la douleur", "dures au mal", ou au contraire, "douillette" mais quel en est réellement le niveau.
Parce que la douleur de l’autre n’est pas la mienne, je me dois de l’écouter sans la juger, en essayant d’utiliser tous les moyens dont je dispose pour le soulager. Même si ces moyens ne sont pas efficaces, je ne dois jamais oublier que même si je compatie, cette douleur reste et restera toujours la douleur de l’autre. Je ne dois donc pas venir l’ajouter à la mienne....
Il ne faut pourtant pas négliger que dans le monde il y a des douleurs spirituelles comme il y a des douleurs physiques. La douleur spirituelle est le résultat d’une séparation d'avec notre MOI profond. Tandis que la douleur physique provient de maladies ou de lésions.
Toutes les créatures vivantes souffrent en proportion du développement de leurs organes de perception, mais pas au même degré que l'homme dont les sentiments et la puissance intellectuelle supérieure ajoutent immensément à sa sensibilité et à sa capacité de souffrir. Nous en trouvons la preuve dans le fait que chaque fois que l'homme garde en sa conscience le fait d’avoir des douleurs, ses souffrances réelles en sont d'autant augmentées.
La douleur et la souffrance sont souvent nécessaires pour nous faire croître et progresser dans la vie spirituelle, dit-on. Cela voudrait-il dire que notre FOI n’est donc pas encore assez puissante pour croire que la volonté de "Dieu" soit que nous lui échappions toujours.... Bien des choses qui paraissent à notre palais mauvaises et amères nous sont d'une grande utilité. Mais ceci est-il toujours vrai? Après tout qui peut juger de ce que l'on mérite....
Nous pourrions peut-être aller plus loin et prétendre que tout poison et toutes les choses amères et désagréables au goût agissent comme un remède dans une maladie ou dans une autre. En réalité, nous nommons "poison"… parce que nous en ignorons la propriété médicinale réelle. N’oublions pas, que "Dieu" a créé toutes choses pour l'accomplissement de ses desseins. Tout ce qui a donc été créé l'a été d'une manière propre à remplir sa mission, mais à cause de notre ignorance de leur vrai usage et de leur application, nous nous en servons d'une manière qui nous est nuisible.
Dans toute la création, il n'est aucune chose qui en elle-même soit mauvaise ou nuisible, certes, aucune dont l'usage propre fasse du mal à son créateur. De même, toute douleur et toute souffrance est un moyen pour développer et approfondir notre vie spirituelle, certes.
La douleur et la souffrance ne sont pas seulement un moyen efficace de réveiller l'homme et de lui révéler son état spirituel. NON, elles sont aussi profitables à tous ceux qui viennent en aide à l'homme dans ses tribulations, car cela leur donne l'occasion d'exercer les qualités distinctives qui leur sont nécessaires pour croître dans la perfection.
La réelle victoire n'est donc pas d'être épargné par la douleur et la souffrance, par la mort et le mal, mais c'est, par la grâce, de transformer la douleur en bien-être, la croix et la mort en vie, et le mal en bien. La valeur du bien-être ne peut pas être justement appréciée avant que nous ayons fait connaissance avec la douleur, pas plus qu'il n'est possible de connaître ce qui est doux avant d'avoir goûté aux choses amères. Il n'est pas non plus possible de jouir du bien avant d'avoir vu le mal, d'apprécier la vie avant d'être passée par la mort.
Pour toutes ces raisons nous croyons en cette force si puissante de l’Universalité, avant de nous faire entrer avec Lui dans son royaume pour jouir éternellement de Sa présence. S’IL a voulu nous faire passer au travers de toutes les expériences de cette vie présente afin de nous donner une leçon pour l'éternité. Il est donc bien nécessaire de toujours veiller et de prier si nous craignons de ne pas être épargnés.
Toutefois, bien que l'homme ne trouve qu'en LUI la satisfaction de ses désirs les plus profonds, il a également soif de l'amitié et de la sympathie de ses semblables. Lorsque cet instinct qui pousse l'homme vers les autres hommes, lui faisant désirer d'entretenir avec eux des relations sociales, il découvre qu’il n'est pas satisfait…. Pourquoi ?
