le coma vu par cet "Ailleurs"
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le coma vu par cet "Ailleurs"
Le coma vu par cet "Ailleurs "
Je n'ai posé qu'une question : Que pensez-vous du coma ?
(Petite parenthèse chacun, chacune, peut avoir sa propre perception du coma)
Voici la version de cet "Ailleurs":
"L'être humain doit être déconnecté de la réalité car généralement le cas est grave. Coma suite à un traumatisme crânien ou coma provoqué dans le but de soins intensifs. Durée plus ou moins longue dans l'un ou l'autre cas.
Cependant, les comas longs où l'être humain est branché de plusieurs façons, il y a deux raisons à cela. Sois on espère une récupération , soit ce sont les proches qui s'opposent à l'issue fatale et ne peuvent accepter la perte de l'être en souffrance. Est-ce de l'égoïsme que de vouloir à tout prix garder la personne qui perd de sa densité physique au point qu'il est perdu de toute façon ou la peur de l'oubli en ne voyant plus l'être car mis dans un tombeau ou incinéré. On pleure souvent de la perte physique, on ne le verra plus. L'esprit, l'âme pleure de son côté qu'on ne lui permette pas de se détacher de son corps devenu invalide et dont il ne pourra plus jamais se servir ; une sorte d'agonie jusqu'enfin il soit débranché.
Y a-t-il de l'amour dans ce genre de situation : oui et non. Je veux qu'il vive car sans lui ma vie sera vide. Un attachement où les liens sont si forts que la rupture en sera encore plus éprouvante et plus dure.
Les défunts libérés rejoignent le Plan astral correspondant à leur évolution, mais parfois, ils restent sur les lieux où ils ont vécu car le chagrin de leurs proches les retiennent parfois contre leur gré.
Aimer c'est aussi savoir que la mort n'est pas une fin."
Je n'ai posé qu'une question : Que pensez-vous du coma ?
(Petite parenthèse chacun, chacune, peut avoir sa propre perception du coma)
Voici la version de cet "Ailleurs":
"L'être humain doit être déconnecté de la réalité car généralement le cas est grave. Coma suite à un traumatisme crânien ou coma provoqué dans le but de soins intensifs. Durée plus ou moins longue dans l'un ou l'autre cas.
Cependant, les comas longs où l'être humain est branché de plusieurs façons, il y a deux raisons à cela. Sois on espère une récupération , soit ce sont les proches qui s'opposent à l'issue fatale et ne peuvent accepter la perte de l'être en souffrance. Est-ce de l'égoïsme que de vouloir à tout prix garder la personne qui perd de sa densité physique au point qu'il est perdu de toute façon ou la peur de l'oubli en ne voyant plus l'être car mis dans un tombeau ou incinéré. On pleure souvent de la perte physique, on ne le verra plus. L'esprit, l'âme pleure de son côté qu'on ne lui permette pas de se détacher de son corps devenu invalide et dont il ne pourra plus jamais se servir ; une sorte d'agonie jusqu'enfin il soit débranché.
Y a-t-il de l'amour dans ce genre de situation : oui et non. Je veux qu'il vive car sans lui ma vie sera vide. Un attachement où les liens sont si forts que la rupture en sera encore plus éprouvante et plus dure.
Les défunts libérés rejoignent le Plan astral correspondant à leur évolution, mais parfois, ils restent sur les lieux où ils ont vécu car le chagrin de leurs proches les retiennent parfois contre leur gré.
Aimer c'est aussi savoir que la mort n'est pas une fin."
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A vouloir tout savoir, on finit par se perdre surtout si on n'est pas prêt à recevoir l'information et à en avoir la compréhension de son interprétation. Recevoir un Savoir et savoir le recevoir. Point de limite à l'esprit.
Plume- Messages : 966
Date d'inscription : 29/05/2019
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