Jésus, Lui, Dieu et Homme, satisfait ce désir tout autant qu'Il répond à ses besoins spirituels. La compréhension de Jésus pour les difficultés et les souffrances de l'Homme ne lui vient pas uniquement de sa nature divine, elle est également le fruit de ses expériences personnelles. Ayant souffert comme un Homme, il est capable de comprendre parfaitement et de donner une aide parfaite à tous les fils des Hommes qui sont angoissés.
Tant que nous serons dans ce monde, nous aurons à supporter la douleur et la souffrance. "L'abeille n'amasse pas seulement du miel, elle a aussi un aiguillon qui a sa fonction particulière. Les épines n'ont pas été placées sans raison autour de la belle rose parfumée. L'écharde dans la chair, lui a été donnée pour l'accomplissement de quelque plan grand et sage."
Otons-nous de l’idée que parler de sa souffrance peut paraître une faiblesse, NON loin de là… c’est une grandeur d’âme que de savoir la partager avec ses amis…
Est-il absolument nécessaire, que nous passions par des temps d'épreuves pour que nous puissions parvenir au but éternel pour lequel nous avons été créés ??? Question maintes fois posée et qui ne trouve pas sa réponse.....
voici donc
Il est très important de mettre des mots sur sa souffrance … Il faut en parler, nous, ici ensemble, pour la partager… et ces derniers temps, c’est un sujet qui me tient à cœur car je suis très proche d'une personne en souffrance... et je vais donc m’exprimer ….
En effet, grâce à différentes techniques, la grande majorité des douleurs peuvent être soulagées de façon importante. Une disparition totale de la douleur n’est pas toujours possible mais il est rare de ne pas pouvoir rendre la souffrance au moins supportable. Et pourtant …
La Douleur, chacun la vit et l’exprime à sa façon, selon son expérience et son histoire. Aujourd’hui, aucun professionnel de santé ne peut la nier. Définir la douleur n’est pas une chose facile je le conçois. Pourtant, la réalité du phénomène n’échappe à personne.
Dans le langage courant, le mot douleur prend des significations tellement
diverses : "maladie", "trouble", "peine", "tristesse", "souffrance", tout est presque amalgamé ...
La conscience est indispensable pour ressentir la douleur. C’est donc une évidence d’affirmer que la douleur est un phénomène subjectif (qui a rapport au sujet).
Ce qui caractérise la douleur, c’est qu’il s’agit d’une expérience désagréable, subjective et bien individuelle. On ne peut mesurer la douleur directement comme on prend la température... On ne peut démontrer objectivement sa douleur. Il faut réellement la côtoyer pour la connaître. C’est pourtant un phénomène très réel.
Comme la "bonne humeur", le vague à l’âme ou la fatigue, la douleur est un phénomène subjectif mais, n’ayant aucune preuve formelle. Il faut réclamer une échelle de valeur pour connaître le réelle souffrance de l’autre, car lorsque c’est la sienne, pas de problème, mais dès qu’il s’agit de celle de l’autre, cela réclame toujours des preuves….
Nombreuses personnes assimilent la sensation de douleur à la cause de la douleur. Il y a une nuance qui n’est pas toujours évidente. La confusion est entretenue par le fait que, dans la majorité des douleurs récurrentes ou aiguës, le traitement de la douleur est celui de la cause. Pour la douleur chronique, le traitement ne sera pas obligatoirement ou exclusivement celui de la cause. C’est pourquoi, à mon sens, on doit envisager l’expérience douloureuse dans son ensemble.
On ne peut pas seulement écouter la description verbale que nous faisons de notre douleur, qu’observer des changements dans notre attitude, dans notre comportement. Une autre difficulté provient du fait que les individus réagissent différemment à la douleur. On dit couramment de certaines personnes qu’elles sont "résistantes à la douleur", "dures au mal", ou au contraire, "douillette" mais quel en est réellement le niveau.
Parce que la douleur de l’autre n’est pas la mienne, je me dois de l’écouter sans la juger, en essayant d’utiliser tous les moyens dont je dispose pour le soulager. Même si ces moyens ne sont pas efficaces, je ne dois jamais oublier que même si je compatie, cette douleur reste et restera toujours la douleur de l’autre. Je ne dois donc pas venir l’ajouter à la mienne....
Il ne faut pourtant pas négliger que dans le monde il y a des douleurs spirituelles comme il y a des douleurs physiques. La douleur spirituelle est le résultat d’une séparation d'avec notre MOI profond. Tandis que la douleur physique provient de maladies ou de lésions.
Toutes les créatures vivantes souffrent en proportion du développement de leurs organes de perception, mais pas au même degré que l'homme dont les sentiments et la puissance intellectuelle supérieure ajoutent immensément à sa sensibilité et à sa capacité de souffrir. Nous en trouvons la preuve dans le fait que chaque fois que l'homme garde en sa conscience le fait d’avoir des douleurs, ses souffrances réelles en sont d'autant augmentées.
La douleur et la souffrance sont souvent nécessaires pour nous faire croître et progresser dans la vie spirituelle, dit-on. Cela voudrait-il dire que notre FOI n’est donc pas encore assez puissante pour croire que la volonté de "Dieu" soit que nous lui échappions toujours.... Bien des choses qui paraissent à notre palais mauvaises et amères nous sont d'une grande utilité. Mais ceci est-il toujours vrai? Après tout qui peut juger de ce que l'on mérite....
Nous pourrions peut-être aller plus loin et prétendre que tout poison et toutes les choses amères et désagréables au goût agissent comme un remède dans une maladie ou dans une autre. En réalité, nous nommons "poison"… parce que nous en ignorons la propriété médicinale réelle. N’oublions pas, que "Dieu" a créé toutes choses pour l'accomplissement de ses desseins. Tout ce qui a donc été créé l'a été d'une manière propre à remplir sa mission, mais à cause de notre ignorance de leur vrai usage et de leur application, nous nous en servons d'une manière qui nous est nuisible.
Dans toute la création, il n'est aucune chose qui en elle-même soit mauvaise ou nuisible, certes, aucune dont l'usage propre fasse du mal à son créateur. De même, toute douleur et toute souffrance est un moyen pour développer et approfondir notre vie spirituelle, certes.
La douleur et la souffrance ne sont pas seulement un moyen efficace de réveiller l'homme et de lui révéler son état spirituel. NON, elles sont aussi profitables à tous ceux qui viennent en aide à l'homme dans ses tribulations, car cela leur donne l'occasion d'exercer les qualités distinctives qui leur sont nécessaires pour croître dans la perfection.
La réelle victoire n'est donc pas d'être épargné par la douleur et la souffrance, par la mort et le mal, mais c'est, par la grâce, de transformer la douleur en bien-être, la croix et la mort en vie, et le mal en bien. La valeur du bien-être ne peut pas être justement appréciée avant que nous ayons fait connaissance avec la douleur, pas plus qu'il n'est possible de connaître ce qui est doux avant d'avoir goûté aux choses amères. Il n'est pas non plus possible de jouir du bien avant d'avoir vu le mal, d'apprécier la vie avant d'être passée par la mort.
Pour toutes ces raisons nous croyons en cette force si puissante de l’Universalité, avant de nous faire entrer avec Lui dans son royaume pour jouir éternellement de Sa présence. S’IL a voulu nous faire passer au travers de toutes les expériences de cette vie présente afin de nous donner une leçon pour l'éternité. Il est donc bien nécessaire de toujours veiller et de prier si nous craignons de ne pas être épargnés.
Toutefois, bien que l'homme ne trouve qu'en LUI la satisfaction de ses désirs les plus profonds, il a également soif de l'amitié et de la sympathie de ses semblables. Lorsque cet instinct qui pousse l'homme vers les autres hommes, lui faisant désirer d'entretenir avec eux des relations sociales, il découvre qu’il n'est pas satisfait…. Pourquoi ?
Jésus, Lui, Dieu et Homme, satisfait ce désir tout autant qu'Il répond à ses besoins spirituels. La compréhension de Jésus pour les difficultés et les souffrances de l'Homme ne lui vient pas uniquement de sa nature divine, elle est également le fruit de ses expériences personnelles. Ayant souffert comme un Homme, il est capable de comprendre parfaitement et de donner une aide parfaite à tous les fils des Hommes qui sont angoissés.
Tant que nous serons dans ce monde, nous aurons à supporter la douleur et la souffrance. "L'abeille n'amasse pas seulement du miel, elle a aussi un aiguillon qui a sa fonction particulière. Les épines n'ont pas été placées sans raison autour de la belle rose parfumée. L'écharde dans la chair, lui a été donnée pour l'accomplissement de quelque plan grand et sage."
Otons-nous de l’idée que parler de sa souffrance peut paraître une faiblesse, NON loin de là… c’est une grandeur d’âme que de savoir la partager avec ses amis…
Est-il absolument nécessaire, que nous passions par des temps d'épreuves pour que nous puissions parvenir au but éternel pour lequel nous avons été créés ??? Question maintes fois posée et qui ne trouve pas sa réponse.....
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
Lorsqu’on prend la responsabilité de quelque chose, on se donne l’opportunité d’en saisir un certain contrôle, s’il nous apparaît. Ce n’est que lorsqu’on prend son malheur en charge que l’on peut y faire quelque chose. Il se peut que l’occasion tarde ou pire n’arrive jamais (ce qui est excessivement rare), mais au moins nous gardons les yeux grands ouverts au cas où.
Comme je l’expliquais dans mon article sur l’un de mes blog (La souffrance psychologique http://othoharmonie.unblog.fr/2012/07/05/souffrance-psychologique/ ), la souffrance est une occasion de transcender quelque chose. C’est une occasion unique d’en apprendre davantage sur soi-même et les lois non-écrites qui régissent l’univers. J’irais même jusqu’à dire que la souffrance est nécessaire à tout développement humain. Mais pour optimiser le processus (et du même coup amorcer un développement personnel profond), on doit tout d’abord accepter que ce soit nous, et seulement nous, qui sommes à la source de notre souffrance….
La société dans laquelle nous vivons nous convainc en permanence qu’il est beaucoup plus attrayant d’attribuer à l’autre ou à un facteur extérieur la cause de notre souffrance. La raison est que prendre en charge celle-ci est un poids excessivement lourd pour ceux qui n’en voient que les mauvais côtés, un cas apparemment et malheureusement très répandu. C’est pourquoi il est sage de se munir de l’évidence de sa nature bienveillante.
D’un autre côté, refuser de prendre sa souffrance en charge, c’est être à la merci de son environnement. Certains jouent toute leur vie à qui a tort et qui a raison en attendant que les autres changent et restent pris au même échelon de conscience jusqu’au moment où la mort les guette. Dans ces moments de mort imminente, rares sont ceux qui ne réalisent pas la futilité de ce jeu égocentrique, mais au dernier moment. Trop tard !
J’ai pu le constater moi-même lors de soutien à des mourants… Mais pourquoi attendre une telle expérience pour ouvrir les yeux ?
En espérant que, vu sous cet angle, la souffrance fasse bientôt autant partie de nos responsabilités que l’intendance de nos maisons de briques……
Merci !
Comme je l’expliquais dans mon article sur l’un de mes blog (La souffrance psychologique http://othoharmonie.unblog.fr/2012/07/05/souffrance-psychologique/ ), la souffrance est une occasion de transcender quelque chose. C’est une occasion unique d’en apprendre davantage sur soi-même et les lois non-écrites qui régissent l’univers. J’irais même jusqu’à dire que la souffrance est nécessaire à tout développement humain. Mais pour optimiser le processus (et du même coup amorcer un développement personnel profond), on doit tout d’abord accepter que ce soit nous, et seulement nous, qui sommes à la source de notre souffrance….
La société dans laquelle nous vivons nous convainc en permanence qu’il est beaucoup plus attrayant d’attribuer à l’autre ou à un facteur extérieur la cause de notre souffrance. La raison est que prendre en charge celle-ci est un poids excessivement lourd pour ceux qui n’en voient que les mauvais côtés, un cas apparemment et malheureusement très répandu. C’est pourquoi il est sage de se munir de l’évidence de sa nature bienveillante.
D’un autre côté, refuser de prendre sa souffrance en charge, c’est être à la merci de son environnement. Certains jouent toute leur vie à qui a tort et qui a raison en attendant que les autres changent et restent pris au même échelon de conscience jusqu’au moment où la mort les guette. Dans ces moments de mort imminente, rares sont ceux qui ne réalisent pas la futilité de ce jeu égocentrique, mais au dernier moment. Trop tard !
J’ai pu le constater moi-même lors de soutien à des mourants… Mais pourquoi attendre une telle expérience pour ouvrir les yeux ?
En espérant que, vu sous cet angle, la souffrance fasse bientôt autant partie de nos responsabilités que l’intendance de nos maisons de briques……
Merci !
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
La douleur a t'elle un sens?? oui bien sur..
La douleur est une sensation anormale et pénible reçue par une partie vivante et perçue par le cerveau. C'est une impression sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dommage tissulaire présent qui permet d'affirmer qu'il y a dommage.
Necessaire c'est autre chose, aujourd'hui le médecin seul en toute conscience peut améliorer le confort de celui qui souffre.
La douleur est une sensation anormale et pénible reçue par une partie vivante et perçue par le cerveau. C'est une impression sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dommage tissulaire présent qui permet d'affirmer qu'il y a dommage.
Necessaire c'est autre chose, aujourd'hui le médecin seul en toute conscience peut améliorer le confort de celui qui souffre.
_________________
Les animaux n'ont qu'un défaut : ils croient aux hommes. (Elian FINBERT)
Capucine- Messages : 205
Date d'inscription : 18/08/2012
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
Hum ton sens juste de la douleur est bien scientifique ma chère Capucine !
parles-tu d'un médecin de l’âme ; celui qui tient compte de la souffrance en sa globalité ??Capucine a écrit:Necessaire c'est autre chose, aujourd'hui le médecin seul en toute conscience peut améliorer le confort de celui qui souffre.
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
Qu'est ce que le médecin de l'âme? peux tu l'expliquer chere Francesca????
La douleur et la souffrance sont differentes, la souffrance serait une douleur morale, et la douleur une souffrance physique.
Le message (douloureux) résulte d'une stimulation au niveau des terminaisons nerveuses des tissus cutanés, musculaires et articulaires ainsi que sur les viscères.C'est un signal d'alarme qui permet de rechercher la cause, elle a un rôle protecteur..
La souffrance généralement psychique est familiere a chacun et différe de la douleur..Elle provient de différents facteur: vie sociale, stress, deuil etc...Pour bien répondre a une question il faut que celle ci soit ciblé et claire....
Amicalement.
La douleur et la souffrance sont differentes, la souffrance serait une douleur morale, et la douleur une souffrance physique.
Le message (douloureux) résulte d'une stimulation au niveau des terminaisons nerveuses des tissus cutanés, musculaires et articulaires ainsi que sur les viscères.C'est un signal d'alarme qui permet de rechercher la cause, elle a un rôle protecteur..
La souffrance généralement psychique est familiere a chacun et différe de la douleur..Elle provient de différents facteur: vie sociale, stress, deuil etc...Pour bien répondre a une question il faut que celle ci soit ciblé et claire....
Amicalement.
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Capucine- Messages : 205
Date d'inscription : 18/08/2012
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
Vivi bien sûre CapucineCapucine a écrit:Qu'est ce que le médecin de l'âme? peux tu l'expliquer chere Francesca????
la médecine traditionnelle suit son cours d’évolution parce que l’homme n’admet pas la présence du corps éthérique, la présence de l’âme, les problèmes vibratoires… la faute n’en revient à personne, on applique la connaissance avec son état d’esprit, avec sa conviction, avec son tempérament, avec son potentiel d’amour ou de haine, d’intérêt financier ou d’intérêt du bien-être de l’homme.
Mais dans notre monde, il y a des gens qui ont des conceptions et un langage spirituel, alors, on les dit spirituels, et puis il y a les autres personnes qui ont des conceptions tout autant spirituelles, mais sans le langage spirituel….
Le médecin de l’âme est celui qui tient compte des deux dimensions de l’être humain et leur interaction constante dans le but du perfectionnement.
Pour moi Capucine, la médecine de l’âme définit les conditions d’une croissance équilibrée et progressive où tous les éléments de la nature humaine trouvent leur place et tiennent leur rôle. Mais cette connaissance-là n’est pas séparable de la connaissance de soi.
Re: La douleur a-t-elle un sens ?
La souffrance est à l'esprit ce que la douleur est au corps...La douleur est indépendante a la souffrance, a moins que la douleur soit chronique est qu'elle entraine une souffrance psychologique, c'est un autre probleme.Dans ce cas, le médecin intervient sur la douleur avant d'aller plus loin..Personnellement il est impossible de traiter la douleur et la souffrance si elles sont indépendantes l'une de l'autre cela n'a rien a voir....
_________________
Les animaux n'ont qu'un défaut : ils croient aux hommes. (Elian FINBERT)
Capucine- Messages : 205
Date d'inscription : 18/08/2012
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